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Extrait ajouté par Chrystelle-21 2023-11-06T19:41:23+01:00

Je n'ai pas envie de m'embarquer dans une nouvelle histoire avec toi, déclara-t-elle franchement. Tu m'as déjà brisé le cœur une fois. Ca suffit.

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Extrait ajouté par MelanieMichel 2020-12-16T17:21:09+01:00

Nous sommes tous à la recherche de l'être unique qui est fait pour nous.

Mais lorsque l'on a eu un certain nombre de liaisons, on commence à se douter que la personne idéale n'existe pas, mais qu'il existe plutôt de multiples variétés d'imperfection.

Pourquoi? Parce que nous-mêmes ne sommes pas parfaits et que nous recherchons celui ou celle qui nous sera complémentaire dans l'imperfection.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-04-29T22:59:57+02:00

Il aurait voulu lui dire qu’il aimait son parfum, mais craignit qu’elle ne le trouve idiot. Elle ne semblait pas du genre à mêler plaisir et travail, et, en temps normal, lui non plus. Mais il y avait chez elle quelque chose de troublant, de fascinant. En tout cas, lui se sentait fasciné. Sans le vouloir, elle l’attirait comme un aimant, et, assis en face d’elle, les yeux plongés dans ses grands yeux verts qui le regardaient avec sérieux, il avait toutes les peines du monde à se concentrer sur le travail. De son côté, Fiona ne se doutait en rien des pensées qui troublaient son interlocuteur. Elle n’avait jamais fait attention à l’effet qu’elle produisait sur les hommes, trop occupée qu’elle était à réfléchir et à leur parler de toutes sortes de sujets. John, lui, était sous le charme.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-04-29T22:59:50+02:00

La sandwicherie dont il lui avait parlé n’était pas loin, mais par plus de quarante-cinq degrés, il faisait bien trop chaud pour marcher. John Anderson portait un costume beige, une chemise bleue et une de ses tristes cravates sombres. Son allure professionnelle tranchait avec le look estival de Fiona, dont les cheveux étaient relevés en un chignon piqué de deux baguettes en ivoire. Il se demanda soudain ce qui se passerait s’il les lui retirait, et tandis qu’il tentait de se concentrer sur ce que Fiona lui disait, il imaginait avec plaisir sa chevelure rousse se répandre en cascade sur ses épaules.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-04-29T22:59:42+02:00

Sa voix était plus grave que dans son souvenir, et elle s’aperçut en l’écoutant qu’elle la trouvait sexy. Ce n’était pas le terme qu’elle aurait employé pour le décrire, mais sa voix avait au téléphone un timbre très masculin. D’autre part, il avait les réponses à certaines de ses questions, et cela lui plut. Elle aimait travailler avec des gens efficaces, et il avait fait le nécessaire pour répondre à son attente. Elle prit des notes, et il lui précisa qu’il lui faxerait plus d’informations dans la journée. Elle le remercia et s’apprêtait à raccrocher, quand il changea radicalement de ton. Elle eut l’impression de le voir sourire, tandis que, d’homme d’affaires, sa voix passait à celle d’un ami.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-04-29T22:59:37+02:00

À 19 heures, elle était prête, vêtue d’un merveilleux sari vert et, une heure plus tard, plus d’une vingtaine de convives discutaient avec animation dans le salon. Parmi eux se trouvaient le groupe habituel de jeunes photographes, des écrivains de son âge, un artiste célèbre et sa femme, une ancienne rédactrice en chef de Vogue qui avait été son mentor, un sénateur, des banquiers et autres hommes d’affaires, et plusieurs mannequins célèbres – bref, c’était une soirée chez Fiona. Tout le monde était content. Jamal circulait avec des coupes de champagne et des canapés préparés par les traiteurs, et quand arriva l’heure de passer à table, tous conversaient comme de vieux amis. Avant même d’avoir commencé, la soirée était un succès. Fiona adorait recevoir ainsi et si ses dîners semblaient toujours informels, ils étaient en fait bien plus recherchés qu’elle ne voulait le reconnaître, même s’ils étaient préparés à la dernière minute. C’était une perfectionniste, qui faisait preuve en même temps d’un grand éclectisme dans ses relations, lesquelles venaient des domaines artistiques les plus divers. En outre, ses invités étaient bien souvent extraordinairement beaux. Mais la plus fascinante, la plus branchée, la plus saisissante était Fiona. Elle possédait une grâce, un style, un piquant uniques, attirant les gens exceptionnels comme un aimant.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-04-29T22:59:24+02:00

