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Le Codex Atlanticus - La série

  • Nombre de tomes :
  • 16
  • Nombre de lecteurs :
  • 1
  • Classement en biblio :

La liste des tomes


1 - (non mentionné), En guise d'introduction, pages 5 à 5, Éditorial 2 - Christian HIBON, L'Amour de la musique, pages 7 à 10 3 - Lucile NÉGEL, Essylt, pages 11 à 11, Poésie 4 - Lucile NÉGEL, Poème d'Yseult, pages 12 à 12, Poésie 5 - Lucile NÉGEL, Sans titre, pages 13 à 13, Poésie 6 - Philippe GINDRE, La Lumière de la Lune, pages 15 à 15 7 - Christian HIBON, Le Batelier de la mort, pages 17 à 22 8 - H. P. LOVECRAFT, Mars est-il un monde habité ? (Is Mars an Inhabited World ?), pages 23 à 26, Article, trad. Philippe GINDRE 9 - Philippe GINDRE, L'À venir, pages 27 à 28 10 - Edward Morgan FORSTER, L'Omnibus céleste (The Celestial Omnibus), pages 29 à 43, trad. Charles MAURON
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Description
1 - (non mentionné), En guise d'introduction, pages 5 à 5, Éditorial 2 - Christian HIBON, L'Amour de la musique, pages 7 à 10 3 - Lucile NÉGEL, Essylt, pages 11 à 11, Poésie 4 - Lucile NÉGEL, Poème d'Yseult, pages 12 à 12, Poésie 5 - Lucile NÉGEL, Sans titre, pages 13 à 13, Poésie 6 - Philippe GINDRE, La Lumière de la Lune, pages 15 à 15 7 - Christian HIBON, Le Batelier de la mort, pages 17 à 22 8 - H. P. LOVECRAFT, Mars est-il un monde habité ? (Is Mars an Inhabited World ?), pages 23 à 26, Article, trad. Philippe GINDRE 9 - Philippe GINDRE, L'À venir, pages 27 à 28 10 - Edward Morgan FORSTER, L'Omnibus céleste (The Celestial Omnibus), pages 29 à 43, trad. Charles MAURON
Le Codex Atlanticus se propose de réunir des textes où l'étrangeté et l'inexploré vont de pair. 1 - John COOLTER, En quête, pages 5 à 5, Éditorial 2 - Christian HIBON, Hôtel des voyageurs, pages 7 à 12 3 - ANONYME, La Jambe merveilleuse, pages 13 à 19 4 - Lucile NÉGEL, Algues, pages 21 à 22 5 - Philippe GINDRE & Christian HIBON, La Bibliothèque du monde, pages 23 à 35, illustré par Philippe DOUGNIER 6 - Laurent MOUTON, L'Autre, nous, pages 37 à 38 7 - Philippe GINDRE, Un mal nécessaire, pages 40 à 43, Article 8 - Claude FARRÈRE, Fumée d'opium, pages 45 à 61, Extrait de roman, illustré par Philippe DOUGNIER
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Le Codex Atlanticus se propose de réunir des textes où l'étrangeté et l'inexploré vont de pair. 1 - John COOLTER, En quête, pages 5 à 5, Éditorial 2 - Christian HIBON, Hôtel des voyageurs, pages 7 à 12 3 - ANONYME, La Jambe merveilleuse, pages 13 à 19 4 - Lucile NÉGEL, Algues, pages 21 à 22 5 - Philippe GINDRE & Christian HIBON, La Bibliothèque du monde, pages 23 à 35, illustré par Philippe DOUGNIER 6 - Laurent MOUTON, L'Autre, nous, pages 37 à 38 7 - Philippe GINDRE, Un mal nécessaire, pages 40 à 43, Article 8 - Claude FARRÈRE, Fumée d'opium, pages 45 à 61, Extrait de roman, illustré par Philippe DOUGNIER
1 - Gabriel de LAUTREC, Le Talisman, pages 7 à 10 2 - Alain LEGRAND, Le Noir dans la promenade, pages 12 à 14 3 - Alain ROUSSEL, Joyeux Noël, Monsieur Chronoclaste !, pages 16 à 18 4 - Alain LEGRAND, L'Échapée solitaire, pages 21 à 24 5 - Philippe GINDRE, Sans légende, pages 25 à 25 6 - Christian HIBON, La Quarante-deuxième promenade, pages 26 à 28 7 - William WIBSBY, La Gravure, pages 31 à 37, trad. Philippe LABORDE-CASTEX 8 - Clark Ashton SMITH, La Fleur-Diable (The Flower-Devil), pages 38 à 40, trad. Eric DEJAEGER 9 - Christian HIBON, Pierre de vide, pages 41 à 51 10 - Christian HIBON, Châteaux insaisissables, pages 54 à 56 11 - Henri BLAZE, La Vision du Père Zacharias, pages 58 à 68 12 - H. P. LOVECRAFT, L'Inconnu (The Unknown), pages 71 à 71, Poésie 13 - Francis GIRAUDET, L'Ivre des ténèbres, pages 73 à 73, Poésie
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1 - Gabriel de LAUTREC, Le Talisman, pages 7 à 10 2 - Alain LEGRAND, Le Noir dans la promenade, pages 12 à 14 3 - Alain ROUSSEL, Joyeux Noël, Monsieur Chronoclaste !, pages 16 à 18 4 - Alain LEGRAND, L'Échapée solitaire, pages 21 à 24 5 - Philippe GINDRE, Sans légende, pages 25 à 25 6 - Christian HIBON, La Quarante-deuxième promenade, pages 26 à 28 7 - William WIBSBY, La Gravure, pages 31 à 37, trad. Philippe LABORDE-CASTEX 8 - Clark Ashton SMITH, La Fleur-Diable (The Flower-Devil), pages 38 à 40, trad. Eric DEJAEGER 9 - Christian HIBON, Pierre de vide, pages 41 à 51 10 - Christian HIBON, Châteaux insaisissables, pages 54 à 56 11 - Henri BLAZE, La Vision du Père Zacharias, pages 58 à 68 12 - H. P. LOVECRAFT, L'Inconnu (The Unknown), pages 71 à 71, Poésie 13 - Francis GIRAUDET, L'Ivre des ténèbres, pages 73 à 73, Poésie
