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Si le personnage du comte Dracula parle à tout le monde, peut-être est-ce moins le cas de Vlad III Basarab, dit "l'Empaleur". Pourtant, le vampire de Bram Stoker s'inspire directement de ce prince de Valachie aux méthodes sanguinaires, qui régna durant le XVe siècle. Bien qu'il soit resté célèbre pour avoir souvent eu recours à la torture dite du "pal", on méconnaît cependant sa véritable personnalité.
Ce portrait se veut aussi véridique que possible : basé sur des sources historiques, cautionné par l'historien et chercheur au CNRS Matei Cazacu, il propose une vision instructive et humoristique de ce "fils du Dragon" si décrié.
Si le personnage du comte Dracula parle à tout le monde, peut-être est-ce moins le cas de Vlad III Basarab, dit "l'Empaleur". Pourtant, le vampire de Bram Stoker s'inspire directement de ce prince de Valachie aux méthodes sanguinaires, qui régna durant le XVe siècle. Bien qu'il soit resté célèbre pour avoir souvent eu recours à la torture dite du "pal", on méconnaît cependant sa véritable personnalité.
Ce portrait se veut aussi véridique que possible : basé sur des sources historiques, cautionné par l'historien et chercheur au CNRS Matei Cazacu, il propose une vision instructive et humoristique de ce "fils du Dragon" si décrié.
Né Caius Julius Caesar Germanicus, Caligula (12-41) est le troisième empereur romain. Celui que l'on surnomma "l'empereur fou", inventeur de la fameuse devise "Qu'ils me haïssent, pourvu qu'ils me craignent !", eut un règne bref et chaotique, achevé dans le sang malgré des débuts prometteurs. Il reste dans l'Histoire comme l'un des symboles de la déraison et du pouvoir criminel. Mais Caligula était-il aussi fou et méchant que cela ?
Né Caius Julius Caesar Germanicus, Caligula (12-41) est le troisième empereur romain. Celui que l'on surnomma "l'empereur fou", inventeur de la fameuse devise "Qu'ils me haïssent, pourvu qu'ils me craignent !", eut un règne bref et chaotique, achevé dans le sang malgré des débuts prometteurs. Il reste dans l'Histoire comme l'un des symboles de la déraison et du pouvoir criminel. Mais Caligula était-il aussi fou et méchant que cela ?
Si la Seconde Guerre mondiale et la Shoah sont bien le point d'orgue du règne d'horreur d'Hitler, l'histoire a commencé bien avant cela. Pour comprendre comment et pourquoi l'indicible a pu se produire, il faut remonter un peu avant la naissance d'Hitler lui-même, au moment où son père adopte ce patronyme. Toute l'enfance d'Adolf Hitler, ses choix, ses échecs vont former un homme complexe et vont le mener à son "combat", comme il le raconte lui-même. Convaincu comme beaucoup d'hommes de son temps de la culpabilité des Juifs après la Première Guerre mondiale, il va développer un antisémitisme violent. Recruté par un parti politique en 1919, celui-ci va servir de terreau pour ses aspirations. Il se découvre alors un talent d'orateur qui va lui permettre d'électriser les foules et, malgré les approximations qu'il raconte, de les rallier à son parti. Il en prendra le contrôle quelques mois après... la machine est alors lancée. Les deux auteurs reviennent sur ce parcours surréaliste et sur cet enchaînement de circonstances atroces qui ont permis à Hitler d'accéder au pouvoir. Au fil des pages, des histoires plus petites se dessinent en creux, comme celle de Kurt Gerstein, officier nazi qui aura tout fait pour prévenir les forces libres des camps d'extermination, ou celle de von Gersdorff, qui a fait partie de la résistance au sein même du parti nazi.
