Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Il y a toutes sortes de patrons.
Il y a le sympathique, espèce rare uniquement réservée aux chanceux.
L’arrangeant, qui nous laisse nos pauses-café sans sourciller, malheureusement en voie de disparition.
Il y a le généreux, aussi appelé le mythe.
Puis, dans un autre genre, nous avons le fatigant, qui sait tout, mais rien faire, probablement le vôtre.
Le grognon qui souffle comme un animal prêt à charger pour faire comprendre son désaccord permanent (grattage du mocassin verni sur le sol inclus), sans doute le vôtre aussi.
Et évidemment, il y a le con (saligaud pour les plus polis), très loin de la rareté, du mythe, l’insupportable que l’on doit malheureusement supporter (probablement le vôtre, mais chut...).
Maintenant, je vous laisse deviner lequel est le mien. Bingo, il ne fait pas partie d’une espèce rare. En plus, je n’ai rien fait pour mériter ça... ou presque. Le mieux, c’est que vous jugiez par vous-mêmes.
Mais je vous ai prévenus, la victime, c’est moi dans cette histoire...
Il y a toutes sortes de patrons.
Il y a le sympathique, espèce rare uniquement réservée aux chanceux.
L’arrangeant, qui nous laisse nos pauses-café sans sourciller, malheureusement en voie de disparition.
Il y a le généreux, aussi appelé le mythe.
Puis, dans un autre genre, nous avons le fatigant, qui sait tout, mais rien faire, probablement le vôtre.
Le grognon qui souffle comme un animal prêt à charger pour faire comprendre son désaccord permanent (grattage du mocassin verni sur le sol inclus), sans doute le vôtre aussi.
Et évidemment, il y a le con (saligaud pour les plus polis), très loin de la rareté, du mythe, l’insupportable que l’on doit malheureusement supporter (probablement le vôtre, mais chut...).
Maintenant, je vous laisse deviner lequel est le mien. Bingo, il ne fait pas partie d’une espèce rare. En plus, je n’ai rien fait pour mériter ça... ou presque. Le mieux, c’est que vous jugiez par vous-mêmes.
Mais je vous ai prévenus, la victime, c’est moi dans cette histoire...
Tout ça n’était qu’un pari, un pari idiot, mais surtout un pari qui me concernait. Ça ne lui a pas suffi de me faire renvoyer, il a bien sûr fallu qu’il m’embauche en pariant avec cet autre abruti que je démissionnerais.
Eh bien, autant dire qu’il a perdu et que je ne vais pas en rester là !
Tout ça pour un petit « Allez-vous faire foutre » lancé comme ça.
Quitte à perdre mon boulot, autant le perdre après une bonne dose d’insultes. Mais le pire dans tout ça, c'est que j'adore mon job, le seul point noir, c'est lui !
Tout ça n’était qu’un pari, un pari idiot, mais surtout un pari qui me concernait. Ça ne lui a pas suffi de me faire renvoyer, il a bien sûr fallu qu’il m’embauche en pariant avec cet autre abruti que je démissionnerais.
Eh bien, autant dire qu’il a perdu et que je ne vais pas en rester là !
Tout ça pour un petit « Allez-vous faire foutre » lancé comme ça.
Quitte à perdre mon boulot, autant le perdre après une bonne dose d’insultes. Mais le pire dans tout ça, c'est que j'adore mon job, le seul point noir, c'est lui !
Et voilà, il a signé ! Je dois bien avouer qu’il a été coriace, le patron, mais c’est bien connu, quand Clémentine veut, Clémentine obtient.
Donc, je vais maintenant pouvoir abuser de son sublime corps sans avoir peur qu’il ne se mette à hurler comme une fillette oubliée dans une maison hantée. Enfin, je vais y aller doucement, il a encore parfois l’air d’un coulrophobe sous le chapiteau d’un cirque. Bref, du sexe, du sexe et encore du sexe sans la moindre prise de tête ni le moindre attachement.
Un plan parfait à la Clémentine. Allez, il est l’heure de s’envoyer en l’air !
Et voilà, il a signé ! Je dois bien avouer qu’il a été coriace, le patron, mais c’est bien connu, quand Clémentine veut, Clémentine obtient.
Donc, je vais maintenant pouvoir abuser de son sublime corps sans avoir peur qu’il ne se mette à hurler comme une fillette oubliée dans une maison hantée. Enfin, je vais y aller doucement, il a encore parfois l’air d’un coulrophobe sous le chapiteau d’un cirque. Bref, du sexe, du sexe et encore du sexe sans la moindre prise de tête ni le moindre attachement.
Un plan parfait à la Clémentine. Allez, il est l’heure de s’envoyer en l’air !