Des textes d'une trop rare qualité — un vrai plaisir de lecture... Rose Noire Chaque numéro du Codex Atlanticus est fiévreusement attendu, tant sa gestation est longue et sa lecture envoûtante. Rares sont les éditeurs capables de nous proposer des nouvelles fantastiques de qualité. RéZine « Fantastique fin-de-siècle(s) et bizarreries contemporaines » est un slogan assez juste pour mesurer les activités éditoriales de La Clef d'Argent. Le Codex Atlanticus participe brillamment de cette féerie. Intercalant le nouveau dans l'ancien, il produit des textes oniriques et épouvantables. Brèves Chaque numéro — trop rare — du Codex Atlanticus se présente comme une petite anthologie fantastique qui mélange jeunes auteurs contemporains et « grands anciens ». Le Monde des Poches Le Codex Atlanticus se démarque largement des revues littéraires actuelles, grâce à la réalisation efficace d'authentiques passionnés. La Revue du Chat Noir Depuis 1987 nous publions auteurs classiques et contemporains dans le domaine du Fantastique et de l'Étrange.
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Des textes d'une trop rare qualité — un vrai plaisir de lecture... Rose Noire Chaque numéro du Codex Atlanticus est fiévreusement attendu, tant sa gestation est longue et sa lecture envoûtante. Rares sont les éditeurs capables de nous proposer des nouvelles fantastiques de qualité. RéZine « Fantastique fin-de-siècle(s) et bizarreries contemporaines » est un slogan assez juste pour mesurer les activités éditoriales de La Clef d'Argent. Le Codex Atlanticus participe brillamment de cette féerie. Intercalant le nouveau dans l'ancien, il produit des textes oniriques et épouvantables. Brèves Chaque numéro — trop rare — du Codex Atlanticus se présente comme une petite anthologie fantastique qui mélange jeunes auteurs contemporains et « grands anciens ». Le Monde des Poches Le Codex Atlanticus se démarque largement des revues littéraires actuelles, grâce à la réalisation efficace d'authentiques passionnés. La Revue du Chat Noir Depuis 1987 nous publions auteurs classiques et contemporains dans le domaine du Fantastique et de l'Étrange.
Un bien curieux fascicule... «Le Journal d'un interné», René Jolivet (1931) : Je me souviens de la petite bête morte, étendue devant moi: elle était morte, bien morte, quand je commençai mon expérience... «Un autre jour», Christian Hibon : Et pourtant, au milieu de mon sommeil, j'entends parfois des passages dans la nuit, des souffles arrachés au néant qui fondent dès que je me réveille... «La Fontaine», Bruno Ehret : Dans la cour de l'église, au fond d'un jardin ombragé par les ramures d'un chêne centenaire, sur les dalles craquelées par les racines du temps... «Vie immobile», Christophe Grès : Cette grotte est un temple déchu, un cimetière de dieux oubliés, reniés... «Contretemps», Philippe Gindre : Trois semaines, dites-vous? Quelle mouche vous pique? Seriez-vous devenu fou? Je me suis à peine absenté un quart d'heure!...
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Un bien curieux fascicule... «Le Journal d'un interné», René Jolivet (1931) : Je me souviens de la petite bête morte, étendue devant moi: elle était morte, bien morte, quand je commençai mon expérience... «Un autre jour», Christian Hibon : Et pourtant, au milieu de mon sommeil, j'entends parfois des passages dans la nuit, des souffles arrachés au néant qui fondent dès que je me réveille... «La Fontaine», Bruno Ehret : Dans la cour de l'église, au fond d'un jardin ombragé par les ramures d'un chêne centenaire, sur les dalles craquelées par les racines du temps... «Vie immobile», Christophe Grès : Cette grotte est un temple déchu, un cimetière de dieux oubliés, reniés... «Contretemps», Philippe Gindre : Trois semaines, dites-vous? Quelle mouche vous pique? Seriez-vous devenu fou? Je me suis à peine absenté un quart d'heure!...
Le Protoxyde», Maurice Talmeyr (1881) : Un bruit de roues vibra comme un tonnerre dans mes oreilles. Un souffle sucré, ayant comme un goût d'ananas, me remplit la gorge, et voici exactement alors l'aventure sensationnelle, véritablement singulière, qui m'arriva... «Infiniment bleu», Christophe Grès : Sarah caressa l'affiche de Mucha, passant un doigt sur son image en costume blanc, les bras levés vers un ciel ocre... «La Tragédie du Musée des Sciences Naturelles de Vienne», Philippe Bastin : Alors qu'il allait et venait dans les étages encore silencieux parmi les collections placées sous sa surveillance... «Visite à la Macabrerie», Emmanuel Levilain-Clément : Je poussai un soir la grille d'un caveau occulté de lierre auquel certain cercle d'initiés prête le nom de Macabrerie... «Au coeur de la nuit», Christian Hibon : La nuit ressemble à une automobile noire qui démarre et qui roule au plus profond de votre pensée. Vous êtes le passager de toutes les nuits, le seul maître à bord après les démons de minuit !... «Fumoscopie», Philippe Gindre : Savez-vous, Quincampoix, il n'y a rien de plus agaçant que ces gens qui le prennent de haut avec vous, et prétendent vous apprendre le pourquoi du comment... «Insigne dérangement», Bruno Ehret : En séjour au monastère de Malcombe, je devais me rendre au cloître pour apporter un dossier à Dom Maxence, qui habite la cellule F...
