Sam et Sally - La série

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Il prit rendez-vous pour le lendemain en fin de soirée, s'assit dans te hall, alluma une Lucky et attendit Sally. Au bout d'un temps assez long, elle fit sa réapparition, montée sur des invraisemblables talons et revêtue du fatidique ensemble vert à parements de léopard. Sam consulta sa montre-bracelet. Les deux aiguilles se juxtaposaient sur le chiffre douze. - Minuit juste. L'heure du crime, dit-il. Sally grimaça...

Il ferma les yeux et tout de suite eut l'impression, fugitive d'ailleurs, que la maison lui dégringolait sur la tête. Deux précautions valant mieux qu'une, Sally avait frappé deux fois et par deux fois elle avait mis le paquet. Sa légère angoisse se dissipa en voyant le magnifique plat ventre que faisait le gars. Elle se rassura complètement en constatant qu'il ne bougeait plus, ne perdit pas de temps à se demander combien d'étoiles elle lui avait fait compter, l'attrapa comme elle put et le hissa sur le lit au prix d'un effort méritoire. Après quoi, elle lui ramena les deux bras derrière le dos, se servit du sparadrap pour lui garrotter les poignets et pour lui clore une bouche qu'il risquait bien de vouloir ouvrir pour gueuler dès son réveil.

Sally était chez le coiffeur et elle n'arriva que quelques instants après Doug. - Bonsoir, Doug ! lança-t-elle en s'asseyant. Je vous trouve soucieux tous les deux. Qu'arrive-t-il? - Soucieux n'est pas le mot, rétorqua Sam. Nous faisions une mise au point. Doug vient de m'apprendre que Gotha, le cheval de Reagan, avait battu de trois longueurs et dix-huit livres un cheval de jeu du nom de Blue Red. Avec ce renseignement, Lancaster a pu prendre une ligne. En bref, ce Gotha est vrai-ment bon. II est supérieur de quatre livres à Veni Vici. - Si tu parlais une langue que je comprenne ? demanda-t-elle. Supérieur de quatre livres, ça veut dire quoi? - Euh ! Euh ! fit Sam. Je me demande si de te l'apprendre est un bien. Si tu deviens trop calée, j'ai peur que tu ne touches plus une de ces cotes astronomiques dont tu as le monopole.

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- Je suis fait! Allons-y, dit Sam. Il tendit les bras et s'avança vers les deux policiers, dont l'un s'empressa de sortir des menottes. - Capitaine Velhas! appela Sally. L'autre détourna la tête. Le mouvement de Sam fut parfaitement synchronisé avec l'appel de Sally. De tendus en avant, ses deux bras montèrent vers le ciel, exécutèrent un mouvement de rotation et, au passage, chacune des mains agrippa une nuque. Les bras reprenant leur position première, attirées irrésistiblement deux têtes se cognèrent avec une violence extraordinaire.

FOOTBALL-POOL, une organisation de paris dont le rapport peut être bien plus fabuleux qu'un tiercé. Là où il y a du pognon, les requins se montrent. L'un deux à même la gueule si grande qu'il veut manger Sally, ce qui oublie de plaire à Sam. Et Sam devra non seulement faire marcher ses méninges, mais aussi cogner dur pour sortir Colson du pétrin et sauver son club.

SALLY n'a peur ni d'un homme ni d'une... femme, mais les fantômes écossais ne lui disent rien qui vaille. Comment la vieille dame enfermée dans sa chambre hermétiquement close a-t-elle pu tout de même mourir ? C'est le problème que SAM aura à résoudre tout en se moquant de la police omniprésente. Et un tel tour de force, ça se paie. Mais, comme dirait l'autre, on n'est jamais si bien servi que par soi-même...

Ça commence par deux meurtres. Et, en Pays de Galles, le superintendant Corfdir n'est guère plus compréhensif que le capitaine O'Neil. Une chose dont Sam et Sally vont bien vite s'apercevoir. Mais aussi, il faut toujours se méfier d'une cinglée. A plus forte raison quand elle est jeune, belle, bien roulée et un peu folle de son corps. L'addition de la folie et de la duplicité donne un troisième, un quatrième meurtre et, pour Sam et Sally, beaucoup d'enquiquinements.