Si la Seconde Guerre mondiale et la Shoah sont bien le point d'orgue du règne d'horreur d'Hitler, l'histoire a commencé bien avant cela. Pour comprendre comment et pourquoi l'indicible a pu se produire, il faut remonter un peu avant la naissance d'Hitler lui-même, au moment où son père adopte ce patronyme. Toute l'enfance d'Adolf Hitler, ses choix, ses échecs vont former un homme complexe et vont le mener à son "combat", comme il le raconte lui-même. Convaincu comme beaucoup d'hommes de son temps de la culpabilité des Juifs après la Première Guerre mondiale, il va développer un antisémitisme violent. Recruté par un parti politique en 1919, celui-ci va servir de terreau pour ses aspirations. Il se découvre alors un talent d'orateur qui va lui permettre d'électriser les foules et, malgré les approximations qu'il raconte, de les rallier à son parti. Il en prendra le contrôle quelques mois après... la machine est alors lancée. Les deux auteurs reviennent sur ce parcours surréaliste et sur cet enchaînement de circonstances atroces qui ont permis à Hitler d'accéder au pouvoir. Au fil des pages, des histoires plus petites se dessinent en creux, comme celle de Kurt Gerstein, officier nazi qui aura tout fait pour prévenir les forces libres des camps d'extermination, ou celle de von Gersdorff, qui a fait partie de la résistance au sein même du parti nazi.
L'empire des Huns, dans les années 390, s'étend du Danube jusqu'au Caucase. Territoire immense composé de multiples tribus, il n'est pas constitué à proprement parler d'un seul peuple. Il s'agit plutôt de nombreuses tribus qui reconnaissent plus ou moins la suzeraineté des Huns et l'autorité du roi Ruga, oncle d'Attila. Ce sont surtout les Romains qui traitent avec Ruga, en lui versant un tribut d'or, ce qui leur permet d'utiliser les Huns en tant que mercenaires sur les frontières de leur vaste empire. Quand, en 434, Ruga décède, Attila prend le pouvoir avec son frère Bleda. Mais ce dernier mourra dans des circonstances étranges et Attila deviendra alors le seul et unique roi des Huns en 444. Fin stratège politique, Attila va se battre à la fois contre l'Empire romain d'Occident et l'Empire romain d'Orient. Il ne parviendra jamais à contrôler Rome ou Constantinople mais leur fera payer des rançons et des tributs considérables. Il soudera surtout toutes les tribus : Huns, Ostrogoths, Alains, etc., en punissant sévèrement les traîtres tentés de servir l'ennemi. Il mourra en 453, laissant un empire immense que ses héritiers ne sauront pas garder uni.
L'empire des Huns, dans les années 390, s'étend du Danube jusqu'au Caucase. Territoire immense composé de multiples tribus, il n'est pas constitué à proprement parler d'un seul peuple. Il s'agit plutôt de nombreuses tribus qui reconnaissent plus ou moins la suzeraineté des Huns et l'autorité du roi Ruga, oncle d'Attila. Ce sont surtout les Romains qui traitent avec Ruga, en lui versant un tribut d'or, ce qui leur permet d'utiliser les Huns en tant que mercenaires sur les frontières de leur vaste empire. Quand, en 434, Ruga décède, Attila prend le pouvoir avec son frère Bleda. Mais ce dernier mourra dans des circonstances étranges et Attila deviendra alors le seul et unique roi des Huns en 444. Fin stratège politique, Attila va se battre à la fois contre l'Empire romain d'Occident et l'Empire romain d'Orient. Il ne parviendra jamais à contrôler Rome ou Constantinople mais leur fera payer des rançons et des tributs considérables. Il soudera surtout toutes les tribus : Huns, Ostrogoths, Alains, etc., en punissant sévèrement les traîtres tentés de servir l'ennemi. Il mourra en 453, laissant un empire immense que ses héritiers ne sauront pas garder uni.
En 1474, Isabelle de Castille devient enfin reine, après bien des péripéties. Elle a épousé quelques années auparavant Ferdinand, héritier de la couronne d'Aragon dont il héritera en 1479. À eux deux, ils réunifient ainsi l'Espagne et deviennent "les rois catholiques". À eux deux seulement ? Non. Dans leur ombre agit un moine bénédictin particulièrement austère et dévot : Tomas de Torquemada. Issu d'une famille de juifs convertis quelques générations auparavant, il est convaincu que les royaumes de Castille et d'Aragon doivent être sauvés
En 1474, Isabelle de Castille devient enfin reine, après bien des péripéties. Elle a épousé quelques années auparavant Ferdinand, héritier de la couronne d'Aragon dont il héritera en 1479. À eux deux, ils réunifient ainsi l'Espagne et deviennent "les rois catholiques". À eux deux seulement ? Non. Dans leur ombre agit un moine bénédictin particulièrement austère et dévot : Tomas de Torquemada. Issu d'une famille de juifs convertis quelques générations auparavant, il est convaincu que les royaumes de Castille et d'Aragon doivent être sauvés