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Le Protoxyde», Maurice Talmeyr (1881) : Un bruit de roues vibra comme un tonnerre dans mes oreilles. Un souffle sucré, ayant comme un goût d'ananas, me remplit la gorge, et voici exactement alors l'aventure sensationnelle, véritablement singulière, qui m'arriva... «Infiniment bleu», Christophe Grès : Sarah caressa l'affiche de Mucha, passant un doigt sur son image en costume blanc, les bras levés vers un ciel ocre... «La Tragédie du Musée des Sciences Naturelles de Vienne», Philippe Bastin : Alors qu'il allait et venait dans les étages encore silencieux parmi les collections placées sous sa surveillance... «Visite à la Macabrerie», Emmanuel Levilain-Clément : Je poussai un soir la grille d'un caveau occulté de lierre auquel certain cercle d'initiés prête le nom de Macabrerie... «Au coeur de la nuit», Christian Hibon : La nuit ressemble à une automobile noire qui démarre et qui roule au plus profond de votre pensée. Vous êtes le passager de toutes les nuits, le seul maître à bord après les démons de minuit !... «Fumoscopie», Philippe Gindre : Savez-vous, Quincampoix, il n'y a rien de plus agaçant que ces gens qui le prennent de haut avec vous, et prétendent vous apprendre le pourquoi du comment... «Insigne dérangement», Bruno Ehret : En séjour au monastère de Malcombe, je devais me rendre au cloître pour apporter un dossier à Dom Maxence, qui habite la cellule F...
Très soigneusement produite, composée et maquettée avec un goût très sûr, proposant des textes de qualité rares, étranges, singuliers, inclassables... Ténèbres « Fantastique fin-de-siècle(s) et bizarreries contemporaines » est un slogan assez juste pour mesurer les activités éditoriales de La Clef d'Argent. Le Codex Atlanticus participe brillamment de cette féerie. Brèves L'objet est beau, à la hauteur de son contenu... Le Monde des Poches Le Codex Atlanticus se démarque largement des revues littéraires actuelles, grâce à la réalisation efficace d'authentiques passionnés. La Revue du Chat Noir En un mot comme en mille, le Codex Atlanticus est un produit haut de gamme, tant au niveau de la forme que du contenu. ArKa/D/ia ! Depuis 1987 nous publions auteurs classiques et contemporains dans le domaine du Fantastique et de l'Étrange.
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Très soigneusement produite, composée et maquettée avec un goût très sûr, proposant des textes de qualité rares, étranges, singuliers, inclassables... Ténèbres « Fantastique fin-de-siècle(s) et bizarreries contemporaines » est un slogan assez juste pour mesurer les activités éditoriales de La Clef d'Argent. Le Codex Atlanticus participe brillamment de cette féerie. Brèves L'objet est beau, à la hauteur de son contenu... Le Monde des Poches Le Codex Atlanticus se démarque largement des revues littéraires actuelles, grâce à la réalisation efficace d'authentiques passionnés. La Revue du Chat Noir En un mot comme en mille, le Codex Atlanticus est un produit haut de gamme, tant au niveau de la forme que du contenu. ArKa/D/ia ! Depuis 1987 nous publions auteurs classiques et contemporains dans le domaine du Fantastique et de l'Étrange.
Chaque numéro du Codex Atlanticus, qui s'affiche comme une « revue de littérature fantastique », apporte son lot de révélations. [...] L'objet est beau, à la hauteur de son contenu... Le Monde des Poches Très soigneusement produite, composée et maquettée avec un goût très sûr, proposant des textes de qualité, rares, étranges, singuliers, inclassables... Ténèbres Le Codex Atlanticus se démarque largement des revues littéraires actuelles, grâce à la réalisation efficace d'authentiques passionnés. La Revue du Chat Noir Un objet éditorial extrêmement séduisant. Écrire & Éditer « Fantastique fin-de-siècle(s) et bizarreries contemporaines » est un slogan assez juste pour mesurer les activités éditoriales de La Clef d'Argent. Le Codex Atlanticus participe brillamment de cette féerie. Brèves Depuis 1987 nous publions auteurs classiques et contemporains dans le domaine du Fantastique et de l'Étrange.
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Chaque numéro du Codex Atlanticus, qui s'affiche comme une « revue de littérature fantastique », apporte son lot de révélations. [...] L'objet est beau, à la hauteur de son contenu... Le Monde des Poches Très soigneusement produite, composée et maquettée avec un goût très sûr, proposant des textes de qualité, rares, étranges, singuliers, inclassables... Ténèbres Le Codex Atlanticus se démarque largement des revues littéraires actuelles, grâce à la réalisation efficace d'authentiques passionnés. La Revue du Chat Noir Un objet éditorial extrêmement séduisant. Écrire & Éditer « Fantastique fin-de-siècle(s) et bizarreries contemporaines » est un slogan assez juste pour mesurer les activités éditoriales de La Clef d'Argent. Le Codex Atlanticus participe brillamment de cette féerie. Brèves Depuis 1987 nous publions auteurs classiques et contemporains dans le domaine du Fantastique et de l'Étrange.
