Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 908
Membres
1 014 229

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par anonyme 2010-12-30T10:10:16+01:00

"Je l'ai suivi des yeux en tâchant de ne pas m'attarder sur la façon charmante dont son jean étroit dessinait les contours parfaits de son petit derrière.

Derrière qui, d'ailleurs, n'était pas la seule chose aux contours parfaits, chez lui.

On se calme ! Je parle de son visage, OK ?"

Afficher en entier
Extrait ajouté par Elizaveta87 2012-05-02T20:23:45+02:00

-Je téléphonais tranquillement quand ces deux types que je n'ai jamais rencontrés m'ont ordonné de les suivre. Ma mère m'a interdit de monter en voiture avec des inconnus. Ils affirment être du FBI, ils agitent des cartes dans tous les sens, mais comment qui-je censée deviner que c'est vrai ? Je n'ai jamais vu d'insigne du FBI de ma vie, moi ! Il a bien fallu que je me défende. Oh, monsieur Goodheart ! Je crois que je vais pleurer.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Tanwen 2013-08-22T19:10:44+02:00

L'un d'eux a même fini par lancer à Rob:

-Mais où tu l'as dégotée, celle-là?

Question débile, à laquelle j'ai répliqué:

-Au rayon petites copines de l'animalerie.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Elizaveta87 2012-05-02T20:19:43+02:00

Je suis montée. Mais avant que j'ai eu le temps de gagner mes pénates, Mike m'a flanqué la frousse de ma vie en jaillissant comme un diable, non de sa chambre, mais de celle de Douglas.

-Je te tiens ! braillait-il. Qui c'est, non d'un chien ?

-Qui est qui ? ai-je rétorqué, affalée contre le mur et le coeur battant. Et qu'est-ce que tu fiches dans la piaule de Doug ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par mabiblio1988 2010-06-07T20:33:50+02:00

"Ils veulent que je le consigne par écrit."

Afficher en entier
Extrait ajouté par Lecturesdunenuit 2015-08-23T22:43:29+02:00

« — Je te jure que je n’en vois pas d’autre, a affirmé Ruth. C’est la seule.

— Tu es sûre ?

Je me tenais debout au milieu de ma chambre, complètement à poil, après ce qui avait dû être un dîner délicieux. Je suppose, car j’avais été incapable d’apprécier quoi que ce soit, trop excitée à l’idée d’avoir été réellement foudroyée. La brûlure en forme d’étoile était là pour le prouver. C’était le point d’impact dont avait parlé Doug. Mon problème, c’est que je n’arrivais pas à trouver le point de sortie. J’avais forcé Ruth à m’accompagner chez moi pour m’aider à m’examiner sur toutes les coutures. Hélas, elle se révélait totalement inutile. Allongée sur mon lit, elle feuilletait un exemplaire de La Critique de la raison pure (rien qu’une petite lecture qu’elle avait emportée au cas où).

— J’ignorais que ta poitrine avait autant poussé, a-t-elle remarqué. Fini, les bonnets A. C’est arrivé quand ?

— Et mon dos ? Il y a quelque chose, dans mon dos ?

— Non. C’est quoi, ta taille, maintenant ? Un 85 B ?

— Aucune idée, je ne mets jamais de soutien-gorge. Et mes fesses ? Rien sur mes fesses ?

— Non. Est-ce qu’il existe quelque chose entre le 85 A et le 85 B ? Parce que je crois que tu te situes au milieu. Et tu devrais commencer à mettre des soutifs, si tu veux mon avis. Sinon, tu vas t’avachir. Comme ces Africaines en photo dans le National Géographic.

— Tu ne me sers vraiment à rien, tu sais !

— Mais qu’est-ce que tu attends de moi, Jess ? a-t-elle bougonné en retournant à son livre. Que ta meilleure amie te demande d’inspecter son corps est un peu étrange, non ? Limite homo.

— Il ne s’agit pas de me tripoter, idiote ! ai-je répliqué en enfilant un pantalon de survêtement. Je veux juste que tu me dises si tu vois un point de sortie. Pas la peine d’en faire un plat. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par Jessicaelle09 2015-06-12T10:57:33+02:00

(Jessica et son père)

— Très bien, ai-je répondu en éprouvant le même soulagement qu’à cette époque de mon enfance. Je voulais juste te mettre au courant. Au cas où je ne me réveillerais pas demain matin, par exemple.

