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Les morts sont inoffensifs; le mal est l'apanage des vivants.

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– Toute notre vie, nous sommes tentées par une chose ou une autre, reprit l’abbesse. Les tentations changent, bien entendu. D’abord, vous rêvez d’un jeune homme séduisant. Plus tard, de douceurs et de friandises. Et, lorsque vous êtes vieille et usée, de la simple possibilité de rabioter une heure de sommeil, le matin. Tant de petits bonheurs minuscules auxquels nous sommes aussi vulnérables que n’importe qui, même si nous n’avons pas le droit de l’admettre. Nos voeux nous mettent à part. Porter le voile peut-être une joie, docteur Isles, mais la perfection est une croix trop lourde à porter pour qui que ce soit.

– Surtout pour une jeune femme.

– Oh, vous savez, ça ne s’arrange pas avec l’âge

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Aimer, c’est parfois prendre des risques. C’est une question de confiance. De croire en quelque chose qu’on ne peut ni voir ni toucher. Il faut juste faire le saut.

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– Je ne comprends pas, murmura-t-elle. Pourquoi êtes-vous là ?

– Chut. On va d’abord vous mettre à l’abri de ce vent glacé…

Il se glissa à côté d’elle Alors que le chauffage lui soufflait de l’air chaud sur les genoux et le visage, elle resserra le manteau autour d’elle, essayant de se réchauffer, ses dents claquant si fort qu’elle ne pouvait pas parler

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– Et si cet enfant était le mien ?

Il soutint son regard sans ciller. Ce fut elle qui eut envie de se détourner, pour ne plus voir ses prunelles d’un bleu intense.

– C’est bien la question que vous vous posez ? poursuivit-il.

– Vous comprenez pourquoi, non ?

– Oui. Comme vous venez de le dire il y a un instant, les lois infrangibles de la biologie exigent un ovule et du sperme.

– Vous êtes le seul homme à avoir un accès régulier à l’abbaye. Vous dites la messe. Vous entendez les confessions…

– Oui.

– Vous connaissez leurs secrets les plus intimes.

– Seulement ceux quelles décident de me confier.

– Vous incarnez l’autorité.

– Il y en a qui voient les prêtres de cette façon.

– Pour une jeune novice, c’est sûrement ce que vous devez représenter

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- J'irai pas aux urgences!

Maura essuya la dernière goutte de sang et grimaça à la vue de l'estafilade longue de quelques centimètres sur le front de Rizzoli.

- Je ne suis pas chirurgien esthétique. Si je te fais des points, je ne peux pas te garantir qu'il n'y aura pas de cicatrice.

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– Il l’a d’abord frappée sur le côté de la tête, dit-elle.

– Comment pouvez-vous dire qu’il s’agit du premier coup ?

– Parce que la propagation de la fracture du second coup est interceptée par la première ligne de fracture, répondit-elle en désignant les lignes entrelacées sur la radio. Vous voyez comment cette ligne s’arrête ici, pile à l’endroit où elle atteint la première fracture ? Quelle que soit la force de l’impact, elle ne peut franchir la faille. Le coup sur la tempe a donc été porté en premier. Peut-être qu’elle lui tournait le dos. Ou qu’elle ne l’a pas vu alors qu’il venait sur le côté…

– Il l’a attaquée par surprise, conclut Sutcliffe.

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- Je ne pense pas que ce soit un animal, bégaya Maura.

Après un silence, Rizzoli souffla :

- Moi non plus.

- Fichons le camp d'ici. S'il te plaît...

- D'a... d'accord.

Maura aurait juré avoir entendu un trémolo de crainte dans sa voix.

- Ouais, d'accord. Repli en bon ordre. Interdiction de courir, hein ?

Elles restèrent collées l'une à l'autre tandis qu'elles rebroussaient chemin. L'air se fit plus froid, plus humide ; ou bien c'était la peur qui glaçait la peau de Maura. Lorsqu'elle aperçut l'ouverture par laquelle elles étaient entrées, elle dut prendre sur elle-même pour ne pas se propulser au-dehors.

Dans la galerie de la chapelle, les premières bouffées d'air froid dissipèrent sa peur. Là, dans la lumière, elle reprit son empire sur elle-même. Et retrouva son bon vieil esprit cartésien. Qu'avait-elle vu, vraiment, dans le noir ? Un alignement de poupées, rien de plus. De la peau de plastique, des yeux de verre et des perruques de Nylon ...

- Ça n'était pas un animal, lâcha Rizzoli.

Elle était accroupie et regardait le sol de la galerie.

- Comment ça ? fit Maura.

- Il y a une empreinte de pied, ici, fit-elle en désignant du doigt une trace poussiéreuse sur le parquet.

L'empreinte d'un chaussure de sport.

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– Non, mais il ne devait pas être tellement difficile de s’introduire dans le cloître. Il y a du lierre qui pousse sur tous les murs – n’importe qui aurait pu passer par-dessus sans trop de mal. Et puis il y a une porte, derrière, qui donne sur un champ où elles font pousser leurs légumes. Le meurtrier a pu entrer par là aussi

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Maura mit des gants et s’accroupit pour examiner les dégâts. L’instrument mortel avait provoqué des lacérations linéaires, déchiquetées, sur le cuir chevelu. Des fragments d’os transperçaient la peau arrachée, et une masse de matière grise avait suinté au-dehors. La peau du visage était presque intacte, mais boursouflée et d’un violet foncé

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