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Le Journal de Dylane - La série

  • Nombre de tomes :
  • 19
  • Nombre de lecteurs :
  • 211
  • Classée dans le top séries Booknode :
  • # 672
  • Classement en biblio :

La liste des tomes


A 13 ans,Dylane ignore tout du "monde des filles", préférant s'amuser avec son meilleur ami Colin que de parler garçon et maquillage. Mais quand sa cousine, la très tendance et turbulente Mirabelle, enmènage dans le voisinage pour rejoindre le collège, sa vie est complétement bouleversée ! Non seulement Mirabelle essaie de lui trouver un petit ami, mais en plus elle compte bien sortir avec Colin... ce qui éveille un sentiment jusque la inconu de Dylane : le jalousie.
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Description
A 13 ans,Dylane ignore tout du "monde des filles", préférant s'amuser avec son meilleur ami Colin que de parler garçon et maquillage. Mais quand sa cousine, la très tendance et turbulente Mirabelle, enmènage dans le voisinage pour rejoindre le collège, sa vie est complétement bouleversée ! Non seulement Mirabelle essaie de lui trouver un petit ami, mais en plus elle compte bien sortir avec Colin... ce qui éveille un sentiment jusque la inconu de Dylane : le jalousie.
Dylane a désormais quatorze ans. Sa fragile relation amoureuse avec le beau Malik s’est terminée en fiasco monumental et elle n’adresse plus la parole à Colin, depuis le baiser qu’ils ont échangé. Sans oublier que sa cousine Mirabelle lui mène la vie dure, en la remisant au rancart dès que son chum Émile est dans le décor. Dylane se sent plus seule que jamais. Elle fera la rencontre de Florence qui deviendra très proche de Dylane. Mirabelle n’a pas dit son dernier non plus. Pas question de laisser Dylane lui filer entre les doigts. Mais à travers tout ce beau monde, Dylane trouve ses repères grâce à son journal intime, qui lui permet encore une fois de coucher toutes ses pensées les plus secrètes. Et avec un bon chocolat chaud à la guimauve, pour se réchauffer en ces jours plus froids de l’hiver, la vie ne saurait être plus belle pour la jeune fille…
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Description
Dylane a désormais quatorze ans. Sa fragile relation amoureuse avec le beau Malik s’est terminée en fiasco monumental et elle n’adresse plus la parole à Colin, depuis le baiser qu’ils ont échangé. Sans oublier que sa cousine Mirabelle lui mène la vie dure, en la remisant au rancart dès que son chum Émile est dans le décor. Dylane se sent plus seule que jamais. Elle fera la rencontre de Florence qui deviendra très proche de Dylane. Mirabelle n’a pas dit son dernier non plus. Pas question de laisser Dylane lui filer entre les doigts. Mais à travers tout ce beau monde, Dylane trouve ses repères grâce à son journal intime, qui lui permet encore une fois de coucher toutes ses pensées les plus secrètes. Et avec un bon chocolat chaud à la guimauve, pour se réchauffer en ces jours plus froids de l’hiver, la vie ne saurait être plus belle pour la jeune fille…
Colin : Ça fait longtemps que j’aurais dû me l’avouer. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait comme si je ne ressentais rien. Après notre premier baiser… en octobre… Moi : Tu es sûr que tu veux revenir là-dessus ? C’est déjà assez gênant ! Colin : Oui ! Il faut que je le dise. Ben voilà, j’aimerais mieux qu’on ne soit plus amis, toi et moi… Moi : QUOI ?!? T’es venu ici pour me dire ça ! C’est vraiment, mais vraiment pas cool de ta part ! En plus, je ne suis pas d’accord du tout ! Je m’étais redressée sur le matelas et Colin a fait pareil. Il m’a attrapée par les épaules pour que je me calme. (Parce que j’étais pas mal en mode panique, je dois bien le dire…) Et là, en me regardant dans les yeux, il a ajouté : Colin : Je ne veux plus être ton ami, parce que je t’aime. Et j’aimerais être ton chum…
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Colin : Ça fait longtemps que j’aurais dû me l’avouer. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait comme si je ne ressentais rien. Après notre premier baiser… en octobre… Moi : Tu es sûr que tu veux revenir là-dessus ? C’est déjà assez gênant ! Colin : Oui ! Il faut que je le dise. Ben voilà, j’aimerais mieux qu’on ne soit plus amis, toi et moi… Moi : QUOI ?!? T’es venu ici pour me dire ça ! C’est vraiment, mais vraiment pas cool de ta part ! En plus, je ne suis pas d’accord du tout ! Je m’étais redressée sur le matelas et Colin a fait pareil. Il m’a attrapée par les épaules pour que je me calme. (Parce que j’étais pas mal en mode panique, je dois bien le dire…) Et là, en me regardant dans les yeux, il a ajouté : Colin : Je ne veux plus être ton ami, parce que je t’aime. Et j’aimerais être ton chum…
Yohan : Je suis super content de te revoir. Me semble que ce serait le fun d’apprendre à se connaître… Moi : C’est parce que j’ai un chum ! Yohan : Hé, pas de panique. Je n’ai pas dit que je voulais te demander en mariage. On pourrait juste échanger nos numéros de téléphone, pour commencer… Moi : C’est parce que j’ai… Yohan : Oui je sais, tu l’as déjà dit. Passe-moi donc ton cell, deux minutes. Comme j’avais mon téléphone dans une main et que je tenais ma bouteille de l’autre, il a juste eu à tendre le bras pour le saisir. Pendant qu’il pitonnait sur celui-ci, il a dit : Yohan : Vooooilà ! Maintenant, si jamais tu as le goût de me voir, tu vas pouvoir le faire. En amis, évidemment… Moi : Oui, sauf que j’ai un… Yohan (en me coupant la parole) : OK, faut que j’y aille! On s’appelle !