Le charme vénéneux du Codex : Le Codex Atlanticus distille un fantastique racé, influencé sur le plan esthétique par la littérature de la fin du XIXe et du début du XXe s. Agréablement maquetté et illustré, il ne cesse d'affirmer sa spécificité au sein d'une production tiraillée entre mercantilisme et actualité... Écrire & Éditer L'objet est beau, à la hauteur de son contenu... Le Monde des Poches Très soigneusement produite, composée et maquettée avec un goût très sûr, proposant des textes de qualité rares, étranges, singuliers, inclassables... Ténèbres « Fantastique fin-de-siècle(s) et bizarreries contemporaines » est un slogan assez juste pour mesurer les activités éditoriales de La Clef d'Argent. Le Codex Atlanticus participe brillamment de cette féerie. Brèves Depuis 1987 nous publions auteurs classiques et contemporains dans le domaine du Fantastique et de l'Étrange.
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Le charme vénéneux du Codex : Le Codex Atlanticus distille un fantastique racé, influencé sur le plan esthétique par la littérature de la fin du XIXe et du début du XXe s. Agréablement maquetté et illustré, il ne cesse d'affirmer sa spécificité au sein d'une production tiraillée entre mercantilisme et actualité... Écrire & Éditer L'objet est beau, à la hauteur de son contenu... Le Monde des Poches Très soigneusement produite, composée et maquettée avec un goût très sûr, proposant des textes de qualité rares, étranges, singuliers, inclassables... Ténèbres « Fantastique fin-de-siècle(s) et bizarreries contemporaines » est un slogan assez juste pour mesurer les activités éditoriales de La Clef d'Argent. Le Codex Atlanticus participe brillamment de cette féerie. Brèves Depuis 1987 nous publions auteurs classiques et contemporains dans le domaine du Fantastique et de l'Étrange.
Une nouvelle fois, la qualité de cette revue de littérature fantastique a retenu notre attention. Par la joliesse de sa maquette, tout autant que par l'intérêt des textes rassemblés. Le Monde des Poches Une revue tout simplement indispensable aux amateurs de fantastique. D-side Le Codex Atlanticus distille un fantastique racé, influencé sur le plan esthétique par la littérature de la fin du XIXe et du début du XXes. Agréablement maquetté et illustré, il ne cesse d'affirmer sa spécificité au sein d'une production tiraillée entre mercantilisme et actualité... Écrire & Éditer « Fantastique fin-de-siècle(s) et bizarreries contemporaines » est un slogan assez juste pour mesurer les activités éditoriales de La Clef d'Argent. Le Codex Atlanticus participe brillamment de cette féerie. Brèves Depuis 1987 nous publions auteurs classiques et contemporains dans le domaine du Fantastique et de l'Étrange.
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Une nouvelle fois, la qualité de cette revue de littérature fantastique a retenu notre attention. Par la joliesse de sa maquette, tout autant que par l'intérêt des textes rassemblés. Le Monde des Poches Une revue tout simplement indispensable aux amateurs de fantastique. D-side Le Codex Atlanticus distille un fantastique racé, influencé sur le plan esthétique par la littérature de la fin du XIXe et du début du XXes. Agréablement maquetté et illustré, il ne cesse d'affirmer sa spécificité au sein d'une production tiraillée entre mercantilisme et actualité... Écrire & Éditer « Fantastique fin-de-siècle(s) et bizarreries contemporaines » est un slogan assez juste pour mesurer les activités éditoriales de La Clef d'Argent. Le Codex Atlanticus participe brillamment de cette féerie. Brèves Depuis 1987 nous publions auteurs classiques et contemporains dans le domaine du Fantastique et de l'Étrange.
Un repos mouvementé... «La Réincarnée» (1910), Marc Stéphane : Alors, j'ai voulu en finir, essayer d'extirper cette importune anguste de ma félicité reconquise --au risque pertinent de l'y fixer à tout jamais comme une épine empoisonnée, si mon audacieuse tentation du Mystère affolant demeurait vaine! Et ce dernier anniversaire de la catastrophe, sur le coup de midi, j'ai pris par la main Yvane, et pour la première fois j'ai osé guider ses menus pas insouciants et joyeux vers cette maison de la rue de Vaugirard... «Le Démon du retour», Christian Cottet-Emard : Le crâne blafard semblait flotter dans les airs comme un ballon dégonflé à peine retenu par une invisible ficelle. Sans trop savoir pourquoi, je me suis retrouvé assis en face de lui à attendre qu'il eût fini de choisir son menu... «L'Éclipse» - Denis Moiriat : Nonchalants, quatre hommes s'engagent sur une passerelle, leur quiétude s'harmonise avec la fin d'après-midi où le soleil rend ses armes. Au milieu de la passerelle, un vieux monsieur regarde sans voir l'eau qui s'écoule... «Les Démons du hasard», Thierry Caspar : Cela a commencé par un vague halo extrêmement pâle, mais qui tranchait sans appel avec une vie de vide obscur. Puis petit à petit, tout est venu. Et jour après jour, je revivais. Après un mois, je voyais tout, tout ce qu'une personne normalement constituée peut voir. Malheureusement, ça ne s'est pas arrêté là... «Lamento», Jean-Pierre Rosetta : Des ombres indicibles s'étiolent, alimentées par l'unique lueur du lieu... Elles naissent dans le corridor, là-bas, à l'extrémité de la bibliothèque, et viennent mourir à mes pieds... «Les Sirènes du building», Olivier Gabriel : J'ai fait la connaissance d'un homme qui prétend avoir rencontré des sirènes, et leur avoir échappé. Selon lui, elles sont toujours parmi nous à guetter les marins et les aviateurs au coin de certaines vagues ou de certains nuages...
