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La liste des tomes


Le jour où la photo de mes fesses a commencé à circuler, je n'ai pas pleuré. J'ai noyé ma honte dans le cacao. Deux tablettes de chocolat... Trois, pour être honnête. Puis, l'estomac au bord des lèvres, je me suis approprié cette insulte, cette vérité : "gros cul". J'ai un tout petit peu bafoué les règles d'orthographe : "groku". Ça dérange déjà moins, non ? Allez, je lui ai même ajouté un majuscule : Groku. "Je suis Groku", me suis-je répété. Ce même jour, j'ai créé mon blog. J'ai juste balancé en ligne la photo prise à la piscine. Et j'ai ajouté cette présentation minimaliste : "Je m'appelle Groku." Le lendemain, j'avais déjà des commentaires. Certains sympas. D'autres vaches. Et un très intrigant. Alors j'ai continué à écrire... PS : Ceci n'est pas un roman sur l'anorexie. Ni sur la boulimie. C'est une histoire de vie. Celle d'adolescentes et de leurs kilos, qu'elles en aient en trop ou pas assez. (4ème de couverture)
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Le jour où la photo de mes fesses a commencé à circuler, je n'ai pas pleuré. J'ai noyé ma honte dans le cacao. Deux tablettes de chocolat... Trois, pour être honnête. Puis, l'estomac au bord des lèvres, je me suis approprié cette insulte, cette vérité : "gros cul". J'ai un tout petit peu bafoué les règles d'orthographe : "groku". Ça dérange déjà moins, non ? Allez, je lui ai même ajouté un majuscule : Groku. "Je suis Groku", me suis-je répété. Ce même jour, j'ai créé mon blog. J'ai juste balancé en ligne la photo prise à la piscine. Et j'ai ajouté cette présentation minimaliste : "Je m'appelle Groku." Le lendemain, j'avais déjà des commentaires. Certains sympas. D'autres vaches. Et un très intrigant. Alors j'ai continué à écrire... PS : Ceci n'est pas un roman sur l'anorexie. Ni sur la boulimie. C'est une histoire de vie. Celle d'adolescentes et de leurs kilos, qu'elles en aient en trop ou pas assez. (4ème de couverture)
Marie-Michelle (Mich pour les intimes :o)) a 15 ans. Elle désespère de se faire un chum comme ses deux meilleures amies, Josiane et Marie-Ève, qui lui consacrent de moins en moins de temps pour cause de bécotage continuel…Jusqu’à ce que Mich rencontre Lenny, pour qui elle craque. Elle fera enfin la découverte de la complicité amoureuse, mais aussi, bien malgré elle, de la jalousie masculine… Il y a aussi Pierre-Olivier, un gars si doux, si attentionné, avec lequel elle se sent siiiii bien... Qui a dit que l’amour était compliqué ? Une chose est certaine, cette personne avait VRAIMENT raison !! Et pourquoi faut-il toujours que nos parents ne nous fassent pas confiance et nous traitent encore comme des enfants ? Pfff… Pas facile de gérer amours, famille, amis et études ! Voilà le dur constat que fera Marie-Michelle à l’aube de sa cinquième année du secondaire. Heureusement, à travers tous les tracas, il y a l’amour, le vrai, celui qu’on veut qui dure encore et encore et qui nous donne des frissons dans tout le corps. Alors, oserez-vous franchir vous aussi la Love zone, celle dans laquelle on est parfois plongé après un seul regard ?
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Marie-Michelle (Mich pour les intimes :o)) a 15 ans. Elle désespère de se faire un chum comme ses deux meilleures amies, Josiane et Marie-Ève, qui lui consacrent de moins en moins de temps pour cause de bécotage continuel…Jusqu’à ce que Mich rencontre Lenny, pour qui elle craque. Elle fera enfin la découverte de la complicité amoureuse, mais aussi, bien malgré elle, de la jalousie masculine… Il y a aussi Pierre-Olivier, un gars si doux, si attentionné, avec lequel elle se sent siiiii bien... Qui a dit que l’amour était compliqué ? Une chose est certaine, cette personne avait VRAIMENT raison !! Et pourquoi faut-il toujours que nos parents ne nous fassent pas confiance et nous traitent encore comme des enfants ? Pfff… Pas facile de gérer amours, famille, amis et études ! Voilà le dur constat que fera Marie-Michelle à l’aube de sa cinquième année du secondaire. Heureusement, à travers tous les tracas, il y a l’amour, le vrai, celui qu’on veut qui dure encore et encore et qui nous donne des frissons dans tout le corps. Alors, oserez-vous franchir vous aussi la Love zone, celle dans laquelle on est parfois plongé après un seul regard ?
On m’a demandé de raconter mon histoire… Mais comment faire sans raconter la leur, celle de toutes ces voix que j’entends constamment ? Certains disent que je suis malade, que je souffre de schizophrénie. Moi, tout ce que je sais, c’est qu’à quinze ans, ma vie a basculé lorsqu’elles sont entrées dans ma tête et qu’elles ont commencé à m’humilier, à me blesser au plus profond de mon âme... J’ai tout essayé pour les faire taire, les réduire au silence et me retrouver seule, enfin. Prières, jeûne, médicaments, alcool, drogues… Mais on ne vient pas si facilement à bout de la Grande Gueule et de sa hargne. J’ai voulu lutter, par tous les moyens possibles, mais c’est à ce moment qu’a commencé ma longue descente aux enfers. Mon combat peut avoir deux issues : la mort ou… ailleurs. Brillante, talentueuse, hypersensible, Rubby veut simplement vivre. Vivre comme tout le monde, comme avant… Un roman coup de poing sur l’enfer de la schizophrénie qui ne laissera personne indifférent.
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On m’a demandé de raconter mon histoire… Mais comment faire sans raconter la leur, celle de toutes ces voix que j’entends constamment ? Certains disent que je suis malade, que je souffre de schizophrénie. Moi, tout ce que je sais, c’est qu’à quinze ans, ma vie a basculé lorsqu’elles sont entrées dans ma tête et qu’elles ont commencé à m’humilier, à me blesser au plus profond de mon âme... J’ai tout essayé pour les faire taire, les réduire au silence et me retrouver seule, enfin. Prières, jeûne, médicaments, alcool, drogues… Mais on ne vient pas si facilement à bout de la Grande Gueule et de sa hargne. J’ai voulu lutter, par tous les moyens possibles, mais c’est à ce moment qu’a commencé ma longue descente aux enfers. Mon combat peut avoir deux issues : la mort ou… ailleurs. Brillante, talentueuse, hypersensible, Rubby veut simplement vivre. Vivre comme tout le monde, comme avant… Un roman coup de poing sur l’enfer de la schizophrénie qui ne laissera personne indifférent.
Je fondais tant d’espérances dans l’année de mes quinze ans… Je m’imaginais enfin rencontrer le grand amour, ressentir les petits papillons et tout le tralala. Pourtant, jamais je n’aurais pu imaginer l’enchaînement d’événements qui m’a amenée à faire le vide… en moi. Christophe, le « roi de la drague », qui m’a envoûtée d’un simple regard, si profond que j’ai été engloutie. Ma mère, qui ne me comprenait pas, qui me surprotégeait, surveillait mes moindres gestes. Ce que j’ai pu la détester ! Mes amies, mes vraies complices avec qui je partage tout. La liberté, la sensation d’enfin vivre MA vie, à MA façon, même si ça ne faisait qu’enrager encore plus ma mère… Et puis, la trahison, la peine, l’incompréhension. J’aurais voulu hurler ma douleur à la terre entière. Mais voilà que la vie en a décidé autrement : je devais mettre ma peine de côté et faire un choix… Un choix si important qu’il déterminerait chaque minute de mon existence… et de la sienne. Sophie Girard, travailleuse sociale, propose ici un roman d’une grande sensibilité, dans lequel elle aborde avec beaucoup de finesse certains des enjeux les plus préoccupants de l’adolescence : les relations amoureuses, la grossesse et l’avortement.
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Je fondais tant d’espérances dans l’année de mes quinze ans… Je m’imaginais enfin rencontrer le grand amour, ressentir les petits papillons et tout le tralala. Pourtant, jamais je n’aurais pu imaginer l’enchaînement d’événements qui m’a amenée à faire le vide… en moi. Christophe, le « roi de la drague », qui m’a envoûtée d’un simple regard, si profond que j’ai été engloutie. Ma mère, qui ne me comprenait pas, qui me surprotégeait, surveillait mes moindres gestes. Ce que j’ai pu la détester ! Mes amies, mes vraies complices avec qui je partage tout. La liberté, la sensation d’enfin vivre MA vie, à MA façon, même si ça ne faisait qu’enrager encore plus ma mère… Et puis, la trahison, la peine, l’incompréhension. J’aurais voulu hurler ma douleur à la terre entière. Mais voilà que la vie en a décidé autrement : je devais mettre ma peine de côté et faire un choix… Un choix si important qu’il déterminerait chaque minute de mon existence… et de la sienne. Sophie Girard, travailleuse sociale, propose ici un roman d’une grande sensibilité, dans lequel elle aborde avec beaucoup de finesse certains des enjeux les plus préoccupants de l’adolescence : les relations amoureuses, la grossesse et l’avortement.
Mes genoux se plient pour le grand saut. C’est ainsi que j’ai décidé de terminer mon histoire, ma vie. Dans un beau et très grand saut. Depuis la mort de son père, son seul confident, Marie-Ève a la rage de vivre mais le cœur rempli de chagrin. Sa famille, ses amis, ses amours ne sont que déception. Sa mère ? Elle fait vivre un cauchemar quotidien à Marie-Ève. Son chum Simon ? Il ne peut pas comprendre son besoin de fuir… Fuir très loin du nid familial qui n’a plus rien de douillet ni de sécurisant. Elle est mal comprise et mal aimée de tous… Après une première tentative de suicide à quinze ans, l’adolescente décide d'en finir une fois pour toutes avec sa souffrance. Elle n’en peut tout simplement plus de cette vie, elle est épuisée. Se jeter devant le métro lui semble être l’ultime solution à tous ses problèmes. À son réveil, le choc est immense et les séquelles de son geste, inévitables. Mais, plus encore que les marques permanentes laissées sur son corps, Marie-Ève accepte le pari de vivre, pleinement, comme jamais auparavant. L’histoire de cette adolescente en mal de vivre respire l'urgence : l'urgence de s'accrocher au bonheur et de se libérer d'une révolte intérieure trop longtemps étouffée. Le suicide y est abordé sans détours, mais aussi avec beaucoup d’espoir et de courage.
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Mes genoux se plient pour le grand saut. C’est ainsi que j’ai décidé de terminer mon histoire, ma vie. Dans un beau et très grand saut. Depuis la mort de son père, son seul confident, Marie-Ève a la rage de vivre mais le cœur rempli de chagrin. Sa famille, ses amis, ses amours ne sont que déception. Sa mère ? Elle fait vivre un cauchemar quotidien à Marie-Ève. Son chum Simon ? Il ne peut pas comprendre son besoin de fuir… Fuir très loin du nid familial qui n’a plus rien de douillet ni de sécurisant. Elle est mal comprise et mal aimée de tous… Après une première tentative de suicide à quinze ans, l’adolescente décide d'en finir une fois pour toutes avec sa souffrance. Elle n’en peut tout simplement plus de cette vie, elle est épuisée. Se jeter devant le métro lui semble être l’ultime solution à tous ses problèmes. À son réveil, le choc est immense et les séquelles de son geste, inévitables. Mais, plus encore que les marques permanentes laissées sur son corps, Marie-Ève accepte le pari de vivre, pleinement, comme jamais auparavant. L’histoire de cette adolescente en mal de vivre respire l'urgence : l'urgence de s'accrocher au bonheur et de se libérer d'une révolte intérieure trop longtemps étouffée. Le suicide y est abordé sans détours, mais aussi avec beaucoup d’espoir et de courage.
«Le SIDA, c'est pour les homosexuels, les drogués, pas pour les jeunes Juliette de 16 ans qui ne se droguent pas... qui viennent de découvrir l'amour, qui ont toute la vie devant elles». C'est ce que croit Lily jusqu'au jour où un médecin lui annonce qu'elle est atteinte du VIH. La dure réalité de cette fin de siècle frappe Lily de plein fouet : sa première nuit d'amour, cette nuit qu'elle avait souhaitée parfaite, s'est transformée en cauchemar tandis que ses rêves d'enfant ne sont plus qu'un lointain souvenir. Mais Lily souhaite se réconcilier avec la maladie. Qu'en est-il de ses parents? De ses amis, de ses professeurs, de son premier amour? Juliette livre ici un témoignage fidèle à son image : un témoignage sincère, qui respire la joie de vivre et le refus de baisser les bras.
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«Le SIDA, c'est pour les homosexuels, les drogués, pas pour les jeunes Juliette de 16 ans qui ne se droguent pas... qui viennent de découvrir l'amour, qui ont toute la vie devant elles». C'est ce que croit Lily jusqu'au jour où un médecin lui annonce qu'elle est atteinte du VIH. La dure réalité de cette fin de siècle frappe Lily de plein fouet : sa première nuit d'amour, cette nuit qu'elle avait souhaitée parfaite, s'est transformée en cauchemar tandis que ses rêves d'enfant ne sont plus qu'un lointain souvenir. Mais Lily souhaite se réconcilier avec la maladie. Qu'en est-il de ses parents? De ses amis, de ses professeurs, de son premier amour? Juliette livre ici un témoignage fidèle à son image : un témoignage sincère, qui respire la joie de vivre et le refus de baisser les bras.
Aube aime son père. De tout son cœur. Il est le soleil de sa vie, son prince charmant, le gardien de ses rêves et de ses cauchemars. Son père aime sa petite princesse. De tout son corps. Elle est l’inspiration de ses jeux interdits, son unique obsession, son pantin. Ensemble, ils filent le parfait bonheur. Jusqu’au jour où il lui prend ce qui lui restait d’enfance et d’innocence. Aube commence alors à s’éteindre pour ne reprendre vie que bien des années plus tard, peu avant son dix-huitième anniversaire, dans un bureau du Directeur de la Protection de la Jeunesse. L’expérience d’Aube ressemble malheureusement à celle de nombreux autres filles et garçons… mais elle a ceci de spécial : Aube a choisi de briser le mur du silence. Dans ce roman, l’inceste est abordé sans tabous afin de lever le voile sur un sujet dont les victimes et leur entourage osent très peu parler.
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Aube aime son père. De tout son cœur. Il est le soleil de sa vie, son prince charmant, le gardien de ses rêves et de ses cauchemars. Son père aime sa petite princesse. De tout son corps. Elle est l’inspiration de ses jeux interdits, son unique obsession, son pantin. Ensemble, ils filent le parfait bonheur. Jusqu’au jour où il lui prend ce qui lui restait d’enfance et d’innocence. Aube commence alors à s’éteindre pour ne reprendre vie que bien des années plus tard, peu avant son dix-huitième anniversaire, dans un bureau du Directeur de la Protection de la Jeunesse. L’expérience d’Aube ressemble malheureusement à celle de nombreux autres filles et garçons… mais elle a ceci de spécial : Aube a choisi de briser le mur du silence. Dans ce roman, l’inceste est abordé sans tabous afin de lever le voile sur un sujet dont les victimes et leur entourage osent très peu parler.
Trois meilleures amies qui découvrent la vie et l’amour. Trois expériences qui seront totalement différentes et à travers lesquelles ces amies apprendront que l’amour peut donner des ailes, mais aussi les couper. Heureusement qu’entre amies on peut tout se dire ! Enfin… c’est ce que je croyais avant ma rencontre avec Simon. Au début, tout était parfait entre nous, mais avec le temps, ce garçon que je croyais être LE bon a commencé à exercer son emprise sur moi. Quand l’amour devient une prison, que les paroles qui devraient être douces se transforment en coups de poing au cœur, qu’on ne sait plus à qui faire confiance et quand la personne dont on se méfie le plus, c’est soi-même, on choisit de garder le silence. C’est ce que j’ai fait. Sauf qu’en gardant le silence, on peut perdre la voix et parfois même… la vie. Une histoire d’amour ne devrait jamais être une descente aux enfers… Encore moins si elle écorche au passage notre confiance et notre estime de soi. L’amour de Simon pour Mathilde semble parfait, mais sous les apparences se cache une violence psychologique qui détruit l’adolescente à petit feu.
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Trois meilleures amies qui découvrent la vie et l’amour. Trois expériences qui seront totalement différentes et à travers lesquelles ces amies apprendront que l’amour peut donner des ailes, mais aussi les couper. Heureusement qu’entre amies on peut tout se dire ! Enfin… c’est ce que je croyais avant ma rencontre avec Simon. Au début, tout était parfait entre nous, mais avec le temps, ce garçon que je croyais être LE bon a commencé à exercer son emprise sur moi. Quand l’amour devient une prison, que les paroles qui devraient être douces se transforment en coups de poing au cœur, qu’on ne sait plus à qui faire confiance et quand la personne dont on se méfie le plus, c’est soi-même, on choisit de garder le silence. C’est ce que j’ai fait. Sauf qu’en gardant le silence, on peut perdre la voix et parfois même… la vie. Une histoire d’amour ne devrait jamais être une descente aux enfers… Encore moins si elle écorche au passage notre confiance et notre estime de soi. L’amour de Simon pour Mathilde semble parfait, mais sous les apparences se cache une violence psychologique qui détruit l’adolescente à petit feu.
Comment aimer l'école, quand tout ce qu'on y vit, c'est l'humiliation et la violence ? Comment croire que l'avenir sera plus rose, quand on ne sait même pas si on va passer à travers sa journée ? Mais, surtout, comment avoir encore des rêves, lorsque ceux-ci sont balayés à grands coups de poing et de pied ? Justin ne sait pas comment s'en sortir. La seule solution qu'il trouve est dans la révolte et la riposte. Quand on a seize ans, qu'on se croit différent et que, en plus, personne ne nous comprend, quel espoir nous reste-t-il ? Malgré la venue de l'amour dans sa vie, et le bien-être qu'il en retire, Justin parviendra-t-il à se détourner de son destin funeste? A moins que son besoin de vengeance ne soit plus fort que tout. En compagnie d'une poignée de jeunes qui vivent les mêmes épreuves que lui, Justin fera partie d'un plan d'une rare brutalité, dont il ne soupçonne pas encore la gravité des conséquences. L'histoire de Justin touche un sujet qui fait de plus en plus souvent les manchettes, malheureusement : la violence à l'école. Sous toutes ses formes. Même les plus extrêmes. C'est un récit qui vous marquera à jamais.
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Comment aimer l'école, quand tout ce qu'on y vit, c'est l'humiliation et la violence ? Comment croire que l'avenir sera plus rose, quand on ne sait même pas si on va passer à travers sa journée ? Mais, surtout, comment avoir encore des rêves, lorsque ceux-ci sont balayés à grands coups de poing et de pied ? Justin ne sait pas comment s'en sortir. La seule solution qu'il trouve est dans la révolte et la riposte. Quand on a seize ans, qu'on se croit différent et que, en plus, personne ne nous comprend, quel espoir nous reste-t-il ? Malgré la venue de l'amour dans sa vie, et le bien-être qu'il en retire, Justin parviendra-t-il à se détourner de son destin funeste? A moins que son besoin de vengeance ne soit plus fort que tout. En compagnie d'une poignée de jeunes qui vivent les mêmes épreuves que lui, Justin fera partie d'un plan d'une rare brutalité, dont il ne soupçonne pas encore la gravité des conséquences. L'histoire de Justin touche un sujet qui fait de plus en plus souvent les manchettes, malheureusement : la violence à l'école. Sous toutes ses formes. Même les plus extrêmes. C'est un récit qui vous marquera à jamais.