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Yohan : Je suis super content de te revoir. Me semble que ce serait le fun d’apprendre à se connaître… Moi : C’est parce que j’ai un chum ! Yohan : Hé, pas de panique. Je n’ai pas dit que je voulais te demander en mariage. On pourrait juste échanger nos numéros de téléphone, pour commencer… Moi : C’est parce que j’ai… Yohan : Oui je sais, tu l’as déjà dit. Passe-moi donc ton cell, deux minutes. Comme j’avais mon téléphone dans une main et que je tenais ma bouteille de l’autre, il a juste eu à tendre le bras pour le saisir. Pendant qu’il pitonnait sur celui-ci, il a dit : Yohan : Vooooilà ! Maintenant, si jamais tu as le goût de me voir, tu vas pouvoir le faire. En amis, évidemment… Moi : Oui, sauf que j’ai un… Yohan (en me coupant la parole) : OK, faut que j’y aille! On s’appelle !
Moi (en lui courant après) : Minute ! J’ai pas fini ! Jacob : Moi, oui. Moi (en marchant à côté de lui) : Je crois que tu t’es fait une fausse impression de moi. Je veux pas gagner à tout prix, tu sais. Je veux juste amener de nouvelles idées. Changer les choses, quoi ! Jacob (en s’arrêtant pour me regarder) : Les filles comme toi, je sais les reconnaître à mille lieues à la ronde. Vous vous croyez tout permis parce que vous êtes mignonnes et que tout le monde vous écoute. Eth bien, j’ai des petites nouvelles pour toi, Dylane Morin ! Je ne vais t’accorder aucune chance ! C’est moi qui vais remporter ces élections ! Parce que, contrairement à toi, j’ai d’autres priorités dans la vie que le maquillage et les vêtements ! Maintenant, laisse-moi tranquille, j’ai des occupations hautement plus importantes ! Moi (en le regardant partir, la bouche grande ouverte) : Sérieux…? Tu me trouves mignonne ? Il a secoué la tête, sans même prendre le temps de me répondre.
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Moi (en lui courant après) : Minute ! J’ai pas fini ! Jacob : Moi, oui. Moi (en marchant à côté de lui) : Je crois que tu t’es fait une fausse impression de moi. Je veux pas gagner à tout prix, tu sais. Je veux juste amener de nouvelles idées. Changer les choses, quoi ! Jacob (en s’arrêtant pour me regarder) : Les filles comme toi, je sais les reconnaître à mille lieues à la ronde. Vous vous croyez tout permis parce que vous êtes mignonnes et que tout le monde vous écoute. Eth bien, j’ai des petites nouvelles pour toi, Dylane Morin ! Je ne vais t’accorder aucune chance ! C’est moi qui vais remporter ces élections ! Parce que, contrairement à toi, j’ai d’autres priorités dans la vie que le maquillage et les vêtements ! Maintenant, laisse-moi tranquille, j’ai des occupations hautement plus importantes ! Moi (en le regardant partir, la bouche grande ouverte) : Sérieux…? Tu me trouves mignonne ? Il a secoué la tête, sans même prendre le temps de me répondre.
Colin : Alors… vous vous êtes embrassés ? C'est fait ? Tu sors avec Lancelot ? Moi : Hein ? L'embrasser ? Colin : Je veux dire… c'est évident que ça allait se passer, vu la façon dont il te regarde. Moi : Ah ouin ? La façon dont il me regarde ? Colin : Allez, ne fais pas semblant que tu n'as rien vu ! En plus, il rit à toutes tes blagues, même si elles sont plates ! C'est un signe, ça… Moi : Un signe ? Colin : Arrête de répéter ce que je dis comme un perroquet, Dylane ! C'est gossant ! Moi : Comme un perroquet ? Il s'est levé en faisant claquer sa langue, ce qui m'a enfin fait sortir de ma léthargie. Moi : C'est pas ce que tu crois ! Je l'ai pas embrassé du tout. En fait, je l'ai poussé dans l'escalier et je lui ai fermé la porte dans la face… Je pense qu'il me déteste, maintenant… Colin (en se rassoyant en vitesse) : Sérieux ?! Tu as fait ça ? Mais… pourquoi ?