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Un repos mouvementé... «La Réincarnée» (1910), Marc Stéphane : Alors, j'ai voulu en finir, essayer d'extirper cette importune anguste de ma félicité reconquise --au risque pertinent de l'y fixer à tout jamais comme une épine empoisonnée, si mon audacieuse tentation du Mystère affolant demeurait vaine! Et ce dernier anniversaire de la catastrophe, sur le coup de midi, j'ai pris par la main Yvane, et pour la première fois j'ai osé guider ses menus pas insouciants et joyeux vers cette maison de la rue de Vaugirard... «Le Démon du retour», Christian Cottet-Emard : Le crâne blafard semblait flotter dans les airs comme un ballon dégonflé à peine retenu par une invisible ficelle. Sans trop savoir pourquoi, je me suis retrouvé assis en face de lui à attendre qu'il eût fini de choisir son menu... «L'Éclipse» - Denis Moiriat : Nonchalants, quatre hommes s'engagent sur une passerelle, leur quiétude s'harmonise avec la fin d'après-midi où le soleil rend ses armes. Au milieu de la passerelle, un vieux monsieur regarde sans voir l'eau qui s'écoule... «Les Démons du hasard», Thierry Caspar : Cela a commencé par un vague halo extrêmement pâle, mais qui tranchait sans appel avec une vie de vide obscur. Puis petit à petit, tout est venu. Et jour après jour, je revivais. Après un mois, je voyais tout, tout ce qu'une personne normalement constituée peut voir. Malheureusement, ça ne s'est pas arrêté là... «Lamento», Jean-Pierre Rosetta : Des ombres indicibles s'étiolent, alimentées par l'unique lueur du lieu... Elles naissent dans le corridor, là-bas, à l'extrémité de la bibliothèque, et viennent mourir à mes pieds... «Les Sirènes du building», Olivier Gabriel : J'ai fait la connaissance d'un homme qui prétend avoir rencontré des sirènes, et leur avoir échappé. Selon lui, elles sont toujours parmi nous à guetter les marins et les aviateurs au coin de certaines vagues ou de certains nuages...
Lire le Codex Atlanticus, c'est comme ouvrir une malle dans un grenier. On y déniche une foule de merveilles surannées, mises à l'écart sous l'influence de quelque mode béotienne. Les objets sont étranges, témoins de drames, porteurs de mystères. Écrire & Éditer Une nouvelle fois, la qualité de cette revue de littérature fantastique a retenu notre attention. Par la joliesse de sa maquette, tout autant que par l'intérêt des textes rassemblés. Le Monde des Poches Ce n'est pas un des moindres mérites du Codex Atlanticus que de nous donner à relire des textes d'une telle étrangeté. Le Boudoir des Gorgones « Fantastique fin-de-siècle(s) et bizarreries contemporaines » est un slogan assez juste pour mesurer les activités éditoriales de La Clef d'Argent. Le Codex Atlanticus participe brillamment de cette féerie. Brèves Depuis 1987 nous publions auteurs classiques et contemporains dans le domaine du Fantastique et de l'Étrange.
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Lire le Codex Atlanticus, c'est comme ouvrir une malle dans un grenier. On y déniche une foule de merveilles surannées, mises à l'écart sous l'influence de quelque mode béotienne. Les objets sont étranges, témoins de drames, porteurs de mystères. Écrire & Éditer Une nouvelle fois, la qualité de cette revue de littérature fantastique a retenu notre attention. Par la joliesse de sa maquette, tout autant que par l'intérêt des textes rassemblés. Le Monde des Poches Ce n'est pas un des moindres mérites du Codex Atlanticus que de nous donner à relire des textes d'une telle étrangeté. Le Boudoir des Gorgones « Fantastique fin-de-siècle(s) et bizarreries contemporaines » est un slogan assez juste pour mesurer les activités éditoriales de La Clef d'Argent. Le Codex Atlanticus participe brillamment de cette féerie. Brèves Depuis 1987 nous publions auteurs classiques et contemporains dans le domaine du Fantastique et de l'Étrange.
«Supplices de la nuit», Gabriel Bertin : C'est à la place Sébastopol, vaste et solitaire, qu'avaient lieu autrefois les exécutions capitales... «L'Infante», Philippe Vidal : Il avait étendu la dernière couche de substance noire autour de la bulle et Son Insecte le Plus Fragile était sorti de l'ombre... «L'Avion des dimanches», Alain Legrand : Certainement la fin de la matinée, moment où le rêve franchit le seuil de la réalité tout en restant inexprimé, muet... «Le Château des réminiscences», Jean-Pierre Bours : Multipliés par la nuit sous les frondaisons qui leur tendaient des perspectives d'arches, ils firent courir, comme le fait un frisson sur la surface de l'eau, la caresse d'un murmure rythmé de coups sourds sur l'échine du Silence... «Reflets de soie», Jérome Sorre : Le désespoir, la crainte puis l'aversion s'abattirent sur le roi. La rage, sentiment fugace, le contraignit à s'asseoir sur son trône damassé... «Epistola Temporis», Victor Parral : Je suis inquiet de ne pas avoir de vos nouvelles, et j'espère que la présente atteindra son but. Ce qui est impossible à vérifier puisque comme vous pouvez vous en apercevoir, je dois utiliser le chronographe pour vous écrire et qu'avec celui-ci, on ne peut savoir si les messages envoyés sont effectivement reçus... «Les Grandes découvertes», Robert Delanne : Aujourd'hui le hasard seul (aidé quand même par un peu de bon sens) m'a conduit à la découverte d'un remède efficace contre une maladie redoutable... «À Charenton-le-Pont», Philippe Gontier : En pénétrant dans le bâtiment sous un ciel qui promettait de la neige, je ne pus m'empêcher de songer aux personnages illustres ou anonymes qui avaient traîné leurs existences misérables dans ces lieux émouvants, avant d'y finir leurs jours... «De la sylvocombustion spontanée», J. Liautot & Y. d'Auby : C'est dans les Alpes-Maritimes, que se trouve le sujet de nos observations. Avant toute chose, il faut savoir que les canicules du Sud de la France provoquent parfois des incendies... «Les Fantômes du canal», André-François Ruaud : Andrew ne croyait pas vraiment aux fantômes. Non plus qu'à aucun phénomène surnaturel, d'ailleurs. Il était juste payé pour en parler... «Deus Ex Machina», Martin Zeugma : Quand ce soir-là, je toquai chez monsieur Gomme, Roger de son prénom, je vendais des aspirateurs en porte à porte depuis déjà plus de vingt-cinq ans...
