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" Bonjour, parents de Grace ! Je suis son petit ami, et je vous prie de remarquer qu'une distance honnète nous sépare. Je suis très sérieux et je n'ai jamais mit la langue dans la bouche de votre fille."
Afficher en entierMon être entier n'aspirait qu'à l'embrasser assez fort pour que je disparaisse. Appuyant un bras de chaque côté de sa tête, je m'arc boutai contre la porte donc le bois gémit et pressai ems lèvres contre les siennes, et elle me rendit mon baiser de sa bouche brûlante, la langue sur mes dents, les mains toujours derrière le dis, corps pressé contre la porte. Tout en moi bourdonnait, électrique, er brûlait de franchir les quelques centimètres qui nous séparaient encore.
Elle m'embrassa plus fort, son souffle envahit ma bouche, et elle mordit ma lèvre inférieur. Ciel, c'était effroyablement délicieux! Je lâchai un grognement involontaire, mais avant même que je n'aie eu le temps de me sentir gêné, Grace avait retiré ses mains de son dos et entouré mon cou de ses bras, m'attirant à elle.
-C'était vraiment hyper sexy, ça, articula-t-elle d'une voix mal assuré. Je ne croyai pas ça possible.
Je l'embrassai à nouveau sans la laisser poursuivre, et reculai avec elle dans la pièce, nos bras entremêlés à la lueure de la lune. Ses doigts vinrent s'accrocher à la ceinture de mon jean, ses pouces effleurant mes hanches, et m'attirèrent encore plus près.
-J'te jure, Grace, balbutiai-je, tu...surestimes grandement mon self-control.
-Ton self-control, je m'en passerai bien.
Mes mains étaient dans son chemiser, paumes préssées, doigts écartés, sur son dos. J'aurais été incapables de dire comment elles étaient venues là.
-Je... je ne veux aps faire quelque chose que tu puisses regretter.
Le dos de Grace fléchit sous mes doigts.
-Alors continue !
Je l'avais imaginée dire cela de mille façons différentes, mais aucune napprochait lincroyabe réalité.
Nous reculâmes maladroitement jusqu'au lit.
[...]
-Comme tu sens bon! chuchota Grace. A chaque fois que je te touche, tu sens encore meilleur..
Ses narines se gonflèrent commes celles d'un loups, captant mon désir.. Elle savait ce que j'étais, et pourtant elle me désirait, malgré tout.
Elle me laissa la repousser doucement dans les oreillers, et je la chevauchai, encadrant son visage de mes bras tendus.
Afficher en entier-Arrête de discuter et viens ici, ai-je ordonné d'une voix plus forte que prévu. Je te fais confiance pour que tu te tiennes convenablement et que tu ne tires pas toutes les couvertures à
toi.
Afficher en entier- Sûre et certaine ?
Ses yeux brillaient d’excitation. Elle hocha la tête.
Je glissai pour embrasser son ventre, et le geste me parut parfaitement naturel, comme si je l’avais déjà accompli mille fois, et le ferais encore mille autres.
Je vis les vilaines cicatrices que la meute avait laissées sur son cou et ses clavicules et les embrassai, elles aussi.
Grâce tira les couverture sur nous, et nous ôtâmes nos vêtements. Lorsque nous pressâmes nos corps l’un contre l’autre, je me débarrassai d’une secousse de ma peau en grognant et m’abandonnai, ni loup, ni homme, juste Sam.
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