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Je comprends pourquoi vous aimez tant la guerre, vous, les hommes. C'est votre tour de passe-passe pour confisquer le monde.

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Des étrangers dans mes murs. Pas même des Bituriges, ni des parents sénons de mon épouse. De parfaits étrangers : des Éduens et quelques Séquanes, d’après les couleurs des tartans.

Depuis la rive opposée de l’Ouidia, sous le couvert des bosquets qui ombragent le coteau, j’épie ma propre demeure.

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En froissant les herbes de la rive, je murmure quelques mots à l’adresse de la rivière :

« Ouidia, petite déesse, je rentre chez moi. Souviens-toi : du jour où j’ai bâti ma maison, nous avons toujours vécu en bonne amitié. J’ai entretenu tes berges et tu as abreuvé mes bêtes ; je t’ai confié la toison de mes moutons et tu as arrosé mes prés ; je t’ai présenté mes filles nouvelles-nées et tu as toujours traité les miens avec bienveillance. Spoiler(cliquez pour révéler)Cette nuit, je reviens en guerre, mais je n’ai nul grief contre toi. J’entends chasser les étrangers qui, en profanant mon foyer, ont rompu l’harmonie dans ta vallée. Je t’en conjure, petite déesse, ne prends pas ombrage du sang qui va être versé, mais accepte-le en oblation. »

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