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Durant les douze années où Lisbeth Salander avait été l'objet de soins sociaux et psychiatriques, dont deux passées dans une clinique pédiatrique, elle n'avait jamais -pas une seule fois- répondu ne fût-ce qu'à la simple question "comment tu te sens aujourd'hui ?"

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J'ai passé les premières vingt-cinq, trente années de ma vie à excuser des gens comme Harald seulement parce que nous étions de la même famille. Ensuite j'ai découvert que la parenté n'est pas une garantie d'amour et que j'avais très peu de raisons de prendre la défense de Harald.

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Le seul but de cette fleur semblait donc être de faire agréablement profiter l'entourage de sa beauté capricieuse.

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La vérité était – depuis longtemps elle l’avait constaté – qu’elle aimait fouiner dans la vie d’autrui et révéler des secrets que les gens essayaient de dissimuler. Elle avait agi ainsi – sous une forme ou une autre – depuis aussi longtemps qu’elle pouvait s’en souvenir. Et elle le faisait encore aujourd’hui, pas seulement quand Armanskij lui donnait des missions mais parfois rien que par plaisir. Cela faisait pousser en elle une poussée de satisfaction – exactement comme dans un jeu vidéo compliqué, à la différence qu’il s’agissait de personnes vivantes. Et voilà que tout à coup son hobby était installé dans sa cuisine et lui offrait des bagels. Situation totalement absurde.

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– Harald est un solitaire. On ne s'est jamais bien entendus lui et moi. [...]

– J'ai compris que vous ne vous appréciez pas. Pourtant, vous êtes voisins.

– Je le trouve détestable et j'aurais préféré qu'il reste à Uppsala, mais la maison lui appartient. Je parle comme un vrai salaud, non ?

– Tu parles comme quelqu'un qui n'aime pas son frère.

– J'ai passé les premières vingt-cinq, trente années de ma vie à excuser des gens comme Harald seulement parce que nous étions de la même famille. Ensuite j'ai découvert que la parenté n'est pas une garantie d'amour et que j'avais très peu de raisons de prendre la défense de Harald.

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Pour elle, la police était une puissance ennemie relativement imprécise, dont les interventions concrètes au cours des années avaient été de l’arrêter ou de l’humilier.

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Ce jour-là, Lisbeth Salander était vêtue d'un tee-shirt noir avec une image d'E.T. exhibant des crocs de fauve, souligné d'un I am also an alien. Elle portait une jupe noire dont l'ourlet était défait, un court blouson de cuir noir râpé, ceinture cloutée, de grosses Doc Martens et des chaussettes aux rayures transversales rouges et vertes, montant jusqu'aux genoux. Son maquillage indiquait qu'elle était peut-être daltonienne. Autrement dit, elle était extrêmement soignée.

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Mikael savait très bien que toutes les familles ont des squelettes dans le placard. La famille Vanger avait un cimetière entier.

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Sa bouche était large, son nez petit et ses pommettes hautes, ce qui lui conférait un vague air d'Orientale. Ses mouvements étaient rapides et arachnéens et, quand elle travaillait à l'ordinateur, ses doigts volaient d'une façon presque surexcitée sur les touches. Son corps était voué à l'échec pour une carrière de mannequin, mais avec un maquillage adéquat, un gros plan sur son visage n'aurait déparé aucun panneau publicitaire. Sous le maquillage - parfois elle arborait un répugnant rouge à lèvres noir -, les tatouages et les piercings elle était... disons... attirante. D'une manière totalement incompréhensible.

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— Lisbeth, peux-tu me donner une définition du mot « amitié » ?

— Quand on aime bien quelqu’un.

— Oui, mais qu’est-ce qui fait qu’on aime bien quelqu’un ?

Elle haussa les épaules.

— L’amitié – ma définition – est basée sur deux choses, dit-il soudain. Le respect et la confiance. Ces deux facteurs doivent obligatoirement s’y trouver. Et ça doit être réciproque. On peut avoir du respect pour quelqu’un, mais si on n’a pas la confiance, l’amitié s’effrite.

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