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Sonya vit depuis toujours sous un régime totalitaire. Elle est la figure de l'affiche de la Délégation. A 17 ans, la rébellion reprend le pouvoir, ses parents et sa sœur se sont suicidés pour ne pas être capturés, Sonya elle n'a pas pu,depuis elle croupit en prison cela fait 10 ans.

Le jour où Alexander lui demande de retrouver Grace Ward, en échange de sa liberté. Elle saute sur l'occasion mais pas pour les bonnes raisons. Elle va mener son enquête et découvrir que sa famille n'est pas aussi parfaite que ce qu'elle pensait.

Cette dystopie nous fait réfléchir à notre avenir, à la l'arrivée de nouvelles technologies, qui détournées de leurs fonctions peuvent être dangereuses pour notre vie.

EXTRAITS

"La perception offrait à chaque individu un accès à toutes les informations."

"À l'époque de la Délégation tout été quantifié ; la moindre parole, le moindre geste équivalait à un montant positif ou négatif de cryptodeniers."

Et vous pourriez vous vivre dans une société où tout est quantifié le bien comme le mal ?

Et qui déterminé ce qui est bien et ce qui est mal, la valeur morale aux décisions que nous prenons?

L'auteur a écrit ce roman pendant la pandémie et avec du recul on est en droit de se poser des questions sur la façon dont elle a été gérée et comment l'avenir se passera.

La sortie Américaine est prévu pour le 18 octobre 2022 et d’après le site d’Amazon, la sortie en France est prévu le 3 novembre 2022.

Poster girl aurait pu être un très bon livre mais l’histoire est assez floue dans la première partie, l’autrice nous raconte dans cette dystopie x thriller un monde à la Black miror mélangeant une enquête policière avec un fond de romance qui n’apporte pas grand-chose à l’histoire et je n’ai pas trouvé les personnages très attachants.

Les 100 dernières pages bougent un peu plus et l’intrigue m’a surprise à plusieurs reprises mais ce n’est pas un coeur de coeur. C’est un one shot mais la fin étant assez ouverte il est possible qu’une suite soit prévue !

Veronica Roth est une autrice pour laquelle mon avis est toujours mitigé ayant moyennement aimé la saga divergent (sauf le tome 1 très bon et la dernière page du tome 3 qui reste dans mes citations favorites à ce jour) et détesté « marquer les ombres » que j’ai abandonné en plein milieu car trop compliqué pour moi.

Lecture sympathique. J'avais hâte de lire un nouveau roman de Veronica Roth. L'idée de départ est géniale mais malheureusement je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, l'histoire est assez lente et il y a peu d'action sauf sur les 150 dernières pages où tout s'imbrique et où l'histoire devient vraiment addictive.

http://www.unbrindelecture.com/2023/02/poster-girl-de-veronica-roth.html ce n’est pas un mauvais livre mais ce n’est pas non plus un livre (ou une série de livres peut-être) très abouti/es. Lisez le quand même, il a le mérite d’amener d’autres sujets autrement plus intéressants que la couleur des chaussures d’Aya Nakamura. En effet, cela aurait pu soulever de vraies réflexions mais c'est un peu léger . Une lecture pas sans intérêt mais il en manque pour que cela soit remplisse vraiment mes attentes.

Poster Girl est une lecture très intéressante. Elle a le mérite d'aborder des thèmes de société par rapport au conditionnement des esprits, la liberté de penser, la justice et ses sentences, le pardon, la condition humaine... Tant de sujets qui auraient mérités d'être plus approfondis et auraient pu relever ce livre qui manque de rythme.

Les personnage manquent également de caractère et évoluent peu.

Bref, ce livre aurait mérité plus d'actions, plus de développements et de réflexions sur des enjeux importants pour la société future.

Contrairement aux autres romans que j'ai pu lire de V. Roth, je trouve qu'ici l'histoire met un peu plus de temps à se mettre en place. Cependant l'histoire est incroyable, et la morale qu'on peut en tirer est très intéressante je trouve.

L'histoire est passionnante, touchante et bien écrite. L'évolution de la relation entre Sonya et Alexander est très touchante. Spoiler(cliquez pour révéler)Comme il faut un peu s'y attendre avec Roth, même si nous n'avons jamais rencontrer Grace Ward, nous nous attachons à ce personnage, nous espérons la voir retrouver ses parents. Mais lorsque nous apprenons sont décès, nous sommes très attristés.

Je recommande vivement ce roman.

J'ai un réel problème avec les oeuvres de Veronica Roth...

D'un côté, je suis très fan de ses univers et de ses idées, elles sont extras et je suis très fan de sa plume.

Mais de l'autre, je suis souvent très déçu par ma lecture... Et c'est le cas ici.