A la veille d'élections, très mauvaise affaire pour le district attorney que ce meurtrier choisissant ses victimes parmi des criminels ayant — scandaleuse-ment — bénéficié de l'indulgence de la justice grâce à des appuis politiques. Onze meurtres et il court toujours. mystifiant la police, ayant gagné la sympathie du public qui se passionne et l'identifie à un justicier. Le justicier, un surnom qui irait à SAM comme un gant. Alors pourquoi ne pas lui faire endosser les onze meurtres ? Un pas, que le district attorney franchit allègrement. Traqué, il ne reste à SAM que la ressource d'identifier lui-même l'assassin. Une lutte si difficile contre un adversaire machiavélique, qu'il n'en voudra même pas à SALLY — transformée en indienne séminole — de montrer, innocemment, ses fesses nues à tout le monde!

Jezabel aurait pu être la plus belle fille du monde, si Sally n'avait pas existé. Ce n'est pas de la pure jalousie, mais le dessein machiavélique de toucher un héritage de 5 000 000 de dollars qui lui donne l'idée d'expédier Sally dans un bordel arabe où, assurément, on va faire la queue pour une aussi jolie pensionnaire. Seulement, si Jezabel dispose d'une équipe de tueurs, Sally a Sam. Et quand Sam se met en rogne, ça fait mal.

Si Sam est trop connu aux Etats-Unis, en Suisse il devient un touriste, sauf pour la police. Est-ce sa faute s'il se trouve sans l'avoir cherché sur la route d'une bande de gangsters en train de voler 250 kg d'or ? Il aurait bien fermé les yeux si ces derniers n'avaient pas eu la fâcheuse idée de s'en prendre à Sally. Cela va leur valoir de perdre 250 kg d'or et, pour la police suisse, d'avaler de nombreux cachets d'aspirine.

Quand pour la bonne cause SALLY se fait appeler Miss Flamme peur passer en strip au Palacio de Lisbonne, tous les hommes déchaînés applaudissent, sauf ... SAM. Mais aussi quelle idée d'avoir un beau-frère diplomate qui a une sorte de génie pour se mettre dans des situations impossibles.

Ferme ça ! hurla Wade. Je trouve que j'ai assez rigolé comme ça ! J'ai eu une visite ce matin à l'aube : Sani Krasmer. Mon coucou a décollé, mais je n'étais pas aux commandes. On m'a délivré il y a à peine un quart d'heure en me disant gentiment que je pouvais aller chercher mon appareil à Trujillo. En train, tu te rends compte ? Avec deux doigts, il écarta sa lèvre tuméfiée et fit voir l'intérieur de sa bouche et un trou noir dans sa denture. — Voilà ce que j'ai gagné dans tes combines. Trois dents en moins. Je suis venu te dire que, quand tu voudras encore jouer un bon tour à Krasmer, ne compte plus sur moi. J'ai compris. Ce n'est pas des poings qu'il a, ce sont des marteaux-pilons.

- Vite ! monte derrière ! commanda Sumter d'une voix autoritaire. Toi, ils ne t'ont pas vu. Sally n'avait plus envie de crier, rien qu'à voir l'expression du visage de l'avocat. Il dit : - Toi, balance-nous et Sam est mort. Tu nous as mis dans le guêpier, débrouille-toi pour nous en tirer. Pas du tout ce que Sally avait imaginé qui les prenait pour de simples voleurs. Il avait dit : "Sam est mort". Ça lui fit mille piqûres au coeur.

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C'est toute souriante que SALLY vint annoncer à SAM qu'un mort inconnu l'attendait, chez eux, assis dans son fauteuil préféré. Ça ressemblait tellement à une blague que, pour le convaincre du sérieux de la chose, il fallut une étrange bague qu'un expert certifia avoir appartenu à un pharaon de la XXVIème dynastie et avoir essuyé une rafale de mitraillette pour le lancer dans la bagarre. Une énigme dont la solution se trouve à Louxor. Et naturellement SALLY sera du voyage, sans savoir qu'elle cache la mort dans son sein.