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«Supplices de la nuit», Gabriel Bertin : C'est à la place Sébastopol, vaste et solitaire, qu'avaient lieu autrefois les exécutions capitales... «L'Infante», Philippe Vidal : Il avait étendu la dernière couche de substance noire autour de la bulle et Son Insecte le Plus Fragile était sorti de l'ombre... «L'Avion des dimanches», Alain Legrand : Certainement la fin de la matinée, moment où le rêve franchit le seuil de la réalité tout en restant inexprimé, muet... «Le Château des réminiscences», Jean-Pierre Bours : Multipliés par la nuit sous les frondaisons qui leur tendaient des perspectives d'arches, ils firent courir, comme le fait un frisson sur la surface de l'eau, la caresse d'un murmure rythmé de coups sourds sur l'échine du Silence... «Reflets de soie», Jérome Sorre : Le désespoir, la crainte puis l'aversion s'abattirent sur le roi. La rage, sentiment fugace, le contraignit à s'asseoir sur son trône damassé... «Epistola Temporis», Victor Parral : Je suis inquiet de ne pas avoir de vos nouvelles, et j'espère que la présente atteindra son but. Ce qui est impossible à vérifier puisque comme vous pouvez vous en apercevoir, je dois utiliser le chronographe pour vous écrire et qu'avec celui-ci, on ne peut savoir si les messages envoyés sont effectivement reçus... «Les Grandes découvertes», Robert Delanne : Aujourd'hui le hasard seul (aidé quand même par un peu de bon sens) m'a conduit à la découverte d'un remède efficace contre une maladie redoutable... «À Charenton-le-Pont», Philippe Gontier : En pénétrant dans le bâtiment sous un ciel qui promettait de la neige, je ne pus m'empêcher de songer aux personnages illustres ou anonymes qui avaient traîné leurs existences misérables dans ces lieux émouvants, avant d'y finir leurs jours... «De la sylvocombustion spontanée», J. Liautot & Y. d'Auby : C'est dans les Alpes-Maritimes, que se trouve le sujet de nos observations. Avant toute chose, il faut savoir que les canicules du Sud de la France provoquent parfois des incendies... «Les Fantômes du canal», André-François Ruaud : Andrew ne croyait pas vraiment aux fantômes. Non plus qu'à aucun phénomène surnaturel, d'ailleurs. Il était juste payé pour en parler... «Deus Ex Machina», Martin Zeugma : Quand ce soir-là, je toquai chez monsieur Gomme, Roger de son prénom, je vendais des aspirateurs en porte à porte depuis déjà plus de vingt-cinq ans...
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# «L'épitaphe», Jean-Jacques Nuel: Les livres, les revues, ce n'est que du papier. Des mots fragiles, imprimés sur un support perméable à l'eau, au feu, et que le vent disperse et emporte... # «Peuchâtre et Gésirac», Michel Rullier: Luc connaît la mort. La mort des arbres, et celle des animaux, surtout: elle lui est familière. Mais il se demande ce que peut être la mort d'une personne... # «Les livres invisibles», Philippe Vidal: C'était stupéfiant: tandis que la plume arpentait méthodiquement le papier, la plupart des mots s'effaçaient complètement alors même qu'ils finissaient d'être écrits. Seuls quelques endroits de la feuille gardaient une trace plus ou moins vive, plus ou moins lisible, de ce qui y avait été tracé... # «Une flaque», Denis Moiriat: Des papillons se posent sur des cerises blessées et les tètent en battant des ailes. La rue est vide à cette heure, le soleil traîne sur les étalages comme un faisceau d'or... # «Pierre d'homme», Christian Hibon: Le sentier ouvrait une clairière où l'après-midi n'en finissait pas de jouer, et c'était alentour la grande chevalerie des arbres. La forêt le hantait comme son propre fantôme... # «L'exclusif», Gilles Bailly: De son propre aveu, Karl n'était capable de s'intéresser dans la vie qu'à deux ou trois choses, mais en s'y vouant corps et âme, jusqu'au fin fond des possibles... # «Victor Skopein n'est pas mort», Jean Effer: Kami Eido. Je la rencontrerai. Ça commencera comme ça. La petite asiatique avancera vers mon bureau cafardeux, moulée dans un fuseau noir flamboyant qui semblera un instant illuminer mes quatre murs délabrés.... # «L'homme-crochet», Philippe Bastin: Je n'aurais en principe jamais dû arriver "Au Petit Canal" puisque le chemin qui y conduisait était une voie sans issue. Mais de la grand-route, j'avais aperçu la masse sombre de l'usine désaffectée et tourné à gauche... # «Reflet», Franck Denet: J'ai connu cette femme par l'entremise d'un ami commun, au cours d'un dîner réunissant une dizaine de convives. Cette soirée est restée ancrée dans ma mémoire, car j'y fus témoin d'un événement singulier... # «Extension du domaine de la punition», Timothée Rey: Des vikings. Il y a des vikings en casque à cornes qui creusent avec un bulldozer au fond de ma cave. Le coeur d'Amélie bat la chamade, elle a le souffle court, les mains et le front moites, et comme un tourbillon sombre et glacé, là, sous le plexus.... # «La sagesse du fossoyeur», Stéphane Mouret: Cette étrange apparition paraissait appartenir à toutes les familles. Benoît fut définitivement déconcerté lorsqu'il se rendit compte que personne à part lui ne remarquait la présence de cette belle femme... # Saynète finale.
