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Les extraits ajoutés par camcam0101

Soudain, tout en rêvant, Amélie remarque quelque chose d’étrange : il n’y a plus le moindre bruit sur le quai. Alors, la petite fille se retourne et constate avec horreur que son rang n’est plus là. Il n’y a plus que deux personnes sur le quai et elle a juste le temps d’apercevoir la rame disparaître dans le tunnel. Aucun doute, la classe est partie sans elle ! Dans la cohue, la maîtresse n’a pas remarqué qu’Amélie ne suivait pas.

« Houps! Là, je crois que j’ai fait une grosse bêtise ! »

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- Pourquoi je devrais te croire ? Insista Kristen.

- Parce que si je mentais, tu sais très bien que j’aurais trouvé une bien meilleure excuse que ça.

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TRIVELIN. – (…) Nous avons ici d’aimables filles, épousez-en une, vous y trouverez votre avantage.

ARLEQUIN. – Oui-da, que je me marie à une autre, afin de mettre Sylvia en colère et qu’elle porte son amitié ailleurs ! Oh, oh, mon mignon, combien vous a-t-on donné pour m’attraper ? Allez, mon fils, vous n’êtes qu’un butor, gardez vos filles, nous ne nous accommoderons pas, vous êtes trop cher.

TRIVELIN. — Savez-vous bien que le mariage que je vous propose vous acquerra l'amitié du Prince ?

ARLEQUIN. — Bon ! mon ami ne serait pas seulement mon camarade.

TRIVELIN. — Mais les richesses que vous promet cette amitié...

ARLEQUIN. — On n'a que faire de toutes ces babioles-là, quand on se porte bien, qu'on a bon appétit et de quoi vivre.

TRIVELIN. — Vous ignorez le prix de ce que vous refusez.

ARLEQUIN, d'un air négligent. — C'est à cause de cela que je n'y perds rien.

TRIVELIN. — Maison à la ville, maison à la campagne.

ARLEQUIN. — Ah, que cela est beau ! il n'y a qu'une chose qui m'embarrasse; qui est-ce qui habitera ma maison de ville quand je serai à ma maison de campagne ?

TRIVELIN. — Parbleu ! vos valets.

ARLEQUIN-. — Mes valets ? Qu'ai-je besoin de faire fortune pour ces canailles-là ? je ne pourrai donc pas les habiter toutes à la fois ?

TRIVELIN, riant. — Non, que je pense; vous ne serez pas en deux endroits en même temps.

ARLEQUIN. — Eh bien, innocent que vous êtes, si je n'ai pas ce secret-là, il est inutile d'avoir deux maisons.

TRIVELIN. — Quand il vous plaira, vous irez de l'une à l'autre.

ARLEQUIN. — A ce compte, je donnerai donc ma maîtresse pour avoir le plaisir de déménager souvent ?

Acte I, Scène IV

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En vérité, je tremble de penser qu’un enfant de trois semaines ait eu la fièvre et la petite vérole. C’est la chose du monde la plus extraordinaire. Mon Dieu ! d’où vient cette chaleur extrême dans ce petit corps ? Ne vous a-t-on rien dit du chocolat ? Je n’ai point le cœur content là-dessus. Je suis en peine de ce petit dauphin ; je l’aime, et comme je sais que vous l’aimez, j’y suis fortement attachée. Vous sentez donc l’amour maternel ; j’en suis fort aise. Eh bien ! moquez-vous présentement des craintes, des inquiétudes, des prévoyances, des tendresses, qui mettent le cœur en presse, du trouble que cela jette sur toute la vie ; vous ne serez plus étonnée de tous mes sentiments. J’ai cette obligation à cette petite créature. Je fais bien prier Dieu pour lui, et n’en suis pas moins en peine que vous.

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