Un rôle plutôt ingrat que celui d'éxécuteur testamentaire, quand le défunt se nomme O'Brady, ex -roi de la drogue et que les héritiers sont des princes de la pègre new-yorkaise. L'amitié conduit Sam à marcher sur des cadavres à la poursuite de l'introuvable Li Wang -tsu. Et malgré les dangers Sally ne va pas laisser partir son Sam seul pour Hong-Kong, d'autant plus qu'ellea entendu affirmer que la ville est peuplée d'Eurasiennes, toutes plus jolies les unes que les autres.

Evidemment, 178 émeraudes de cinq carats, ça vaut la peine ; mais Sally est un diamant unique et, pour ne pas la perdre, Sam se démène. Que ce soit dans le temple dédié à Issaki ou ailleurs, pour Sally, une prostituée est une prostituée et, sacrée ou pas, elle s'y refuse, préférant s'enfuir toute nue. Sid Corta laisse la vie dans cette aventure ; Lenny Scopoli et Ricardo aussi. Tout ça à cause d'un chien, un gentil teckel sans maître, bien que le nom gravé sur le collier l'attribue à une femme... assassinée. Mais qu'est-ce qu'Un Frigidaire vient faire dans ce récit, me demanderez-vous?

Un beau garçon qui meurt à 'ses pieds, un jeune chien écrasé contre la tôle d'une voiture, c'est beaucoup pour le coeur sensible de Sally. Sam, quant à lui, y découvre sa ration de mystère et imagine que le destin l'a conduit à Malheur-Lake. Malgré le décor grandiose, un coin qui justifie son nom, Sally y plongera et y replongera, au propre et au figuré, d'autant plus que Sam a été pris dans... le lac. Et si parfois elle en sort nue comme notre mère Eve, n'y voyez pas de malice! Heureusement, Sam fait marcher sa tête et rien ne résiste au sourire de Sally, fût-ce une énigme! Ces deux-là s'entendent trop bien et se complètent trop parfaitement pour que le malheur ait prise sur eux et, malgré un shérif fort malveillant, Sam finira par empocher le pactole.

Il faut vraiment s'appeler Sally pour se trouver jetée dans une aventure pareille. Un cirque, en général, c'est fait pour distraire, mais, en ce qui concerne Sally, c'est tout à fait différent Et puis, si elle n'avait pas foncièrement bon coeur, rien ne serait arrivé. Elle n'aurait pas accepté de se transformer en sirène et de plonger dans un vaste aquarium où se trouve un requin. Naturellement, le requin ne l'aurait pas attaquée, elle n'aurait pas été obligée de se défendre et ne se serait pas trouvée au coeur d'une histoire dont Sam aura du mal à défaire les noeuds. Mais allez donc arrêter Sally quand elle a décidé quelque chose !

Comment résister à l'humble prière d'un paysan mexicain à qui l'on a volé le trésor de son coeur? Le don-quichottisme de Sam se nuance d'un certain intérêt, et comment ne pas avouer que, heureux possesseur de Sally, il préfère à une belle fille une statue d'or massif ? A-t-on idée d'aller à la chasse au papillon lorsque l'on se trouve dans son bain? Sally ne fait rien comme tout le monde. Et voilà un temple maya ressuscité par une déesse en costume d'Eve. Ça vaut un tremblement de terre qui n'est que les coups de dynamite du senor Diego Orozco, grand patron des idoleros. II ne sait pas encore quelle noche triste il se prépare. Voilà ce qui arrive à un malinchista. N'étant pas mexicain, Sam, quant à lui, ne voit aucune objection à posséder deux femmes... en or!

Heureusement Sally sait nager, au propre comme au figuré. Il le faut pour que l'équipe américaine, dont elle a accepté de faire partie, remporte la BLUE CUP et les 50.000 dollars qui l'accompagnent. En ce qui concerne le fric, c'est d'ailleurs beaucoup moins certain et Sam doit s'en mêler et cogner dur jusqu'à ce que la vérité apparaisse toute... nue.

