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Extrait ajouté par feedesneige 2016-04-10T21:38:45+02:00

Elle sourit et pendant que je traversais la pièce, elle rouvrit son livre et se pencha sur lui. Je m’arrêtai sur le seuil pour la contempler. Je pensais qu’entre Helen et elle, il y avait la même différence qu’entre une perle et un diamant. Helen avait la dureté éclatante et somptueuse du diamant ; cette gosse, la beauté lisse et douce de la perle.

Elle leva la tête, rencontra mon regard et rougit. J’en demeurai stupéfait. Aucune des filles avec lesquelles j’avais traîné ne savait rougir. Je lui souris, me retournai et grimpai l’escalier quatre à quatre.

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Extrait ajouté par feedesneige 2016-04-10T21:37:48+02:00

J’avançai à trente centimètres d’elle, allongeai les bras et posai les mains sur ses épaules. La sienne se leva vers ma joue, mais je m’attendais à cette riposte. Je lui saisis le poignet, l’attirai vers moi en lui tordant le bras derrière le dos et j’écrasai ma bouche contre la sienne. Pendant un long moment, elle demeura toute crispée, sans se débattre, les lèvres froides et dures, puis soudain, elle se laissa aller contre moi, ses bras se glissèrent autour de mon cou et sa bouche s’ouvrit sous la mienne.

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Extrait ajouté par feedesneige 2016-04-10T21:37:00+02:00

Solly essaya de lui donner une tape sur les fesses au passage, mais elle en avait tellement l’habitude qu’elle n’eut aucune peine à l’esquiver en frétillant de la croupe.

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Extrait ajouté par feedesneige 2016-04-10T21:35:56+02:00

CHAPITRE PREMIER

Par une chaude nuit de juin, je traînais devant une de ces fastueuses boîtes de nuit d’Hollywood où vous ne dénichez jamais de table à moins d’être pourri de fric, quand un grand type en smoking se trouva catapulté par la porte tournante comme un boulet de canon.

A son regard fixe et à la rigidité de ses traits, je pouvais voir qu’il était bourré jusqu’aux yeux. C’était un type d’un certain âge, au teint de prune blette, aux cheveux aile de corbeau éclairés d’une mèche blanche, à la moustache guère plus grosse qu’une chenille bien nourrie. Quand son teint n’était pas encore tout enluminé, il n’avait pas dû être mal, mais maintenant, avec cette peau d’un mauve cru, il ne risquait guère de se faire couronner Apollon d’Hollywood.

Il dévala les six marches basses du perron d’une seule enjambée, et fonça droit sur la chaussée de la grande artère où le flot pressé des voitures s’écoulait à vive allure.

J’aurais mieux fait de me mêler de mes oignons et de le laisser courir à la mort. Si je lui avais fichu la paix, je me serais évité pas mal d’ennuis.

Juste au moment où il arrivait au bord du trottoir, toujours sur sa lancée, une grosse Packard, drôlement plus rapide que lui, faillit bien le faucher s’il avait fait encore un pas. Au lieu de ça, j’allongeai la main, l’agrippai par le bras et le tirai brusquement en arrière.

La Packard passa dans un crissement de pneus. Le conducteur, gros homme noiraud avec des rouflaquettes et des yeux de velours, montra bien, à la façon dont il grimaça, en découvrant ses dents et en roulant des yeux exorbités, qu’il s’était vu à deux doigts de l’homicide par imprudence, mais il ne s’arrêta pas.

L’ivrogne s’appuya, contre moi, les jambes molles.

— Ben merde, petit ! dit-il. Il s’en est fallu de peu ! D’où est-ce qu’il sort, cet enflé ?

Je le repoussai et le remis d’aplomb. Je m’apprêtais à repartir, mais je me suis arrêté pile. J’étais impressionné par la coupe de son smoking, sa montre en or, et tout le reste de son harnachement qui puait le fric ; car s’il y a une chose qui me fascine irrésistiblement, en dehors d’une jolie femme, c’est bien l’odeur du fric.