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Colin : Alors… vous vous êtes embrassés ? C'est fait ? Tu sors avec Lancelot ? Moi : Hein ? L'embrasser ? Colin : Je veux dire… c'est évident que ça allait se passer, vu la façon dont il te regarde. Moi : Ah ouin ? La façon dont il me regarde ? Colin : Allez, ne fais pas semblant que tu n'as rien vu ! En plus, il rit à toutes tes blagues, même si elles sont plates ! C'est un signe, ça… Moi : Un signe ? Colin : Arrête de répéter ce que je dis comme un perroquet, Dylane ! C'est gossant ! Moi : Comme un perroquet ? Il s'est levé en faisant claquer sa langue, ce qui m'a enfin fait sortir de ma léthargie. Moi : C'est pas ce que tu crois ! Je l'ai pas embrassé du tout. En fait, je l'ai poussé dans l'escalier et je lui ai fermé la porte dans la face… Je pense qu'il me déteste, maintenant… Colin (en se rassoyant en vitesse) : Sérieux ?! Tu as fait ça ? Mais… pourquoi ?
Colin : Peut-être que si tu te mêlais de ce qui te regarde, ce serait déjà super !!! Moi : T’es sérieux, là ? Colin : OUAIS ! Moi : C’est elle qui s’est vantée de sortir avec toi ! J’ai rien cherché ! Colin : Je te parle pas juste d’Abby. Je te parle de ta façon de vouloir gérer ma vie ! Moi : Je suis même pas comme ça !!! Colin : C’est pour cette raison que tu nous as obligés, mon père et moi, à faire la vaisselle ? Que tu veux pas me redonner le journal ?? Que tu m’as obligé à aller au party de Jay ??? Moi : C’était pour aider ta mère ! Pis tu voulais y aller, toi aussi, là-bas. Et le journal, ben… ben… Il était à moi en premier ! En tout cas, tu vas être content, puisque je m’en vais dans deux jours ! Tu me verras plus et je serai plus là pour me mêler de tes affaires ! Colin : Génial !! Moi : Super !!! Il est allé s’enfermer dans sa chambre en claquant la porte et moi… moi, je suis restée là, les bras ballants, sans savoir quoi faire. Je n’avais pas d’endroit où aller pour me calmer et pour reprendre mes esprits. Ou pour pleurer…
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Colin : Peut-être que si tu te mêlais de ce qui te regarde, ce serait déjà super !!! Moi : T’es sérieux, là ? Colin : OUAIS ! Moi : C’est elle qui s’est vantée de sortir avec toi ! J’ai rien cherché ! Colin : Je te parle pas juste d’Abby. Je te parle de ta façon de vouloir gérer ma vie ! Moi : Je suis même pas comme ça !!! Colin : C’est pour cette raison que tu nous as obligés, mon père et moi, à faire la vaisselle ? Que tu veux pas me redonner le journal ?? Que tu m’as obligé à aller au party de Jay ??? Moi : C’était pour aider ta mère ! Pis tu voulais y aller, toi aussi, là-bas. Et le journal, ben… ben… Il était à moi en premier ! En tout cas, tu vas être content, puisque je m’en vais dans deux jours ! Tu me verras plus et je serai plus là pour me mêler de tes affaires ! Colin : Génial !! Moi : Super !!! Il est allé s’enfermer dans sa chambre en claquant la porte et moi… moi, je suis restée là, les bras ballants, sans savoir quoi faire. Je n’avais pas d’endroit où aller pour me calmer et pour reprendre mes esprits. Ou pour pleurer…
Moi : J’ai des petites nouvelles pour toi ! Tu vaux rien du tout ! T’es un microbe ! Une fourmi ! Un virus ! UNE BACTÉRIE !!! Émile le débile : Ouuuuuh… ça me touche, ce que tu me dis. J’ai de la grosse pe-peine. Je vais presque me mettre à pleurer. Moi : Je m’en fous ! Je suis juste ben contente que ma cousine ait compris quel genre de gars tu es. Et je vais m’assurer que toutes les filles qui te croiseront le sachent, elles aussi ! Émile le débile (en s’approchant pour m’intimider) : Si tu fais ça, je t’avertis que tu vas le regretter. Moi : Tu me fais pas peur ! Émile le débile : Ah ouin ? Tu devrais. Parce que la vengeance, c’est un plat qui se mange froid. Et je peux être trèèèès patient, quand je veux me venger de quelqu’un. Moi : Tu parles comme mon père ! Et tu sais ce qu’il y a d’autre qui se mange froid ? Émile le débile (en haussant un sourcil) : Hein ? Moi (en ramassant une petite balle de neige) : ÇA !!! Et… je lui ai balancé la neige direct sur le visage. Il en a eu plein la bouche. Ce qui fait que je n’ai pas trop entendu le reste de ses menaces. Il ne faisait que recracher de la neige et de la glace. Je pourrais dire que la punition qui a suivi m’a fait regretter mon geste, mais ce serait mentir…
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Moi : J’ai des petites nouvelles pour toi ! Tu vaux rien du tout ! T’es un microbe ! Une fourmi ! Un virus ! UNE BACTÉRIE !!! Émile le débile : Ouuuuuh… ça me touche, ce que tu me dis. J’ai de la grosse pe-peine. Je vais presque me mettre à pleurer. Moi : Je m’en fous ! Je suis juste ben contente que ma cousine ait compris quel genre de gars tu es. Et je vais m’assurer que toutes les filles qui te croiseront le sachent, elles aussi ! Émile le débile (en s’approchant pour m’intimider) : Si tu fais ça, je t’avertis que tu vas le regretter. Moi : Tu me fais pas peur ! Émile le débile : Ah ouin ? Tu devrais. Parce que la vengeance, c’est un plat qui se mange froid. Et je peux être trèèèès patient, quand je veux me venger de quelqu’un. Moi : Tu parles comme mon père ! Et tu sais ce qu’il y a d’autre qui se mange froid ? Émile le débile (en haussant un sourcil) : Hein ? Moi (en ramassant une petite balle de neige) : ÇA !!! Et… je lui ai balancé la neige direct sur le visage. Il en a eu plein la bouche. Ce qui fait que je n’ai pas trop entendu le reste de ses menaces. Il ne faisait que recracher de la neige et de la glace. Je pourrais dire que la punition qui a suivi m’a fait regretter mon geste, mais ce serait mentir…
Colin me faisait dos et refusait de tourner la tête vers moi. Il n'avait pas non plus le courage de venir me parler. Alors comment je pouvais réagir, hein? J'ai crié après lui sans pouvoir me retenir. Et je lui ai dit à peu près ceci... MOI (les larmes aux yeux): Tu pourrais au moins me regarder, il me semble! Espèce de... espèce de lâche! ANNA (en posant la main sur mon bras): Laisse-le, il a juste besoin d'être un peu tout seul. MOI (en me tournant vers elle, sans baisser la voix): Seul?! Mais il sera pas seul, il va être avec Benjamin! ANNA (en tentant de me tirer plus loin): Allez, viens. Il veut pas te parler, là. MOI: Mais pourquoi?!? C'est pas de ma faute, après tout, s'il a pas pu se retenir de sauter sur Émilie! Colin a pivoté en vitesse vers moi. Il a serré les poings, mais il a gardé les lèvres closes, tout en me fixant. On s'est regardés comme ça durant plusieurs secondes avant qu'Anna m'annonce que ses parents étaient là, qu'elle allait me conduire chez moi et que ce serait mieux ainsi.
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Colin me faisait dos et refusait de tourner la tête vers moi. Il n'avait pas non plus le courage de venir me parler. Alors comment je pouvais réagir, hein? J'ai crié après lui sans pouvoir me retenir. Et je lui ai dit à peu près ceci... MOI (les larmes aux yeux): Tu pourrais au moins me regarder, il me semble! Espèce de... espèce de lâche! ANNA (en posant la main sur mon bras): Laisse-le, il a juste besoin d'être un peu tout seul. MOI (en me tournant vers elle, sans baisser la voix): Seul?! Mais il sera pas seul, il va être avec Benjamin! ANNA (en tentant de me tirer plus loin): Allez, viens. Il veut pas te parler, là. MOI: Mais pourquoi?!? C'est pas de ma faute, après tout, s'il a pas pu se retenir de sauter sur Émilie! Colin a pivoté en vitesse vers moi. Il a serré les poings, mais il a gardé les lèvres closes, tout en me fixant. On s'est regardés comme ça durant plusieurs secondes avant qu'Anna m'annonce que ses parents étaient là, qu'elle allait me conduire chez moi et que ce serait mieux ainsi.
Je ne peux pas plaire à tout le monde, je le sais bien ! Mais quand je fais autant d'efforts, ça porte ses fruits. Je le sens dans la façon dont les gars me regardent. Sauf que, lui, il ne me fixait pas du tout comme s'il me trouvait belle. Il était plutôt... perplexe, je dirais. Il n'a d'ailleurs pas attendu longtemps, avant de ne demander: PHIL: Pourquoi tu fais ça? MOI: Pourquoi je fais quoi? PHIL: (en levant la main, pour pointer mon visage): Ça! Tout ce... ce maquillage! Et ça, aussi! Il venait de baisser les bras, pour montrer mes vêtements. Piquée au vif, je n'ai pas pu faire autrement que de répliquer, tandis que mes joues rougissaient. MOI: Ben quoi!? J'ai encore le droit de porter ce que je veux, que je sache! Et je ne me maquille pas tant que ça. J'ai juste mis un peu de mascara. PHIL: Et du gloss. Avec du fond de teint. Pis du rouge sur tes joues. Tsé que t'es juste dans un cimetière. T'es pas dans un party. Les morts vont pas se retourner sur ton passage. MOI: Rapport!? Pis c'est quoi ton problème? Sérieux, tu me connais pas! C'est quoi ton problème, de me juger comme ça?
