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p69 chapitre 4 Jalouse ? Moi ? Jamais...
La jalousie est un sentiment qui dérape. (Jérôme RIQUIER)
Afficher en entier« Possessif, paumé, totalement cramé. Je. Ne. Veux. Pas. La. Perdre. J’emmerde la vie !
– J’ai mal à t’aimer, mais c’est ce qui m’a rendu vivant.
Encore sa bouche. Je m’y noie, y insuffle tout l’air de mes poumons. Je lui offre ma vie.
Je. Veux. Vivre. En. Toi.
Mon corps tremble, s’acharne autant que le sien venant désespérément à ma rencontre. (…)
Un râle au creux de notre baiser et je la rejoins, l’envahis à mon tour et l’enchaîne à mes désirs.
Je. Refuse. De. Mourir.
Afficher en entierJ’extrais l’étoile métallique de mon sac à main et la glisse dans l’enveloppe que j’avais préalablement préparée. Je suis angoissée. J’espère qu’elle arrivera bien à destination… Gabriel a déserté son appartement. Il me fuit, ne me laisse aucune chance de l’approcher. Sauf que moi, je ne compte pas abandonner. Je le connais suffisamment pour savoir qu’il aura fait suivre son courrier. Il est bien trop méticuleux pour oublier ce genre de chose. Donc si j’envoie ma lettre à son ancienne adresse, elle arrivera en toute logique à son nouvel appartement.
Afficher en entierJe suis trop con. Elle ne s’en sort pas… Elle sera effondrée… Je suis trop con. Je fais tout à l’envers. Elle me manque… Je la fais souffrir… Je suis trop con.
Afficher en entierROSE
Appartement des colocataires, mercredi 16 août, 2 h 23
– Je vais mourir, Rose.
Mon cœur s’arrête de battre. Le poids de ses paroles s’abat brutalement sur moi, balaye tout sur son passage. Mes oreilles bourdonnent, mon pouls martèle mes tempes… La sensation s’amplifie, devient insupportable. Je vacille, étouffe. Je ne… Non… Impossible… Un cauchemar…
La main qui s’empare de mon bras est pourtant si réelle… Mes pupilles s’affolent, incapable d’affronter celles de Gabriel. Ma gorge est sèche. J’entrouvre la bouche, tente de protester quand il me pousse à sortir de l’appartement. Aucun son ne sort. Il me semble l’entendre me parler, mais je n’entends plus que mon pouls vriller mes tympans.
C’est impossible… Gabriel…
Les larmes montent. Tout mon corps tremble. Je ne contrôle plus les spasmes qui m’envahissent, la douleur qui tord mon estomac… Je vais vomir. Il… Non… Ne peut pas… La porte se ferme derrière moi. Je tourne sur moi-même, perdue, désemparée.
Gabriel…
L’image se trouble et je sors de mes pensées. Je cherche mon souffle, tente de respirer normalement. Toujours la même scène… Chaque soir… Comme pour me prouver que tout ça est bien réel, que je n’ai rien inventé. J’avance, l’estomac en vrac, et percute la porte de ma chambre. C’est difficile… Tellement difficile… Je ne veux pas y croire. Je refuse !
J’ai la tête qui tourne depuis que je suis rentrée du Saphir. Je tente d’attraper mon pyjama, mais je le rate. Prise d’un vertige, je me rattrape in extremis à ma commode et je tape dans une vieille tirelire qui explose en mille éclats sur le sol.
Oh non…
C’était plus qu’une babiole. Même si je ne lui ai jamais donné beaucoup d’importance, elle me suit depuis toute petite. Un souvenir d’enfance oublié dans un carton pendant des années avant de revenir orner un meuble…
Je m’accroupis pour constater les dégâts. Quelques breloques sont étalées au milieu des morceaux de porcelaine.
Mais qu’est-ce que…
J’attrape une petite étoile brillante et l’observe un long moment…
Afficher en entierp339 chapite 17 Hypogée passionnel
Rêver et fantasmer. Un idéal ou l'amour n'aurait aucune limite, où le souvenir de ton sourire, l'éclat de ton regard et le parfum de tes cheveux enlaceraient mon âme. Ne m'oublie pas, car rien ne peux nous atteindre, nous être retiré. Laisse-moi vivre à travers toi, aimer à travers toi.
Deviens mon monde, mon enveloppe terrestre perdurant ma mémoire, la forme de nos sentiments. Dans la rage comme l'extase, à jamais (Jena Rose)
Afficher en entierp323 "souris mon ange, mon unique amour, j'en ai besoin, J'en aurai besoin à jamais...
Toujours et à jamais
Gabriel
PS : Dream as if you'll live forever. Live as if you'll die today"
Afficher en entierp320
"Tu sais quoi, Cendrillon : la citrouille, ça ne fonctionne que dans les comptes de fées. J'avais commandé un carrosse : regarde un peu la tronche du truc!
Je glousse et lève les yeux vers Haley qui sourit en s'appropriant les poignées.
- Désolé les tourtereaux, mais la liste d'attente pour les carrosses est trop longue, Fallait réserve à l'avance!"
Afficher en entierp309 chapitre 16 Joyeux Noel
Mon cœur bat plus vitre maintenant, seul combattant encore debout sur le ring, gant de boxe rouge qui boxe victorieusement dans les airs, qui refuse d'abandonner (Cecilia AHERN)
Afficher en entierp282 "il faut que tu sois là. Elle aura besoin de toi. Prends ma place, aime la de toutes les façons possible, mais bordel, ne la laisse pas !"
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