J'aime beaucoup l'univers post dystopique, assez rare comme lecture mais ça s'arrête là... Les descriptions sont longues et plutôt inutiles, l'action est pauvre et lente et son personnage principal est énervante au possible.

Finir ce livre a été une torture pour moi car je me faisais chier, alors que l'univers m'a plu.

En conclusion, déçue de ma lecture.

Dans un futur proche, l'Objectif est une prison à ciel ouvert, où les détenus sont obligés de faire le service d'ordre eux-mêmes sous peine de représailles.

Dedans il y a les opposants politique, dont Sonya issue d'une famille de privilégiés, qui n'est autre que Poster girl la fille de l'affiche dont la photo a servi à la propagande. Elle est la figure déchue de la Délégation, ce régime totalitaire déboulonné par le Triumvirat. Elle se voit confier une mission qui pourrait lui permettre de recouvrer sa liberté : retrouver une enfant qui a été volée à ses parents dix ans plus tôt, peu avant la chute de la Délégation.

Alors bien sûr, dans cette histoire on nous fait comprendre que la dictature c'est mal : la pensée unique, l'absence de libre arbitre, de choix personnels, de liberté de pensée, et les actions toujours récompensées ou sanctionnées selon qu'elles sont positives ou négatives pour le régime, qui sait susciter la duplicité et la cupidité pour les âmes les plus vénales et du coup la délation pour le bien commun et de fait une forme d'infantilisation. J'ai l'air de me moquer, mais non. Un seul enfant par foyer (Chine), enfants volés (Argentine, Chili, Russie), ça reprend les grands thèmes qu'on connaît hélas trop bien. J'ai aimé suivre le cheminement de Sonya, convaincue que la dictature c'était bien, que c'était l'ordre et qu'il n'y avait pas de raison sensée de désirer autre chose. Pourtant, à 27 ans ça fait dix ans qu'elle est en prison et elle continue d'avoir foi en ces diktats qu'on lui a inculqués. C'est la force de l'endoctrinement dès le plus jeune âge. Et puis c'est tellement facile de ne pas penser par soi-même, d'avoir des idées prédigérées. Non ?

Non bien sûr. Mais va-t-elle le comprendre ?

Ce livre m'a donné à réfléchir sur la société en général. Car si certaines règles sont des carcans dans les états totalitaires, il y a certaines façons de voir les choses qui sont écœurantes et qui pourtant existent dans nos sociétés soi-disant démocratiques, comme les passe-droits pour les nantis et les prétendues élites, en toute bonne mauvaise foi.

Il est aussi question de transhumanisme, chose terrifiante vers laquelle on se dirige, tranquillement mais sûrement, et de nouvelles technologies qui ne sont pas vraiment nos meilleures amies car presque toujours dévoyées. Mais bien souvent l'enfer est pavé de bonnes intentions…

Sonya va mener son enquête, se frotter à de multiples dangers, découvrir des aberrations de l'ancien système, mais peut-être aussi du nouveau, et enfin découvrir la vie et se découvrir elle-même… Le chemin est parfois long jusqu'à la liberté.

Encore un roman que j'ai beaucoup aimé et qui va continuer à faire son chemin bien après l'avoir refermé.

Personnellement j'ai trouvé la lecture un peu sèche.

C'est à dire que j'ai lu marquer les ombres et divergentes et quatre, et le style de l'auteur était facile et coulant de source à lire. Ce livre là, le style de l'auteur est... sec, factuel, descriptif sans rien. J'ai eu beaucoup de mal à m'y faire. Du coup j'ai eu du mal à m'attacher à Sonya.

Par contre la thématique est intéressante, comme souvent dans les dystopie. Le concept de suivre Sonya une "pro-délégation" au début du livre, par opposition aux rebelles qui contrôlent le pays maintenant, c'est intéressant, rafraîchissant, et ça permet des fois de se mettre à la place des personnes. Celles qui ne voient pas le mal du gouvernement, celles qui sont "des citoyens modèles". Je suis quand même contente que Sonya grandisse, sortent de son apathie en gros, et réfléchisse par elle-même en se rendant compte que ... ben personne n'est parfait, comme aucun système ne l'est.

Par contre, je trouve que la résolution est "trop facile". Suffit de dire au méchant "ça rapporteras rien de me tuer" et il te fout la paix? C'est un peu trop simpliste. Mais clairement si ce bouquin a été écrit pendant la quarantaine, je comprend mieux le ton factuel, descriptif et apathique de Sonya. Le thème est intéressant, le regard sous lequel elle écrit est intéressant. Mais je trouve que la fin est trop simpliste, trop facile. Donc voilà, c'est pas mal, mais ça aurait pu, et ça aurait du vu l'auteur, être mieux.

Donc un peu déçu quand même.