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-ça oui, je compte bien m'en servir; tu peux parier ton joli petit cul là dessus, me laissai-je aller à dire Même si on est en sécurité sur le site, ça n’empêchera pas les raziqs de l'encercler et de nous tomber dessus à la seconde où on le quittera, s'ils nous localisent.
Le faucheur esquissa l'ombre d'un sourire.
- Et depuis quand mon postérieur est-il sujet à des paris ?
-Là tu me taquines.
- Peut être, concéda-t-il. Quand à moi, je serais prêt à parier que c"est la première fois que tu gratifies les fesses d'un faucheur d'un tel compliment. Dois-je le prendre comme un honneur?
il me fixait de nouveau de ce regard intense, celui qui me faisait immanquablement rougir. une réaction que je ne comprenais vraiment pas.
- Peut être.
- Alors je vais devoir travailler mes fessiers, car je préfèrerais un oui ferme à un peut-être aussi peu convaincant.
Et il s'éclipsa. Est ce que, à sa manière un peu étrange, Azriel venait de flirter avec moi ?
- Non, Risa, murmurai-je. Tu te fais des idées.
Afficher en entier- Alors, dis-moi,comment comptais-tu me protéger une fois les clés en ma possession, exactement ? voulus-je savoir.
- De toutes mes forces, au péril de ma vie, s'il le faut.
- Et ça me fera une belle jambe, crachai-je. Si tu meurs, je vais me retrouver toute seule dans ce merdier.
Il haussa les sourcils et me répliqua d'un ton tranchant :
- Il te restera l'Aedh.
- Il n'est pas toi. Il ne pourrait jamais être toi.
Les mots étaient sortis, sans que j'aille le temps de réfléchir, et ils semblèrent flotter entre lui et moi.
Et soudain je compris. Le Faucheur avait le don de me mettre les nerfs en pelote, et je désirais plus que tout en finir avec cette histoire, reprendre le cours de ma vie..., mais quand ce jour finirait par arriver il allait me manquer. Je tenais à Azriel. Il me plaisait, plus qu'il n'aurait dû, plus qu'il n'aurait été raisonnable.
Afficher en entierJe la replaçai dans son fourreau.je ne sentis son poids, entre mes épaules, que l'espace d'un instant.
- Tu es sûr que personne d'autre ne pourra la voir ? Ou la sentir? Le dernier truc dont j'ai besoin, c'est de me faire coffrer pour port d'arme prohibée.
Des pas claquèrent dans l'escalier. Tao et Ilianna étaient de retour.
- Personne ne la verra, à l'exception de ceux dont Amaya s'apprêtera à prendre la vie , répondit Azriel.
- Waouh! s'exclama Ilianna, les yeux écarquillés, en entrant dans la pièce. D'où sort cette épée?
Afficher en entierje voulais plus qu'en tourbillon d’énergie agréable. je voulait quelqu'un qui me prennent dans ses bras, me soutiendrait, m'embrasserait tendrement quand j'en aurai besoin, ou me remettrait en place quand je déconnais.
je voulais quelqu'un qui m'aimerait pour moi,avec tous mes défaut,
Afficher en entierNouvel extrait
-Il faudrait peut etre que tu vienne avec moi dis je a Azriel. Ca mempechera de piquer du nez sur mn volant
-pourquoi ne me laisse tu pas te transporter jusqu'a chez toi? Nous recupererons la voiture plus tard
Parce que je ne veux pas etre si proche de toi. C'etait bien trop perturbant.a Je soupirai, otai les cles du contact. Je me comportais comme une idiote .
En me retournant vers lui,j'apercu une sr sn visage. Un soupcon d'agacemn avant qu'il retrouve sn impassibilite coutumiere. Il devrnais urgent que j'apprenne a controler mes pensees
-fort bien preux chevalier. Emporte moi sr tn beau cheva blanc .
Il s'approcha e quelque longue enjambée gracieuse
-je ne suis pas preux. J'accompli ma mission, rien de plus. Et je ne possede ps de cheval blanc . Ce que tu dis n'a aucun sens.
Je ne mordis pas a l'hamecon: il me cherchais ,c'etais evident a son petit sourire. Il me pris dans ses bras,et je m'efforcais d'ignorer cette intimite , de ne pas trop m'attarder sr la maniere parfaite dont mm corp se calait contre le sien, ou sr le parfum irresistible et puissant qui emanait de sa peau
Afficher en entier" - [...] Tu t'es fait une ennemie puissante, jeune Risa. Si j'étais toi, je me méfierai.
- Vous voulez que je vous dise ? Qu'elle prenne un numéro et fasse la queue comme les autres... "
Afficher en entierEt soudain cela arriva.
Les limbes frémirent. Glissèrent. Penchèrent. Comme une bâtisse dont on aurait abattu un pilier. L'ombre supplanta un instant la luminosité, puis tout fut restauré. Sauf la tranquillité, qui avait été
remplacée par une sensation de malaise.
Et, à leur tour, les limbes se dérobèrent, et je me trouvai dans ma suite du Langham. Je m' éloignai d'Azriel. Mon cœur battait la chamade.
- Putain, qu'est-ce qui s'est passé ?
- Tu viens d'avoir la réponse à l'une de tes questions, murmura-t-il sombrement.
Non, songeai-je. Non . Soudain, ma lèvres étaient desséché
- Et de quelle question tu parles, exactement?
- Tu te souviens que tu t'es demandé ce que notre voleur prévoyait de faire avec sa clé?
Afficher en entier" - Comment ça va, entre Candy et toi ?
- Malheureusement, elle est partie voir ailleurs si l'herbe était plus verte.
- Tu as presque l'air triste, m'étonnai-je.
- Je le suis. D'habitude, c'est moi qui les largue, pas le contraire... "
Afficher en entierCHAPITRE PREMIER
L'odeur de la mort rôdait encore dans la maison. Deux mois s'étaient écoulés depuis le meurtre de ma mère. Pourtant, les échos de son dernier souffle planaient toujours dans l'air, et je savais qu'en respirant à pleins poumons je décèlerais les relents discrets du sang versé des semaines plus tôt.
Il ne demeurait aucune trace visuelle de son agonie, c'était déjà ça. L'équipe de nettoyeurs envoyée par le Directoire avait été très efficace, et il ne restait rien témoignant de ses souffrances.
Je sentis la bile monter dans ma gorge, et fermai brièvement les yeux. Je l'avais vue, avais vu ce qu'on lui avait fait subir, et, chaque nuit, ces images hantaient mes cauchemars. Et c'était notamment à cause de ces rêves incessants que j'avais finalement réussi à franchir la porte de la maison, après tout ce temps.
Le temps du souvenir était passé, de même que celui des larmes. Désormais, je n'avais plus qu'un seul désir : la vengeance. Or, ce n'était pas en laissant à d'autres le soin de retrouver l'assassin que j'allais l'obtenir. Non, je devais participer à la traque. J'avais besoin d'agir, ne serait-ce que pour atténuer la puissance de ces songes féroces, alimentés par une certitude coupable : j'aurais dû être là pour protéger ma mère. Si j'avais été présente, peut-être aurais-je pu éviter sa mort.
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