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# «L'épitaphe», Jean-Jacques Nuel: Les livres, les revues, ce n'est que du papier. Des mots fragiles, imprimés sur un support perméable à l'eau, au feu, et que le vent disperse et emporte... # «Peuchâtre et Gésirac», Michel Rullier: Luc connaît la mort. La mort des arbres, et celle des animaux, surtout: elle lui est familière. Mais il se demande ce que peut être la mort d'une personne... # «Les livres invisibles», Philippe Vidal: C'était stupéfiant: tandis que la plume arpentait méthodiquement le papier, la plupart des mots s'effaçaient complètement alors même qu'ils finissaient d'être écrits. Seuls quelques endroits de la feuille gardaient une trace plus ou moins vive, plus ou moins lisible, de ce qui y avait été tracé... # «Une flaque», Denis Moiriat: Des papillons se posent sur des cerises blessées et les tètent en battant des ailes. La rue est vide à cette heure, le soleil traîne sur les étalages comme un faisceau d'or... # «Pierre d'homme», Christian Hibon: Le sentier ouvrait une clairière où l'après-midi n'en finissait pas de jouer, et c'était alentour la grande chevalerie des arbres. La forêt le hantait comme son propre fantôme... # «L'exclusif», Gilles Bailly: De son propre aveu, Karl n'était capable de s'intéresser dans la vie qu'à deux ou trois choses, mais en s'y vouant corps et âme, jusqu'au fin fond des possibles... # «Victor Skopein n'est pas mort», Jean Effer: Kami Eido. Je la rencontrerai. Ça commencera comme ça. La petite asiatique avancera vers mon bureau cafardeux, moulée dans un fuseau noir flamboyant qui semblera un instant illuminer mes quatre murs délabrés.... # «L'homme-crochet», Philippe Bastin: Je n'aurais en principe jamais dû arriver "Au Petit Canal" puisque le chemin qui y conduisait était une voie sans issue. Mais de la grand-route, j'avais aperçu la masse sombre de l'usine désaffectée et tourné à gauche... # «Reflet», Franck Denet: J'ai connu cette femme par l'entremise d'un ami commun, au cours d'un dîner réunissant une dizaine de convives. Cette soirée est restée ancrée dans ma mémoire, car j'y fus témoin d'un événement singulier... # «Extension du domaine de la punition», Timothée Rey: Des vikings. Il y a des vikings en casque à cornes qui creusent avec un bulldozer au fond de ma cave. Le coeur d'Amélie bat la chamade, elle a le souffle court, les mains et le front moites, et comme un tourbillon sombre et glacé, là, sous le plexus.... # «La sagesse du fossoyeur», Stéphane Mouret: Cette étrange apparition paraissait appartenir à toutes les familles. Benoît fut définitivement déconcerté lorsqu'il se rendit compte que personne à part lui ne remarquait la présence de cette belle femme... # Saynète finale.
# «Après trois ans», Krotz Strüder: À son réveil, Lucien Koppel n'aurait su dire d'où provenait l'arme qu'il tenait dans la main. Quant au cadavre couché en travers de ses jambes... # «Bouquets épars au bord des routes», Timothée Rey: Celui-là a quelque chose de bizarre, elle n'a cependant pas le temps de bien voir en quoi. Trop de fleurs? Ou une forme inhabituelle?... # «Désert», Catherine Bord: L'homme la suit, il semble curieux de ce qu'elle va faire. Lorsqu'elle plonge et disparaît, il crie puis se tait, stupéfait en voyant la jeune fille réapparaître et nager vers lui en longs mouvements souples... # «Je vis dans ton placard», Santiago Eximeno: Je sais que tu sais que je vis ici, je sais que tu l'as souvent dit à tes parents... # «L'Homme», Alexandre Mercereau: Il y avait un oeil dans un sapin. Les dessins des tentures dansaient. Un fauteuil bougeait sans changer de place. On toussait constamment dans l'avenue... # «La bibliothèque», Anne Morin: Ici, il faut lire, on est obligé. Si on ne lit pas, on est puni, on ne s'en sort pas. C'est une bibliothèque, on y entre, mais on ne sait pas quand on en sort... # «La konfrairi», Laurent Bayssière: Nou zavon krai ai la konfrairi du baton mou avec Pticha. Son non a Pticha sai moua ki lai trouvai. A kozk sai un pticha. Pour fair parti de la konfrairi sai trai difissil a kozk sai trai difissil. Maimk pour lunsstan iavaik Pticha ai moua ki i aitai parvnu... # «La main gantée», Annick Perrot-Bishop: Son regard était fixe, comme hanté par une vision, une vision obsédante, qui rongeait sa chair, buvait son souffle, harcelait son âme... # «La mer reviendra à Wattebléry», Arnauld Pontier: À tous les étrangers qui venaient au village, ce vieux fou de Damis le disait: «La mer reviendra à Wattebléry. Dans dix mille ans. À moins que...» # «Le chasseur de grenouilles», Denis Moiriat: Connu des brocanteurs, il achetait à prix d'or les petites grenouilles en porcelaine. Un dimanche pluvieux, je l'ai rencontré, pour mon malheur... # «Le potager révélateur», Alain Kewes: Comment regretter quelque chose qu'on n'est