— Si tu ne te réveilles pas, ta mère te tuera. Et maintenant, file te coucher. Et si jamais j’apprends que tu t’es réfugiée encore une fois sous des gradins métalliques pendant une tempête, je te flanque la raclée du siècle

Afficher en entier
Extrait ajouté par Jessicaelle09 2015-06-12T10:55:55+02:00

La chambre de Douglas était également fermée, et aucune lumière ne filtrait sous la porte. Ça ne m’a pas arrêtée. Le frangin était à sa fenêtre, une paire de jumelles autour du cou, quand j’ai déboulé.

— Un de ces jours, m’a-t-il avertie en se retournant, à

force d’agir ainsi, tu vas finir par entrevoir certains organes que tu préférerais ignorer.

— C’est déjà fait, je te signale. Maman nous baignait ensemble quand nous étions petits.

— Fiche-moi le camp. Je suis occupé.

— Qu’est-ce que tu regardes ? ai-je demandé en m’asseyant sur son lit. Claire Lippman ?

La chambre avait l’odeur de Doug. Pas désagréable. Une odeur de garçon, mélange de vieilles baskets et de déodorant.

— Orion.

Quel menteur ! Sa fenêtre plonge sur celle de Claire

Lippman. Exhibitionniste en diable, celle-ci ne baisse jamais ses stores. Je vous parie même qu’elle n’en a pas. Que Doug l’espionne ne me gênait pas des masses, bien que ça constitue une violation sexiste de sa vie privée et tout le toutim. C’était un signe de normalité. Enfin, dans ses limites à lui.

— Je suis désolée de t’arracher à ta dulcinée, mais j’ai trouvé le point d’impact, ai-je annoncé.

— Ce n’est pas ma dulcinée. Juste l’objet de mon désir.

— On s’en fiche, vise un peu, ai-je ordonné en tirant sur le col de mon sweat-shirt.

Il a allumé sa lampe de chevet et s’est penché vers moi.

Devant la cicatrice, il s’est figé.

— Nom de Dieu, a-t-il fini par murmurer.

— Ah ! ai-je triomphé. Je te l’avais bien dit.

— Nom de Dieu, a-t-il répété.

— Il n’y a pas de point de sortie, ai-je précisé. J’ai demandé à Ruth de m’examiner sur toutes les coutures, rien. Tu crois que la foudre est encore en moi ?

— La foudre ne reste pas comme ça à l’intérieur des gens. Cette cicatrice est peut-être le point de sortie, et l’éclair serait entré par le sommet de ton crâne. Non, c’est impossible, s’est-il aussitôt repris. Tes cheveux seraient brûlés.

Il semblait réfléchir à voix haute, mais il était parfaitement envisageable qu’il s’adresse à ses voix. C’est qu’il en entend, parfois. Ce sont elles qui l’ont incité à se tuer à Noël.

— C’est tout, ai-je déclaré en me rajustant.

Je me suis levée, mais il m’en a empêchée.

— Une minute. Tu as vraiment été foudroyée, Jess ?

— Oui.

Il avait l’air grave. En même temps, il a toujours l’air grave.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Jessicaelle09 2015-06-12T10:52:58+02:00

Son indifférence m’a mise de mauvaise humeur. D’autres filles à ma place auraient sans doute capté le message mais, rappelez-vous, je manquais d’expérience. Je ne comprenais pas quelle erreur j’avais commise.

Était-ce la façon dont j’avais réagi quand il m’avait embrassée ? Lorsque j’avais manqué de me casser la figure. Je reconnais, c’était un peu puéril.

Soyez généreux : il s’agissait de mon premier baiser. À moins que ce soit ma remarque sur le rayon petites copines de l’animalerie. Ou le fait évident que je détonnais par rapport à Teri et Charleen. Cette incertitude m’a rendue encore plus grincheuse.

Ce qui explique sûrement pourquoi, quand Hank Wendell s’est penché vers moi pour me chuchoter : « Hé, Mastriani, qu’est-ce que j’apprends là ? Wilkins t’a montré sa saucisse vendredi ? », je lui ai balancé mon coude dans la gorge.

Pas assez fort pour lui écrabouiller le larynx et le faire tourner de l’œil (hélas), suffisamment néanmoins pour le rendre très, très teigneux. Mais, avant que son poing ait eu le temps d’entrer en contact avec mon visage (j’étais prête à rouler par terre, comme mon père me l’a appris), une main a surgi et a dévié son bras de mon champ de vision.

— Je croyais qu’on était d’accord ? a susurré Rob.

Tu lui fiches la paix.

Il était à moitié vautré par-dessus moi pour maintenir Hank et, par conséquent, la boucle de son ceinturon était au niveau de mon nez. Pas une position très digne.

Ça m’a rendue folle de rage. Presque autant que la remarque de Hank.