Cet après-midi-là, elle quitta le bureau assez tard, pressée comme d’habitude. Elle héla un taxi sur Park Avenue pour rentrer chez elle. Il était plus de 18 heures lorsqu’elle arriva, liquéfiée par la chaleur du taxi. À l’inverse, il faisait presque froid chez elle, elle aimait cela, autant pour son propre confort que pour celui de son vieux bouledogue anglais. Sir Winston, en référence à Winston Churchill, avait quatorze ans, ce qui était exceptionnel pour cette race, et était aimé de tous. Fiona avait à peine passé la porte d’entrée qu’elle perçut du bruit venant de la cuisine, tandis que Sir Winston l’accueillait avec enthousiasme. Elle attendait des invités pour 19 h 30 et se précipita dans la cuisine pour vérifier l’avancée des préparatifs. Elle fut ravie de voir que les traiteurs s’affairaient autour du repas indien qu’elle avait commandé.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-04-29T22:59:17+02:00

Fiona non plus ne ressemblait pas à ce que John Anderson avait imaginé. Elle était plus sexy, plus jeune, plus attirante et plus décontractée qu’il le croyait. Il s’attendait à ce qu’elle soit plus vieille et plus rigide. Elle avait la réputation d’être redoutable ; non pas qu’elle fût acariâtre, mais elle était implacable en affaires. Il ne fallait pas la sous-estimer. À sa grande surprise cependant, en la voyant lui sourire par-dessus son verre de citronnade glacée, il lui trouva presque un air enfantin. Toutefois, en dépit de son apparence amicale, Fiona aborda rapidement le motif de leur rencontre et lui exposa clairement et dans les grandes lignes ce qu’elle attendait de lui. Ils voulaient des campagnes publicitaires efficaces, ni trop tendance ni trop extravagantes. Chic était le magazine le plus reconnu et le plus sérieux du marché et elle attendait que leurs campagnes le reflètent, refusant toute excentricité. John fut soulagé de l’entendre. Chic était un gros client, et il avait hâte de se mettre au travail, bien plus qu’avant leur rencontre. En fait, tandis qu’il buvait son deuxième verre de citronnade et que l’air conditionné se remettait enfin en marche, il constata qu’il appréciait Fiona. Il aimait son style et la simplicité avec laquelle elle exposait les besoins et les problèmes du magazine. Elle avait des idées claires et précises sur la publicité, tout comme sur son travail. Lorsqu’il se leva pour partir, il regretta presque que leur entrevue soit terminée, car il avait aimé parler avec elle. Elle était dure mais franche, féminine et forte en même temps. Il comprenait qu’on la craigne et qu’on l’admire.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-04-29T22:58:56+02:00

Le bureau de Fiona était décoré d’un mélange éclectique de tableaux de jeunes artistes prometteurs, de deux photographies signées Richard Ave-don que le magazine lui avait offertes et de maquettes des numéros à paraître posées contre les murs. Le canapé disparaissait sous une montagne de bijoux, d’accessoires, de vêtements et d’échantillons de tissu que Fiona posa sans cérémonie par terre, tandis que son assistante apportait des rafraîchissements et des biscuits. Fiona invita John Anderson à s’asseoir et lui tendit, quelques secondes plus tard, un verre de citronnade glacée, avant de s’asseoir en face de lui.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-04-29T22:58:48+02:00

Avant qu’il n’arrive, elle rappela la demi-douzaine de personnes qui lui avaient laissé des messages, et Adrian Wicks, son rédacteur adjoint, passa cinq minutes pour discuter avec elle des défilés haute couture de Paris. Adrian était un bel homme noir, grand et mince, distingué et un peu efféminé. Il était aussi talentueux qu’elle, et c’était ce qu’elle aimait chez lui. Après avoir étudié à Yale et obtenu une maîtrise de journalisme à l’université Columbia, il avait travaillé comme styliste pendant quelques années, avant d’entrer à Chic. Depuis cinq ans, il était son bras droit et ils se complétaient parfaitement. Adrian était aussi passionné qu’elle par la mode et s’investissait autant qu’elle dans son métier et dans le magazine. En plus, il était son meilleur ami. Elle lui avait proposé d’assister à sa rencontre avec John Anderson, mais il avait un autre rendez-vous avec un styliste à 15 heures. Et juste au moment où il sortit du bureau, la secrétaire avertit Fiona que John Anderson venait d’arriver.

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