C'est plutôt imprévu, de partir d'un oeuf coque pour aboutir à un... cheval de course. Et cela devient effarant si ce gagnant de Grand Prix se transforme en Percheron ; mais avec Sally, il faut s'attendre à tout ! Sam, quant à lui, doit contrer durement le commissaire Bourdin, qui lui veut la malemort, et cogner à tour de bras pour déjouer les plans d'Enzo Tiveli, un mafioso aux dents longues !

Des mines d'or de Salomon au trésor perdu des Templiers. Une fortune fabuleuse qui confère la toute-puissance à qui la possède. Mais de toutes les alchimies, pour Sam, les yeux de Sally sont la réussite la plus merveilleuse. Alors, il va négliger l'or, foncer, cogner dur pour récupérer ces yeux-là! Et aboutir à la plus étrange des découvertes.

De son vivant, Conchita Lopez passait pour avoir de fort beaux yeux et son corps faisait rêver les hommes. Fût-il celui d'une jolie fille, un cadavre reste un objet encombrant, terriblement dangereux à balader, même pour Sam. Quant à Sally, elle s'en accommoderait mieux si, comme celui-ci, il doit mener à une mine de diamants. Pas tout droit ! Et sur une route semée d'embûches.

On peut tout attraper à Tijuana, un coup de soleil, la petite vérole ou l'autre, la fièvre ' de l'or, un voleur cul-de-jatte. On peut également tout y acheter : marijuana 'ou cocaïne, petites filles ou petits garçons, des films pornographiques en noir ou en couleurs, voire des objets en caoutchouc. Et n'importe quelle arme ! Mais l'on peut surtout y trouver la mort...

Si une femme accusée du meurtre de son mari prétend que le coupable est un Martien, c'est plutôt inatendu. Sam n'a aucune affection particulière pour les flics, mais le sergent-détective Riley est un bon type et Sam ne peut pas rester insensible à son désarroi. De plus, lui ne croit pas aux Martiens. Sally non plus. Tout au moins, jusqu'à sa rencontre avec un Ange... sexué.

En fait de camp de vacances, ce n'est qu'un luxueux lupanar pour milliardaires et plusieurs d'entre eux trouvent gênant d'avoir commis l'imprudence de signer des chèques à l'ordre de Glady's House. Si gênant que cela a déjà fait trois morts. Et ça continue. On peut avoir pour patronyme Eddy Colt et ne pas savoir se servir d'un revolver. Autre chose très gênante, quand on est tout désigné pour être la quatrième victime. Heureusement, Sam Krasmer n'a jamais laissé tomber un ami. Comme il le lui a toujours conseillé, Sally " fait marcher sa tête " ; aussi trouve-t-elle très injuste la ,colère de Sam. Je vous le demande : quelle meilleure idée peut-on avoir pou? enquêter discrèteme-nt dans un camp de nudistes que celle d'adopter la tenue d'Eve ?

Rentrer chez soi et trouver assassinée la femme dont on se croyait veuf depuis trois mois est une aventure peu banale. Il est vrai que rien ne peut être ordinaire dans une affaire où se trouvent mêlés le gros Ned Muratti, grand patron de la drogue, et un artiste qui, pour peindre des marines, tourne le dos à la mer: Rien ne devrait étonner dans le grand New York, pas même, pour SALLY, de trouver un cadavre dans sa baignoire ; ni même, pour SAM, de se faire kidnapper et rançonner par deux jolies lesbiennes.

Un cadavre dont se débarrassent une fille nue et un homme en chaussettes n'est pas un spectacle si courant... Avec Sam et Sally, il ne faut s'étonner de rien, sur-tout quand le respect de la famille les entraîne sous les cieux brûlants de la frontière mexicaine où Amour et Mort vénèrent le Veau d'Or aux chants des guitares... Un risque de 100 000 dollars pour Conchita, cela semble cher; mais son baiser humide...

Etre soi-même grand spécialiste et trou-ver son appartement cambriolé révèlent l'ironie du sort. Ça se complique quand, en plus du fric, c'est à votre vie que l'on en veut. Pour se défendre, il faut se remuer et cogner dur. Sam s'y emploie dans sa lutte contre un mafioso. Pourtant, ce sera Sally en soutien-gorge et slip transparents qui restera maitresse de la situation. Avec la force d'un bulldozer en action, le lieutenant O'Neil, de la police criminelle, fonce pour réaliser le but de sa vie : envoyer Sam Krasmer à Sing-Sing. Pour sa propre tranquillité, il aurait bien mieux fait d'aller se faire cuire un oeuf !

Chere Sam et Sally, Je vous écris cette lettre qui j'espére vous fera plaisir, et pour avoir un peu de vos nouvelles et surtout selle de ma maman chérie. Moi, je vais très bien, je ma muse avec tante winnie, mais je préfaire être avec vous, et aller voire ma maman. Quand tu iras voire maman en prison tu lui diras que je pense à elle, que que moi je viendrais la chercher pour jouer avec moi et pour lui faire plain de bisou. Sally quand tu m'as laisser chez tante winnie, tu m'as dit de ne pas pleuré je t'avais dit non mes yeux on pas peu tenir. Maintenant sa va mieu. Alors je vous quitte en vous embrassant de tout mon coeur. Marilyn.

Sally aurait bien aimé comprendre comment la statuette, attribuée d'une façon douteuse à Constantin Antonovici avait pu se transformer en un macchabée, lui, indéniablement authentique. Un sérieux problème pour Sam et plus encore pour une des executives du Mouvement de Libération des Femmes. D'au-tant plus que le cadavre n'est pas celui de son trésorier, enfui avec 250.000 dollars, mais celui du tendre amoureux de Nancy Kirksey. Pour le lieutenant O'Neil, chef du service de la police criminelle, Sam Krasmer est le coupable tout désigné. Mis en cause, Sam se trouve bien obligé de foncer, aidé de Sally. Et il fonce d'autant plus volontiers qu'à la clef du mystère il y a 250.000 dollars à voler.

Sam n'aime pas les assassins, particulièrement quand ils ont tendance à considérer le meurtre comme un des beaux-arts. Quand Sally s'en mêle, ça ne fait toujours du dégât. Mais, tuer pour que son cheval gag et gagner sans avoir eu besoin de truquer, ça c'est bien la glorieuse incertitude du turf!

Et surtout dans un lupanar de haut luxe qui drague tous les pétroliers du Moyen-Orient. Mais le pouvoir de la femme s'incline devant l'or noir, objet de toutes les convoitises et enjeu de tous les combats. Sam et Sally vont en faire l'expérience dans la lutte qui les oppose à un des caïds de la toute puissante Mafia. Lutte que guette, quant à son issue, le capitaine O'Neil qui cette fois s'en est juré d'en finir avec Sam Krasmer.

Les experts discuteront longtemps au procès, avant de décider si un commandement hypnotique peut oui ou non obliger des jeunes femmes à livrer leur corps au dieu d'or. Mais, ni la beauté sculpturale de Gio Arenti, ni sa virilité démontrée, ne peuvent avoir de prise sur Sally. Et d'autant moins que Sam, en prison pour un meurtre qu'il n'a pas commis, attend d'elle qu'elle se serve uniquement de...sa tête.

Il sera tout arrivé à Sally, même de lire son nom sur une pierre tombale éclairée par un soleil mexicain. Quant à Sam, il n'apprécie pas que l'on se serve de son identité, surtout pour commettre des meurtres. Mais la vérité n'est pas facile à rétablir dans un pays où la mort se mange en sucre d'orge. Il faut, pour Sam, cogner dur. Et pour Sally " faire marcher sa tête " pour venir à bout de Carlos Alfaro qui règne sur une ville au décor de Mers du Sud.

Du sang tombé du ciel pour faire condamner un innocent. Heureusement, Douglas Shepeard aime les filles rousses et il a en Sam Krasmer un ami dévoué. Quant à Sam, il a... Sally. De la bagarre de Los Angeles à San Francisco. Mais il faudra venir à Las Vegas, capitale du jeu, et se heurter durement à Charly Valerio, avant de découvrir que la solution a des lèvres roses.