J'en peux plus qu'on me demande ce que je veux faire de ma vie. Je n'en ai oas la moindre idée. J'en ai marre d'y réfléchir. À la limite, je m'en fiche. Je veux seulement lâcher, sans décevoir ma blonde et ma famille. En même temps, j'ai peur de faire la gaffe de ma vie. J'ai juste envie d'aller voir ailleurs si j'y suis. Ouais, c'est ça, j'me pousse! Non. Ce serait carrément fou. Oh, et puis, tant pis. Qu'est-ce que je risque au fond? Ici, c'est le vide, le néant. Ailleurs, j'arriverai peut-être à me trouver.
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J'en peux plus qu'on me demande ce que je veux faire de ma vie. Je n'en ai oas la moindre idée. J'en ai marre d'y réfléchir. À la limite, je m'en fiche. Je veux seulement lâcher, sans décevoir ma blonde et ma famille. En même temps, j'ai peur de faire la gaffe de ma vie. J'ai juste envie d'aller voir ailleurs si j'y suis. Ouais, c'est ça, j'me pousse! Non. Ce serait carrément fou. Oh, et puis, tant pis. Qu'est-ce que je risque au fond? Ici, c'est le vide, le néant. Ailleurs, j'arriverai peut-être à me trouver.
Lorsqu’elle découvre son attirante pour les filles alors qu’elle a douze ans, Léa fait tout pour la refouler. Refusant cette orientation sexuelle qu’elle ne trouve pas normale, elle garde pour elle son penchant pour son entraineuse au gym, créant du même coup une distance entre elle et ses amis, sa famille. Cinq ans plus tard, elle cherchera la normalité dans les bras de Sébastien, un ami de son meilleur ami Alexis, mais les rencontres d’Émilie, puis de Frédérique, ne lui donneront pas d’autre choix que d’accepter la vérité. Léa est lesbienne, qu’elle le veuille ou non. Frédérique, son ainée de trois ans, tentera d’ailleurs de l’aider à s’accepter et lui fera découvrir le bonheur de l’amour, mais réussira-t-elle à faire en sorte que Léa cesse de vivre dans le mensonge?
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Lorsqu’elle découvre son attirante pour les filles alors qu’elle a douze ans, Léa fait tout pour la refouler. Refusant cette orientation sexuelle qu’elle ne trouve pas normale, elle garde pour elle son penchant pour son entraineuse au gym, créant du même coup une distance entre elle et ses amis, sa famille. Cinq ans plus tard, elle cherchera la normalité dans les bras de Sébastien, un ami de son meilleur ami Alexis, mais les rencontres d’Émilie, puis de Frédérique, ne lui donneront pas d’autre choix que d’accepter la vérité. Léa est lesbienne, qu’elle le veuille ou non. Frédérique, son ainée de trois ans, tentera d’ailleurs de l’aider à s’accepter et lui fera découvrir le bonheur de l’amour, mais réussira-t-elle à faire en sorte que Léa cesse de vivre dans le mensonge?
Depuis cette fameuse soirée chez John, Félix en parle sans arrêt à Nathan, son meilleur ami. Il ne cesse d’évoquer cette fête où ils ont bu plus que de raison. Normal, ils sont en âge de s’amuser ! Et bien sûr qu’ils étaient en état de conduire pour rentrer ! Il parle de l’accident, et des jours qui ont suivi : leur copain Zach, toujours dans le coma, Noah, si différent depuis. Il raconte le regard des autres, la difficulté de revenir à une vie normale, après « ça ». Mais Nathan ne répond pas. Nathan est mort. Mort dans ce virage… Une fraction de seconde où quatre vies ont basculé à jamais. À cause de l’alcool au volant. Pour quelques verres en trop, Félix a mis le V du verbe Vivre entre parenthèses. Ivre, il a cessé de Vivre. Il va pourtant bien falloir continuer. Survivre à l’absence de l’un, espérer la guérison de l’autre. Se supporter les uns les autres. Se supporter soi-même. Si c’est encore possible…
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Depuis cette fameuse soirée chez John, Félix en parle sans arrêt à Nathan, son meilleur ami. Il ne cesse d’évoquer cette fête où ils ont bu plus que de raison. Normal, ils sont en âge de s’amuser ! Et bien sûr qu’ils étaient en état de conduire pour rentrer ! Il parle de l’accident, et des jours qui ont suivi : leur copain Zach, toujours dans le coma, Noah, si différent depuis. Il raconte le regard des autres, la difficulté de revenir à une vie normale, après « ça ». Mais Nathan ne répond pas. Nathan est mort. Mort dans ce virage… Une fraction de seconde où quatre vies ont basculé à jamais. À cause de l’alcool au volant. Pour quelques verres en trop, Félix a mis le V du verbe Vivre entre parenthèses. Ivre, il a cessé de Vivre. Il va pourtant bien falloir continuer. Survivre à l’absence de l’un, espérer la guérison de l’autre. Se supporter les uns les autres. Se supporter soi-même. Si c’est encore possible…
Aussi loin que leurs souvenirs remontent, Raphaël et Elliot ont toujours été amis. Leurs retrouvailles, chaque été, étaient autrefois accompagnées de rires, de complicité et de joie. Mais l’été de leurs dix-sept ans sera différent… Elliot a changé. Il s’est fait une blonde – la belle Anaëlle – et il carbure encore plus à l’adrénaline qu’avant. Il n’a peur de rien et défie la vie – ou la mort – quotidiennement. Quant à Raphaël, il craint presque son ombre et suit son ami à reculons… jusqu’au jour où, sur la falaise, il met Elliot au défi de sauter. Ce jour-là, la vie des deux adolescents bascule. Rongé par les remords, Raphaël est sous le choc lorsque Elliot lui demande de l’aider à mourir. Qui est-il, lui, pour exercer ce droit de vie ou de mort ? Et d’abord, le veut-il ? Toujours considérée comme un acte illégal dans plusieurs pays, dont le Canada, l’euthanasie suscite bien des débats. L’histoire d’Elliot et de Raphaël nous place devant une décision que personne ne voudrait avoir à prendre.
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Aussi loin que leurs souvenirs remontent, Raphaël et Elliot ont toujours été amis. Leurs retrouvailles, chaque été, étaient autrefois accompagnées de rires, de complicité et de joie. Mais l’été de leurs dix-sept ans sera différent… Elliot a changé. Il s’est fait une blonde – la belle Anaëlle – et il carbure encore plus à l’adrénaline qu’avant. Il n’a peur de rien et défie la vie – ou la mort – quotidiennement. Quant à Raphaël, il craint presque son ombre et suit son ami à reculons… jusqu’au jour où, sur la falaise, il met Elliot au défi de sauter. Ce jour-là, la vie des deux adolescents bascule. Rongé par les remords, Raphaël est sous le choc lorsque Elliot lui demande de l’aider à mourir. Qui est-il, lui, pour exercer ce droit de vie ou de mort ? Et d’abord, le veut-il ? Toujours considérée comme un acte illégal dans plusieurs pays, dont le Canada, l’euthanasie suscite bien des débats. L’histoire d’Elliot et de Raphaël nous place devant une décision que personne ne voudrait avoir à prendre.
Leïla est une jeune fille de quinze ans. Avec de grands rêves. Avec des espoirs. Avec des envies de liberté. Mais par-dessus tout, elle souhaite trouver l'amour, le vrai. Bref, Leïla est comme toutes les autres filles de son âge. Du jour au lendemain, elle voit son quotidien paisible s'écrouler. Bouleversée par les agissements de Patrick, son chum, incapable de supporter les moqueries et la cruauté de ses camarades d'école, Leïla prend la fuite. À l'abri de ce qui la fait souffrir, loin de la maison et de sa famille qui ne la comprend pas, elle rencontre le beau Jonathan. Un gars vraiment cool, qui lui fait réaliser que ses rêves, même les plus fous, sont à sa portée. Pendant plusieurs semaines, Leïla mène la grande vie. Il n'y a plus d'interdits. Grâce à Jonathan, elle se sent comme une adulte, en plein contrôle de sa vie. Les amis du jeune homme -qui le surnomme Young Gun - l'ont acceptée comme si elle était des leurs. Pour une fois, elle se sent à sa place. Appreciée, désirée. Son beau prince l'initie à tous les plaisirs. Mais la fête finit par mal tourner. La vie rêvée se transforme en cauchemar et le reveil est brutal. Sauvage. Inhumain. L'exploitation sexuelle des jeunes filles est un sujet tabou parmis les tabous... C'est toutefois le sort que connaissent bien des adolescentes au Québec. Sans voile ni censure, Leïla raconte son histoire en ésperant qu'elle permettera à d'autres, comme elle, d'ouvrir les yeux et de tout faire pour s'en sortir. Et éviter les pièges. Mise en garde: contenu sexuellement explicite, langage grossier et violence. 16 ans +
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Leïla est une jeune fille de quinze ans. Avec de grands rêves. Avec des espoirs. Avec des envies de liberté. Mais par-dessus tout, elle souhaite trouver l'amour, le vrai. Bref, Leïla est comme toutes les autres filles de son âge. Du jour au lendemain, elle voit son quotidien paisible s'écrouler. Bouleversée par les agissements de Patrick, son chum, incapable de supporter les moqueries et la cruauté de ses camarades d'école, Leïla prend la fuite. À l'abri de ce qui la fait souffrir, loin de la maison et de sa famille qui ne la comprend pas, elle rencontre le beau Jonathan. Un gars vraiment cool, qui lui fait réaliser que ses rêves, même les plus fous, sont à sa portée. Pendant plusieurs semaines, Leïla mène la grande vie. Il n'y a plus d'interdits. Grâce à Jonathan, elle se sent comme une adulte, en plein contrôle de sa vie. Les amis du jeune homme -qui le surnomme Young Gun - l'ont acceptée comme si elle était des leurs. Pour une fois, elle se sent à sa place. Appreciée, désirée. Son beau prince l'initie à tous les plaisirs. Mais la fête finit par mal tourner. La vie rêvée se transforme en cauchemar et le reveil est brutal. Sauvage. Inhumain. L'exploitation sexuelle des jeunes filles est un sujet tabou parmis les tabous... C'est toutefois le sort que connaissent bien des adolescentes au Québec. Sans voile ni censure, Leïla raconte son histoire en ésperant qu'elle permettera à d'autres, comme elle, d'ouvrir les yeux et de tout faire pour s'en sortir. Et éviter les pièges. Mise en garde: contenu sexuellement explicite, langage grossier et violence. 16 ans +
C’est officiel, Léa sort avec Frédérique. Après une nuit de rêve dans un hôtel luxueux, elle redescend toutefois de son nuage. Alexis et Ariane, ses deux meilleurs amis, ont découvert qu’elle était lesbienne. Elle doit tout leur avouer… Mais pas question de le dire à ses parents ! Craignant que son secret soit dévoilé au grand jour, et déçue par la réaction démesurée d’Ariane, Léa décide de renoncer à l’amour de Fred. Un an et demi plus tard, elle fait la rencontre d'Anne, qui devient sa nouvelle copine. Aussitôt, les cachotteries recommencent. Mais Léa n’en peut plus d’inventer des histoires... Une importante décision s’impose à elle : il est grand temps de faire son coming out ! Armée de courage et du soutien d’Alexis, Léa élabore un plan pour parler à ses parents. Comment réagiront-ils ? Seront-ils déçus ? Choqués ? Anne, de son côté, réussira-t-elle à se confier aux siens ? Son père, cet ignoble homophobe, acceptera-t-il sa fille comme elle est ? Vivre dans le silence n’est pas simple et les deux jeunes femmes apprendront que malgré les conséquences, admettre qui l’on est procure un immense sentiment de liberté. Pour une adolescente, faire son coming out peut être synonyme de lourdes conséquences, car la crainte de perdre l’affection, l’amour et la reconnaissance de ses proches est omniprésente. L’auteure du Placard, paru dans la même collection, explore de nouveau le sujet de l'homosexualité féminine. Elle démontre cette fois qu'assumer son orientation sexuelle est la meilleure voie à suivre.
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C’est officiel, Léa sort avec Frédérique. Après une nuit de rêve dans un hôtel luxueux, elle redescend toutefois de son nuage. Alexis et Ariane, ses deux meilleurs amis, ont découvert qu’elle était lesbienne. Elle doit tout leur avouer… Mais pas question de le dire à ses parents ! Craignant que son secret soit dévoilé au grand jour, et déçue par la réaction démesurée d’Ariane, Léa décide de renoncer à l’amour de Fred. Un an et demi plus tard, elle fait la rencontre d'Anne, qui devient sa nouvelle copine. Aussitôt, les cachotteries recommencent. Mais Léa n’en peut plus d’inventer des histoires... Une importante décision s’impose à elle : il est grand temps de faire son coming out ! Armée de courage et du soutien d’Alexis, Léa élabore un plan pour parler à ses parents. Comment réagiront-ils ? Seront-ils déçus ? Choqués ? Anne, de son côté, réussira-t-elle à se confier aux siens ? Son père, cet ignoble homophobe, acceptera-t-il sa fille comme elle est ? Vivre dans le silence n’est pas simple et les deux jeunes femmes apprendront que malgré les conséquences, admettre qui l’on est procure un immense sentiment de liberté. Pour une adolescente, faire son coming out peut être synonyme de lourdes conséquences, car la crainte de perdre l’affection, l’amour et la reconnaissance de ses proches est omniprésente. L’auteure du Placard, paru dans la même collection, explore de nouveau le sujet de l'homosexualité féminine. Elle démontre cette fois qu'assumer son orientation sexuelle est la meilleure voie à suivre.
Une recrue… Voilà comment Thomas se sent. Un nouveau, un débutant. Dans un univers qu’il ne connaît pas et qui lui fait très peur : celui de l’homosexualité. Alors que Maxence, fraîchement débarqué d’Angleterre, semble s’intéresser à lui, Thomas se pose bien des questions. Leur relation déborde-t-elle du cadre de l’amitié ? Max, ce sportif populaire, peut-il réellement être gai ? Il n’en a pourtant pas l’air… À seize ans, Thomas a de la difficulté à le croire, mais il finit par l’admettre : il aime les hommes. Déjà que son quotidien n’est pas simple, alors que sa passion pour la danse attire sur lui les propos homophobes de ses camarades, l’avenir s’annonce encore plus compliqué… Quant à Max, il s’ennuie de la liberté d’agir qu’il avait à l’étranger, et de ses amis qui l’acceptaient tel qu'il est. Osera-t-il s'afficher ouvertement de nouveau ? Ensemble, les deux garçons découvrent le véritable amour. Pourquoi se cacher quand ce qui nous anime est si beau, si enivrant ? Pour s’affirmer, il faut être prêt à affronter le regard des autres. Un regard souvent dur et rempli de jugements… Environ 5 % de la population mondiale est homosexuelle. Mais trop peu de jeunes admettent leur différence, de peur d’être rejetés. L’histoire de Maxence et de Thomas nous permet de constater les nombreuses embûches que rencontrent les adolescents lorsqu’ils découvrent que leur orientation sexuelle est contraire à la « norme ». Dans une société qui se dit moderne et ouverte d’esprit, des efforts sont encore nécessaires afin que les tabous l'entourant disparaissent.
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Une recrue… Voilà comment Thomas se sent. Un nouveau, un débutant. Dans un univers qu’il ne connaît pas et qui lui fait très peur : celui de l’homosexualité. Alors que Maxence, fraîchement débarqué d’Angleterre, semble s’intéresser à lui, Thomas se pose bien des questions. Leur relation déborde-t-elle du cadre de l’amitié ? Max, ce sportif populaire, peut-il réellement être gai ? Il n’en a pourtant pas l’air… À seize ans, Thomas a de la difficulté à le croire, mais il finit par l’admettre : il aime les hommes. Déjà que son quotidien n’est pas simple, alors que sa passion pour la danse attire sur lui les propos homophobes de ses camarades, l’avenir s’annonce encore plus compliqué… Quant à Max, il s’ennuie de la liberté d’agir qu’il avait à l’étranger, et de ses amis qui l’acceptaient tel qu'il est. Osera-t-il s'afficher ouvertement de nouveau ? Ensemble, les deux garçons découvrent le véritable amour. Pourquoi se cacher quand ce qui nous anime est si beau, si enivrant ? Pour s’affirmer, il faut être prêt à affronter le regard des autres. Un regard souvent dur et rempli de jugements… Environ 5 % de la population mondiale est homosexuelle. Mais trop peu de jeunes admettent leur différence, de peur d’être rejetés. L’histoire de Maxence et de Thomas nous permet de constater les nombreuses embûches que rencontrent les adolescents lorsqu’ils découvrent que leur orientation sexuelle est contraire à la « norme ». Dans une société qui se dit moderne et ouverte d’esprit, des efforts sont encore nécessaires afin que les tabous l'entourant disparaissent.
Félix Gravel a connu une enfance difficile. Avec un père violent et alcoolique, et une mère qui n'arrivait pas à tenir tête à son mari, le jeune garçon a appris à ne rien espérer de la vie. Confié à son oncle après la mort de sa mère, il a grandi en accumulant les mauvais coups. À dix-sept ans, Félix veut finalement se prendre en main. Alors qu'il atterrit chez la famille Simard pour quelques mois, il revoit la jolie Frédérique. Élevée dans le luxe et la facilité, elle est bien différente de lui, mais Félix ne peut résister à l'envie de la séduire...
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Félix Gravel a connu une enfance difficile. Avec un père violent et alcoolique, et une mère qui n'arrivait pas à tenir tête à son mari, le jeune garçon a appris à ne rien espérer de la vie. Confié à son oncle après la mort de sa mère, il a grandi en accumulant les mauvais coups. À dix-sept ans, Félix veut finalement se prendre en main. Alors qu'il atterrit chez la famille Simard pour quelques mois, il revoit la jolie Frédérique. Élevée dans le luxe et la facilité, elle est bien différente de lui, mais Félix ne peut résister à l'envie de la séduire...
Alexandra a quatorze ans quand la fatigue et les ecchymoses font leur apparition. C'est à l'hôpital que le diagnostic tombe : leucémie. À partir de ce jour, la vie de l'adolescente sera à jamais chamboulée... Pendant ses trente mois de chimio, elle fera la connaissance de Guillaume, un garçon en rechute d'un cancer des os. Guillaume illumine l'univers d'Alex, assombri par la maladie. Très vite, ils deviendront proches. Très proches. Jusqu'à tomber amoureux l'un de l'autre. Mais pendant qu'Alex avance vers la rémission avec espoir, les mauvaises nouvelles s'accumulent pour Guillaume. Certains traitements ne donnent pas le résultat escompté et d'anciennes douleurs refont surface, présage d'un avenir incertain. Impossible alors de ne pas envisager toutes les possibilités, même la pire. Celle qu'Alexandra redoute le plus au monde... Comment garder espoir quand les statistiques sont contre nous ? Cruel, le destin a permis la rencontre de ces deux âmes soeurs pour ensuite s'acharner à les séparer. L'amour est fort et résiste à bien des épreuves, mais peut-il surmonter la mort ? À l'âge où la plupart des adolescents vivent leur premier amour, rêvent de liberté, se sentent invincibles et ne doutent pas d'avoir un futur rempli de promesses, Alex et Guillaume voient leur univers s'écrouler. Maladie terrible et souvent mortelle, le cancer oblige chaque année des centaines de jeunes à lutter pour leur survie.
