Date de sortie
Mes plaisirs de cinéphile
- France : 1998-05-06 - Poche (Français)
Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Mes plaisirs de cinéphile
Résumé
«J'ai découvert le cinéma quand j'étais enfant. -J e suis né en 1942, et les premiers films que j'ai vus, avec ma famille, étaient ceux des années 40 et du début des années 50. Des films tels que Duel au soleil et Force of Evil (L'Enfer de la corruption) m'ont aidé à construire ma vision du cinéma et, jusqu'à un certain point, de la vie.» Martin Scorsese
En 1996, les Cahiers du cinéma avaient demandé à Martin Scorsese, qui venait juste de terminer son film Casino, d'être le rédacteur en chef de leur numéro 500. Acceptant avec enthousiasme, le cinéaste américain fut donc tout à la fois le metteur en scène, l'acteur et le narrateur d'un numéro très spécial. Ce qu'il y a de passionnant avec lui, c'est qu'il rend le dialogue non seulement possible, mais fructueux et stimulant, entre les deux côtés de l'Atlantique. Un dialogue qu'il n'a cessé d'alimenter comme cinéaste et comme spectateur boulimique. Lorsqu'il raconte sa vie, Scorsese parle de cinéma. Et lorsqu'il parle de cinéma, de ses films ou de ceux des auteurs qu'il admire, en fait il raconte sa vie : New York, le quartier de «Little Italy », la famille, les films de son enfance ou de son adolescence, sa complicité avec Robert De Niro, ou avec les cinéastes dé sa génération (Lucas, Coppola, Spielberg et De Palma)... Dans sa cartographie intime du cinéma, Scorsese relie sans difficultés la tradition hollywoodienne à la modernité européenne.
Aux textes et entretiens parus dans ce numéro spécial des Cahiers du cinéma, s'ajoutent quelques écrits plus récents, concernant son dernier film Kundun, la musique, ou encore des éloges de Samuel Fuller, Robert Mitchum et James Stewart.
Afficher en entier