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A Sainte-Hélène, promeneur solitaire de la Vallée du silence et des falaises dominant l'océan, Napoléon soupirait: "Quel roman que ma vie!"
Singulièrement, alors qu'une foule d'écrivains, français et étrangers, ont mis en scène, épisodiquement, le personnage le plus célèbre de notre histoire, nul n'a tenté de romancer cette vie dans sa totalité, de sa naissance à sa mort. Michel Peyramaure est le premier à oser cette entreprise colossale.
Cette entreprise, à la mesure du destin raconté, comprendra deux tomes. Celui-ci, le premier, conduit le lecteur à la naissance du petit Nabulio -ainsi que l'appelait sa mère, l'admirable Laetitia- au sacre impérial (2 décembre 1804) et au triomphe d'Austerlitz (2 décembre 1805), point culminant de cette fulgurante ascension -Napoléon, empereur et vainqueur de l'Europe, a alors trente-six ans! Quelle histoire et quel homme!
C'est l'homme précisément que cette 'chronique romanesque' fait vivre sous nos yeux. Tel qu'il était: d'acier dans un corps fragile, fort et faible, doué d'un extraordinaire pouvoir sur les autres -fascinant.
Un homme exceptionnel. Mais un homme.
Et seul le roman peut rendre compte d'un homme.
A Sainte-Hélène, promeneur solitaire de la Vallée du silence et des falaises dominant l'océan, Napoléon soupirait: "Quel roman que ma vie!"
Singulièrement, alors qu'une foule d'écrivains, français et étrangers, ont mis en scène, épisodiquement, le personnage le plus célèbre de notre histoire, nul n'a tenté de romancer cette vie dans sa totalité, de sa naissance à sa mort. Michel Peyramaure est le premier à oser cette entreprise colossale.
Cette entreprise, à la mesure du destin raconté, comprendra deux tomes. Celui-ci, le premier, conduit le lecteur à la naissance du petit Nabulio -ainsi que l'appelait sa mère, l'admirable Laetitia- au sacre impérial (2 décembre 1804) et au triomphe d'Austerlitz (2 décembre 1805), point culminant de cette fulgurante ascension -Napoléon, empereur et vainqueur de l'Europe, a alors trente-six ans! Quelle histoire et quel homme!
C'est l'homme précisément que cette 'chronique romanesque' fait vivre sous nos yeux. Tel qu'il était: d'acier dans un corps fragile, fort et faible, doué d'un extraordinaire pouvoir sur les autres -fascinant.
Un homme exceptionnel. Mais un homme.
Et seul le roman peut rendre compte d'un homme.
L'histoire, on la connaît, et nul ne peut la récrire - du soleil d'Austerlitz au crépuscule de Sainte-Hélène, par les chemins de croix d'Espagne et de Russie, les adieux de Fontainebleau, la résurrection des Cent Jours, Waterloo... L'aigle lançant la foudre et l'aigle foudroyé.
L'histoire..., mais l'homme ? C'est à l'homme que Michel Peyramaure, en romancier, s'est avant tout intéressé. L'homme seul, si souvent seul à trancher, à décider de la vie de centaines de milliers d'hommes. L'homme et les siens : Marie-Louise et ce petit garçon fragile qu'elle lui a donné, ce petit roi de Rome qui ne régnera jamais. L'homme et ses frères et ses compagnons qu'il a fait ducs, princes et rois, et qui, repus ou rompus de fatigue et de gloire, peu à peu l'abandonnent. L'homme et les femmes qu'il a aimées, qui l'ont aimé. Et, pour finir, lui, sur son rocher devant l'horizon atlantique désert, se racontant à lui-même son histoire.
C'est parce que, ainsi, il porte son attention à l'homme que ce Napoléon de Michel Peyramaure se distingue des innombrables ouvrages que le géant a suscités. Et le portrait est si vivant, si familier, que c'est celui-là que, désormais, nous conserverons de l'Empereur.
L'histoire, on la connaît, et nul ne peut la récrire - du soleil d'Austerlitz au crépuscule de Sainte-Hélène, par les chemins de croix d'Espagne et de Russie, les adieux de Fontainebleau, la résurrection des Cent Jours, Waterloo... L'aigle lançant la foudre et l'aigle foudroyé.
L'histoire..., mais l'homme ? C'est à l'homme que Michel Peyramaure, en romancier, s'est avant tout intéressé. L'homme seul, si souvent seul à trancher, à décider de la vie de centaines de milliers d'hommes. L'homme et les siens : Marie-Louise et ce petit garçon fragile qu'elle lui a donné, ce petit roi de Rome qui ne régnera jamais. L'homme et ses frères et ses compagnons qu'il a fait ducs, princes et rois, et qui, repus ou rompus de fatigue et de gloire, peu à peu l'abandonnent. L'homme et les femmes qu'il a aimées, qui l'ont aimé. Et, pour finir, lui, sur son rocher devant l'horizon atlantique désert, se racontant à lui-même son histoire.
C'est parce que, ainsi, il porte son attention à l'homme que ce Napoléon de Michel Peyramaure se distingue des innombrables ouvrages que le géant a suscités. Et le portrait est si vivant, si familier, que c'est celui-là que, désormais, nous conserverons de l'Empereur.