Je me suis donc arrêté et, comme il oscillait vers moi, j’ai tendu la main pour lui faire reprendre son équilibre.

— Tu m’as sauvé la vie, dit-il. Cette bagnole m’aurait pas raté si t’avais pas été si rapide. Ça, c’est une chose que j’oublierai pas.

De tout son poids, ou à peu près, il s’appuyait sur mon bras déployé.

Je lui demandai :

— Vous savez où vous allez ?

— Bien sûr que je le sais. Je rentre chez moi, si je peux trouver ma voiture.

— Vous allez conduire ?

— Mais bien sûr que je vais conduire ! (Il cligna des yeux et sourit.) Bon, je suis un peu poivre, mais qu’est-ce qu’on en a à foutre ?

— Vous ne pouvez pas conduire dans cet état.

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Extrait ajouté par anonyme 2012-11-18T20:41:35+01:00

Imaginez vous que par une chaude nuit de juin, vous trainiez devant une de ces fastueuses boites de nuit d'Hollywood sans jamais pouvoir y entrer à moins d'être pourri de fric, quand vous voyez un grand type en smoking se faire catapulter comme un boulet de canon d'une de ces boites.. il ne tient plus debout îvre mort et se dirige tout droit vers la chaussée de la grande artère ou passent un flot de bagnoles à vive allure.. il continue, continue.. jusqu'au moment ou.. vous l'agrippez par le bras et le tirez brusquement en arriere et lui evitez une mort certaine.. voilà comment s'ouvre ce roman brillant.

Pour le remercier de lui avoir sauvé la vie, Erle Dester producteur de cinéma et alcoolique notoire, propose à Glyn Nash, après s'être enquis de sa situation professionnelle(qui n'est pas au beau fixe)un emploi de chauffeur. Glyn Nash accepte volontiers mais cela sera sans compter l'épouse du richissime producteur qui s'échinera à le faire fuir et de démissionner. Glyn Nash ne tardera pas à comprendre que cette femme "mante religieuse" n'attend que la mort de son mari et les 750.000 dollars de l'assurance vie qui va avec.. après avoir surpris cette épouse diabolique tenter maladroitement de mettre à éxecution l'assassinat de son mari, notre individu sans scrupule proposera son aide contre la moitié du magot de l'assurance.. mais entre temps, Erle dester en dépression chronique et alcoolique mettra fin à ses jours en se tirant une balle dans la tête.. affolés, les amants diaboliques mettront dans l'urgence le corps dans un gigantesque congelateur en vue de preparer un "kidnapping/meurtre" dont sera victime feu Erle Dester.. mais entre temps, il faudra faire croire à leur entourage que Erle est malade, souffrant et reclus dans sa chambre.

Car l'assurance est formel : aucune indemnisation ne sera perçu si l'assuré décede d'un suicide...

Autant vous prévenir de suite, si vous lisez ce pure roman de suspense, vous en garderez le souvenir pendant des années ; l'histoire est sensationnelle et formidablement écrite ! Chase n'est pas qu'un simple romancier mais un véritable écrivain, ce roman de pure angoisse vous fera sentir votre coeur battre plus vite, je signale qu'il est parfaitement impossible de décrocher de cette histoire terrifiante(et quelle histoire !)dès les premieres lignes parcourues.. si vous n'avez jamais lus encore de bouquins de James Hadley Chase prenez celui-çi, ce roman recèle un coup de theatre diabolique.. un véritable choc !!

Ce roman est angoissant ! mais il recele aussi des passages émouvants.. ce personnage alcoolique et déchu professionnelement qu'est Erle Dester, quel portrait !

Chase de la premiere à la derniere page maîtrise son récit comme personne : aucun temps mort, aucun superflu, c'est un récit direct écrit à la premiere personne, vous serez constamment dans la tête de Glyn Nash qui effectivement se prendra un bon "Retour de manivelle"

A lire la nuit de préférence... pour frissonner.

Note maximale pour ce petit bijou !

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