— Serais-tu par hasard allé raconter à tout le monde que nous avons couché ensemble ? ai-je lancé, en me dévissant le cou pour apercevoir sa figure.

Sur scène, la répétition avait stoppé net. Tous les acteurs de Fin de partie nous contemplaient. Mlle Clemmings a braillé :

— Que se passe-t-il, là-haut ? Monsieur Wilkins, lâchez immédiatement M. Wendell et asseyez-vous !

— Bon Dieu, Wilkins ! a haleté Hank d’une voix hachée (à la réflexion, j’avais peut-être frappé plus fort que je ne le pensais), tu es en train de me péter le bras.

— Et je te l’arracherai sans hésitation si tu ne la laisses pas tranquille, a riposté Rob sur un ton réfrigérant que je ne lui connaissais pas.

— D’accord, bon Dieu, d’accord.

Rob l’a lâché, Hank s’est effondré sur son siège, et mon sauveur a repris sa place. Quant à Mlle Clemmings, qui avait remonté la moitié

de l’allée, elle a hoché la tête avec satisfaction, l’air de croire que la bagarre avait cessé grâce à sa divine intervention. Tu parles !

En tout cas, j’étais en rogne.

— Qu’est-ce qu’il a voulu dire ? ai-je sifflé à

Rob dès que la prof a eu le dos tourné. De quoi parlait-il ?

— De rien, a-t-il répondu en se replongeant dans son bouquin. C’est un enfoiré. (Excusez son langage.) Mets-la en veilleuse, veux-tu ?

Bon, autant vous prévenir tout de suite, je déteste que les gens me conseillent de la mettre en veilleuse. Par exemple, quand ils viennent de déblatérer sur le compte de Douglas, ne comprennent pas que je m’emporte et me demandent de descendre de mes grands chevaux. Je ne peux pas. C’est plus fort que moi.

— Non, je ne me détendrai pas, ai-je grondé. Je veux savoir de quoi il retourne. Que se passe-t-il, bon sang ? Tu as raconté à

tes potes que nous avions couché ?

Rob a enfin levé les yeux. Ses traits étaient totalement dénués d’expression, quand il a répliqué :

— Et d’une, Wendell n’est pas mon pote.

Sur ma gauche, Wendell, qui se massait le poignet, a grommelé :

— Tu l’as dit, bouffi.

— Et de deux, a continué Rob, je n’ai parlé de toi à

personne, compris ? Alors calme-toi.

Je déteste aussi quand les gens me suggèrent de me calmer.

— Écoute, je n’ai aucune idée de ce qui se passe, mais si je découvre que tu es allé déblatérer sur moi dans mon dos, je te flanque une raclée. Compris ?

Pour la première fois ce jour-là, il m’a souri. Comme s’il n’en avait pas eu envie mais n’avait pu se retenir.

Et il a un de ces sourires, ce Rob. Bon, je ne vais pas vous faire un dessin.

Quoique. Vous ignorez sans doute de quoi je parle. Un instant, j’avais oublié pour qui j’écris.

Passons.

— Toi, tu me flanques une raclée ? a-t-il répété, visiblement très amusé.

C’est peu dire que mon humeur ne s’est pas améliorée.

— Gaffe, mec ! l’a averti Hank. Elle cogne dur, pour une fille.

— Exactement, ai-je renchéri. Alors, tu peux numéroter tes abattis.

J’ignore ce qu’il allait répondre car, au même moment, Mlle

Clemmings nous a ordonné de la boucler, poussant des « chut » censés nous affoler. Plus impassible que jamais, Rob a une nouvelle fois fourré son nez dans son livre. Je n’ai eu d’autre choix que de retourner à mes devoirs.

Mais je bouillais, croyez-moi !

Afficher en entier
Extrait ajouté par Kiwi_2 2021-10-22T14:24:40+02:00

Ils veulent que je le consigne par écrit. Sans rien omettre. Ils appellent ça ma déposition.

Très bien. Ma déposition. Comment tout est arrivé. Depuis le début.

À la télé, dans ces cas-là, c’est en général quelqu’un d’autre qui rédige ce que les gens racontent, et ces derniers n’ont plus qu’à signer après avoir relu. Qui plus est, on leur donne du café, des gâteaux et tout le bataclan. Moi, j’ai seulement eu droit à une rame de papier et à un stylo qui fuit. Pas même à un Coca light.

Une preuve de plus que ce qu’on voit à la télé, c’est rien que des menteries.

Ils veulent ma déposition ? Parfait, la voici : c’est la faute de Ruth.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode