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« Styx n’en dormait plus. Il parvenait à peine à manger, à boire, et ne s’accordait du repos que lorsque ses nerfs le lâchaient, qu’il envoyait valser à travers la chambre une de ces peintures, qu’il la détruisait avant de s’horrifier de son acte sacrilège, avoir brisé l’une des toiles de sa muse, celle qui l’obnubilait et hantait ses pensées, nuit et jour. Celle qui le nourrissait mieux que toute forme de mets terrestres. Celle qui lui donnait vie à chaque instant, qui lui insufflait le désir de se surpasser, de peindre, encore et encore, jusqu’à l’anéantissement. Jusqu'à toucher du doigt la perfection. Il avait découvert une part de Divin dans les courbes de Maël, dans sa beauté, dans sa candeur perverse, et il ne pouvait pas, ne voulait pas s’arrêter.
Peindre.
Peindre.
Peindre.
Sa muse l’appelait. Sa muse exigeait. Sa muse l’obligeait à se dépasser lui-même. Sa muse était sa Source. Celle dans laquelle il puisait son art. Celle qui le pousserait vers les sommets les plus fous. Avant de signer sa déchéance. »
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« Styx n’en dormait plus. Il parvenait à peine à manger, à boire, et ne s’accordait du repos que lorsque ses nerfs le lâchaient, qu’il envoyait valser à travers la chambre une de ces peintures, qu’il la détruisait avant de s’horrifier de son acte sacrilège, avoir brisé l’une des toiles de sa muse, celle qui l’obnubilait et hantait ses pensées, nuit et jour. Celle qui le nourrissait mieux que toute forme de mets terrestres. Celle qui lui donnait vie à chaque instant, qui lui insufflait le désir de se surpasser, de peindre, encore et encore, jusqu’à l’anéantissement. Jusqu'à toucher du doigt la perfection. Il avait découvert une part de Divin dans les courbes de Maël, dans sa beauté, dans sa candeur perverse, et il ne pouvait pas, ne voulait pas s’arrêter.
Peindre.
Peindre.
Peindre.
Sa muse l’appelait. Sa muse exigeait. Sa muse l’obligeait à se dépasser lui-même. Sa muse était sa Source. Celle dans laquelle il puisait son art. Celle qui le pousserait vers les sommets les plus fous. Avant de signer sa déchéance. »
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Lorsque Maël, adolescent déluré d’à peine dix-sept ans, a fait la rencontre de Styx, il a tout de suite flashé sur lui. Le peintre libertin, dont il admire les tableaux depuis toujours, le fascine et l’attire. Depuis qu’il a découvert son travail, il n’a eu de cesse que d’obtenir le droit de poser pour lui. Mais ce qu’il souhaite, au fond, c’est avant tout d’obtenir l’attention et la passion de l’artiste qui, de son côté, semble obsédé par cette jeune muse têtue et splendide… Entre Maël et Styx, une lutte acharnée et fougueuse est née. Entre désir irrépressible et morale hypocrite, les deux hommes se débattent désespérément dans la tourmente de leurs vies bouleversées…
Lorsque Maël, adolescent déluré d’à peine dix-sept ans, a fait la rencontre de Styx, il a tout de suite flashé sur lui. Le peintre libertin, dont il admire les tableaux depuis toujours, le fascine et l’attire. Depuis qu’il a découvert son travail, il n’a eu de cesse que d’obtenir le droit de poser pour lui. Mais ce qu’il souhaite, au fond, c’est avant tout d’obtenir l’attention et la passion de l’artiste qui, de son côté, semble obsédé par cette jeune muse têtue et splendide… Entre Maël et Styx, une lutte acharnée et fougueuse est née. Entre désir irrépressible et morale hypocrite, les deux hommes se débattent désespérément dans la tourmente de leurs vies bouleversées…
Maël et Styx vivent désormais ensemble, et l’on pourrait croire que leur vie est un long fleuve tranquille. C’est sans compter sur leurs passés torturés, qui les empêche d’avancer de concert et les confronte l’un à l’autre avec violence et incompréhension. Styx n’a jamais souhaité se mettre en couple, il a toujours évité l’amour et la relation humaine. Maël est son opposé, mais ses propres blocages le poussent à fuir à sa manière. Troublés et cassés par l’existence, les deux hommes cherchent confusément un équilibre et une harmonie qui tiennent du miracle…
Extrait :
Maël ouvrit la bouche pour protester, Styx plaqua ses lèvres contre les siennes, le faisant taire.
« L’idée de ne pas pouvoir te donner du plaisir me donne envie de chialer, révéla-t-il d’une voix vibrante de souffrance.
-Tu me donnes beaucoup de plaisir… répliqua l’adolescent, qui semblait brutalement au bord des larmes.
-Je sais, oui. Tu as très bien compris ce que je veux dire. Tu as un corps splendide, petit chat. Un corps que j’ai envie d’honorer de toutes les manières possibles et imaginables. Un corps que j’ai envie de peindre, d’embrasser, de caresser, de baiser. Je t’aime, petit con. Laisse-moi une chance de gagner cette bataille-là… »
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Dans un univers fantasy, « Muse » est une romance gay racontant l’histoire de Maël, adolescent déluré et de Styx, peintre névrosé... Une histoire d’amour forte, sombre et difficile, mettant en scène deux personnages à l’histoire torturée…
Cette œuvre est susceptible de choquer les âmes sensibles et ne fait en aucun cas l'apologie des violences qui y sont décrites.
Maël et Styx vivent désormais ensemble, et l’on pourrait croire que leur vie est un long fleuve tranquille. C’est sans compter sur leurs passés torturés, qui les empêche d’avancer de concert et les confronte l’un à l’autre avec violence et incompréhension. Styx n’a jamais souhaité se mettre en couple, il a toujours évité l’amour et la relation humaine. Maël est son opposé, mais ses propres blocages le poussent à fuir à sa manière. Troublés et cassés par l’existence, les deux hommes cherchent confusément un équilibre et une harmonie qui tiennent du miracle…
Extrait :
Maël ouvrit la bouche pour protester, Styx plaqua ses lèvres contre les siennes, le faisant taire.
« L’idée de ne pas pouvoir te donner du plaisir me donne envie de chialer, révéla-t-il d’une voix vibrante de souffrance.
-Tu me donnes beaucoup de plaisir… répliqua l’adolescent, qui semblait brutalement au bord des larmes.
-Je sais, oui. Tu as très bien compris ce que je veux dire. Tu as un corps splendide, petit chat. Un corps que j’ai envie d’honorer de toutes les manières possibles et imaginables. Un corps que j’ai envie de peindre, d’embrasser, de caresser, de baiser. Je t’aime, petit con. Laisse-moi une chance de gagner cette bataille-là… »
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Dans un univers fantasy, « Muse » est une romance gay racontant l’histoire de Maël, adolescent déluré et de Styx, peintre névrosé... Une histoire d’amour forte, sombre et difficile, mettant en scène deux personnages à l’histoire torturée…
Cette œuvre est susceptible de choquer les âmes sensibles et ne fait en aucun cas l'apologie des violences qui y sont décrites.