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Alexandra a quatorze ans quand la fatigue et les ecchymoses font leur apparition. C'est à l'hôpital que le diagnostic tombe : leucémie. À partir de ce jour, la vie de l'adolescente sera à jamais chamboulée... Pendant ses trente mois de chimio, elle fera la connaissance de Guillaume, un garçon en rechute d'un cancer des os. Guillaume illumine l'univers d'Alex, assombri par la maladie. Très vite, ils deviendront proches. Très proches. Jusqu'à tomber amoureux l'un de l'autre. Mais pendant qu'Alex avance vers la rémission avec espoir, les mauvaises nouvelles s'accumulent pour Guillaume. Certains traitements ne donnent pas le résultat escompté et d'anciennes douleurs refont surface, présage d'un avenir incertain. Impossible alors de ne pas envisager toutes les possibilités, même la pire. Celle qu'Alexandra redoute le plus au monde... Comment garder espoir quand les statistiques sont contre nous ? Cruel, le destin a permis la rencontre de ces deux âmes soeurs pour ensuite s'acharner à les séparer. L'amour est fort et résiste à bien des épreuves, mais peut-il surmonter la mort ? À l'âge où la plupart des adolescents vivent leur premier amour, rêvent de liberté, se sentent invincibles et ne doutent pas d'avoir un futur rempli de promesses, Alex et Guillaume voient leur univers s'écrouler. Maladie terrible et souvent mortelle, le cancer oblige chaque année des centaines de jeunes à lutter pour leur survie.
Je m’appelle Lou et, il n’y a pas si longtemps, je partageais ma vie entre ma meilleure amie Lucie, Benjamin (que j’aimais en secret), et les heures de retenue que me donnait sans arrêt le directeur adjoint de mon école. J’y passais tellement de temps, d’ailleurs, que j’ai fini par y côtoyer Malo Servais, le garçon qui a brisé le cœur de Lucie. Je ne croyais pas cela possible, mais j’ai découvert en lui un être sympathique… qui m’a fait connaître la véritable amitié gars-fille. Jusque-là, tout allait bien, j’étais une adolescente comme les autres. C’est ensuite que ça s’est gâté. J’ai prononcé le prénom de Malo devant mes parents, et là, une véritable bombe a explosé ! Pourquoi ma mère a-t-elle réagi si violemment ? Ma sœur Marine et moi n’avons pas tardé à l’apprendre : nous avons eu un petit frère qui s’appelait Malo… et il est mort à trois semaines. Moi qui ai toujours rêvé de vivre un événement incroyable pour qu’on me remarque, j’ai constaté que ce n’est finalement pas si génial d’avoir une histoire pareille à raconter ! Et je n’étais pas au bout de mes surprises… Lors d’un week-end en famille, le mystère sur la mort de Malo a été dévoilé. Et la bombe, cette fois, était nucléaire ! Je comprends, maintenant, pourquoi on nous a caché cela si longtemps. Et je vais devoir m’armer de courage pour continuer à vivre avec la vérité. Toutes les familles ont des secrets, mais certains sont beaucoup plus graves que d’autres. Quand la vérité refait surface après plusieurs années, les conséquences sont parfois désastreuses. À l’adolescence, un lourd secret de famille peut anéantir notre confiance en soi, nos rêves et notre bonheur… Il ne faut alors pas négliger l’importance de l’amitié pour surmonter les obstacles.
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Je m’appelle Lou et, il n’y a pas si longtemps, je partageais ma vie entre ma meilleure amie Lucie, Benjamin (que j’aimais en secret), et les heures de retenue que me donnait sans arrêt le directeur adjoint de mon école. J’y passais tellement de temps, d’ailleurs, que j’ai fini par y côtoyer Malo Servais, le garçon qui a brisé le cœur de Lucie. Je ne croyais pas cela possible, mais j’ai découvert en lui un être sympathique… qui m’a fait connaître la véritable amitié gars-fille. Jusque-là, tout allait bien, j’étais une adolescente comme les autres. C’est ensuite que ça s’est gâté. J’ai prononcé le prénom de Malo devant mes parents, et là, une véritable bombe a explosé ! Pourquoi ma mère a-t-elle réagi si violemment ? Ma sœur Marine et moi n’avons pas tardé à l’apprendre : nous avons eu un petit frère qui s’appelait Malo… et il est mort à trois semaines. Moi qui ai toujours rêvé de vivre un événement incroyable pour qu’on me remarque, j’ai constaté que ce n’est finalement pas si génial d’avoir une histoire pareille à raconter ! Et je n’étais pas au bout de mes surprises… Lors d’un week-end en famille, le mystère sur la mort de Malo a été dévoilé. Et la bombe, cette fois, était nucléaire ! Je comprends, maintenant, pourquoi on nous a caché cela si longtemps. Et je vais devoir m’armer de courage pour continuer à vivre avec la vérité. Toutes les familles ont des secrets, mais certains sont beaucoup plus graves que d’autres. Quand la vérité refait surface après plusieurs années, les conséquences sont parfois désastreuses. À l’adolescence, un lourd secret de famille peut anéantir notre confiance en soi, nos rêves et notre bonheur… Il ne faut alors pas négliger l’importance de l’amitié pour surmonter les obstacles.
Lili, Frankie et Liz avaient élaboré le plan parfait : mourir tous ensemble, sans que les gens croient à un suicide. C’est du moins ce qu’ils pensaient. Mais ça ne s’est pas passé comme prévu… Lili, elle, a survécu. Après un long coma, elle se réveille à l’hôpital, où tout le monde crie au miracle. Mais pour l’adolescente, c’est un désastre. Elle n’est pas morte comme elle le voulait ! Et ses meilleurs amis sont partis, la laissant seule pour endurer cette vie qu’elle désirait tellement fuir. Pas facile de se battre pour recommencer à marcher quand ton seul souhait est d’en finir… Lentement, Lili prend toutefois conscience que son geste a eu de graves répercussions sur les membres de sa famille. Méritaient-ils toute la peine qu’elle leur a fait endurer ? D’ailleurs, ses raisons de vouloir mourir étaient-elles valables ? Au-delà du rétablissement de son corps brisé, la jeune femme devra entreprendre une guérison beaucoup plus difficile. Celle de son esprit. L’adolescence est une étape obligée, bien qu’éprouvante. Beaucoup de questions nous tiraillent, plusieurs personnes ne semblent exister que pour nous mener la vie dure. Et quand les choses empirent, on en vient parfois à envisager des solutions extrêmes, comme un pacte de suicide. Un appui extérieur aurait pu aider Lili à y voir clair afin d’éviter d’emprunter cette voie sans retour.
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Lili, Frankie et Liz avaient élaboré le plan parfait : mourir tous ensemble, sans que les gens croient à un suicide. C’est du moins ce qu’ils pensaient. Mais ça ne s’est pas passé comme prévu… Lili, elle, a survécu. Après un long coma, elle se réveille à l’hôpital, où tout le monde crie au miracle. Mais pour l’adolescente, c’est un désastre. Elle n’est pas morte comme elle le voulait ! Et ses meilleurs amis sont partis, la laissant seule pour endurer cette vie qu’elle désirait tellement fuir. Pas facile de se battre pour recommencer à marcher quand ton seul souhait est d’en finir… Lentement, Lili prend toutefois conscience que son geste a eu de graves répercussions sur les membres de sa famille. Méritaient-ils toute la peine qu’elle leur a fait endurer ? D’ailleurs, ses raisons de vouloir mourir étaient-elles valables ? Au-delà du rétablissement de son corps brisé, la jeune femme devra entreprendre une guérison beaucoup plus difficile. Celle de son esprit. L’adolescence est une étape obligée, bien qu’éprouvante. Beaucoup de questions nous tiraillent, plusieurs personnes ne semblent exister que pour nous mener la vie dure. Et quand les choses empirent, on en vient parfois à envisager des solutions extrêmes, comme un pacte de suicide. Un appui extérieur aurait pu aider Lili à y voir clair afin d’éviter d’emprunter cette voie sans retour.
« Oh, la jolie petite fille ! » Je suis pas mal sûr que c’est ce qu’on a dit quand je suis né. On a regardé entre mes jambes et le sort en était jeté. Après, ça n’a plus arrêté. « Regarde ses beaux cheveux longs, comme ceux d’un ange », disait toujours mon grand-père. Et mon frère refusait que je reste dans sa chambre quand il était avec ses amis : « Tu ne peux pas jouer avec nous, je ne veux pas d’une petite sœur dans les pattes. » Puis j’entendais ma mère me complimenter : « Éloïse, regarde-toi, ma belle, tu as l’air d’une princesse dans cette robe. » Éloïse. Je savais que c’était mon nom. Mais qui étaient la sœur, la belle, la poupée dont ils parlaient? Je ne me reconnaissais pas dans ces mots, je me sentais différent et je ne comprenais pas pourquoi. Quelque chose en moi avait mal. Les miroirs et le temps ont répondu à mes questions. J’ai vu un corps de fille. Et pourtant… Malgré mon corps féminin, je sais que ce n’est pas moi. Moi, je suis un garçon. Un gars, un homme, un ti-cul, un dude… Ou vous pouvez tout simplement m’appeler Éloi. Parfois, la nature fait une erreur, et un enfant naît dans le mauvais corps. Il se livre alors à un horrible combat intérieur, acceptant difficilement son physique comme étant le sien. Lorsque cette personne prend conscience de sa différence, lorsqu’elle décide que le changement de sexe est sa seule option, un immense processus s’enclenche. L’auteur, lui-même en transition, utilise son expérience pour raconter tous les obstacles inhérents à la transsexualité.
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« Oh, la jolie petite fille ! » Je suis pas mal sûr que c’est ce qu’on a dit quand je suis né. On a regardé entre mes jambes et le sort en était jeté. Après, ça n’a plus arrêté. « Regarde ses beaux cheveux longs, comme ceux d’un ange », disait toujours mon grand-père. Et mon frère refusait que je reste dans sa chambre quand il était avec ses amis : « Tu ne peux pas jouer avec nous, je ne veux pas d’une petite sœur dans les pattes. » Puis j’entendais ma mère me complimenter : « Éloïse, regarde-toi, ma belle, tu as l’air d’une princesse dans cette robe. » Éloïse. Je savais que c’était mon nom. Mais qui étaient la sœur, la belle, la poupée dont ils parlaient? Je ne me reconnaissais pas dans ces mots, je me sentais différent et je ne comprenais pas pourquoi. Quelque chose en moi avait mal. Les miroirs et le temps ont répondu à mes questions. J’ai vu un corps de fille. Et pourtant… Malgré mon corps féminin, je sais que ce n’est pas moi. Moi, je suis un garçon. Un gars, un homme, un ti-cul, un dude… Ou vous pouvez tout simplement m’appeler Éloi. Parfois, la nature fait une erreur, et un enfant naît dans le mauvais corps. Il se livre alors à un horrible combat intérieur, acceptant difficilement son physique comme étant le sien. Lorsque cette personne prend conscience de sa différence, lorsqu’elle décide que le changement de sexe est sa seule option, un immense processus s’enclenche. L’auteur, lui-même en transition, utilise son expérience pour raconter tous les obstacles inhérents à la transsexualité.
La lame de l’exacto va et vient. Clic, clic ! De plus en plus vite. Je l’approche du bout de l’un de mes doigts. Des frissons me parcourent. J’anticipe la douleur de la coupure et, en même temps, elle semble tellement… libératrice ! Juste un petit trait, tout doucement, pour voir… Je n’appuie pas trop fort, je ne veux pas mourir ! Je veux seulement contrôler ma souffrance intérieure. Comment ? Je l’enterre sous une autre souffrance : physique, celle-là. Quel sentiment de puissance ! Mais… vais-je pouvoir arrêter ? À la suite de l’accident de son frère, dont elle se sent responsable, Angélique est submergée par le mal-être qu’elle ressentait depuis des années et que la tragédie a accentué. Elle s’isole graduellement avec sa douleur, et sa lame devient une bouée de sauvetage. Mais, inconsciemment, Angélique espère-t-elle que quelqu’un découvre ce qu’elle se fait et la sauve… d’elle-même ?
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La lame de l’exacto va et vient. Clic, clic ! De plus en plus vite. Je l’approche du bout de l’un de mes doigts. Des frissons me parcourent. J’anticipe la douleur de la coupure et, en même temps, elle semble tellement… libératrice ! Juste un petit trait, tout doucement, pour voir… Je n’appuie pas trop fort, je ne veux pas mourir ! Je veux seulement contrôler ma souffrance intérieure. Comment ? Je l’enterre sous une autre souffrance : physique, celle-là. Quel sentiment de puissance ! Mais… vais-je pouvoir arrêter ? À la suite de l’accident de son frère, dont elle se sent responsable, Angélique est submergée par le mal-être qu’elle ressentait depuis des années et que la tragédie a accentué. Elle s’isole graduellement avec sa douleur, et sa lame devient une bouée de sauvetage. Mais, inconsciemment, Angélique espère-t-elle que quelqu’un découvre ce qu’elle se fait et la sauve… d’elle-même ?
Si on m’avait dit, il y a quelques années, que je triperais sur Stéphanie Dubuc, je ne l’aurais jamais cru. Mais voilà, maintenant, je suis pris au piège. Je suis tombé sous son charme et je n’arrive plus à me la sortir de la tête. Tous les autres considèrent Stéphanie comme une nerd, une rejet, mais pour moi, c’est la fille la plus parfaite de l’école. Toutefois, quand on est un sportif populaire, on n’a pas le droit d’aimer ce genre de personnes. On se fait juger et nos amis pensent qu’on est fou, qu’on est devenu loser, comme ces gens que tout le monde écœure parce qu’ils sont différents. J’en ai assez. Faut que ça arrête. Ça va trop loin ! Stéphanie croit que je la niaise, mais c’est faux ! Je l’aime tellement… Je dois réussir à la convaincre que mes sentiments sont réels. Je dois faire changer les mentalités dans cette école. Je dois surtout faire du ménage dans mes amis, parce qu’ils n’ont peut-être pas tous une influence positive sur moi, finalement. L’intimidation fait rage plus que jamais dans les écoles et elle a des conséquences désastreuses sur l’estime des adolescents. Quand on est témoin d’actes violents, et même de propos déplacés, on ne devrait pas garder le silence, mais dénoncer ceux qui s’amusent aux dépens de leurs victimes. Parce que les gestes font mal sur le coup, mais les paroles provoquent bien souvent des blessures pour la vie.
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Si on m’avait dit, il y a quelques années, que je triperais sur Stéphanie Dubuc, je ne l’aurais jamais cru. Mais voilà, maintenant, je suis pris au piège. Je suis tombé sous son charme et je n’arrive plus à me la sortir de la tête. Tous les autres considèrent Stéphanie comme une nerd, une rejet, mais pour moi, c’est la fille la plus parfaite de l’école. Toutefois, quand on est un sportif populaire, on n’a pas le droit d’aimer ce genre de personnes. On se fait juger et nos amis pensent qu’on est fou, qu’on est devenu loser, comme ces gens que tout le monde écœure parce qu’ils sont différents. J’en ai assez. Faut que ça arrête. Ça va trop loin ! Stéphanie croit que je la niaise, mais c’est faux ! Je l’aime tellement… Je dois réussir à la convaincre que mes sentiments sont réels. Je dois faire changer les mentalités dans cette école. Je dois surtout faire du ménage dans mes amis, parce qu’ils n’ont peut-être pas tous une influence positive sur moi, finalement. L’intimidation fait rage plus que jamais dans les écoles et elle a des conséquences désastreuses sur l’estime des adolescents. Quand on est témoin d’actes violents, et même de propos déplacés, on ne devrait pas garder le silence, mais dénoncer ceux qui s’amusent aux dépens de leurs victimes. Parce que les gestes font mal sur le coup, mais les paroles provoquent bien souvent des blessures pour la vie.
À l’âge de huit ans, on m’a diagnostiqué un Trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité ; TDAH, pour les intimes. Qu’est-ce que ça fait dans la vie, un « déficitaire de l’attention » ? Eh bien, ça conteste l’autorité, c’est irritable, ça s’impatiente rapidement, ça parle tout le temps, ça coupe la parole, ça argumente, c’est incapable de tenir en place plus de cinq minutes, ça dérange les professeurs et les autres élèves en classe, ça se fait du souci pour n’importe quoi et ça échoue souvent à l’école. Bref, ça fait chier tout le monde. J’ai donc grandi avec une perception négative de moi-même. Pendant une bonne partie de ma vie, j’ai eu l’impression que tout ce que j’étais capable de faire, c’était me planter et déranger les gens autour de moi. J’en voulais à mes professeurs, à mes parents et à mes intervenants de n’avoir su me faire que des reproches, de m’avoir fait sentir coupable pour des comportements que je ne contrôlais pas. En vieillissant, un sentiment qui m’a toujours habité a commencé à prendre de l’ampleur. Ce sentiment, c’est la rage. La rage de vivre.
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À l’âge de huit ans, on m’a diagnostiqué un Trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité ; TDAH, pour les intimes. Qu’est-ce que ça fait dans la vie, un « déficitaire de l’attention » ? Eh bien, ça conteste l’autorité, c’est irritable, ça s’impatiente rapidement, ça parle tout le temps, ça coupe la parole, ça argumente, c’est incapable de tenir en place plus de cinq minutes, ça dérange les professeurs et les autres élèves en classe, ça se fait du souci pour n’importe quoi et ça échoue souvent à l’école. Bref, ça fait chier tout le monde. J’ai donc grandi avec une perception négative de moi-même. Pendant une bonne partie de ma vie, j’ai eu l’impression que tout ce que j’étais capable de faire, c’était me planter et déranger les gens autour de moi. J’en voulais à mes professeurs, à mes parents et à mes intervenants de n’avoir su me faire que des reproches, de m’avoir fait sentir coupable pour des comportements que je ne contrôlais pas. En vieillissant, un sentiment qui m’a toujours habité a commencé à prendre de l’ampleur. Ce sentiment, c’est la rage. La rage de vivre.
Peut-être es-tu comme moi. Loin d'être populaire à l'école, tu passes pas mal inaperçue, à ton grand désespoir, alors que tout ce que tu voudrais, c'est enfin te faire remarquer pour trouver l'amour. Mais être invisible n'est certainement pas le prérequis numéro un pour séduire ton prince charmant. C'est arrivé un peu par hasard, mais j'ai déniché le mode d'emploi. Celui pour l'amour. Et avec le recul, je me rends compte que pour vivre une incroyable idylle, je ferais tout. Littéralement, tout. C'est un processus assez simple. Étape numéro un : te trouver une bande d'amies vraiment cool et populaires, question de te tenir le plus près possible des beaux gars de l'école. Étape numéro deux : te créer un profil sur les réseaux sociaux, ainsi que sur des sites de rencontre. Étape numéro trois : te dénuder devant ta webcam. Étape numéro quatre (impensable mais souvent inévitable) : pleurer toutes les larmes de ton corps en te demandant si tout ça, c'est bel et bien arrivé. La cyberprédation est un fléau qui s'immisce dans la vie de nos jeunes de façon insidieuse. La facilité d'accès aux réseaux sociaux rend la vérification de l'identité des utilisateurs presque impossible. Les faux marchands de rêves ont ainsi tout le loisir de berner leurs victimes plus ou moins consentantes, profitant de l'anonymat d'Internet pour obtenir ce qu'ils veulent. Thème de ce roman : Pacte de suicide
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Peut-être es-tu comme moi. Loin d'être populaire à l'école, tu passes pas mal inaperçue, à ton grand désespoir, alors que tout ce que tu voudrais, c'est enfin te faire remarquer pour trouver l'amour. Mais être invisible n'est certainement pas le prérequis numéro un pour séduire ton prince charmant. C'est arrivé un peu par hasard, mais j'ai déniché le mode d'emploi. Celui pour l'amour. Et avec le recul, je me rends compte que pour vivre une incroyable idylle, je ferais tout. Littéralement, tout. C'est un processus assez simple. Étape numéro un : te trouver une bande d'amies vraiment cool et populaires, question de te tenir le plus près possible des beaux gars de l'école. Étape numéro deux : te créer un profil sur les réseaux sociaux, ainsi que sur des sites de rencontre. Étape numéro trois : te dénuder devant ta webcam. Étape numéro quatre (impensable mais souvent inévitable) : pleurer toutes les larmes de ton corps en te demandant si tout ça, c'est bel et bien arrivé. La cyberprédation est un fléau qui s'immisce dans la vie de nos jeunes de façon insidieuse. La facilité d'accès aux réseaux sociaux rend la vérification de l'identité des utilisateurs presque impossible. Les faux marchands de rêves ont ainsi tout le loisir de berner leurs victimes plus ou moins consentantes, profitant de l'anonymat d'Internet pour obtenir ce qu'ils veulent. Thème de ce roman : Pacte de suicide
Le 31 décembre à minuit, ma meilleure amie Stéphanie et moi, on a formulé le souhait de trouver l’amour avant la fin de l’année. En fait, on s’est promis de sortir avec les jumeaux Perron, les plus beaux gars de l’école, pour qu’ils soient nos cavaliers au bal des finissants. Mon amie ne croyait pas que c’était possible, mais maintenant qu’elle fréquente Jeff Perron, elle se met à penser que les rêves peuvent devenir réalité. Pour ma part, le conte de fées s’avère désastreux. Oui, je me suis rapprochée de Joe, mais pas comme je le voulais. Et si Steph apprenait ce que j’ai fait le soir de la Saint-Valentin, elle ne voudrait sûrement plus rien savoir de mon amitié… Elle commence d’ailleurs à me trouver intense. Elle dit que je suis obsédée par mon beau jumeau, que j’ai des comportements un peu fous. Elle ne comprend pas mon attitude, les highs et les downs qui ponctuent mon quotidien. C’est pourtant normal d’avoir les émotions en montagnes russes, à mon âge, non ? Dorothée souffre en fait, sans le savoir, de bipolarité, cette maladie trop fréquemment ignorée et bafouée par les préjugés. Peu importe leur âge, les gens qui en sont atteints ont souvent peur de l’avouer, même si le diagnostic et les médicaments leur ont sauvé la vie. Une vie qu’ils peuvent maintenant mener de façon plus équilibrée.
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Le 31 décembre à minuit, ma meilleure amie Stéphanie et moi, on a formulé le souhait de trouver l’amour avant la fin de l’année. En fait, on s’est promis de sortir avec les jumeaux Perron, les plus beaux gars de l’école, pour qu’ils soient nos cavaliers au bal des finissants. Mon amie ne croyait pas que c’était possible, mais maintenant qu’elle fréquente Jeff Perron, elle se met à penser que les rêves peuvent devenir réalité. Pour ma part, le conte de fées s’avère désastreux. Oui, je me suis rapprochée de Joe, mais pas comme je le voulais. Et si Steph apprenait ce que j’ai fait le soir de la Saint-Valentin, elle ne voudrait sûrement plus rien savoir de mon amitié… Elle commence d’ailleurs à me trouver intense. Elle dit que je suis obsédée par mon beau jumeau, que j’ai des comportements un peu fous. Elle ne comprend pas mon attitude, les highs et les downs qui ponctuent mon quotidien. C’est pourtant normal d’avoir les émotions en montagnes russes, à mon âge, non ? Dorothée souffre en fait, sans le savoir, de bipolarité, cette maladie trop fréquemment ignorée et bafouée par les préjugés. Peu importe leur âge, les gens qui en sont atteints ont souvent peur de l’avouer, même si le diagnostic et les médicaments leur ont sauvé la vie. Une vie qu’ils peuvent maintenant mener de façon plus équilibrée.
Quand j'étais petite, mon père me répétait sans cesse à quel point j'étais laide. Avec mes cheveux crépus et mon teint de mulâtre, je détonnais à côté de mes soeurs, blondes, à la peau de porcelaine. En vieillissant, je rêvais de ressembler aux mannequins dans les magazines, aux vedettes de la télé. Mais j'ai fini par comprendre que je ne serais jamais comme elles. Jamais jolie. Juste ordinaire. Maintenant, je cache mon manque de courbes sous des vêtements trop grands. Et je m'isole, tentant de devenir invisible aux yeux des autres. Mais voilà, récemment, j'ai trouvé la solution à mes problèmes. À mon manque de confiance. Tout ce qu'il me faut, ce sont des seins plus gros. Je me sentirais tellement bien ! Je pourrais porter des décolletés comme les autres filles, et enfin espérer connaître l'amour... Ma mère et ma meilleure amie me parlent des complications de l'opération. Mais je me fiche de ce qu'elles racontent. Aucun risque n'est assez grand pour me dissuader d'aller jusqu'au bout de mon projet C. Beaucoup de jeunes femmes pensent recourir à l'augmentation mammaire, convaincues que, pour être belles, elles doivent correspondre aux modèles fabriqués par l'industrie de la mode. La chirurgie comporte toutefois des risques qui ne sont pas toujours considérés avec sérieux par les patientes. Bien se renseigner est primordial avant de songer à cette solution dont certains effets peuvent être irréversibles.
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Quand j'étais petite, mon père me répétait sans cesse à quel point j'étais laide. Avec mes cheveux crépus et mon teint de mulâtre, je détonnais à côté de mes soeurs, blondes, à la peau de porcelaine. En vieillissant, je rêvais de ressembler aux mannequins dans les magazines, aux vedettes de la télé. Mais j'ai fini par comprendre que je ne serais jamais comme elles. Jamais jolie. Juste ordinaire. Maintenant, je cache mon manque de courbes sous des vêtements trop grands. Et je m'isole, tentant de devenir invisible aux yeux des autres. Mais voilà, récemment, j'ai trouvé la solution à mes problèmes. À mon manque de confiance. Tout ce qu'il me faut, ce sont des seins plus gros. Je me sentirais tellement bien ! Je pourrais porter des décolletés comme les autres filles, et enfin espérer connaître l'amour... Ma mère et ma meilleure amie me parlent des complications de l'opération. Mais je me fiche de ce qu'elles racontent. Aucun risque n'est assez grand pour me dissuader d'aller jusqu'au bout de mon projet C. Beaucoup de jeunes femmes pensent recourir à l'augmentation mammaire, convaincues que, pour être belles, elles doivent correspondre aux modèles fabriqués par l'industrie de la mode. La chirurgie comporte toutefois des risques qui ne sont pas toujours considérés avec sérieux par les patientes. Bien se renseigner est primordial avant de songer à cette solution dont certains effets peuvent être irréversibles.
Ma sœur Annabelle me dit que je suis son chevalier, parfois son prince. Plus personne ne s’offusque quand je me présente en tant que garçon, mes amis et ma famille ont compris que mon corps n’est pas tout ce qui me définit. Je prends de la testostérone, j’attends impatiemment de pouvoir subir ma première chirurgie et je commence le cégep. Maintenant, à dix-sept ans, je suis Éloi. Je suis heureux, je suis en paix, mais je ne cesse de me poser une question : est-ce qu’un jour, quelqu’un voudra être en couple avec moi ? Puis, il y a Luka, un ami de Dominic, qui s’immisce dans ma quiétude. Il change tout avec ses yeux gentils et ses questions que j’évite. Il est gai, comme moi. Non… pas tout à fait comme moi. Mais comment pourrais-je lui avouer que je ne suis pas exactement celui qu’il apprécie ? Plus j’apprends à le connaître, plus j’ai envie d’être son prince à lui. Et moins j’ai envie qu’il sache que je suis transsexuel. Finalement, je me rends compte que je ressens encore le besoin de me cacher pour qu’on m’aime. Prise d’hormones, chirurgies, documents gouvernementaux, première relation amoureuse… Dans cette suite de Garçon manqué, l’auteur continue d’aborder la transsexualité, et, surtout, les étapes à franchir par les gens en transition. Admettre sa différence est un pas énorme, mais tout ce que ça implique par la suite demande également beaucoup de courage.
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Ma sœur Annabelle me dit que je suis son chevalier, parfois son prince. Plus personne ne s’offusque quand je me présente en tant que garçon, mes amis et ma famille ont compris que mon corps n’est pas tout ce qui me définit. Je prends de la testostérone, j’attends impatiemment de pouvoir subir ma première chirurgie et je commence le cégep. Maintenant, à dix-sept ans, je suis Éloi. Je suis heureux, je suis en paix, mais je ne cesse de me poser une question : est-ce qu’un jour, quelqu’un voudra être en couple avec moi ? Puis, il y a Luka, un ami de Dominic, qui s’immisce dans ma quiétude. Il change tout avec ses yeux gentils et ses questions que j’évite. Il est gai, comme moi. Non… pas tout à fait comme moi. Mais comment pourrais-je lui avouer que je ne suis pas exactement celui qu’il apprécie ? Plus j’apprends à le connaître, plus j’ai envie d’être son prince à lui. Et moins j’ai envie qu’il sache que je suis transsexuel. Finalement, je me rends compte que je ressens encore le besoin de me cacher pour qu’on m’aime. Prise d’hormones, chirurgies, documents gouvernementaux, première relation amoureuse… Dans cette suite de Garçon manqué, l’auteur continue d’aborder la transsexualité, et, surtout, les étapes à franchir par les gens en transition. Admettre sa différence est un pas énorme, mais tout ce que ça implique par la suite demande également beaucoup de courage.
Six mois ont passé depuis que Lili a survécu au pacte de suicide qu'elle avait conclu avec ses amis, Frankie et Liz. La jeune femme croit désormais avoir remis sa vie sur les rails. Les séquelles causées par l'accident de voiture s'estompent, l'harmonie est revenue au sein de sa famille et elle a même trouvé l'amour dans les bras de Tom, son physiothérapeute. Mais une ombre plane toujours sur sa tête : celle du mensonge. Des éléments de preuve concernant la tragédie sont rendus publics, ce qui remet en cause l'innocence de Frankie. Lili devra faire un choix déchirant : laisser son ami porter le blâme et passer pour un meurtrier aux yeux de tous ou avouer son secret à son entourage. Sauf que la vérité risque de tout faire s'effondrer... encore une fois. Lili est-elle prête à mettre en péril son bonheur tout neuf? Les conséquences du mensonge se révèlent parfois d'une gravité insoupçonnée. C'est ce qui arrive lorsqu'on doit répondre de ses actes devant la justice. Dans cette suite de Ce qui ne tue pas, le parjure risque d'être lourd à porter pour Lili. Au-delà des considérations légales se profilent également des questions éthiques : sacrifier la quiétude de ses proches, même illusoire, ou préserver la mémoire d'un être cher ?
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Six mois ont passé depuis que Lili a survécu au pacte de suicide qu'elle avait conclu avec ses amis, Frankie et Liz. La jeune femme croit désormais avoir remis sa vie sur les rails. Les séquelles causées par l'accident de voiture s'estompent, l'harmonie est revenue au sein de sa famille et elle a même trouvé l'amour dans les bras de Tom, son physiothérapeute. Mais une ombre plane toujours sur sa tête : celle du mensonge. Des éléments de preuve concernant la tragédie sont rendus publics, ce qui remet en cause l'innocence de Frankie. Lili devra faire un choix déchirant : laisser son ami porter le blâme et passer pour un meurtrier aux yeux de tous ou avouer son secret à son entourage. Sauf que la vérité risque de tout faire s'effondrer... encore une fois. Lili est-elle prête à mettre en péril son bonheur tout neuf? Les conséquences du mensonge se révèlent parfois d'une gravité insoupçonnée. C'est ce qui arrive lorsqu'on doit répondre de ses actes devant la justice. Dans cette suite de Ce qui ne tue pas, le parjure risque d'être lourd à porter pour Lili. Au-delà des considérations légales se profilent également des questions éthiques : sacrifier la quiétude de ses proches, même illusoire, ou préserver la mémoire d'un être cher ?
Je ne demande pas grand-chose à la vie. Je veux juste être la meilleure. La meilleure élève, celle qui obtient toujours la note la plus élevée de la classe, peu importe la matière. La meilleure fille pour mes parents, qui ont déjà assez de préoccupations avec la ferme, mon frère hyperactif et le manque d’argent. La meilleure amie pour Katy, ma best depuis toujours, même si je sais qu’elle se sert de moi. Et, même, la meilleure des « victimes ». Celle qui a surmonté la plus terrible épreuve de toute sa vie : un enlèvement… Et sans aucune séquelle ! Bref, je veux exceller dans tout. Pourtant, quelque part en moi, il y a cette voix qui ne cesse de me répéter que je pourrais être plus-que-parfaite. Mais comment ? Arrête de bouffer, pauvre conne. L’histoire d’Annie est basée sur un fait vécu. L’anorexie n’est pas qu’une recherche absolue de la minceur. C’est la manifestation d’un profond mal-être, l’émergence d’une personnalité ultra performante, qui se fixe des objectifs irréalistes (pas seulement au niveau de l’image corporelle), qui se pousse au-delà de ses limites pour les atteindre et qui éprouve un sentiment de culpabilité constant lorsqu’elle n’y arrive pas. Au Canada, une adolescente sur trois souffre d’un trouble alimentaire, et une centaine de personnes en meurent chaque année. Les causes de l’anorexie sont nombreuses et complexes, voire insidieuses, ce qui la rend difficile à prévenir. Cependant, le rétablissement est possible, même s’il peut parfois être long et ponctué de rechutes.
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Je ne demande pas grand-chose à la vie. Je veux juste être la meilleure. La meilleure élève, celle qui obtient toujours la note la plus élevée de la classe, peu importe la matière. La meilleure fille pour mes parents, qui ont déjà assez de préoccupations avec la ferme, mon frère hyperactif et le manque d’argent. La meilleure amie pour Katy, ma best depuis toujours, même si je sais qu’elle se sert de moi. Et, même, la meilleure des « victimes ». Celle qui a surmonté la plus terrible épreuve de toute sa vie : un enlèvement… Et sans aucune séquelle ! Bref, je veux exceller dans tout. Pourtant, quelque part en moi, il y a cette voix qui ne cesse de me répéter que je pourrais être plus-que-parfaite. Mais comment ? Arrête de bouffer, pauvre conne. L’histoire d’Annie est basée sur un fait vécu. L’anorexie n’est pas qu’une recherche absolue de la minceur. C’est la manifestation d’un profond mal-être, l’émergence d’une personnalité ultra performante, qui se fixe des objectifs irréalistes (pas seulement au niveau de l’image corporelle), qui se pousse au-delà de ses limites pour les atteindre et qui éprouve un sentiment de culpabilité constant lorsqu’elle n’y arrive pas. Au Canada, une adolescente sur trois souffre d’un trouble alimentaire, et une centaine de personnes en meurent chaque année. Les causes de l’anorexie sont nombreuses et complexes, voire insidieuses, ce qui la rend difficile à prévenir. Cependant, le rétablissement est possible, même s’il peut parfois être long et ponctué de rechutes.
Enfant, je croyais que la tristesse arrivait en même temps que la noirceur et qu’elle repartait au lever du soleil. Avec le temps, j’ai fini par comprendre que quelque chose ne tournait pas rond chez moi… Selon mon médecin, je souffre de troubles anxieux. C’est peut-être pour ça que j’imagine toujours des scénarios catastrophe. Il dit que c’est possible pour moi de m’en sortir, de retrouver une vie normale. Mais si je faisais rire de moi, dans ma nouvelle école ? Si je n’arrivais pas à me faire de nouveaux amis ? Quand l’anxiété m’envahit, elle pourrit mes pensées. Je sais que je ne suis pas facile à vivre. Pour les autres… mais aussi pour moi-même. Les gens autour de moi doivent penser que je suis folle. Ils ont peut-être raison. Le trouble anxieux généralisé (TAG) est le problème de santé mentale le plus répandu chez les adolescents. Il peut affecter considérablement plusieurs sphères de la vie des personnes qui en sont atteintes : études, travail et relations sociales. Le récit de Charlie illustre toute la souffrance générée par le dilemme qui l’habite : éviter ses angoisses ou les affronter ?
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Enfant, je croyais que la tristesse arrivait en même temps que la noirceur et qu’elle repartait au lever du soleil. Avec le temps, j’ai fini par comprendre que quelque chose ne tournait pas rond chez moi… Selon mon médecin, je souffre de troubles anxieux. C’est peut-être pour ça que j’imagine toujours des scénarios catastrophe. Il dit que c’est possible pour moi de m’en sortir, de retrouver une vie normale. Mais si je faisais rire de moi, dans ma nouvelle école ? Si je n’arrivais pas à me faire de nouveaux amis ? Quand l’anxiété m’envahit, elle pourrit mes pensées. Je sais que je ne suis pas facile à vivre. Pour les autres… mais aussi pour moi-même. Les gens autour de moi doivent penser que je suis folle. Ils ont peut-être raison. Le trouble anxieux généralisé (TAG) est le problème de santé mentale le plus répandu chez les adolescents. Il peut affecter considérablement plusieurs sphères de la vie des personnes qui en sont atteintes : études, travail et relations sociales. Le récit de Charlie illustre toute la souffrance générée par le dilemme qui l’habite : éviter ses angoisses ou les affronter ?
Je suis une adolescente normale. Du moins, je l'étais : quatorze ans, des parents séparés, trois meilleures amies, l'école... Jusqu'à ce jour. Celui où ma mère a rencontré Michel, son nouveau chum. Au début, son histoire d'amour avait des airs de conte de fées. Mais rapidement, ma mère a commencé à changer. Elle est devenue secrète, ne s'habillait plus comme avant, se maquillait tout le temps (même pour faire le ménage!) et semblait toujours sur le qui-vive. Méfiant, jaloux, contrôlant... Le prince charmant de ma mère était loin de ceux que j'avais connus dans les livres de mon enfance. Avec le temps, les insultes sont devenues des menaces, puis des gifles, et, pour finir, des coups. Ma mère ne sortait plus, elle mentait à ses amies, ne répondait plus au téléphone. Malgré ma peine et ma révolte, la loi du silence semblait plus forte que tout. Jusqu'à cette nuit terrible où j'ai enfin trouvé le courage d'appeler à l'aide...
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Je suis une adolescente normale. Du moins, je l'étais : quatorze ans, des parents séparés, trois meilleures amies, l'école... Jusqu'à ce jour. Celui où ma mère a rencontré Michel, son nouveau chum. Au début, son histoire d'amour avait des airs de conte de fées. Mais rapidement, ma mère a commencé à changer. Elle est devenue secrète, ne s'habillait plus comme avant, se maquillait tout le temps (même pour faire le ménage!) et semblait toujours sur le qui-vive. Méfiant, jaloux, contrôlant... Le prince charmant de ma mère était loin de ceux que j'avais connus dans les livres de mon enfance. Avec le temps, les insultes sont devenues des menaces, puis des gifles, et, pour finir, des coups. Ma mère ne sortait plus, elle mentait à ses amies, ne répondait plus au téléphone. Malgré ma peine et ma révolte, la loi du silence semblait plus forte que tout. Jusqu'à cette nuit terrible où j'ai enfin trouvé le courage d'appeler à l'aide...
Oui. Non. Le dictionnaire est assez clair sur la définition des deux termes. Oui : exprime une réponse positive à une interrogation. Non : préfixe exprimant la négation, le contraire, le REFUS. C’est ce que j’ai tenté de faire comprendre à Zackary, ce soir-là. Que je ne voulais pas. Même que je lui ai crié. NON ! Mais pour lui, ma réponse ne voulait rien dire. Et maintenant, je ne suis plus que l’ombre de moi-même. L’agression sexuelle est l’acte criminel le moins signalé à la police. Pourquoi ? Parce que la honte et la peur accablent la victime. Parce que la victime doit, en plus, faire face aux préjugés véhiculés par la culture du viol. Encore de nos jours, ce concept nous dicte « de ne pas sortir seule le soir, sinon on cherche le trouble », « de ne pas s’habiller sexy, parce qu’on provoque les hommes », « de ne pas embrasser si on n’est pas prête à aller jusqu’au bout », « de ne pas dire non après avoir dit oui ». Dans notre société dite évoluée, le fardeau de la preuve appartient toujours à la victime, non à l’agresseur. Il est primordial d’éduquer nos jeunes et de faire changer la honte de camp. Plutôt que d’enseigner à nos filles quoi faire pour ne pas être violées, apprenons à nos fils à ne pas violer.
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Oui. Non. Le dictionnaire est assez clair sur la définition des deux termes. Oui : exprime une réponse positive à une interrogation. Non : préfixe exprimant la négation, le contraire, le REFUS. C’est ce que j’ai tenté de faire comprendre à Zackary, ce soir-là. Que je ne voulais pas. Même que je lui ai crié. NON ! Mais pour lui, ma réponse ne voulait rien dire. Et maintenant, je ne suis plus que l’ombre de moi-même. L’agression sexuelle est l’acte criminel le moins signalé à la police. Pourquoi ? Parce que la honte et la peur accablent la victime. Parce que la victime doit, en plus, faire face aux préjugés véhiculés par la culture du viol. Encore de nos jours, ce concept nous dicte « de ne pas sortir seule le soir, sinon on cherche le trouble », « de ne pas s’habiller sexy, parce qu’on provoque les hommes », « de ne pas embrasser si on n’est pas prête à aller jusqu’au bout », « de ne pas dire non après avoir dit oui ». Dans notre société dite évoluée, le fardeau de la preuve appartient toujours à la victime, non à l’agresseur. Il est primordial d’éduquer nos jeunes et de faire changer la honte de camp. Plutôt que d’enseigner à nos filles quoi faire pour ne pas être violées, apprenons à nos fils à ne pas violer.
Capitaine de son équipe de hockey, adolescent populaire et respecté, Dominic n'a rien à envier à qui que ce soit. Sa blonde, Camille, est sûrement la plus belle fille de l'école et, il l'aime plus que tout. Sans compter ses nombreux amis avec qui il adore faire la fête. Malgré tout, le jeune homme se sent différent. Depuis quelque temps, il éprouve des désirs qu'il ne peut plus ignorer. Surtout lorsque Karl débarque en ville et chamboule sa vie, lui faisant découvrir une autre facette de sa personnalité. Au fil de leurs rencontres, Dominic commence à comprendre qui il est vraiment. Que faire quand les filles et les garçons nous attirent, mais qu'on sait à l'avance qui personne ne pourra l'accepter? Tant de gens le voient comme un ado parfait... Tant de gens que Dominic a peur de décevoir s'il dévoile sa vraie nature.
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Capitaine de son équipe de hockey, adolescent populaire et respecté, Dominic n'a rien à envier à qui que ce soit. Sa blonde, Camille, est sûrement la plus belle fille de l'école et, il l'aime plus que tout. Sans compter ses nombreux amis avec qui il adore faire la fête. Malgré tout, le jeune homme se sent différent. Depuis quelque temps, il éprouve des désirs qu'il ne peut plus ignorer. Surtout lorsque Karl débarque en ville et chamboule sa vie, lui faisant découvrir une autre facette de sa personnalité. Au fil de leurs rencontres, Dominic commence à comprendre qui il est vraiment. Que faire quand les filles et les garçons nous attirent, mais qu'on sait à l'avance qui personne ne pourra l'accepter? Tant de gens le voient comme un ado parfait... Tant de gens que Dominic a peur de décevoir s'il dévoile sa vraie nature.
La première fois. Certains disent que c’est magique. D’autres que ça fait mal, mais que ça passe. Pour moi, ça n’a pas été magique, et ça n’a pas passé. La douleur, je veux dire. C’est resté. Même que c’est pire. Je suis défectueuse. C’est pour cette raison que je me ferme aux gens, que je détourne les yeux chaque fois qu’un garçon m’intéresse. Je ne veux pas courir le risque de plaire. Je ne veux pas être obligée d’avouer que le sexe, dans mon cas, est une torture. Alors je feins l’indifférence et me convaincs que tout va bien. Mais ça, c’était avant de rencontrer Luka. Avec lui, c’est différent. Ma carapace se fendille et mes mécanismes de défense s’enrayent. Maintenant plus que jamais, j’ai envie d’être comme tout le monde. Les douleurs sexuelles touchent environ 20 % des adolescentes et de 12 à 21 % des femmes adultes. Pourtant, c’est un sujet très peu abordé dans les médias et, pour plusieurs, il demeure honteux. Alors que le sexe, lui, est omniprésent à la télévision, dans les magazines et sur Internet, ce type de douleur entraîne trop souvent un sentiment de détresse et de culpabilité chez celles qui en souffrent.
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La première fois. Certains disent que c’est magique. D’autres que ça fait mal, mais que ça passe. Pour moi, ça n’a pas été magique, et ça n’a pas passé. La douleur, je veux dire. C’est resté. Même que c’est pire. Je suis défectueuse. C’est pour cette raison que je me ferme aux gens, que je détourne les yeux chaque fois qu’un garçon m’intéresse. Je ne veux pas courir le risque de plaire. Je ne veux pas être obligée d’avouer que le sexe, dans mon cas, est une torture. Alors je feins l’indifférence et me convaincs que tout va bien. Mais ça, c’était avant de rencontrer Luka. Avec lui, c’est différent. Ma carapace se fendille et mes mécanismes de défense s’enrayent. Maintenant plus que jamais, j’ai envie d’être comme tout le monde. Les douleurs sexuelles touchent environ 20 % des adolescentes et de 12 à 21 % des femmes adultes. Pourtant, c’est un sujet très peu abordé dans les médias et, pour plusieurs, il demeure honteux. Alors que le sexe, lui, est omniprésent à la télévision, dans les magazines et sur Internet, ce type de douleur entraîne trop souvent un sentiment de détresse et de culpabilité chez celles qui en souffrent.
NouvelleLa bouffe. J'y pense sans arrêt. C'est la première chose qui me vient en tête quand je me réveille et la dernière, quand je m'endors. J'ai toujours faim. En tout cas, c'est l'impression que j'ai. Mais au fond, je ne sais pas ce qu'est la faim ; j'mange tellement que je n'ai pas le temps de la ressentir. Tu es lâche, tu ne réussiras jamais à perdre du poids. Regarde-moi ces grosses cuisses flasques ! Essaie donc ce nouveau régime ! me chuchote mon petit démon intérieur. C'est lui qui me pousse aux extrêmes, à me gaver comme s'il n'y avait pas de lendemain. Je donnerais n'importe quoi pour être mince, pour ressembler à la plupart des filles de mon école. Mais je n'y arrive pas. Alors je m'isole et cherche le réconfort auprès de ma seule amie : la bouffe. L'hyperphagie boulimique est un trouble alimentaire peu connu, mais dont souffrent à la fois des hommes et des femmes en proportions presque égales. Ce trouble se caractérise par des crises au cours desquelles une personne ingère une très grande quantité d'aliments, de façon incontrôlée, compulsive, sans toutefois se purger par la suite, ce qui conduit inévitablement à une prise de poids. Les régimes multiples sont donc souvent symptomatiques de l'hyperphagie. Description
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NouvelleLa bouffe. J'y pense sans arrêt. C'est la première chose qui me vient en tête quand je me réveille et la dernière, quand je m'endors. J'ai toujours faim. En tout cas, c'est l'impression que j'ai. Mais au fond, je ne sais pas ce qu'est la faim ; j'mange tellement que je n'ai pas le temps de la ressentir. Tu es lâche, tu ne réussiras jamais à perdre du poids. Regarde-moi ces grosses cuisses flasques ! Essaie donc ce nouveau régime ! me chuchote mon petit démon intérieur. C'est lui qui me pousse aux extrêmes, à me gaver comme s'il n'y avait pas de lendemain. Je donnerais n'importe quoi pour être mince, pour ressembler à la plupart des filles de mon école. Mais je n'y arrive pas. Alors je m'isole et cherche le réconfort auprès de ma seule amie : la bouffe. L'hyperphagie boulimique est un trouble alimentaire peu connu, mais dont souffrent à la fois des hommes et des femmes en proportions presque égales. Ce trouble se caractérise par des crises au cours desquelles une personne ingère une très grande quantité d'aliments, de façon incontrôlée, compulsive, sans toutefois se purger par la suite, ce qui conduit inévitablement à une prise de poids. Les régimes multiples sont donc souvent symptomatiques de l'hyperphagie. Description
Maltraités et négligés par une mère alcoolique et toxicomane, Nolan et sa sour, encore tout jeunes, sont pris en charge par la DPJ. Commence alors un long périple de famille d'accueil en famille d'accueil, au rythme des mauvais coups que fait Nolan pour en être expulsé. À seize ans, après avoir passé la moitié de son existence dans le « système », Nolan est toujours convaincu qu'il réussira à retourner auprès de sa mère. Même si celle-ci ne lui témoigne plus aucun intérêt, il ne peut envisager sa vie sans elle et n'offre son attachement à personne d'autre. Jamais une nouvelle mère ne pourra être plus aimante que celle qu'il s'est fabriquée dans son imaginaire.​ Son agressivité grandissante et ses séjours fréquents au centre jeunesse lui confèrent un statut de délinquant, de rebelle. Qui donc voudrait d'un adolescent pareil sous son toit ? Une famille, pourtant, semble finalement croire en lui. Et il y a Laurie. Si forte et courageuse. Se pourrait-il que cette rencontre parvienne à tout changer ? L'abandon, qu'il soit vécu au sein d'une cellule familiale ou en institution, est souvent responsable du trouble de l'attachement. Des comportements défiant les règles établies par la société s'ensuivent, ainsi que les sanctions qui s'imposent. Il devient alors difficile de penser à l'avenir de façon optimiste. S'ouvrir aux autres peut être la solution pour réussir à repartir sur de nouvelles bases.​
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Maltraités et négligés par une mère alcoolique et toxicomane, Nolan et sa sour, encore tout jeunes, sont pris en charge par la DPJ. Commence alors un long périple de famille d'accueil en famille d'accueil, au rythme des mauvais coups que fait Nolan pour en être expulsé. À seize ans, après avoir passé la moitié de son existence dans le « système », Nolan est toujours convaincu qu'il réussira à retourner auprès de sa mère. Même si celle-ci ne lui témoigne plus aucun intérêt, il ne peut envisager sa vie sans elle et n'offre son attachement à personne d'autre. Jamais une nouvelle mère ne pourra être plus aimante que celle qu'il s'est fabriquée dans son imaginaire.​ Son agressivité grandissante et ses séjours fréquents au centre jeunesse lui confèrent un statut de délinquant, de rebelle. Qui donc voudrait d'un adolescent pareil sous son toit ? Une famille, pourtant, semble finalement croire en lui. Et il y a Laurie. Si forte et courageuse. Se pourrait-il que cette rencontre parvienne à tout changer ? L'abandon, qu'il soit vécu au sein d'une cellule familiale ou en institution, est souvent responsable du trouble de l'attachement. Des comportements défiant les règles établies par la société s'ensuivent, ainsi que les sanctions qui s'imposent. Il devient alors difficile de penser à l'avenir de façon optimiste. S'ouvrir aux autres peut être la solution pour réussir à repartir sur de nouvelles bases.​
A seize ans, tout ce qui m'intéresse, c'est le prochain party où j'irai, et les filles que je réussirai à séduire. A quoi bon me soucier de demain ? Je ne songe qu'à mon propre bonheur, et ça me va. Après tout, on n'a qu'une vie à vivre, non ? Ça, c'était avant l'appel d'Andréanne, cette fille que je connais à peine. Avant qu'elle ne m'annonce qu'un bébé grandissait dans son ventre. Et que j'en étais le père... Moi, papa ? Il n'en est pas question ! Je ne veux pas de cet enfant ! Je refuse de m'imaginer dans le rôle du père parfait. Le mien a foutu le camp il y a bien longtemps, alors je ne saurais pas comment m'y prendre. Mais ma mère insiste. Elle tient absolument à ce que je passe un test de paternité. A ce que je m'occupe du bébé, si c'est bel et bien le mien. Et à ce que je devienne responsable. La paternité à l'adolescence a toujours existé, mais, de nos jours, ses conséquences sur le parcours scolaire et professionnel du jeune parent peuvent être énormes. Il est difficile pour celui-ci de prendre ses responsabilités, alors qu'il est encore un enfant lui-même. Le soutien de l'entourage se révèle donc primordial afin que le bien-être de tous les membres de la famille soit assuré
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A seize ans, tout ce qui m'intéresse, c'est le prochain party où j'irai, et les filles que je réussirai à séduire. A quoi bon me soucier de demain ? Je ne songe qu'à mon propre bonheur, et ça me va. Après tout, on n'a qu'une vie à vivre, non ? Ça, c'était avant l'appel d'Andréanne, cette fille que je connais à peine. Avant qu'elle ne m'annonce qu'un bébé grandissait dans son ventre. Et que j'en étais le père... Moi, papa ? Il n'en est pas question ! Je ne veux pas de cet enfant ! Je refuse de m'imaginer dans le rôle du père parfait. Le mien a foutu le camp il y a bien longtemps, alors je ne saurais pas comment m'y prendre. Mais ma mère insiste. Elle tient absolument à ce que je passe un test de paternité. A ce que je m'occupe du bébé, si c'est bel et bien le mien. Et à ce que je devienne responsable. La paternité à l'adolescence a toujours existé, mais, de nos jours, ses conséquences sur le parcours scolaire et professionnel du jeune parent peuvent être énormes. Il est difficile pour celui-ci de prendre ses responsabilités, alors qu'il est encore un enfant lui-même. Le soutien de l'entourage se révèle donc primordial afin que le bien-être de tous les membres de la famille soit assuré
Résumé Il a suffi d'une seconde pour que mon existence bascule. Un plongeon, un pied qui a glissé, et je suis devenu tétraplégique. A dix-sept ans. Le Samuel d'avant n'est plus, je dois me faire à l'idée. Il paraît que la plupart des gens préféreraient mourir plutôt que de se retrouver dans ma situation. Moi aussi, si on m'avait posé la question avant mon accident, c'est ce que j'aurais répondu. Et je ne peux pas dire que je n'ai jamais pensé à la mort depuis. Maintenant ? Je ne sais plus. Maintenant il y a mes amis, ma famille, Clara. la vie. Juste la vie. La vie ordinaire, faite de hauts et de bas, de chagrins et de rires, comme celle des autres. Chaque année, au Québec, de cent à deux cents personnes subissent une blessure à la moelle épinière, ce qui, bien souvent, se traduit par un diagnostic de paralysie irréversible. Du jour au lendemain, les victimes et leurs proches voient leur quotidien chamboulé. Après une phase plus ou moins longue de réadaptation, le véritable défi est de reprendre le cours de sa vie là où il a été mis en suspens.
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Résumé Il a suffi d'une seconde pour que mon existence bascule. Un plongeon, un pied qui a glissé, et je suis devenu tétraplégique. A dix-sept ans. Le Samuel d'avant n'est plus, je dois me faire à l'idée. Il paraît que la plupart des gens préféreraient mourir plutôt que de se retrouver dans ma situation. Moi aussi, si on m'avait posé la question avant mon accident, c'est ce que j'aurais répondu. Et je ne peux pas dire que je n'ai jamais pensé à la mort depuis. Maintenant ? Je ne sais plus. Maintenant il y a mes amis, ma famille, Clara. la vie. Juste la vie. La vie ordinaire, faite de hauts et de bas, de chagrins et de rires, comme celle des autres. Chaque année, au Québec, de cent à deux cents personnes subissent une blessure à la moelle épinière, ce qui, bien souvent, se traduit par un diagnostic de paralysie irréversible. Du jour au lendemain, les victimes et leurs proches voient leur quotidien chamboulé. Après une phase plus ou moins longue de réadaptation, le véritable défi est de reprendre le cours de sa vie là où il a été mis en suspens.
Depuis la séparation de ses parents, Justine essaie tant bien que mal d'améliorer sa relation avec eux et de s'acclimater à ses deux familles recomposées. En grandissant, elle affronte seule les difficultés du quotidien et combat le sentiment de n'avoir sa place nulle part. Puis, le jour de ses seize ans, tout bascule. Ne contrôlant plus rien, elle voit rouge et déchaîne sa colère. Désormais, ses mains sont tachées du sang de sa victime. A jamais. On la menotte, on la conduit au poste de police. Rien ne va plus. L'heure est venue pour elle de faire face à ses actes et d'entendre ces mots qui la glacent de peur : « Justine Lemieux, plaidez-vous coupable ou non coupable aux faits qui vous sont reprochés ? » Le geste criminel de l'adolescente la mènera devant la justice, puis en détention dans un centre jeunesse. Entourée de psychologues, psychiatres et intervenants sociaux, elle tentera de comprendre ce qui a pu la pousser à agir de la sorte et fera tout en son pouvoir pour obtenir une deuxième chance, pour réintégrer la société.
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Depuis la séparation de ses parents, Justine essaie tant bien que mal d'améliorer sa relation avec eux et de s'acclimater à ses deux familles recomposées. En grandissant, elle affronte seule les difficultés du quotidien et combat le sentiment de n'avoir sa place nulle part. Puis, le jour de ses seize ans, tout bascule. Ne contrôlant plus rien, elle voit rouge et déchaîne sa colère. Désormais, ses mains sont tachées du sang de sa victime. A jamais. On la menotte, on la conduit au poste de police. Rien ne va plus. L'heure est venue pour elle de faire face à ses actes et d'entendre ces mots qui la glacent de peur : « Justine Lemieux, plaidez-vous coupable ou non coupable aux faits qui vous sont reprochés ? » Le geste criminel de l'adolescente la mènera devant la justice, puis en détention dans un centre jeunesse. Entourée de psychologues, psychiatres et intervenants sociaux, elle tentera de comprendre ce qui a pu la pousser à agir de la sorte et fera tout en son pouvoir pour obtenir une deuxième chance, pour réintégrer la société.
À son ancienne école, Mélie était désirée par tous les gars et n'avait pas honte de les séduire, d'avoir du plaisir avec eux. Jusqu'à ce qu'une stupide vidéo circule... Ses soi-disant amis n'ont alors pas hésité à l'exclure, à l'insulter, à la considérer comme une pute. Maintenant, elle a l'intention de repartir à zéro, d'effacer la réputation qu'on lui a collée et de retrouver un semblant de vie normale. Pour cela, elle souhaite d'abord regagner sa popularité. De son côté, Bastien se fait rejeter et humilier depuis le début de son secondaire. Il a l'impression qu'il ne trouvera jamais sa place et restera l'exclu, le freak, l'indésirable. Celui qu'on montre du doigt uniquement parce qu'il n'entre pas dans le moule. Puis il la rencontre, elle, la nouvelle. Mais comment pourrait-il plaire à ce genre de fille ? Tanné d'être toujours seul, il décide que, cette année, les choses devront changer.
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À son ancienne école, Mélie était désirée par tous les gars et n'avait pas honte de les séduire, d'avoir du plaisir avec eux. Jusqu'à ce qu'une stupide vidéo circule... Ses soi-disant amis n'ont alors pas hésité à l'exclure, à l'insulter, à la considérer comme une pute. Maintenant, elle a l'intention de repartir à zéro, d'effacer la réputation qu'on lui a collée et de retrouver un semblant de vie normale. Pour cela, elle souhaite d'abord regagner sa popularité. De son côté, Bastien se fait rejeter et humilier depuis le début de son secondaire. Il a l'impression qu'il ne trouvera jamais sa place et restera l'exclu, le freak, l'indésirable. Celui qu'on montre du doigt uniquement parce qu'il n'entre pas dans le moule. Puis il la rencontre, elle, la nouvelle. Mais comment pourrait-il plaire à ce genre de fille ? Tanné d'être toujours seul, il décide que, cette année, les choses devront changer.
Comment en suis-je arrivée là ? Comment ai-je pu perdre le contrôle de ma vie à ce point, sans m’en rendre compte ? Tout marchait pourtant très bien pour moi. À l’école, avec ma meilleure amie Élodie, avec ma famille et dans mes cours de danse hip-hop… J’étais convaincue de ne pas être une «droguée». J’ai commencé à consommer seulement pour m’améliorer, dans un contexte bien précis : ma participation à un rap battle. Je le faisais pour les bonnes raisons. Et je savais que je pouvais arrêter n’importe quand. Enfin… c’est ce que je croyais. Jusqu’à ce que les problèmes me tombent dessus. Un à un. Jusqu’à ce que ça aille trop loin… Il a fallu que tout s’écroule autour de moi pour que je prenne conscience de ce qui m’arrivait. Pourquoi me suis-je laissé entraîner aussi bas ? *** Au Québec, plus du quart des adolescents déclarent avoir déjà pris de la drogue, du cannabis aux substances plus dures. Si le plaisir est une des raisons souvent évoquées, un nouveau type de consommation s’est répandu au cours des dernières années : la consommation de drogues à des fins de performance. L’histoire de Kellyann met en lumière un visage différent, mais actuel, de la toxicomanie.
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Comment en suis-je arrivée là ? Comment ai-je pu perdre le contrôle de ma vie à ce point, sans m’en rendre compte ? Tout marchait pourtant très bien pour moi. À l’école, avec ma meilleure amie Élodie, avec ma famille et dans mes cours de danse hip-hop… J’étais convaincue de ne pas être une «droguée». J’ai commencé à consommer seulement pour m’améliorer, dans un contexte bien précis : ma participation à un rap battle. Je le faisais pour les bonnes raisons. Et je savais que je pouvais arrêter n’importe quand. Enfin… c’est ce que je croyais. Jusqu’à ce que les problèmes me tombent dessus. Un à un. Jusqu’à ce que ça aille trop loin… Il a fallu que tout s’écroule autour de moi pour que je prenne conscience de ce qui m’arrivait. Pourquoi me suis-je laissé entraîner aussi bas ? *** Au Québec, plus du quart des adolescents déclarent avoir déjà pris de la drogue, du cannabis aux substances plus dures. Si le plaisir est une des raisons souvent évoquées, un nouveau type de consommation s’est répandu au cours des dernières années : la consommation de drogues à des fins de performance. L’histoire de Kellyann met en lumière un visage différent, mais actuel, de la toxicomanie.
Entre les devoirs, les cours de piano, la troupe de danse et les exigences de sa mère, Raphaëlle n’a pas beaucoup de temps pour rêver. Jusqu’à ce fameux party où elle fait la connaissance d’Axel, un garçon mystérieux dont elle s’éprend aussitôt. Elle ne pense qu’à lui et trouve mille prétextes pour aller le voir le plus souvent possible à son appartement, en ville. Alors que ses parents pataugent en plein divorce, Raphaëlle savoure chaque minute d’indépendance loin de sa maison. C’est ainsi qu’un soir, l’adolescente va retrouver Axel pour de bon, au lieu de rentrer chez elle comme prévu. Pendant les semaines qui suivent, la fugueuse expérimente les joies de la liberté et la passion amoureuse, mais aussi l’insécurité et la précarité. Saura-t-elle faire les bons choix et éviter les pièges de la rue? Le phénomène de la fugue est de plus en plus répandu chez les jeunes de douze à dix-sept ans, principalement en milieu urbain. Laissés à eux-mêmes dans la rue, ils découvrent qu’il est souvent plus facile d’entrer dans ce monde que d’en sortir. Spontanée ou planifiée, la fugue, qui n’est pas synonyme de plaisir, peut représenter une échappatoire, une manière de revendiquer sa liberté, de demander de l’aide ou encore d’exprimer une certaine révolte. Quoi qu’il en soit, elle envoie toujours un message.
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Entre les devoirs, les cours de piano, la troupe de danse et les exigences de sa mère, Raphaëlle n’a pas beaucoup de temps pour rêver. Jusqu’à ce fameux party où elle fait la connaissance d’Axel, un garçon mystérieux dont elle s’éprend aussitôt. Elle ne pense qu’à lui et trouve mille prétextes pour aller le voir le plus souvent possible à son appartement, en ville. Alors que ses parents pataugent en plein divorce, Raphaëlle savoure chaque minute d’indépendance loin de sa maison. C’est ainsi qu’un soir, l’adolescente va retrouver Axel pour de bon, au lieu de rentrer chez elle comme prévu. Pendant les semaines qui suivent, la fugueuse expérimente les joies de la liberté et la passion amoureuse, mais aussi l’insécurité et la précarité. Saura-t-elle faire les bons choix et éviter les pièges de la rue? Le phénomène de la fugue est de plus en plus répandu chez les jeunes de douze à dix-sept ans, principalement en milieu urbain. Laissés à eux-mêmes dans la rue, ils découvrent qu’il est souvent plus facile d’entrer dans ce monde que d’en sortir. Spontanée ou planifiée, la fugue, qui n’est pas synonyme de plaisir, peut représenter une échappatoire, une manière de revendiquer sa liberté, de demander de l’aide ou encore d’exprimer une certaine révolte. Quoi qu’il en soit, elle envoie toujours un message.
Pour ma dernière année au secondaire, j’ai droit à une nouvelle école. Encore une. Mais j’ai l’habitude. Mes parents déménagent souvent. Au début, c’était difficile ; toutefois, au fil du temps, je me suis réglée. Je suis une horloge qui fonctionne selon son propre rythme : régulier, fixe, immuable. La clé de ma stabilité ? Je n’ai besoin de personne. Je n’ai pas d’amis. Ça pourrait sembler triste, mais, pour moi, c’est reposant. Avoir des amis, ça multiplie les risques d’imprévus. Et puis, je n’ai jamais compris comment connecter avec les gens. J’étais à l’aise dans ce rythme jusqu’à ce que je reçoive un diagnostic de TSA. Depuis que j’ai été étiquetée comme « Asperger », mes parents insistent pour que je m’intègre, que je me fasse des amis. Eh bien, d’accord. Je vais m’y mettre. Ce sera mon plan pour prouver au monde que je suis capable d’accomplir ce que j’ai en tête. Évidemment, tout ça, c’était de la théorie. Le plan ne s’est pas passé comme prévu. Tous mes rouages ont explosé. Je suis une horloge brisée.
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Pour ma dernière année au secondaire, j’ai droit à une nouvelle école. Encore une. Mais j’ai l’habitude. Mes parents déménagent souvent. Au début, c’était difficile ; toutefois, au fil du temps, je me suis réglée. Je suis une horloge qui fonctionne selon son propre rythme : régulier, fixe, immuable. La clé de ma stabilité ? Je n’ai besoin de personne. Je n’ai pas d’amis. Ça pourrait sembler triste, mais, pour moi, c’est reposant. Avoir des amis, ça multiplie les risques d’imprévus. Et puis, je n’ai jamais compris comment connecter avec les gens. J’étais à l’aise dans ce rythme jusqu’à ce que je reçoive un diagnostic de TSA. Depuis que j’ai été étiquetée comme « Asperger », mes parents insistent pour que je m’intègre, que je me fasse des amis. Eh bien, d’accord. Je vais m’y mettre. Ce sera mon plan pour prouver au monde que je suis capable d’accomplir ce que j’ai en tête. Évidemment, tout ça, c’était de la théorie. Le plan ne s’est pas passé comme prévu. Tous mes rouages ont explosé. Je suis une horloge brisée.
« Je ne veux pas que tu conduises après avoir bu, Marion », me répétait-il bien avant que j’obtienne mon permis. « Tu m’appelleras et j’irai te chercher. Peu importe l’heure, compris ? » Chaque fois, je lui répondais oui. Chaque fois. Jamais je n’oserais faire quelque chose d’aussi risqué. Alors que lui… Pourquoi n’a-t-il pas suivi son propre conseil ? Pourquoi a-t-il fallu qu’il prenne sa voiture, ce soir-là ? On dit que chaque action a sa conséquence. Qu’on doit y faire face, le moment venu. Sauf que je ne suis pas responsable des gestes de mon père ! Alors, pourquoi le monde entier se retourne-t-il contre moi, me traitant comme si j’étais la coupable ? Je n’ai pas demandé ce qui m’arrive. Je n’ai jamais souhaité devenir la fille d’un meurtrier…
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« Je ne veux pas que tu conduises après avoir bu, Marion », me répétait-il bien avant que j’obtienne mon permis. « Tu m’appelleras et j’irai te chercher. Peu importe l’heure, compris ? » Chaque fois, je lui répondais oui. Chaque fois. Jamais je n’oserais faire quelque chose d’aussi risqué. Alors que lui… Pourquoi n’a-t-il pas suivi son propre conseil ? Pourquoi a-t-il fallu qu’il prenne sa voiture, ce soir-là ? On dit que chaque action a sa conséquence. Qu’on doit y faire face, le moment venu. Sauf que je ne suis pas responsable des gestes de mon père ! Alors, pourquoi le monde entier se retourne-t-il contre moi, me traitant comme si j’étais la coupable ? Je n’ai pas demandé ce qui m’arrive. Je n’ai jamais souhaité devenir la fille d’un meurtrier…
Borderline. Pourquoi j’ai cette cochonnerie-là, moi? Pourquoi est-ce que je ne peux pas être comme tout le monde? Sans impulsivité, sans problème d’émotions, sans automutilation, sans changements d’humeur intenses et sans médication. Jamais je ne pourrai être 100 % guérie. Le psychiatre me l’a dit. Je devrai dealer avec ça toute ma vie! Fay a seize ans quand son univers bascule. Forcée de déménager et de laisser ses meilleurs amis derrière, elle craint de ne pas s’en remettre. Puis, elle fait la connaissance de Catherine et s’aperçoit que sa vie à Montréal est loin d’être l’Enfer qu’elle s’est imaginé. Cependant, entre l’école, la maison et le travail, Fay doit lutter pour ne pas laisser ses problèmes de stress lui nuire. Au fil des semaines, son anxiété se transforme en rage, puis en colère. Une colère de plus en plus envahissante. Une colère qu’elle tente de gérer comme elle le peut. Mais ce n’est que la pointe de l’iceberg. Communément appelé le trouble borderline, le trouble de personnalité limite touche de 1 à 3% de la population. Les gens qui en souffrent sont confrontés à des problèmes tant au niveau émotionnel qu’interpersonnel qui peuvent les conduire à des comportements autodestructeurs tels que des troubles alimentaires, la toxicomanie et même le suicide. (Source: Gallimard)
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Borderline. Pourquoi j’ai cette cochonnerie-là, moi? Pourquoi est-ce que je ne peux pas être comme tout le monde? Sans impulsivité, sans problème d’émotions, sans automutilation, sans changements d’humeur intenses et sans médication. Jamais je ne pourrai être 100 % guérie. Le psychiatre me l’a dit. Je devrai dealer avec ça toute ma vie! Fay a seize ans quand son univers bascule. Forcée de déménager et de laisser ses meilleurs amis derrière, elle craint de ne pas s’en remettre. Puis, elle fait la connaissance de Catherine et s’aperçoit que sa vie à Montréal est loin d’être l’Enfer qu’elle s’est imaginé. Cependant, entre l’école, la maison et le travail, Fay doit lutter pour ne pas laisser ses problèmes de stress lui nuire. Au fil des semaines, son anxiété se transforme en rage, puis en colère. Une colère de plus en plus envahissante. Une colère qu’elle tente de gérer comme elle le peut. Mais ce n’est que la pointe de l’iceberg. Communément appelé le trouble borderline, le trouble de personnalité limite touche de 1 à 3% de la population. Les gens qui en souffrent sont confrontés à des problèmes tant au niveau émotionnel qu’interpersonnel qui peuvent les conduire à des comportements autodestructeurs tels que des troubles alimentaires, la toxicomanie et même le suicide. (Source: Gallimard)
Je suis devenu fou à dix-sept ans. Je l’étais peut-être déjà avant, mais c’est là que ça s’est déclaré, que la psychose a pris le dessus et que la paranoïa m’a englouti. La vie semblait pourtant me sourire. Je commençais le cégep, j’avais un bon emploi et je venais d’emménager avec mon meilleur ami, à deux pas des résidences où ma blonde habitait. C’était le bonheur, la liberté totale ! Sauf que ça n’a pas duré. Le stress des études, le travail qui me prenait trop de temps, les nuits blanches, l’alcool, le pot… Quelque chose s’est rompu à l’intérieur de ma tête. Mon esprit s’est détraqué. Je me suis mis à voir des ombres, à entendre des voix, à m’imaginer qu’on me voulait du mal… J’aurais dû écouter mes amis et aller me faire soigner. À la place, j’ai attendu qu’il soit trop tard. Je me suis battu contre ma folie et j’ai perdu. La psychose est un trouble mental grave qui se manifeste par une perte de contact avec la réalité. Les personnes qui en sont atteintes éprouvent beaucoup de difficultés à distinguer ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas. On estime que de 4 à 5 % des jeunes connaîtront un épisode psychotique. Heureusement, avec les bons traitements, la majorité d’entre eux s’en sortiront.
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Je suis devenu fou à dix-sept ans. Je l’étais peut-être déjà avant, mais c’est là que ça s’est déclaré, que la psychose a pris le dessus et que la paranoïa m’a englouti. La vie semblait pourtant me sourire. Je commençais le cégep, j’avais un bon emploi et je venais d’emménager avec mon meilleur ami, à deux pas des résidences où ma blonde habitait. C’était le bonheur, la liberté totale ! Sauf que ça n’a pas duré. Le stress des études, le travail qui me prenait trop de temps, les nuits blanches, l’alcool, le pot… Quelque chose s’est rompu à l’intérieur de ma tête. Mon esprit s’est détraqué. Je me suis mis à voir des ombres, à entendre des voix, à m’imaginer qu’on me voulait du mal… J’aurais dû écouter mes amis et aller me faire soigner. À la place, j’ai attendu qu’il soit trop tard. Je me suis battu contre ma folie et j’ai perdu. La psychose est un trouble mental grave qui se manifeste par une perte de contact avec la réalité. Les personnes qui en sont atteintes éprouvent beaucoup de difficultés à distinguer ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas. On estime que de 4 à 5 % des jeunes connaîtront un épisode psychotique. Heureusement, avec les bons traitements, la majorité d’entre eux s’en sortiront.
Le choix d'une vie 48. La maternité à l'adolescence Auteur: Samuel Champagne Je n’ai jamais réellement pensé à l’avenir. Faire des plans compliqués et se casser la tête, je laissais ça aux vieux, aux gens ennuyants comme ma sœur. J’avais quinze ans et, à cet âge, on s’amuse ! Ma vie était simple : mon chum, mes amis, des partys, le collège privé. Maintenant… j’ai encore quinze ans, mais tout a basculé. Parce que j’ai fait un test de grossesse et que deux lignes sont apparues. Moi, maman ? Je ne sais même pas comment m’occuper de moi-même, comment je pourrais prendre soin d’un autre humain ? Et pourtant… j’ai décidé d’essayer. D’essayer d’être une adulte, alors que tout le monde me disait que je n’y arriverais pas. La naissance approche et j’ai peur. J’ai tout perdu, j’ai dû quitter le collège, je n’ai plus d’amis. Seulement il y a cette émotion… cette force qui me pousse à croire que ce bébé va changer ma vie en mieux. Mais, sans Marisol, rencontrée dans mon école pour jeunes mères, et sans son frère Sebastian, je doute de pouvoir m’en sortir. La maternité à l’adolescence entraîne son lot de questionnements et de doutes chez la jeune mère, surtout en raison de la pression exercée par son entourage. Il faut beaucoup de courage pour se lancer dans une telle aventure, et le soutien des proches et des intervenants est essentiel pour le bien-être de la nouvelle famille.
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Le choix d'une vie 48. La maternité à l'adolescence Auteur: Samuel Champagne Je n’ai jamais réellement pensé à l’avenir. Faire des plans compliqués et se casser la tête, je laissais ça aux vieux, aux gens ennuyants comme ma sœur. J’avais quinze ans et, à cet âge, on s’amuse ! Ma vie était simple : mon chum, mes amis, des partys, le collège privé. Maintenant… j’ai encore quinze ans, mais tout a basculé. Parce que j’ai fait un test de grossesse et que deux lignes sont apparues. Moi, maman ? Je ne sais même pas comment m’occuper de moi-même, comment je pourrais prendre soin d’un autre humain ? Et pourtant… j’ai décidé d’essayer. D’essayer d’être une adulte, alors que tout le monde me disait que je n’y arriverais pas. La naissance approche et j’ai peur. J’ai tout perdu, j’ai dû quitter le collège, je n’ai plus d’amis. Seulement il y a cette émotion… cette force qui me pousse à croire que ce bébé va changer ma vie en mieux. Mais, sans Marisol, rencontrée dans mon école pour jeunes mères, et sans son frère Sebastian, je doute de pouvoir m’en sortir. La maternité à l’adolescence entraîne son lot de questionnements et de doutes chez la jeune mère, surtout en raison de la pression exercée par son entourage. Il faut beaucoup de courage pour se lancer dans une telle aventure, et le soutien des proches et des intervenants est essentiel pour le bien-être de la nouvelle famille.
Le gars obèse. Celui qui se goinfre au point de se mettre en danger. Celui dont on se moque. C’est comme ça que plusieurs me voient… même dans ma propre famille. Sans se demander comment j’en suis arrivé là et comment je le vis. Pourtant, je suis plus que ces cent soixante-sept kilos, portés comme un fardeau. Mais, bientôt, ma vie va changer à jamais. Mon estomac de baleine deviendra de la taille de celui d’une souris. Moi qui avais l’habitude des rages de bouffe, j’aurai droit à quelques cuillères de yogourt par jour, après mon opération. Ironique, non ? Et si je mourais pendant l’intervention ? Et si ça ne marchait pas ? Ou pire : si j’échouais ? Et si enfin je sortais de l’obésité ? Et si…
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Le gars obèse. Celui qui se goinfre au point de se mettre en danger. Celui dont on se moque. C’est comme ça que plusieurs me voient… même dans ma propre famille. Sans se demander comment j’en suis arrivé là et comment je le vis. Pourtant, je suis plus que ces cent soixante-sept kilos, portés comme un fardeau. Mais, bientôt, ma vie va changer à jamais. Mon estomac de baleine deviendra de la taille de celui d’une souris. Moi qui avais l’habitude des rages de bouffe, j’aurai droit à quelques cuillères de yogourt par jour, après mon opération. Ironique, non ? Et si je mourais pendant l’intervention ? Et si ça ne marchait pas ? Ou pire : si j’échouais ? Et si enfin je sortais de l’obésité ? Et si…
Qu'est-ce que j'ai fait ? Comment ma vie a-t-elle pu dérailler à ce point en si peu de temps ? Probablement que les rails n'étaient pas très solides. Depuis que je suis petit, j'ai comme un immense trou en moi. Ayant horreur du vide, je cherche constamment à le remplir. Les filles et l'écriture de rap m'aident à me sentir un peu plus... complet. Mais ce qui fonctionne le mieux, c'est la drogue. J'ai essayé presque toutes les substances possibles et, encore récemment, je réussissais relativement bien à gérer ma consommation. À l'exception de quelques incidents, elle ne m'avait jamais causé de vrais problèmes. Jusqu'à ce que je touche aux opioïdes... et que je saute à pieds joints dans le trouble. Maintenant, je suis prisonnier et je ne sais plus comment m'en sortir. Je suis... addiK.
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Qu'est-ce que j'ai fait ? Comment ma vie a-t-elle pu dérailler à ce point en si peu de temps ? Probablement que les rails n'étaient pas très solides. Depuis que je suis petit, j'ai comme un immense trou en moi. Ayant horreur du vide, je cherche constamment à le remplir. Les filles et l'écriture de rap m'aident à me sentir un peu plus... complet. Mais ce qui fonctionne le mieux, c'est la drogue. J'ai essayé presque toutes les substances possibles et, encore récemment, je réussissais relativement bien à gérer ma consommation. À l'exception de quelques incidents, elle ne m'avait jamais causé de vrais problèmes. Jusqu'à ce que je touche aux opioïdes... et que je saute à pieds joints dans le trouble. Maintenant, je suis prisonnier et je ne sais plus comment m'en sortir. Je suis... addiK.
Amélia commence tout juste à accepter la présence de sa belle-mère dans sa vie, lorsque son père lui annonce ce qu’elle redoutait le plus : ils souhaitent emménager ensemble… à la campagne ! Déracinée de force, l’adolescente se retrouve loin de ses meilleures amies, avec pour seule compagne sa nouvelle jument. Au ranch où son cheval est en pension, Amélia fait la connaissance d’Éthan : c’est le coup de foudre! Rapidement, les amoureux deviennent fusionnels. Jusqu’à ce que les mots « relation illégale » soient prononcés. Ce Roméo et cette Juliette des temps modernes ne pourront plus s’aimer au grand jour sans craindre de voir la police débarquer pour menotter Éthan. L’amour n’a pas d’âge, affirme un proverbe populaire. Rien de plus faux ! Selon la loi canadienne, un adolescent de quatorze ou quinze ans peut consentir à des activités sexuelles avec une personne de moins de cinq ans son aînée. Lorsque cet écart est franchi, on parle de relation amoureuse illégale, puisque cela constitue une infraction criminelle passible de lourdes sanctions.
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Amélia commence tout juste à accepter la présence de sa belle-mère dans sa vie, lorsque son père lui annonce ce qu’elle redoutait le plus : ils souhaitent emménager ensemble… à la campagne ! Déracinée de force, l’adolescente se retrouve loin de ses meilleures amies, avec pour seule compagne sa nouvelle jument. Au ranch où son cheval est en pension, Amélia fait la connaissance d’Éthan : c’est le coup de foudre! Rapidement, les amoureux deviennent fusionnels. Jusqu’à ce que les mots « relation illégale » soient prononcés. Ce Roméo et cette Juliette des temps modernes ne pourront plus s’aimer au grand jour sans craindre de voir la police débarquer pour menotter Éthan. L’amour n’a pas d’âge, affirme un proverbe populaire. Rien de plus faux ! Selon la loi canadienne, un adolescent de quatorze ou quinze ans peut consentir à des activités sexuelles avec une personne de moins de cinq ans son aînée. Lorsque cet écart est franchi, on parle de relation amoureuse illégale, puisque cela constitue une infraction criminelle passible de lourdes sanctions.
Peu importe quelle langue on utilise, le résultat est le même : je n’ai pas réussi ma cinquième secondaire. En septembre, je vais devoir recommencer à zéro, tandis que ma jumelle ira au cégep. On a beau être identiques, ma sœur et moi, un monde nous sépare. Avec ses longs cheveux châtains tressés à la Katniss Everdeen, son cerveau digne de celui d’Einstein et une bonté qui surpasse celle de mère Teresa, Cassiopée Coulombe est la perfection incarnée. Et la préférée de nos parents. C’est simple, elle excelle sur tous les plans, alors que je fais toujours tout foirer. À l’école, à la maison, dans la vie en général… je ne suis qu’une déception sur deux pattes. Éléonore-la-bonne-à-rien. Celle qu’on tolère par dépit, faute d’options. Ouais, ça, je l’ai compris il y a très longtemps. Grâce à ma chère maman. L’enfant préféré est un fait réel, plus courant qu’on ne veut le croire. Et, bien qu’il soit humain de s’accorder davantage avec certaines natures et certains types de personnalité ou de caractère, le favoritisme et l’iniquité perçus par les enfants lésés peuvent entraîner de la jalousie, de l’insécurité, une faible estime de soi ainsi qu’un cruel manque de confiance. Des blessures qui, malheureusement, persisteront.
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Peu importe quelle langue on utilise, le résultat est le même : je n’ai pas réussi ma cinquième secondaire. En septembre, je vais devoir recommencer à zéro, tandis que ma jumelle ira au cégep. On a beau être identiques, ma sœur et moi, un monde nous sépare. Avec ses longs cheveux châtains tressés à la Katniss Everdeen, son cerveau digne de celui d’Einstein et une bonté qui surpasse celle de mère Teresa, Cassiopée Coulombe est la perfection incarnée. Et la préférée de nos parents. C’est simple, elle excelle sur tous les plans, alors que je fais toujours tout foirer. À l’école, à la maison, dans la vie en général… je ne suis qu’une déception sur deux pattes. Éléonore-la-bonne-à-rien. Celle qu’on tolère par dépit, faute d’options. Ouais, ça, je l’ai compris il y a très longtemps. Grâce à ma chère maman. L’enfant préféré est un fait réel, plus courant qu’on ne veut le croire. Et, bien qu’il soit humain de s’accorder davantage avec certaines natures et certains types de personnalité ou de caractère, le favoritisme et l’iniquité perçus par les enfants lésés peuvent entraîner de la jalousie, de l’insécurité, une faible estime de soi ainsi qu’un cruel manque de confiance. Des blessures qui, malheureusement, persisteront.
J’ai tout pour être heureuse et, pourtant, j’ai perdu l’envie de sourire. Depuis que mes parents m’ont annoncé qu’on déménagerait l’été prochain, mon quotidien s’est assombri. Un immense vide s’est installé en moi, insidieusement. Jouer de la guitare, aller au cinéma avec ma meilleure amie, lire un bon roman, faire le party… je n’ai plus le goût de rien. Moi qui avais tant de facilité en classe, voilà que l’échec me pend au bout du nez. Devenir vétérinaire ?… Ce n’est plus qu’un rêve lointain. Me projeter dans l’avenir ?… Quel avenir ?!? Je me sens si fatiguée… La dépression est une maladie neurologique qui affecte le cerveau et qui touche un adolescent sur cinq. Ce mal invisible s’accompagne d’une douleur profonde, de troubles du sommeil, d’une perte d’appétit et d’un sentiment de tristesse inexpliqué. Personne n’est à l’abri de ce trouble qui peut frapper n’importe quand et qui perturbe les rapports familiaux et amicaux, sans oublier la vie à l’école et au travail.
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J’ai tout pour être heureuse et, pourtant, j’ai perdu l’envie de sourire. Depuis que mes parents m’ont annoncé qu’on déménagerait l’été prochain, mon quotidien s’est assombri. Un immense vide s’est installé en moi, insidieusement. Jouer de la guitare, aller au cinéma avec ma meilleure amie, lire un bon roman, faire le party… je n’ai plus le goût de rien. Moi qui avais tant de facilité en classe, voilà que l’échec me pend au bout du nez. Devenir vétérinaire ?… Ce n’est plus qu’un rêve lointain. Me projeter dans l’avenir ?… Quel avenir ?!? Je me sens si fatiguée… La dépression est une maladie neurologique qui affecte le cerveau et qui touche un adolescent sur cinq. Ce mal invisible s’accompagne d’une douleur profonde, de troubles du sommeil, d’une perte d’appétit et d’un sentiment de tristesse inexpliqué. Personne n’est à l’abri de ce trouble qui peut frapper n’importe quand et qui perturbe les rapports familiaux et amicaux, sans oublier la vie à l’école et au travail.
« Quelle identité de genre vous définit ? » Cette stupide question ! Celle qui me trotte dans la tête depuis que je l’ai lue dans un formulaire. Je dois me rendre à l’évidence, j’y pense constamment. Elle m’a fait comprendre pourquoi je me suis toujours senti différent. J’ai eu beau les enterrer sous une épaisse couche de déni et d’évitement, mes questionnements ne sont pas disparus. À sa première journée au cégep, Mickaël revoit Chihiro, une connaissance avec qui il se lie rapidement d’amitié. Quand il l’accompagne à une soirée de l’association LGBTQ+ qu’elle fréquente, sa vie bascule. Car derrière la façade parfaite qu’il s’est créée se cache une haine de lui-même et de son corps. Chaque fois qu’il regarde son reflet dans le miroir, il ressent un mal-être plus grand. Un mal-être qui le détruit à petit feu. Un mal-être qu’il ne peut plus garder pour lui.
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« Quelle identité de genre vous définit ? » Cette stupide question ! Celle qui me trotte dans la tête depuis que je l’ai lue dans un formulaire. Je dois me rendre à l’évidence, j’y pense constamment. Elle m’a fait comprendre pourquoi je me suis toujours senti différent. J’ai eu beau les enterrer sous une épaisse couche de déni et d’évitement, mes questionnements ne sont pas disparus. À sa première journée au cégep, Mickaël revoit Chihiro, une connaissance avec qui il se lie rapidement d’amitié. Quand il l’accompagne à une soirée de l’association LGBTQ+ qu’elle fréquente, sa vie bascule. Car derrière la façade parfaite qu’il s’est créée se cache une haine de lui-même et de son corps. Chaque fois qu’il regarde son reflet dans le miroir, il ressent un mal-être plus grand. Un mal-être qui le détruit à petit feu. Un mal-être qu’il ne peut plus garder pour lui.
Transférer des photos osées d’un ou une mineure est criminel : il s’agit de distribution de pornographie juvénile, ce qui est passible d’une condamnation. Qui plus est, les gens touchés sont souvent victimes d’intimidation, de moqueries et de harcèlement. Ces images sont privées, et seule la personne photographiée peut en disposer à sa guise.
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Transférer des photos osées d’un ou une mineure est criminel : il s’agit de distribution de pornographie juvénile, ce qui est passible d’une condamnation. Qui plus est, les gens touchés sont souvent victimes d’intimidation, de moqueries et de harcèlement. Ces images sont privées, et seule la personne photographiée peut en disposer à sa guise.
« Dans la nuit du 14 au 15 avril sont tragiquement décédés Myriam Labonté et Antoine Dubois... » Mes parents sont morts. Leur départ inattendu me frappe de plein fouet et je n’arrive pas à m'y faire. Pourtant, je n'aurai pas le choix. Je dois me montrer fort, ne serait-ce que pour mes petites sœurs. « Ils laissent dans le deuil... » Le deuil. C’est quoi, au juste? C'est moi qui pleure constamment? C'est Océane qui devient agressive? C'est Coralie qui ne prononce plus un mot? C'est tous ces gens qui débarquent dans notre vie en croyant avoir le droit de nous dire quoi faire ? Mes parents sont morts, d’accord, mais moi, je suis toujours là. Et il est hors de question que je permette à quiconque de nous envoyer dans des familles d'accueil différentes. Je ferai l’impossible pour que nous nous en sortions… sans eux.
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« Dans la nuit du 14 au 15 avril sont tragiquement décédés Myriam Labonté et Antoine Dubois... » Mes parents sont morts. Leur départ inattendu me frappe de plein fouet et je n’arrive pas à m'y faire. Pourtant, je n'aurai pas le choix. Je dois me montrer fort, ne serait-ce que pour mes petites sœurs. « Ils laissent dans le deuil... » Le deuil. C’est quoi, au juste? C'est moi qui pleure constamment? C'est Océane qui devient agressive? C'est Coralie qui ne prononce plus un mot? C'est tous ces gens qui débarquent dans notre vie en croyant avoir le droit de nous dire quoi faire ? Mes parents sont morts, d’accord, mais moi, je suis toujours là. Et il est hors de question que je permette à quiconque de nous envoyer dans des familles d'accueil différentes. Je ferai l’impossible pour que nous nous en sortions… sans eux.
Quand je suis né, tout le monde était perdu. On m’a regardé et on a demandé : « Qu’est-ce que c’est? » La réponse : je suis intersexe. Les médecins souhaitaient m’opérer, mais ma mère s’est battue pour qu’on attende. Maintenant que j’ai seize ans, ils reviennent à la charge. Comme mon père, ils veulent corriger ce qui est différent, enlever ce qui est de trop. Ils aiment les choses qui sont roses ou bleues. Et moi, je suis vraiment très mauve. Je ne sais pas quelle décision prendre. Un alien, c’est comme ça que je me sens. Alors je m’isole, de peur que quelqu’un découvre ce que je suis. Mes seuls amis sont les personnes âgées que je visite bénévolement. Il y a aussi Maël. Il m’attire, mais j’ai l’impression que nous sommes à des années-lumière de distance. Ce n’est pas facile de penser à changer son corps. Est-ce ça qu’il me faut pour m’accepter? Les personnes intersexes naissent avec des caractères sexuels (génitaux ou génétiques) qui ne correspondent pas aux définitions types des corps masculins ou féminins. Ces caractéristiques peuvent être visibles à la naissance, apparaître durant l’enfance, la puberté ou l’âge adulte, ou demeurer invisibles. Selon les experts, il y a autant de personnes intersexes que de personnes rousses. Actuellement, les médecins recommandent de ne pas opérer les enfants intersexes afin de les laisser s’approprier leur identité de genre.
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Quand je suis né, tout le monde était perdu. On m’a regardé et on a demandé : « Qu’est-ce que c’est? » La réponse : je suis intersexe. Les médecins souhaitaient m’opérer, mais ma mère s’est battue pour qu’on attende. Maintenant que j’ai seize ans, ils reviennent à la charge. Comme mon père, ils veulent corriger ce qui est différent, enlever ce qui est de trop. Ils aiment les choses qui sont roses ou bleues. Et moi, je suis vraiment très mauve. Je ne sais pas quelle décision prendre. Un alien, c’est comme ça que je me sens. Alors je m’isole, de peur que quelqu’un découvre ce que je suis. Mes seuls amis sont les personnes âgées que je visite bénévolement. Il y a aussi Maël. Il m’attire, mais j’ai l’impression que nous sommes à des années-lumière de distance. Ce n’est pas facile de penser à changer son corps. Est-ce ça qu’il me faut pour m’accepter? Les personnes intersexes naissent avec des caractères sexuels (génitaux ou génétiques) qui ne correspondent pas aux définitions types des corps masculins ou féminins. Ces caractéristiques peuvent être visibles à la naissance, apparaître durant l’enfance, la puberté ou l’âge adulte, ou demeurer invisibles. Selon les experts, il y a autant de personnes intersexes que de personnes rousses. Actuellement, les médecins recommandent de ne pas opérer les enfants intersexes afin de les laisser s’approprier leur identité de genre.
Ma mère est malade. A cause de sa dépression, elle dort sans arrêt. Ce n'est pas sa faute. A part ma meilleure amie, personne ne le sait. Si mon école ou celle de mon petit frère et ma petite soeur s'en rendait compte, on pourrait être envoyés en famille d'accueil. Alors, je m'occupe d'eux le mieux possible. Bien sûr, mon père est au courant. Mais il travaille sur la route et ne rentre que la fin de semaine. Ces jours-là, elle sort du lit. Elle mange avec nous. Elle prend même sa douche. Le reste du temps, c'est moi, la mère. Je gère tout. La cuisine, la vaisselle, le ménage, les bains, les devoirs. Je donne ses médicaments à maman, aussi. Je les garde toujours avec moi. Elle pourrait être tentée d'en prendre trop… Je suis fatiguée. Je ne sors jamais. Je m'inquiète tout le temps. Mais je ne peux pas abandonner les plus jeunes. De toute façon, elle va finir par guérir. Hein ???
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Ma mère est malade. A cause de sa dépression, elle dort sans arrêt. Ce n'est pas sa faute. A part ma meilleure amie, personne ne le sait. Si mon école ou celle de mon petit frère et ma petite soeur s'en rendait compte, on pourrait être envoyés en famille d'accueil. Alors, je m'occupe d'eux le mieux possible. Bien sûr, mon père est au courant. Mais il travaille sur la route et ne rentre que la fin de semaine. Ces jours-là, elle sort du lit. Elle mange avec nous. Elle prend même sa douche. Le reste du temps, c'est moi, la mère. Je gère tout. La cuisine, la vaisselle, le ménage, les bains, les devoirs. Je donne ses médicaments à maman, aussi. Je les garde toujours avec moi. Elle pourrait être tentée d'en prendre trop… Je suis fatiguée. Je ne sors jamais. Je m'inquiète tout le temps. Mais je ne peux pas abandonner les plus jeunes. De toute façon, elle va finir par guérir. Hein ???