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Je ne peux pas plaire à tout le monde, je le sais bien ! Mais quand je fais autant d'efforts, ça porte ses fruits. Je le sens dans la façon dont les gars me regardent. Sauf que, lui, il ne me fixait pas du tout comme s'il me trouvait belle. Il était plutôt... perplexe, je dirais. Il n'a d'ailleurs pas attendu longtemps, avant de ne demander: PHIL: Pourquoi tu fais ça? MOI: Pourquoi je fais quoi? PHIL: (en levant la main, pour pointer mon visage): Ça! Tout ce... ce maquillage! Et ça, aussi! Il venait de baisser les bras, pour montrer mes vêtements. Piquée au vif, je n'ai pas pu faire autrement que de répliquer, tandis que mes joues rougissaient. MOI: Ben quoi!? J'ai encore le droit de porter ce que je veux, que je sache! Et je ne me maquille pas tant que ça. J'ai juste mis un peu de mascara. PHIL: Et du gloss. Avec du fond de teint. Pis du rouge sur tes joues. Tsé que t'es juste dans un cimetière. T'es pas dans un party. Les morts vont pas se retourner sur ton passage. MOI: Rapport!? Pis c'est quoi ton problème? Sérieux, tu me connais pas! C'est quoi ton problème, de me juger comme ça?
Il a baissé les bras, l’air découragé. Puis, il s’est laissé retomber sur ses oreillers pour fixer le plafond. Mal à l’aise devant son silence, j’ai repris… Moi : Faque… t’es capable, ou pas ? Ce serait vraiment cool, si tu… Émile (d’une voix blanche) : Dylane ? Moi : Ouais ? Émile : Fous le camp. Moi : Quoi ? Émile : Dégage, j’ai dit. Moi : Ben là… Émile : Je suis sérieux, je veux plus te voir. Moi (en me relevant lentement) : Je sais pas ce que t’as, aujourd’hui, mais t’es méga plate. J’étais venue pour te demander un service, pis tu me jettes dehors ! T’es… t’es rien qu’un débile ! Émile (calmement) : Ouais, je sais… C’est tout ce que je suis. Un vrai de vrai débile. Émile le débile, c’est pas comme ça que tout le monde m’appelle, de toute façon ? Je suis restée quelques secondes à l’observer, ne sachant que dire. Il était bizarre. Comme… comme vraiment triste. Il donnait l’impression que ça l’affectait vraiment, ce qu’on pouvait bien penser de lui. Alors qu’avant il s’en était toujours foutu.
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Il a baissé les bras, l’air découragé. Puis, il s’est laissé retomber sur ses oreillers pour fixer le plafond. Mal à l’aise devant son silence, j’ai repris… Moi : Faque… t’es capable, ou pas ? Ce serait vraiment cool, si tu… Émile (d’une voix blanche) : Dylane ? Moi : Ouais ? Émile : Fous le camp. Moi : Quoi ? Émile : Dégage, j’ai dit. Moi : Ben là… Émile : Je suis sérieux, je veux plus te voir. Moi (en me relevant lentement) : Je sais pas ce que t’as, aujourd’hui, mais t’es méga plate. J’étais venue pour te demander un service, pis tu me jettes dehors ! T’es… t’es rien qu’un débile ! Émile (calmement) : Ouais, je sais… C’est tout ce que je suis. Un vrai de vrai débile. Émile le débile, c’est pas comme ça que tout le monde m’appelle, de toute façon ? Je suis restée quelques secondes à l’observer, ne sachant que dire. Il était bizarre. Comme… comme vraiment triste. Il donnait l’impression que ça l’affectait vraiment, ce qu’on pouvait bien penser de lui. Alors qu’avant il s’en était toujours foutu.
Émile n'allait pas bien... Pas bien du tout. Mais grâce à la vigilance et à l'amitié de Dylane, le pire a été évité. Maintenant, il ne reste à la jeune fille qu'à essayer de comprendre pourquoi il a voulu poser ce geste. Le cerveau rempli de toutes ces questions, Dylane sent qu'elle aurait bien besoin de vacances. Alors, quand on lui propose ce stage pour faire de la pâtisserie... en Belgique : elle saute sur le projet à pieds joints ! Pas plus compliqué que ça ! Dylane fait ses bagages, cherche son passeport dans le désordre de sa chambre (accuse ses frères de le lui avoir pris, puis le retrouve sous son lit in extremis) et se rend à l'aéroport. Mais... parce que ce n'est jamais simple, avec notre chère Dylane, elle aura évidemment besoin de son journal intime durant le voyage... Et aussi, des milliers de nouvelles pâtisseries qu'elle découvrira avec plaisir, une fois rendue en Belgique !