Quand, à côté de moi, un homme se fait mitrailler au point d'être transformé en passoire et quand ce même homme vient de vous jurer le plus sérieusement du monde qu'il était déjà mort une fois, il faut avoir l'esprit bien organisé pour résister à ça. Heureusement. Sally a une tête solide. Et si elle se retrouve dans un asile pour fous, ce n'est pas du tout à cause de cet incident. Difficile de se sortir d'un pareil endroit. Et d'autant plus que Sam, blessé, ne peut pas voler à son secours. Mais comment ne pas s'en tirer, même sans l'aide de Sam, lorsque l'on a les dieux avec soi et... Cléopâtre. Malgré tout, il s'en est fallu d'un... nez !

Lorsque SALLY découvre un cadavre, dans un placard, ce n'est pas grave. Deux, cela devient plus sérieux, et tout se complique si SAM en trouve un troisième. Mais quand Ping Kessy, un des patrons de la Mafia ami de SAM, est accusé de cette épidémie de meurtres, rien ne va plus! Le lac Léman est assez grand pour per-mettre à SALLY de démontrer ses talents de nageuse et assez profond pour servir de cimetière, bien que le commissaire Trepper, dit " l'intellectuel " ne soit pas d'accord sur ce point. II y aura encore bien des morts violentes, avant que SAM ait compris.

Une demi-tonne d'or en lingots provenant du très officiel marché des changes de Londres. Il en faut moins à Sally pour se montrer toute nue. Sam; quant à lui, trouverait immoral de laisser ce pactole entre les mains de n'importe qui et, particulièrement, celles de Franky Valone, un tueur. Sally est d'autant plus d'accord que, miraculeusement, elle se trouve associée dans cette affaire de fifty-fifty.

Aux U.S.A., les mouvements pour la libération de la femme prennent une ampleur fantastique. Il y a eu la Society for Cutting up Men. Traduisez: Société pour castrer les hommes ! Plus fort, les «Guérillères» inquiètent jusqu'à la puissante Mafia. Et pour mettre fin à une série de meurtres qui amenuisent considérablement les énormes bénéfices que lui procurait le secteur de Las Vegas, Mangiarotti se trouve contraint à solliciter l'aide de Sam et Sally Krasmer. Une enquête mouvementée qui trouvera son épilogue devant la Criminal Court.

Ce n'est pas la première fois que l'on kidnappe SALLY pour soutirer la forte somme à SAM. Pourtant la situation se complique si, par un fâcheux concours de circonstances, une autre bande, dans le même temps, kidnappe SAM pour en tirer une rançon de SALLY. L'un espère en l'autre pour le tirer de ce mauvais pas. Mais ils connaissent aussi le "aide-toi le ciel t'aidera". Ils s'aident ! Au-dessus de ce micmac, plane le mystère d'une sauvageonne, belle, tourmentée, rayonnante, dangereuse comme un orage en montagne.

Mais pourquoi tuer un homme uniquement pour lui voler ses chaussures ? Le meurtre de Jerry Green mène SAM et SALLY aux îles Galapagos, pays des tortues et des iguanes géants, à la recherche de la Nostra del Oro, brick du pirate anglais Jim Axley coulé là depuis le XVlle siècle. Au bout de l'aventure, il y a une accusation de trafic d'armes, la prison et le peloton d'exécution. Heureusement, Sally sait nager, au propre comme au figuré, et elle ne va pas laisser ces méchants loups fusiller son Sam, hey ?

Inventer une nouvelle forme de racket n'est pas à la portée de tout le monde. La gaffe, c'est d'avoir choisi Sally Krasmer comme victime. Sally n'aime pas être bousculée quand elle vit des heures de dolce vita en compagnie de Sam, en vacances paradisiaques dans une petite île des Bahamas. Sam, quant à lui, a déjà déterré la hache de guerre. Combat difficile contre un couple également coriace. Car, si l'on peut seulement reprocher à la jolie Linda d'être un peu plate, le coeur que recouvre son petit sein comme celui qui bat dans la poitrine de Terri Monza n'a rien à voir avec celui d'un saint.

