Les Mariées de Bath - La série

Pendant six longues années, Thomas Moreland a rêvé de la belle aristocrate qui l'a sauvé de la mort. Alors qu'il faisait fortune en Inde, il ne s'est pas passé une seule journée sans qu'il ne se remémore la beauté diaphane de Félicity, sans qu'il ne se souvienne des sonorités chantantes de sa voix douce, sans qu'il ne désire la posséder. Devenue veuve, Félicity Harrison ne reconnaît pas dans ce nabab avenant le jeune homme laissé pour mort quelques années auparavant par des bandits de grand chemin. Même si rien ne lui ferait plus plaisir que d'ignorer cet homme arrogant qui promet de sauver sa famille de la faillite si elle accepte de présenter sa sœur cadette à la bonne société, elle se découvre incapable de lui tourner le dos. Il faudra donc qu'elle tolère sa compagnie. Mais plus elle le côtoie, plus elle doit se forcer à demeurer fidèle à la mémoire de son défunt mari. Pourquoi donc ce Thomas Moreland, d'origine modeste, a-t-il plus de noblesse que n'importe quel homme de sa classe sociale ? Et pourquoi trouve-t-elle de plus en plus difficile de porter le deuil d'un mort alors que la virilité de Thomas éveille ses désirs les plus profonds ?

Glee Pembroke a refusé d'innombrables demandes en mariage, car elle a été secrètement amoureuse du meilleur ami de son frère, Gregory Blankenship, durant toute sa vie. Quand elle apprend que Gregory va perdre sa fortune colossale s'il ne se marie pas avant son vingt-cinquième anniversaire, elle le persuade de contracter avec elle un mariage de façade. Ce qu'il ne sait pas est qu'elle a l'intention de conquérir son cœur. Elle fera tout ce qui est en son pouvoir pour le rendre heureux, y compris imiter les manières d'une femme "facile", puisqu'il est connu pour fréquenter des femmes de ce genre. Pourquoi a-t-il accepté d'épouser cette Glee qui le rend fou ? Il s'était dit qu'ils passeraient du bon temps, mais elle n'a de cesse de l'exaspérer. Pourquoi insiste-t-elle pour porter des décolletés aussi plongeants ? Pourquoi d'autres hommes insistent-ils pour flirter avec elle, son épouse ? Et pourquoi diable sa vie jusque-là si complaisante s'est-elle retrouvée chamboulée par ce faux mariage ? Il se prend à souhaiter un véritable mariage, mais pour des raisons qu'il ne peut divulguer, cela ne pourra jamais se produire....

Depuis que son commandant sur la Péninsule a été tué d'une balle qui lui était destinée, James Moore, devenu comte de Rutledge, se sent le devoir de protéger le jeune fils du défunt et Carlotta Ennis, l'exquise mère du petit garçon - à tel point qu'il demande en mariage cette beauté aux yeux mauves. Même si leur union n'est pas un mariage d'amour, la présence envoûtante de Carlotta poussera James à vouloir en faire sa véritable épouse. Bien que Carlotta ne soit pas amoureuse du comte, sa situation désespérée ne lui laisse d'autre choix que d'accepter sa proposition. Contre toute attente, elle finit par désirer sa présence et avoir soif de ses caresses. Si seulement elle pouvait être digne de l'homme qu'elle a épousé, si seulement elle pouvait l'empêcher d'apprendre son terrible secret...

Même si cela fait deux ans que sa femme adorée est morte en couches, George Pembroke, vicomte de Sedgewick, se réfugie toujours dans l'alcool pour apaiser sa douleur. Inquiètes pour lui et ses enfants, les sœurs de George le prient de demander à la vieille fille Sally Spenser - une amie de longue date de la famille - de l'aider à s'occuper de sa fille et de son fils. Sally est la candidate parfaite. Elle est de haute naissance (mais sans-le-sou) et elle adore les enfants de lord Sedgewick. C'est son amour profond pour les petits orphelins et sa crainte que leur père n'épouse une marâtre sans cœur qui poussent Sally à réfléchir à la proposition de George. Même si cela sera insupportable de résider sous le même toit que l'homme qu'elle aime tout en sachant qu'elle ne pourra jamais le posséder....

La Belle et l’Intellectuel… Une veuve sans ressources persuade un austère intellectuel de l’aider à retrouver un précieux manuscrit qui lui a été volé, et dont la vente leur donnerait l’indépendance financière dont tous deux ont cruellement besoin. Malgré leurs différences et les obstacles qui se dressent sur leur chemin, provoqués par des forces mystérieuses, cette quête mutuelle les rapprochera inéluctablement l’un de l’autre…

Tous les personnages des cinq premiers livres des « Mariées de Bath » vous offrent un peu de joie de Noël, tandis que Glee Blankenship aiguise la flèche de Cupidon. À l’insu de l’intellectuel Jonathan Blankenship, sa belle-sœur Glee a décidé que ce Noël, il avait besoin qu’on le pousse un peu pour se rendre compte que la chère amie qu’il connait depuis quatre ans, Miss Arbuckle, est l’épouse qui lui conviendra parfaitement.

Lord Appleton n’est peut-être pas le plus vertueux des hommes, mais il n’a jamais été du genre à perdre la tête aux tables de jeu. Pourtant, lors d’une nuit dont il n’a aucun souvenir, il perd tout ce qu’il possède. Comment va-t-il pourvoir aux besoins de ses sœurs ? Où vivront-elles lorsque le scélérat qui a acheté ses dettes les chassera de leur maison de Bath ? Lord Appleton est prêt à tout pour récupérer leur maison et éviter de faire souffrir sa famille, même si pour cela il devra épouser une héritière un peu particulière. Lorsque Miss Dorothea Pankhurst arrive à Bath avec son père malade, ainsi que les quatre chats dont elle ne se sépare jamais, elle ignore tout des rouages de la société. Heureusement, le charmant Lord Appleton et son adorable sœur la prennent sous leur aile. Immédiatement, elle s’éprend du beau vicomte qui, à sa grande surprise, ne tarde pas à lui demander sa main. Mais le meurtre d’une jeune croupière qui travaillait dans la maison de jeu qu’Appleton fréquentait vient bouleverser la vie de Dorothea et Appleton. Ensemble, ils se lancent à la recherche du tueur, sans se douter que quelqu’un est prêt à tout pour les séparer

Alors qu’elle peint le portrait de Sir Elvin Steffington, le célibataire le plus convoité de Bath, Diana Furness, une jeune célibataire au physique terriblement ordinaire, développe une forte amitié avec son sujet. Serait-ce plus que de l’amitié ? Pourrait-il un jour être attiré par une femme aussi insignifiante qu’elle ?