Commentaires

Maintenant que j’ai commencé la saga, je me vois mal l’arrêter, même si elle part dans une direction qui ne me plait que moyennement.

Elle proposait du bon, cette nouvelle saga, avec un Moriaty qui voulait changer la vie, la révolutionner, aider l’Angleterre d’en bas à s’affranchir de la main-mise de la noblesse sur tout.

Il est toujours râlant de voir un incapable nous ravir une place qui nous revient juste parce qu’il est issu de la noblesse (ou pistonné, de nos jours).

Alors même si j’avais grincé des dents devant un jeune Moriarty qui ressemblait physiquement à Ciel Phantomhive, si je m’étais étranglé devant le sort que les trois fils réservaient à leurs parents nobles, j’avais malgré tout continué ma route avec eux afin de ne rien manquer de l’entrée en scène de Sherlock Holmes.

Je pensais avoir touché le fond avec les méthodes un peu hard de nos Moriarty’s Boys pour s’affranchir de la noblesse et punir les nobles de leurs exactions ou autres saloperies, mais avec le personnage de Holmes, j’ai bu la calice jusqu’à la lie.

C’est un rustre mal élevé, un sale gamin qui mérite une fessée ! Il s’exprime comme un barakî avec moult « bah », parfois même plusieurs « merde », un « arrête tes conneries, quoi », j’ai aussi un « fait chier, merde »…

Holmes tutoie Watson (ils s’appellent par leurs prénoms et nous sommes à l’ère victorienne !!), est plus qu’imbu de lui même, se balade en calbute et parle de « profiling ».

Nous ne sommes pas au XXIème siècle et ce qui passe dans la série de la BBC ne passe pas dans un contexte victorien.

Pire, Irene Adler rabroue Watson à un moment donné et le traite comme s’il était un gamin de 15 ans…

Que l’on s’affranchisse du canon holmésien, je veux bien, à condition de lui faire de beaux scénarios, de belles adaptations, de nous surprendre dans le bon sens du terme, mais là… On piétine certains personnages.

Autant où les scénarios peuvent avoir du bon, autant ils peuvent être exaspérant avec toutes les références à l’univers de James Bond et les dialogues sont limites lourds à tout vouloir expliquer comme si nous étions les lapereaux de l’année (Nathalie, si tu me lis, je cite ton expression).

Dommage parce que tout n’est pas à jeter dans les scénarios de cette saga, mais la manière de les cuisiner a fait brûler une partie des ingrédients au fond de la marmite et a gâché le goût de la mixture.

Et puis nom de Zeus, le final à fini par me faire avaler la soupe de travers. Là, on pousse le bouchon un peu trop loin dans tous les sens.

Je me demande ce qu’ils vont nous servir dans le tome suivant où Jack The Ripper va faire son apparition. Ne me demandez pas pourquoi, mais je m’attends au pire et je serai au rendez-vous car j’ai envie de savoir comment tout cela va finir un jour.

Sixième tome un peu long à mon goût. Miss Adler est aussi intéressante que surprenante, certes. Mais je ne m'attendais pas à cette fin. Trop de référence James-Bondienne pour moi. Enfin, pourquoi pas, allons-y. Après tout, nous n'en sommes plus à un détail près...

Personnellement, je trouve que la série perd de son intérêt initial. C'est dommage. Le trios Moriarty va un peu loin en méthodes, Holmes est souvent décevant et l'époque victorienne manque cruellement de réalisme (en particulier dans le langage, très XXème siècle à mon goût). Cependant, maintenant que j'en suis là, difficile de ne pas aller au bout de la série. J'attends de voir ce que la suite va donner, par curiosité, et comment tout ceci va se terminer.

Suite et fin de la plus longue histoire de Moriarty puisqu'elle aura duré 7 chapitres en tout, mais Irene Adler ne méritait pas moins. Holmes et Moriarty s'affrontent pour la protéger du terrible secret d'Etat qu'elle a découvert... et qui m'a doucement fait rigoler.

Super tome,on sent la noirceur s'infiltrer de plus en plus...

C'est encore un coup de coeur.

Ces manges sont juste un pur régal!

L'histoire de Mlle Adler nous balade entre les deux clans pour nous proposer un contenu drôle, intriguant et touchant à la fois.

De plus, cette entrée en jeu de ce personnage est un véritable tournant dans l'histoire.

Comme pour le tome précédent, j'ai hâte que Sherlock se réveille parce que pour l'instant le plus grand détective est très en dessous de sa légende et ça m'énerve un peu --"

J'ai bien aimé par contre la suite de l'intrigue et la manière dont Adler était amenée dans le récit. bon, la fin est très convenue... franchement c'était presque un peu décevant mais enfin... J'ai bien aimé en savoir plus sur le véritable objectif de Moriarty par contre et c'était bien amené donc, c'était chouette.

Bref, cette série continue d'être prenante malgré les défauts

Encore un coup de maitre pour les Moriarty ! Ce tome nous apporte beaucoup d'informations et j'ai beaucoup apprécier comment l'auteur a détourner des fait réel ou existant pour servir son récit ! J'ai vraiment hâte de lire la suite !

Je n'ai pas trouvé ce tome fou, à voir pour la suite>

Ce tome conclus l'affaire Irène Adler, Albert aidé de son frère réussit une fois de plus a habilement manipulé Sherlock homes et les autres pour l'évolution de leurs projets. Pourtant, contrairement aux fois précédentes, le " Prince du crime" dévoile ces intentions et son visage tout en exposant le plan qu'il contre mettre a exécutions pour changer l'équilibre des pouvoirs.

Un tome, toujours passionnant même si j'ai, un peut tiquer sur la nouvelle identité d'Iréne.

C’est un tome avec peu « d’action ». Il y beaucoup d’explication et de négociation. Le bal masqué est une scène sympa, avec le jeu trouver le « Prince du crime ». Le tour de main sournois qu’emploi Sherlock pour piéger Irène est très bien penser. Les négociations sont assez calme en soit.

Une fin des plus intéressante pour ce tome, je n’ai pas vu le coup venir.