pas certain d'avoir fait et dont vous ignorez complètement les raisons qui vous ont peut-être poussé à le faire?... # «Les crochets et la soie», Amelith Deslandes: Oréliane manipulait ses pantins avec application. Une langue rose pointait entre ses lèvres serrées, trahissant l'intensité de son effort. Elle regrettait que les spectateurs manifestent si peu d'enthousiasme... # «Murat», Philippe Bastin: Dans les romans policiers, le crime parfait n'existe pas. Il en va bien entendu tout autrement en réalité.... # «Puerto deseado», Victor Parral: Il avait dormi pendant le trajet d'Altramontes à Virgán, mais le bruit que faisait l'aile du camion, abîmée, qui frottait contre l'essieu, et la douleur causée par le sectionnement de la phalange de son index qui lui brûlait la main ou lui lançait le bras, l'avait empêché de trouver un juste repos... # «Retour», Liliane Gray: Assise dans le métro, la tempe appuyée contre la vitre dont le contact lui rappelle celui du terrarium, elle imagine la mygale tissant sa toile la nuit venue, tendant ses fils gluants d'un coin à l'autre de sa cage... # «Un air de famille», Alain Roussel: Il passa sa main vers l'endroit du coeur et fut surpris de la retirer couverte de sang. Une balle venait de l'atteindre et il s'étonnait d'être encore vivant... # Saynète finale.
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# «Après trois ans», Krotz Strüder: À son réveil, Lucien Koppel n'aurait su dire d'où provenait l'arme qu'il tenait dans la main. Quant au cadavre couché en travers de ses jambes... # «Bouquets épars au bord des routes», Timothée Rey: Celui-là a quelque chose de bizarre, elle n'a cependant pas le temps de bien voir en quoi. Trop de fleurs? Ou une forme inhabituelle?... # «Désert», Catherine Bord: L'homme la suit, il semble curieux de ce qu'elle va faire. Lorsqu'elle plonge et disparaît, il crie puis se tait, stupéfait en voyant la jeune fille réapparaître et nager vers lui en longs mouvements souples... # «Je vis dans ton placard», Santiago Eximeno: Je sais que tu sais que je vis ici, je sais que tu l'as souvent dit à tes parents... # «L'Homme», Alexandre Mercereau: Il y avait un oeil dans un sapin. Les dessins des tentures dansaient. Un fauteuil bougeait sans changer de place. On toussait constamment dans l'avenue... # «La bibliothèque», Anne Morin: Ici, il faut lire, on est obligé. Si on ne lit pas, on est puni, on ne s'en sort pas. C'est une bibliothèque, on y entre, mais on ne sait pas quand on en sort... # «La konfrairi», Laurent Bayssière: Nou zavon krai ai la konfrairi du baton mou avec Pticha. Son non a Pticha sai moua ki lai trouvai. A kozk sai un pticha. Pour fair parti de la konfrairi sai trai difissil a kozk sai trai difissil. Maimk pour lunsstan iavaik Pticha ai moua ki i aitai parvnu... # «La main gantée», Annick Perrot-Bishop: Son regard était fixe, comme hanté par une vision, une vision obsédante, qui rongeait sa chair, buvait son souffle, harcelait son âme... # «La mer reviendra à Wattebléry», Arnauld Pontier: À tous les étrangers qui venaient au village, ce vieux fou de Damis le disait: «La mer reviendra à Wattebléry. Dans dix mille ans. À moins que...» # «Le chasseur de grenouilles», Denis Moiriat: Connu des brocanteurs, il achetait à prix d'or les petites grenouilles en porcelaine. Un dimanche pluvieux, je l'ai rencontré, pour mon malheur... # «Le potager révélateur», Alain Kewes: Comment regretter quelque chose qu'on n'est pas certain d'avoir fait et dont vous ignorez complètement les raisons qui vous ont peut-être poussé à le faire?... # «Les crochets et la soie», Amelith Deslandes: Oréliane manipulait ses pantins avec application. Une langue rose pointait entre ses lèvres serrées, trahissant l'intensité de son effort. Elle regrettait que les spectateurs manifestent si peu d'enthousiasme... # «Murat», Philippe Bastin: Dans les romans policiers, le crime parfait n'existe pas. Il en va bien entendu tout autrement en réalité.... # «Puerto deseado», Victor Parral: Il avait dormi pendant le trajet d'Altramontes à Virgán, mais le bruit que faisait l'aile du camion, abîmée, qui frottait contre l'essieu, et la douleur causée par le sectionnement de la phalange de son index qui lui brûlait la main ou lui lançait le bras, l'avait empêché de trouver un juste repos... # «Retour», Liliane Gray: Assise dans le métro, la tempe appuyée contre la vitre dont le contact lui rappelle celui du terrarium, elle imagine la mygale tissant sa toile la nuit venue, tendant ses fils gluants d'un coin à l'autre de sa cage... # «Un air de famille», Alain Roussel: Il passa sa main vers l'endroit du coeur et fut surpris de la retirer couverte de sang. Une balle venait de l'atteindre et il s'étonnait d'être encore vivant... # Saynète finale.

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