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Liste des extraits

Je t’ai fait peur. Comme un oiseau prisonnier, tu ne songes qu’à fuir.

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Louisa, écoutez bien ce que je vais dire et si vous ne me croyez pas, vous êtes plus bête que je ne le pensais. Si vous imaginez que quelqu'un a pu me forcer à me marier contre mon gré, vous me connaissez mal. A présent, croyez-moi, et votre vie en dépend, ma femme n'était ni une fille des rues ni une prostituée. Elle était vierge quand je l'ai prise et George peut en témoigner. L'enfant est de moi. Elle est ma femme, je l'ai choisie et je n'admettrai pas votre grossièreté avec elle dans cette maison. Dès cet instant, j'exige que vous la traitiez avec le respect dû à la maîtresse de Harthaven. Vous n'avez plus aucun droit sur moi, cette maison ou ma propriété.

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« Elle comprit que le moment était venu. Et la douleur l’empoigna, saisissant chaque muscle. Elle se leva pour envoyer Mary chercher Hatti et alluma une bougie. Elle s’aperçut alors qu’elle avait taché sa chemise de nuit et décida d’en changer. Avec précaution, elle avança vers la commode. Elle n’avait pas parcouru la moitié du chemin quand, de surprise, elle poussa un petit cri. Les eaux se libérant d’un seul coup mouillèrent complètement sa chemise, coulant entre ses cuisses. Immobilisée par l’indécision, la gêne, elle regardait autour d’elle quand la porte de Brandon s’ouvrit. Il entra, nu, luttant avec sa robe de chambre :

— Heather, êtes-vous souffrante? J’ai cru entendre…

Il s’interrompit brusquement à la vue de sa robe de nuit, souillée, collée à elle et se précipita :

— Mon Dieu, c’est le bébé!

— Brandon, fit-elle, je suis toute mouillée. C‘est arrivé si vite! Je ne savais pas…

Elle le regardait avec de grands yeux comme si le fait d’être mouillée était primordial. Puis elle commença à se déshabiller.

— S’il vous plaît, donnez-moi une autre chemise. Je ne peux pas me coucher ainsi.

Il se jeta sur la commode, arracha les tiroirs, fouilla dedans comme un possédé. Il finit par découvrit les chemises de nuit et revint avec la première venue. Mais Heather la lui refusa :

— Mais, Brandon! Elle est rose. Je vais avoir un garçon et les garçons ne portent, pas de rose. Trouve m’en une bleue s’il vous plaît.

Il resta quelques secondes à la regarder bouche bée avant de retrouver ses esprits.

— Mais je me contrefiche que ce soit une fille ou garçon! S’exclama-t-il. Mets cela et laisse-moi te recoucher.

— Non, s’entêta-t-elle. Je vais avoir un garçon et je ne veux pas porter de chemise rose.

— Mais, lui, il sera tout nu! cria-t-il. Alors?

Elle soutint son regard et, lentement, secoua la tête. Exaspéré, Brandon leva les bras et le vêtement tomba par terre. Il finit, après avoir vidé tout le tiroir, par trouver une chemise bleue qu’il lui rapporta en courant. Elle la prit.

— Voulez-vous vous retourner, s’il vous plaît? Demandât-elle.

— Quoi? fit-il, stupide.

— Voulez-vous vous retourner? répéta-t-elle.

— Mais. Je t’ai vue sans vêtements… Et il s’interrompit et obéit, comprenant qu’il ne servait à rien de discuter avec elle pour le moment.

Heather enfila la chemise de nuit, debout au milieu de la pièce.

— Vas-tu te dépêcher! La pressa-t-il. Tu vas accoucher là, par terre, et notre enfant va naître sur la tête!

— Oh! J’en doute, rit Heather.

— Heather, pour l’amour de Dieu! Veux-tu cesser de bavarder et mettre ta chemise!

— Mais, Brandon. Je ne bavardais pas. Je vous répondais seulement… Vous pouvez vous retourner, ajouta-t-elle en attachant ses rubans.

Il fit volte-face, se baissa pour la prendre dans ses bras.

— Mais, Brandon! protesta-t-elle. II faut que j’éponge le parterre.

— Au diable ton parquet!

Il resta indécis un instant puis, après un coup d’œil au lit, se décida et marcha vers sa porte.

— Où m’emmenez-vous?   Hatti ne me trouvera jamais. Elle va faire toute la maison pour me trouver.