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Émile n'allait pas bien... Pas bien du tout. Mais grâce à la vigilance et à l'amitié de Dylane, le pire a été évité. Maintenant, il ne reste à la jeune fille qu'à essayer de comprendre pourquoi il a voulu poser ce geste. Le cerveau rempli de toutes ces questions, Dylane sent qu'elle aurait bien besoin de vacances. Alors, quand on lui propose ce stage pour faire de la pâtisserie... en Belgique : elle saute sur le projet à pieds joints ! Pas plus compliqué que ça ! Dylane fait ses bagages, cherche son passeport dans le désordre de sa chambre (accuse ses frères de le lui avoir pris, puis le retrouve sous son lit in extremis) et se rend à l'aéroport. Mais... parce que ce n'est jamais simple, avec notre chère Dylane, elle aura évidemment besoin de son journal intime durant le voyage... Et aussi, des milliers de nouvelles pâtisseries qu'elle découvrira avec plaisir, une fois rendue en Belgique !
GUILLAUME (nerveux) : C’est vrai, ce que je te raconte, hein ? J’ai lu sur un site Internet super fiable que ce n’est qu’une question de temps avant qu’une nouvelle pandémie survienne dans le monde ! MOI (en grimaçant) : Une pandémie, rien de moins ? GUILLAUME (en hochant la tête) : C’est du sérieux. Faut faire attention. C’est pour ça que chez moi, je stocke de la nourriture, des médicaments et du papier de toilette… MOI (sans comprendre) : Du papier de… OK, tu me niaises, c’est clair ! GUILLAUME (en s’approchant et en baissant la voix) : Je te le dis, Émile, quand ça va éclater, t’auras besoin de réserves de papier de toilette. Ça va être la folie dans les magasins et… Il s’est tu, car la porte des toilettes venait de s’ouvrir. Moi, j’ai secoué la tête, croyant encore que Guillaume était en train de me niaiser, mais il a attendu qu’on soit de nouveau seuls pour marmonner : GUILLAUME: Tu veux du Purell ? J’en ai des tas de petites bouteilles dans ma chambre.
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GUILLAUME (nerveux) : C’est vrai, ce que je te raconte, hein ? J’ai lu sur un site Internet super fiable que ce n’est qu’une question de temps avant qu’une nouvelle pandémie survienne dans le monde ! MOI (en grimaçant) : Une pandémie, rien de moins ? GUILLAUME (en hochant la tête) : C’est du sérieux. Faut faire attention. C’est pour ça que chez moi, je stocke de la nourriture, des médicaments et du papier de toilette… MOI (sans comprendre) : Du papier de… OK, tu me niaises, c’est clair ! GUILLAUME (en s’approchant et en baissant la voix) : Je te le dis, Émile, quand ça va éclater, t’auras besoin de réserves de papier de toilette. Ça va être la folie dans les magasins et… Il s’est tu, car la porte des toilettes venait de s’ouvrir. Moi, j’ai secoué la tête, croyant encore que Guillaume était en train de me niaiser, mais il a attendu qu’on soit de nouveau seuls pour marmonner : GUILLAUME: Tu veux du Purell ? J’en ai des tas de petites bouteilles dans ma chambre.
Papa (après le départ de la vendeuse) : Écoute, Dylane, je comprends que tu sois déçue, mais j’aimerais vraiment avoir ta collaboration pour passer à travers tout ça. Moi (en essayant de nettoyer la tache de lait sur mon chandail) : Ce qui me frustre le plus, c’est que tu nous as pas demandé notre avis ! On aurait pu trouver une solution ensemble. Papa (en soupirant) : Ton compte en banque est vide, Dylane. Je vois mal comment tu aurais réussi à payer mes dettes. Moi (en relevant la tête, insultée) : Il est pas vide !!! Papa (en haussant un sourcil) : Ah non ? Il y a combien dedans, alors ? Vingt gros dollars ?
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Papa (après le départ de la vendeuse) : Écoute, Dylane, je comprends que tu sois déçue, mais j’aimerais vraiment avoir ta collaboration pour passer à travers tout ça. Moi (en essayant de nettoyer la tache de lait sur mon chandail) : Ce qui me frustre le plus, c’est que tu nous as pas demandé notre avis ! On aurait pu trouver une solution ensemble. Papa (en soupirant) : Ton compte en banque est vide, Dylane. Je vois mal comment tu aurais réussi à payer mes dettes. Moi (en relevant la tête, insultée) : Il est pas vide !!! Papa (en haussant un sourcil) : Ah non ? Il y a combien dedans, alors ? Vingt gros dollars ?
