Extraits

Il tue les gens sans broncher...et il est tellement sexy qu'en plus, on tend l'autre joue.

Le poisson s'était mué en piranha.

L’infâme Warwick Farkas, le redoutable Warwick Farkas, l’homme qui tuait sans regret ni remords, semblait avoir une conscience, finalement. Du moins en ce qui me concernait.

Son amour n’avait été qu’un prêt.

Et il était temps pour moi de rembourser mes dettes.

La justice et le bien n’existait pas dans l’enceinte de Terrorhàz.

"Et cette promesse, je ne la romprais pas.

J'allais devenir ce que Terroház avait fait de moi.

Un monstre."

Offre-leur la gloire en mourant ou en tuant.

Sois vicieuse. Cruelle. Impitoyable. Ne recule devant rien.

- Je suis comblé, Kovacs, gronda t'il, sa voix grave glissant sur ma peau et se coulant entre mes jambes. Tu es enfin prête à lâcher ton petit poney magique et à venir jouer avec quelqu'un capable de te tenir tête ?

Son énergie pulsait en moi. Mon ventre était en feu, une chaleur torride irradiait dans tous mes membres.

- Tu as une très haute opinion de toi même, Warwick, murmurait-je, mes lèvres frôlant son oreille.

Ses yeux s'assombrirent. L'énergie gonflait notre poitrine.

- Comme la plupart des hommes, pousuivis-je, tu es sûrement tout en gueule et très peu dans l'action.

- Vien vérifier par toi même. Mais, contrairement à ton petit copain, je ne serai pas tendre avec toi. ( Son œil me fixa avec intensité). Et après ce que j'ai vu... ce qu'il te faut, c'est la manière forte. Tu en crève d'envie.

— Mais écoute le conseil d’une femme qui a roulé sa bosse. Rares sont les gens qui trouvent une personne qui les stimule, qui leur donne l’impression d’être vivants, une personne qui sait aimer et se battre avec la même passion.

— Qu’est-ce qui te dit que ce n’est pas comme ça avec Caden ? lui demandai-je, les bras croisés en une attitude de défi.

— Parce que je t’ai vue avec Warwick.