Il la plaça avec précaution au centre du grand lit, dans sa propre chambre :

— Voilà. Est-ce que cela répond à ta question, petit moulin à paroles? C’est là que je veux que naisse mon fils… ou ma fille. »

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Dites-moi donc pourquoi vous me voulez, moi, justement? Dieu du ciel, expliquez-moi donc pourquoi je dois souffrir vos démonstrations d'affection alors que n'importe où, n'importe quand, vous pouvez trouver toutes les filles que vous voudrez! Votre gymnastique dans un lit ne serait-elle pas plus agréable pour vous avec une femme qui apprécierait vos avances plutôt qu'avec moi qui ne supporte votre vue qu'avec dégoût!

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Sa bouche remonta jusqu'à ses lèvres tremblantes, les écarta. Il la serrait contre lui, une main pressée contre son dos, l'autre sur ses hanches. Etouffant un sanglot, Heather s'amollit, tremblant comme une feuille. Quand sa main, glissant le long de sa hanche, remonta doucement entre ses cuisses, les caressant, elle gémit sous ses baisers et se raidit contre sa poitrine. Mais il ne relâcha pas son étreinte. Ses lèvres quittèrent sa bouche pour courir sur son menton, son oreille.

-Ne résiste pas, murmura-t-il. Laisse-toi aller au plaisir.

-Je ne peux pas...

-Mais si, tu le peux.

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- Maintenant, George, allez au placard et entrez dedans. Ne tentez rien, je suis très nerveuse et le pistolet ne demande qu'à partir.

George abandonna l'idée de lui sauter vivement dessus. Effectivement, elle était très nerveuse. Elle avait du mal à tenir l'arme droite et se mordait les lèvres. Elle tirerait sûrement au premier mouvement qu'il ébaucherait vers elle.

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- À présent mes chérubins, commença Brandon d'une voie douce qui s'enfla peu à peu, la rage fusant entre chaque mot je vous le répète : Cette dame est ma femme, Elne porte mon enfant. Elle m'appartient et je la garde !

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Scène pendant l'accouchement d'Heather

« Quand il se servit lui-même un bourbon et en but les deux tiers sans commentaires, Jeff comprit qu’il était réellement ailleurs.

— Brandon, tu es trop vieux pour ce genre de truc ou bien la petite fille, là-haut, compte davantage pour toi que tu ne veux l’admettre. Tu es tellement troublé que tu bois mon bourbon alors que tu ne l’aimes pas.

— Mais pourquoi diable m’en donnes-tu puisque tu sais que je ne peux pas souffrir cette mixture! répondit Brandon en lui lançant le verre.

Un peu surpris, Jeff quêta du regard l’appui de George qui sourit en haussant les épaules. »

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« Un vent froid du nord sifflait sa mélodie mélancolique dans les grands pins, glaçant îes occupants de la voiture qui sautait sur la route poussiéreuse, à la sortie de la ville. Sous la couverture, Heather se pelotonnait contre son mari pendant que Jeff faisait de son mieux pour se réchauffer, seul sur sa banquette. Elle le regardait, amusée, qui drapait un plaid sur ses longues jambes. Recroquevillé dans l’angle de la voiture, à chaque secousse il lui fallait relever le col de son manteau qui se rabaissait. Enfin, elle se rapprocha encore de Brandon, pour lui faire place à côté d’elle.

— On dit que trois font une foule, Jeff, dit-elle en souriant. Voulez-vous venir vous asseoir ici et faire en sorte que cette foule ait chaud?

Il n’hésita pas une seconde, les rejoignit avec sa couverture. Puis regardant la jeune femme serrée contre les deux hommes, il feignit l’indignation :

— Honte à vous, madame! Peu vous importait mon confort. Vous désiriez seulement avoir chaud de ce côté aussi.

Elle leva les yeux vers lui, avec un petit rire. »

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Il resta quelque temps, les mains derrière le dos, les jambes largement écartées, sentant le pont sous ses pieds, à surveiller gréements, mâts, voilures, jusqu'à ce que son bateau bien paré filât vent en poupe. Le soleil, très rouge, bas à l'horizon, donnait un reflet doré aux nuages et mettait des plaques orangées sur la mer. La terre était dans leur dos à présent, noir et or à travers la brume. Le coeur douloureux, Heather regarda l'Angleterre s'effacer devant ses yeux, disparaître de sa vie.

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