Moi: Laisse-le. Il a rien fait. Émile (sans baisser le menton vers moi): J’ai juste besoin d’avoir une petite conversation avec lui. T’en fais pas, je lui ferai pas mal, à ton beau Colin d’amour. Moi: Il est pas.. t’es pas drôle. Pis t’as rien compris. Enfin, il a dirigé son regard vers moi et m’a fixée quelques secondes avant de lâcher : Émile: J’ai rien compris ? Au contraire. J’ai pas mal tout compris. Je suis pas si débile que sa, Dylane. Je le sais que je suis là « en attendant ». Que je sers à te changer les idées, le temps que l’autre se réveille pis se rappelle qu’il a une blonde. Moi (en secouant la tête) : Tu sers pas à ça ! Émile: Ah non?! Ben en quoi je te suis utile, d’abord? Je suis pas ton genre. tu viens juste de lui dire. Pis y est pas question que tu sortes avec moi non plus. Voyons, sortir avec le débile! Voir que sa se pourrait, hein ?! Je l’ai suivi sans rien dire, le moral plus à plat que jamais. Je pense qu’il voudrait qu’on soit officiellement un couple, mais… je ne suis pas prête pour sa. Je viens à peine de sortir d’une relation super longue avec Colin.
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Moi: Laisse-le. Il a rien fait. Émile (sans baisser le menton vers moi): J’ai juste besoin d’avoir une petite conversation avec lui. T’en fais pas, je lui ferai pas mal, à ton beau Colin d’amour. Moi: Il est pas.. t’es pas drôle. Pis t’as rien compris. Enfin, il a dirigé son regard vers moi et m’a fixée quelques secondes avant de lâcher : Émile: J’ai rien compris ? Au contraire. J’ai pas mal tout compris. Je suis pas si débile que sa, Dylane. Je le sais que je suis là « en attendant ». Que je sers à te changer les idées, le temps que l’autre se réveille pis se rappelle qu’il a une blonde. Moi (en secouant la tête) : Tu sers pas à ça ! Émile: Ah non?! Ben en quoi je te suis utile, d’abord? Je suis pas ton genre. tu viens juste de lui dire. Pis y est pas question que tu sortes avec moi non plus. Voyons, sortir avec le débile! Voir que sa se pourrait, hein ?! Je l’ai suivi sans rien dire, le moral plus à plat que jamais. Je pense qu’il voudrait qu’on soit officiellement un couple, mais… je ne suis pas prête pour sa. Je viens à peine de sortir d’une relation super longue avec Colin.
Moi (en essuyant les larmes sur mes joues) : Tu te souviens quand je t’ai demandé si c’était possible de détester quelqu’un qu’on a déjà aimé ? Phil (l’air malheureux) : Ouais… et j’avais pas trop su quoi répondre. Moi (en relevant le menton) : Ben tu sais quoi ? Phil (en haussant les épaules) : Quoi ? Moi (après avoir pris une bonne inspiration) : Oui, c’est possible. Je t’ai aimé comme c’est pas possible, mais là, je te déteste, Phil ! Pis je suis pas près de te pardonner ! Phil : Mira, attends… Mais j’ai tourné les talons et je me suis sauvée dans la nuit. Je n’ai pas attendu que sa nouvelle blonde sorte sur le balcon et me prouve elle aussi que je n’avais plus ma place chez Phil. Que si j’avais besoin de réconfort, ce n’était clairement pas lui qui allait me l’offrir. Sauf que j’ai trébuché sur une roche et j’ai bien failli tomber. Pour ne pas m’humilier encore davantage, je me suis arrêtée et j’ai retire mes souliers à talons. Je les ai balancés au loin et j’ai repris ma course. Sans me retourner…
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Moi (en essuyant les larmes sur mes joues) : Tu te souviens quand je t’ai demandé si c’était possible de détester quelqu’un qu’on a déjà aimé ? Phil (l’air malheureux) : Ouais… et j’avais pas trop su quoi répondre. Moi (en relevant le menton) : Ben tu sais quoi ? Phil (en haussant les épaules) : Quoi ? Moi (après avoir pris une bonne inspiration) : Oui, c’est possible. Je t’ai aimé comme c’est pas possible, mais là, je te déteste, Phil ! Pis je suis pas près de te pardonner ! Phil : Mira, attends… Mais j’ai tourné les talons et je me suis sauvée dans la nuit. Je n’ai pas attendu que sa nouvelle blonde sorte sur le balcon et me prouve elle aussi que je n’avais plus ma place chez Phil. Que si j’avais besoin de réconfort, ce n’était clairement pas lui qui allait me l’offrir. Sauf que j’ai trébuché sur une roche et j’ai bien failli tomber. Pour ne pas m’humilier encore davantage, je me suis arrêtée et j’ai retire mes souliers à talons. Je les ai balancés au loin et j’ai repris ma course. Sans me retourner…
Émile : Tu ris de mes jokes plates, tu me regardes quand tu penses que je m’en rends pas compte, tu demandes toujours aux autres où je suis… Moi : Comment tu sais que… Émile (en me coupant la parole) : Parce que moi aussi, je fais pareil. Moi aussi, je te surveille, je t’observe pis je te cherche des yeux quand j’arrive dans une pièce. Moi aussi je pense à toi dès que je me lève et je rêve de toi quand je me couche. Moi aussi je m’inquiète de savoir comment tu vas, je m’assure que tu es correcte et je me retire quand t’as besoin d’espace et d’air. Je fais tout ça, parce que je t’aime. Sauf que moi… moi, je suis pas gêné de l’avouer. Je te dis que je t’aime comme un débile, Dylane Morin !