Le mythe voulant qu’une agression sexuelle vécue par un garçon soit physiologiquement impossible est tenace. Pourtant, au Québec seulement, un homme sur cinq déclare avoir été victime d'abus ou de viol, que ce soit de la part d’un homme ou d’une femme. Le consentement n’a pas de genre et non signifiera toujours NON.
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Le mythe voulant qu’une agression sexuelle vécue par un garçon soit physiologiquement impossible est tenace. Pourtant, au Québec seulement, un homme sur cinq déclare avoir été victime d'abus ou de viol, que ce soit de la part d’un homme ou d’une femme. Le consentement n’a pas de genre et non signifiera toujours NON.
Mon secondaire cinq devait être mon année des premières fois. Premier amour, premier road trip, premier bal… J’ai touché à tout ça du bout des doigts. Puis Ewing est arrivé. Ewing, un grave sarcome qui me colle désormais aux os. À cause de ce foutu cancer, mes premières fois ne sont plus celles d’une ado normale. Première chimio, premier séjour à l’hôpital, premier contact avec la mort. Malgré la tempête, ma famille et mon copain font tout ce qu’ils peuvent pour garder espoir et me faire sourire. Une chance que je les ai auprès de moi… Pourtant, j’ai peur que ce ne soit pas suffisant. Ewing m’attaque sans arrêt et il gagne du terrain chaque jour. Je ne veux pas le laisser remporter le combat. Mais je suis si fatiguée… Pour certaines personnes en fin de vie, la douleur est trop grande. Dans le but de soulager leurs souffrances, elles ont la possibilité de demander l’aide médicale à mourir. Sous la supervision de professionnels de la santé, elles reçoivent alors des doses de médicaments qui entraînent paisiblement la mort. Cette procédure est strictement encadrée par la loi canadienne. Pour qu’une demande soit acceptée, elle doit répondre à plusieurs critères précis.
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Mon secondaire cinq devait être mon année des premières fois. Premier amour, premier road trip, premier bal… J’ai touché à tout ça du bout des doigts. Puis Ewing est arrivé. Ewing, un grave sarcome qui me colle désormais aux os. À cause de ce foutu cancer, mes premières fois ne sont plus celles d’une ado normale. Première chimio, premier séjour à l’hôpital, premier contact avec la mort. Malgré la tempête, ma famille et mon copain font tout ce qu’ils peuvent pour garder espoir et me faire sourire. Une chance que je les ai auprès de moi… Pourtant, j’ai peur que ce ne soit pas suffisant. Ewing m’attaque sans arrêt et il gagne du terrain chaque jour. Je ne veux pas le laisser remporter le combat. Mais je suis si fatiguée… Pour certaines personnes en fin de vie, la douleur est trop grande. Dans le but de soulager leurs souffrances, elles ont la possibilité de demander l’aide médicale à mourir. Sous la supervision de professionnels de la santé, elles reçoivent alors des doses de médicaments qui entraînent paisiblement la mort. Cette procédure est strictement encadrée par la loi canadienne. Pour qu’une demande soit acceptée, elle doit répondre à plusieurs critères précis.
Le sexe. À mon âge, on ne pense qu’à ça. On a hâte de découvrir ce que ça fait, d’explorer toutes les possibilités qu’il offre. Après y avoir goûté pour la première fois, on en veut plus. Toujours plus. Parce que c’est fucking bon. Je ne fais pas exception à la règle. Je couche avec du monde. Genre... vraiment beaucoup. Tellement qu’on m’accole l’étiquette de nympho. Mais je m’en fous. Tous les gars rêvent de ça, une fille accro au sexe. Non ? Sauf que, dernièrement, j’ai commencé à dérailler. Le sexe s’est carrément transformé en obsession. Je fais quoi, moi, maintenant qu’il est devenu synonyme de perte de contrôle ? De vide ? De douleur ?
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Le sexe. À mon âge, on ne pense qu’à ça. On a hâte de découvrir ce que ça fait, d’explorer toutes les possibilités qu’il offre. Après y avoir goûté pour la première fois, on en veut plus. Toujours plus. Parce que c’est fucking bon. Je ne fais pas exception à la règle. Je couche avec du monde. Genre... vraiment beaucoup. Tellement qu’on m’accole l’étiquette de nympho. Mais je m’en fous. Tous les gars rêvent de ça, une fille accro au sexe. Non ? Sauf que, dernièrement, j’ai commencé à dérailler. Le sexe s’est carrément transformé en obsession. Je fais quoi, moi, maintenant qu’il est devenu synonyme de perte de contrôle ? De vide ? De douleur ?
Mes parents ne m’ont jamais caché que j’étais adoptée. Pourtant, tout ce que je savais, c’est que la DPJ m’a prise en charge dès ma naissance, car ma mère avait des «?problèmes de santé?». Alors j’ai toujours ressenti un vide à combler… Et voilà que je trouve une photo de moi bébé en compagnie de ma tante biologique ! Maintenant que j’ai un véritable indice sur l’identité de ma mère, je n’ai plus le choix de creuser plus loin. J’ai peur que mes parents m’en veuillent et qu’ils se sentent rejetés. Je dois quand même faire le saut et essayer de retrouver ma mère biologique pour la rencontrer?; pour enfin obtenir des réponses aux questions qui se bousculent dans ma tête.
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Mes parents ne m’ont jamais caché que j’étais adoptée. Pourtant, tout ce que je savais, c’est que la DPJ m’a prise en charge dès ma naissance, car ma mère avait des «?problèmes de santé?». Alors j’ai toujours ressenti un vide à combler… Et voilà que je trouve une photo de moi bébé en compagnie de ma tante biologique ! Maintenant que j’ai un véritable indice sur l’identité de ma mère, je n’ai plus le choix de creuser plus loin. J’ai peur que mes parents m’en veuillent et qu’ils se sentent rejetés. Je dois quand même faire le saut et essayer de retrouver ma mère biologique pour la rencontrer?; pour enfin obtenir des réponses aux questions qui se bousculent dans ma tête.
Je ne suis pas comme les autres gars de ma gang. J’ai d’énormes responsabilités qui m’attendent : ma blonde est enceinte et les factures s’accumulent. La pression monte et mes économies fondent à la vitesse de l’éclair. Voilà pourquoi je tente à tout prix de remporter le gros lot : billets de loterie, machines à sous, soirées poker… Tout le monde n’arrête pas de me dire que j’ai un problème, mais c’est que personne ne me comprend ! Si je ne joue pas mes numéros, je perds une occasion de gagner ! Et je SAIS que la chance va finir par tourner. Je me fous de ce que les gens pensent, car c’est moi, le prochain millionnaire !
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Je ne suis pas comme les autres gars de ma gang. J’ai d’énormes responsabilités qui m’attendent : ma blonde est enceinte et les factures s’accumulent. La pression monte et mes économies fondent à la vitesse de l’éclair. Voilà pourquoi je tente à tout prix de remporter le gros lot : billets de loterie, machines à sous, soirées poker… Tout le monde n’arrête pas de me dire que j’ai un problème, mais c’est que personne ne me comprend ! Si je ne joue pas mes numéros, je perds une occasion de gagner ! Et je SAIS que la chance va finir par tourner. Je me fous de ce que les gens pensent, car c’est moi, le prochain millionnaire !
Quel ado n’a pas hâte de tomber amoureux ? J’en ai rêvé tellement longtemps ! Puis, j’ai rencontré Raheeq. Des yeux sombres, des pommettes saillantes, un air sérieux et impénétrable… Ça ne m’en prenait pas plus ! Alors que pour moi son héritage libanais est source d’émerveillement, j’ai vite réalisé que mes amis ne le voient pas du même œil. Un jugement par-ci, un commentaire par-là… Après tout, c’est vrai que nous venons de deux mondes différents. Je l’ai d’ailleurs constaté lorsqu’il m’a présentée à sa famille pour la première fois… Mais nos sentiments sont plus forts que tout.
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Quel ado n’a pas hâte de tomber amoureux ? J’en ai rêvé tellement longtemps ! Puis, j’ai rencontré Raheeq. Des yeux sombres, des pommettes saillantes, un air sérieux et impénétrable… Ça ne m’en prenait pas plus ! Alors que pour moi son héritage libanais est source d’émerveillement, j’ai vite réalisé que mes amis ne le voient pas du même œil. Un jugement par-ci, un commentaire par-là… Après tout, c’est vrai que nous venons de deux mondes différents. Je l’ai d’ailleurs constaté lorsqu’il m’a présentée à sa famille pour la première fois… Mais nos sentiments sont plus forts que tout.
J’adore ma best. C’est mon amie d’enfance. Quand elle m’a annoncé qu’elle changeait d’école pour venir à la mienne, j’ai littéralement sauté de joie. Mais je réalise que ma vie était beaucoup plus simple avant son arrivée. J’avais ma gang, mes dîners à la bibliothèque et… je n’avais pas de comptes à lui rendre. J’assiste maintenant tous les jours aux blagues mesquines qu’elle sert à tout le monde. J’ai honte. Sans parler de ses commentaires assassins qui me rentrent dedans comme des couteaux... « Décoince-toi, Jade ! », « On sait bien, c’est Jade la première à se jeter sur les bonbons ! », « Tu pleures pour rien, tu joues à la victime ! ». Ils deviennent lourds à porter, détruisent petit à petit ma confiance en moi. On dirait que je ne suis pas assez bien pour elle. Je dois lui en parler, mais j’ai peur de sa réaction. Pourtant, en tant qu’amie, elle devrait m’aimer comme je suis et me respecter. Non ? Une amitié devient malsaine quand elle cause beaucoup de peine et d’angoisse. Lorsqu’on est pris dans les rouages d’une amitié toxique, la jalousie, la déception et la culpabilité ternissent la relation. Apprendre à reconnaître ses limites et à les exprimer est l’un des premiers pas pour se respecter.
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J’adore ma best. C’est mon amie d’enfance. Quand elle m’a annoncé qu’elle changeait d’école pour venir à la mienne, j’ai littéralement sauté de joie. Mais je réalise que ma vie était beaucoup plus simple avant son arrivée. J’avais ma gang, mes dîners à la bibliothèque et… je n’avais pas de comptes à lui rendre. J’assiste maintenant tous les jours aux blagues mesquines qu’elle sert à tout le monde. J’ai honte. Sans parler de ses commentaires assassins qui me rentrent dedans comme des couteaux... « Décoince-toi, Jade ! », « On sait bien, c’est Jade la première à se jeter sur les bonbons ! », « Tu pleures pour rien, tu joues à la victime ! ». Ils deviennent lourds à porter, détruisent petit à petit ma confiance en moi. On dirait que je ne suis pas assez bien pour elle. Je dois lui en parler, mais j’ai peur de sa réaction. Pourtant, en tant qu’amie, elle devrait m’aimer comme je suis et me respecter. Non ? Une amitié devient malsaine quand elle cause beaucoup de peine et d’angoisse. Lorsqu’on est pris dans les rouages d’une amitié toxique, la jalousie, la déception et la culpabilité ternissent la relation. Apprendre à reconnaître ses limites et à les exprimer est l’un des premiers pas pour se respecter.
J’ai parlé. Après toutes ces années de silence, j’ai osé dénoncer mon agresseur, l’homme à l’origine de mes plus grandes souffrances : mon beau-père. Maintenant que c’est fait, impossible de reculer. Le processus judiciaire est enclenché. En plus de la peur qui m’accompagne à chaque étape, je dois affronter le regard des autres, la culpabilité étouffante de ma mère, les cauchemars incessants… Ce que je désire par-dessus tout, c’est me défaire de l’emprise invisible qu’il continue à avoir sur moi. Et peut-être qu’un morceau à la fois, je réussirai enfin à me reconstruire. Aux premiers abords, le système judiciaire peut paraître intimidant pour les victimes de pédophilie, dont la confiance en toute figure d’autorité est grandement ébranlée. Il est toutefois important de dénoncer son agresseur pour l’empêcher de s’en prendre à d’autres. Heureusement, plusieurs acteurs et organismes sont présents pour accompagner les victimes dans toutes les phases de leur guérison.
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J’ai parlé. Après toutes ces années de silence, j’ai osé dénoncer mon agresseur, l’homme à l’origine de mes plus grandes souffrances : mon beau-père. Maintenant que c’est fait, impossible de reculer. Le processus judiciaire est enclenché. En plus de la peur qui m’accompagne à chaque étape, je dois affronter le regard des autres, la culpabilité étouffante de ma mère, les cauchemars incessants… Ce que je désire par-dessus tout, c’est me défaire de l’emprise invisible qu’il continue à avoir sur moi. Et peut-être qu’un morceau à la fois, je réussirai enfin à me reconstruire. Aux premiers abords, le système judiciaire peut paraître intimidant pour les victimes de pédophilie, dont la confiance en toute figure d’autorité est grandement ébranlée. Il est toutefois important de dénoncer son agresseur pour l’empêcher de s’en prendre à d’autres. Heureusement, plusieurs acteurs et organismes sont présents pour accompagner les victimes dans toutes les phases de leur guérison.
Ma meilleure amie et moi, on se connaît depuis toujours. On se partage tous nos secrets, toutes nos histoires. On est tout le temps l’une avec l’autre. C’est simple, on est Fanny et Abi pour la vie ! Enfin, c’est ce que je croyais… jusqu’à ce qu’on arrive au cégep. Entre nos programmes complètement opposés et les nouveaux amis que Fanny s’est faits, j’ai l’impression qu’une distance commence à s’installer. Qu’on est rendues trop différentes pour être aussi proches qu’avant. Ça ne semble pas déranger Fanny, alors que moi, j’ai le sentiment qu’une partie de mon être m’est arrachée… Les peines d’amitié peuvent parfois faire aussi mal, sinon plus, que les peines d’amour. Mais il peut être difficile d’en parler, parce qu’on les prend généralement moins au sérieux. Pourtant, elles sont bien réelles. Lorsqu’une relation amicale se termine, il est normal de vivre un deuil..
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Ma meilleure amie et moi, on se connaît depuis toujours. On se partage tous nos secrets, toutes nos histoires. On est tout le temps l’une avec l’autre. C’est simple, on est Fanny et Abi pour la vie ! Enfin, c’est ce que je croyais… jusqu’à ce qu’on arrive au cégep. Entre nos programmes complètement opposés et les nouveaux amis que Fanny s’est faits, j’ai l’impression qu’une distance commence à s’installer. Qu’on est rendues trop différentes pour être aussi proches qu’avant. Ça ne semble pas déranger Fanny, alors que moi, j’ai le sentiment qu’une partie de mon être m’est arrachée… Les peines d’amitié peuvent parfois faire aussi mal, sinon plus, que les peines d’amour. Mais il peut être difficile d’en parler, parce qu’on les prend généralement moins au sérieux. Pourtant, elles sont bien réelles. Lorsqu’une relation amicale se termine, il est normal de vivre un deuil..
Depuis quelque temps, mon entourage me répète que j’ai changé. Je ne m’amuse plus avec mon frère et ma sœur comme avant, je me dispute avec mes parents, je m’éloigne de mes amis… Oui, je deviens plus solitaire, mais je suis convaincu que ça n’a rien à voir avec ce qui est arrivé à la banque, ce jour-là, malgré ce que prétendent mes proches. Après tout, je m’en suis sorti sans une seule égratignure. Alors pourquoi passer près du bâtiment me fait-il trembler ? Pourquoi le canon d’un fusil apparaît-il dans mes rêves chaque nuit ? Les gens ont peut-être raison de s’inquiéter. Et si les événements m’avaient davantage marqué que je ne le croyais ? Le trouble de stress post-traumatique ne touche pas que les soldats et les premiers répondants. Il peut apparaître à la suite de n’importe quelle situation provoquant un état de détresse intense. Les symptômes varient d’une personne à l’autre et peuvent perturber leur vie quotidienne…
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Depuis quelque temps, mon entourage me répète que j’ai changé. Je ne m’amuse plus avec mon frère et ma sœur comme avant, je me dispute avec mes parents, je m’éloigne de mes amis… Oui, je deviens plus solitaire, mais je suis convaincu que ça n’a rien à voir avec ce qui est arrivé à la banque, ce jour-là, malgré ce que prétendent mes proches. Après tout, je m’en suis sorti sans une seule égratignure. Alors pourquoi passer près du bâtiment me fait-il trembler ? Pourquoi le canon d’un fusil apparaît-il dans mes rêves chaque nuit ? Les gens ont peut-être raison de s’inquiéter. Et si les événements m’avaient davantage marqué que je ne le croyais ? Le trouble de stress post-traumatique ne touche pas que les soldats et les premiers répondants. Il peut apparaître à la suite de n’importe quelle situation provoquant un état de détresse intense. Les symptômes varient d’une personne à l’autre et peuvent perturber leur vie quotidienne…
De l’extérieur, ma vie semble parfaite. Je suis un sportif accompli, j’ai une blonde super belle, ainsi que deux meilleurs amis et une mère qui sont toujours là pour moi. Pourtant, dans les faits, ça ne va pas ! Depuis que mon père est parti vivre avec sa maîtresse et que mon grand-père a reçu un diagnostic d’Alzheimer, je me sens seul et abandonné… Le seul moyen que j’ai trouvé pour me vider la tête, c’est de consommer de la porno. Beaucoup de porno. Sauf que plus j’en regarde, plus je dérape. Ça m’obsède et me pousse à faire des choses que je regrette presque à tous coups. Et c’est pire depuis que je me suis rapproché d’Alycia, l’amie de ma cousine. Avec elle, j’ai l’impression que je pourrais explorer mes pulsions. Mais à quel prix ? À notre ère, la grande accessibilité aux vidéos pornos cause trop souvent un usage problématique qui peut engendrer une dépendance à la pornographie. Les conséquences négatives sont alors multiples : mensonges, isolement social, anxiété, perte de libido, obsessions, délits sexuels, etc. Cette consommation incontrôlée peut entraîner les jeunes dans une spirale infernale dont il est extrêmement difficile de sortir.
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De l’extérieur, ma vie semble parfaite. Je suis un sportif accompli, j’ai une blonde super belle, ainsi que deux meilleurs amis et une mère qui sont toujours là pour moi. Pourtant, dans les faits, ça ne va pas ! Depuis que mon père est parti vivre avec sa maîtresse et que mon grand-père a reçu un diagnostic d’Alzheimer, je me sens seul et abandonné… Le seul moyen que j’ai trouvé pour me vider la tête, c’est de consommer de la porno. Beaucoup de porno. Sauf que plus j’en regarde, plus je dérape. Ça m’obsède et me pousse à faire des choses que je regrette presque à tous coups. Et c’est pire depuis que je me suis rapproché d’Alycia, l’amie de ma cousine. Avec elle, j’ai l’impression que je pourrais explorer mes pulsions. Mais à quel prix ? À notre ère, la grande accessibilité aux vidéos pornos cause trop souvent un usage problématique qui peut engendrer une dépendance à la pornographie. Les conséquences négatives sont alors multiples : mensonges, isolement social, anxiété, perte de libido, obsessions, délits sexuels, etc. Cette consommation incontrôlée peut entraîner les jeunes dans une spirale infernale dont il est extrêmement difficile de sortir.

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