Commentaires

Superbe lecture.

Très bien écrit.

Une jolie plume, une écriture fluide, rythmée et vraie.

Roman autobiographique très bien narré. La guerre racontée à travers les yeux d'enfant. Roman qui remue. A lire.

Une lecture courte mais réellement prenante. Je trouve qu'on étudie assez peu le massacre tutsi et qu'on le cantonne uniquement au Rwanda alors que les conflits ethniques touchent beaucoup plus de pays d'Afrique.

Mais quelle claque... Je ne comprenais pas l'engouement exceptionnel pour ce livre jusqu'à ce que j'avance dans ma lecture... J'en ai eu des larmes aux yeux, mais des larmes...

Je ne pourrais en dire trop de peur de spoiler, car il s'agit finalement d'un court roman, mais si riche, si entier. C'est le mot, il m'a finalement empli, empli la tête, empli le coeur, empli d'amertume, empli d'une révolution contre l'injustice et la connerie humaine...

Les personnages, sont un mélange de blanc et de noir, de nuances qui prend aux tripes.

Nous suivons docilement l'histoire de jeunes enfants, dans l'insouciance de la jeunesse finalement, puis les dégradations, les incompréhensions, les horreurs d'une guerre qu'ils ne comprennent pas et qu'ils gèrent tous différemment.

L'auteur ne nous cache rien, ne nous épargne rien, et nous laisse spectateur des horreurs, qu'elle soit physique et psychologique.

Ce lire est à lire impérativement, il ne bénéficie pas de tous ses prix littéraires pour rien, vraiment.

Une lecture difficile mais nécessaire qui met en lumière le terrible génocide qui a eu lieu au Rwanda puis au Burundi. La narration par la voix d'un petit garçon rend l'histoire encore plus cruelle.

Ce livre est vraiment en deux partie. D'abord une enfance marquée de quelques faits horribles qui sont adoucis par la vision d'un enfant. Et la deuxième partie qui en quelques mots illustrent l'horreur du monde mais surtout celle des hommes.

J'ai commencé ce roman un peu à reculons, sachant le sujet autour duquel il se construit : le génocide des Tutsis au Rwanda.

Connaissant Gaël Faye pour ses chansons, j'ai eu le plaisir de découvrir d'une autre manière son écriture, que j'aime beaucoup.

Son personnage, Gabriel (auto-biographique ?), est un enfant lambda, perdu entre l'enfance et la cruauté du monde des adultes. J'ai eu beaucoup de peine pour ce garçon de douze ans, qui se retrouve entraîné bien malgré lui dans un conflit ethnique qu'il ne comprend pas, et auquel il ne veut pas prendre part.

L'auteur prend le temps d'installer son contexte, de présenter les personnages qui occupent le quotidien de Gaby et les lieux qu'il habite. J'ai trouvé qu'il était un peu difficile de s'attacher à beaucoup de personnages, mais je pense que c'est parce qu'ils sont simplement humains avec leurs failles. Cependant, j'avoue avoir ressenti une tendresse particulière pour Prothé et Donation.

Il est difficile de juger le reste du roman, car son histoire n'est pas fictive. J'ai beaucoup aimé la façon dont l'auteur a présenté les évènements : loin de tomber dans le dramatique, il parvient à faire ressentir toute la brutalité et l'horreur du génocide ; Gaby est dépassé, présente les faits avec sa naïveté d'enfance, sans sembler comprendre les tenants et aboutissants. Je pense que cela a été plus impactant car j'ai vu l'histoire se dérouler sous mes yeux, impuissante et silencieuse, et j'ai vu ce garçon dans les rues de Bujumbura tenter de conserver sa part d'enfance.

J'ai été dotant plus choquée en réalisant que le génocide est si récent ; je suis née seulement à peine 10 ans plus tard. Ce constat est assez glaçant quand on apprend la façon dont le massacre a été traité à l'internationale, face à l'inaction des gouvernements, pour certains apparemment au courant avant même le début des tueries, et, en refermant le livre, je n'ai pas pu ne pas songer à la situation actuelle dans la bande de Gaza.

Ce livre est important : c'est un témoignage historique des horreurs que peuvent commettre les hommes pour un nez.

Le livre nous donne une vision parfaite de ce qu'était la guerre. La fin nous explique que par le peur il a fui, il n'a pas dit au revoir,...

Il n'a pas pris le temps de savourer les dernières secondes qu'il lui restait à vivre dans son pays. Il est parti et n'a même pas regarder en arrière.

J'ai contracté l'herpès (hsv-2) en 2015, mon médecin m'a dit qu'il n'y avait pas de remède contre l'herpès. J'ai vu quelqu'un poster sur le prêtre Salami, tellement de gens parlaient de lui, alors j'ai décidé d'essayer, alors je l'ai contacté, alors il m'a répondu et m'a dit qu'il me guérirait dans les 2 semaines, puis j'ai acheté le médicament à base de plantes et il m'a envoyé le médicament à base de plantes et je l'ai pris pendant 14 jours, puis je suis allé faire un contrôle et j'ai été totalement guéri. Le médicament n'a AUCUN EFFET SECONDAIRE, il n'y a pas de régime spécial lors de la prise du médicament. Il guérit également l'HÉPATITE B, la SLA, la MND, l'ÉPILEPSIE, la LEUCÉMIE, l'ASTHME, le CANCER, la GONORRHÉE, le VIH, l'EMPHYSÈME, les VERRUES GÉNITALES, l'ES et bien plus encore. Je vous recommanderai Priest Salami si vous rencontrez des problèmes de virus, d'infections et de maladies. VOUS POUVEZ CONTACTER PRIEST SALAMI POUR VOTRE GUÉRISON. Email : purenaturalhealer@gmail.com ou Whatsapp +234 9117657847 Vous pouvez également le joindre https://www.facebook.com/profile.php?id=100086517444734

J'ai lu ce livre la première fois en troisième pour les cours. Et même s'il m'avait déjà bouleversée à cet époque. Aujourd'hui, alors que je suis en Terminal et que j'ai acquis une plus vaste connaissance et compréhension du monde, je ne peux qu'affirmer que ce roman est un pure chef oeuvre de dénonciation de la guerre. C'est clairement un oeuvre engagée qui vous détruit de l'interieur dès que vous y penser et pensez à ce génocide.