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Émile : Tu ris de mes jokes plates, tu me regardes quand tu penses que je m’en rends pas compte, tu demandes toujours aux autres où je suis… Moi : Comment tu sais que… Émile (en me coupant la parole) : Parce que moi aussi, je fais pareil. Moi aussi, je te surveille, je t’observe pis je te cherche des yeux quand j’arrive dans une pièce. Moi aussi je pense à toi dès que je me lève et je rêve de toi quand je me couche. Moi aussi je m’inquiète de savoir comment tu vas, je m’assure que tu es correcte et je me retire quand t’as besoin d’espace et d’air. Je fais tout ça, parce que je t’aime. Sauf que moi… moi, je suis pas gêné de l’avouer. Je te dis que je t’aime comme un débile, Dylane Morin !
Moi : T’as bu ?! Colin (en se redressant et en faisant un pas vers l’arrière) : Ouais, et alors ? Moi : Mais tu disais que tu pouvais pas, à cause de ta tête. Colin : Ma tête va mieux. Et je bois si je veux. Pis j’ai juste pris une bière, de toute façon, pas de quoi capoter. Moi : Je capote pas, je suis surprise. Colin (avec un sourire mauvais) : Ça aussi, tu vas l’ajouter à toute la liste de mes nouveaux défauts ? Colin le courailleux, Colin le douchebag, Colin le soûlon… Moi (en secouant la tête) : Tu comprends rien. Colin : C’est toi qui veux pas m’écouter. Je suis en train de passer le plus bel été de ma vie. Et c’est pas ma faute si toi, tu déprimes parce que ton chum t’as laissée.
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Moi : T’as bu ?! Colin (en se redressant et en faisant un pas vers l’arrière) : Ouais, et alors ? Moi : Mais tu disais que tu pouvais pas, à cause de ta tête. Colin : Ma tête va mieux. Et je bois si je veux. Pis j’ai juste pris une bière, de toute façon, pas de quoi capoter. Moi : Je capote pas, je suis surprise. Colin (avec un sourire mauvais) : Ça aussi, tu vas l’ajouter à toute la liste de mes nouveaux défauts ? Colin le courailleux, Colin le douchebag, Colin le soûlon… Moi (en secouant la tête) : Tu comprends rien. Colin : C’est toi qui veux pas m’écouter. Je suis en train de passer le plus bel été de ma vie. Et c’est pas ma faute si toi, tu déprimes parce que ton chum t’as laissée.
GEORGINA (en tentant de répéter ma phrase, avec un accent de fou) : Jeu t’êêêmeu plusss grand queu l’ouniveurs. Je l’ai eu ? MOI (en gardant mon sérieux) : Ouais… c’était parfait. Pratique-toi encore une fois ou deux, pis ton chum va tripper, je te le dis. GEORGINA : C’est comme ça que tu réussis à te pogner des filles ? MOI : Hein ? Non, j’ai une blonde. GEORGINA (en me lançant un regard sceptique) : Pis elle est pas jalouse de te voir me donner des cours de français ? MOI : La jalousie, Georgina, c’est toxique dans un couple, tsé. GEORGINA (avec l’air de tout comprendre): Aaaah… tu lui as pas dit. MOI : Ben non, mais on s’en fout. Ça ne la dérangerait pas.
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GEORGINA (en tentant de répéter ma phrase, avec un accent de fou) : Jeu t’êêêmeu plusss grand queu l’ouniveurs. Je l’ai eu ? MOI (en gardant mon sérieux) : Ouais… c’était parfait. Pratique-toi encore une fois ou deux, pis ton chum va tripper, je te le dis. GEORGINA : C’est comme ça que tu réussis à te pogner des filles ? MOI : Hein ? Non, j’ai une blonde. GEORGINA (en me lançant un regard sceptique) : Pis elle est pas jalouse de te voir me donner des cours de français ? MOI : La jalousie, Georgina, c’est toxique dans un couple, tsé. GEORGINA (avec l’air de tout comprendre): Aaaah… tu lui as pas dit. MOI : Ben non, mais on s’en fout. Ça ne la dérangerait pas.

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