Honnêtement, Sam ne peut pas laisser mourir dans une prison du Cap le mari de Betty, la si jolie nièce de Sally. Seulement, sous le sévère régime de l'apartheid, il n'est guère facile de flouer la police. Et puis, ça fait des frais. ll est vrai que Sam et Sally ne peuvent pas rentrer à New York, en revenant du paya des diamants, sans en... rapporter. Cette fois, le capitaine O'Neil, le coriace ennemi de Sam, est sûr de son coup. Enfin, il va réaliser son rêve de policier: envoyer Sam à Sing-Sing pour quelques années. Mals... de toute façon, il y a Sally et, avec toutes ces pierres précieuses autour d'elle, on peut affirmer : SALLY, GEMME !

VIRGINIA, vertigineuse princesse de l'érotisme mariée à un infirme milliardaire incapable de se conduire comme un amant, mais pourtant assez épris pour lui offrir l'amour physique par intermédiaire comme on offre un bijou. Extraordinaire VIRGINIA qui, dans un palais des mille et une nuits, parfois lesbienne, a fait de l'HEDONISME une règle de vie. Mais quelle fichue idée, pour un tueur, de lui choisir SAM comme mâle et SALLY comme servante.

SALLY va où va SAM. Lui n'est jamais bien loin d'elle, surtout quand de jeunes loups affamés de sa beauté tournent autour d'elle. Deux cent vingt kilos d'heroïne, ce serait une des meilleures prises des dernières années pour la police de Los Angeles. Cela représente beaucoup pour la bande Geller et tout autant pour celle de Tom Driggers qui se livrent une lutte à mort. Que SAM, bien malgré lui, doit arbitrer.

Un sosie pour Sally, un sosie qui lui ressemble tant qu'on les prendrait pour des jumelles. Seulement Karen se drogue et après elle courent tous les flics des Etats-Unis et des tueurs qui, pour leur sauvegarde, veulent la voir morte. Mauvais temps pour Sally, trop souvent confondue avec Karen, emportée comme dans un tourbillon et qui a bien besoin de son Sam pour s'en sortir et de toute l'astuce du vieux et souriant Maniarotti.

HIRO, dieu des voleurs de la mythologie polynésienne, ne peut être que favorable aux entreprises de SAM. De la chance, il lui en faut pour trouver des diamants là où il n'y en a pas, problème que ne réussira pas à résoudre la police de Tahiti. Mais tout ça ne va pas sans danger, quand l'adversaire est une déesse noire, bien vivante, qui connaît le pouvoir de son corps sur les hommes et s'en sert pour tuer. SALLY, quant à elle, court des dangers plus doux, traquée par une lesbienne. Le capitaine O'NEIL, lui, démissionnerait de son poste de chef de la brigade criminelle de New York, s'il pressentait le rôle que SAM et SALLY vont lui faire jouer dans cette histoire.

Une kidnappée qui tombe amoureuse de son ravisseur. Et Ping Kessy en pleine vacherie, qui veut avoir le type qui a tué deux de ses hôtesses. Un canard qui ne bat de l'aile que tout à la fin, SAM qui tente d'arbitrer et SALLY, encore plus farfelue à qui, tout de même, on ne fait pas prendre des vessies pour des lanternes. Le capitaine O'Neil, directeur de la brigade criminelle, qui voudrait bien pouvoir arrêter SAM, lequel, à WALL STREET, jongle avec des millions de dollars que SALLY se chargera de dépenser.

Venise n'a rien perdu de son charme : mêmes gondoles, mêmes canaux et toujours une richesse artistique qui contribue à sa renommée. Dans cette ambiance sentimentale, seul un pigeon blessé pouvait venir troubler les amours de SAM et SALLY et les lancer à la découverte des trésors inestimables des palais vénitiens. Mais qui réussira à s'approprier le plus rare ? Les mafiosi? L'amoureuse et trop ardente Christa ou peut-être encore la passionnée Stefania ?

Il est plutôt imprévu, allant fleurir la tombe d'une jeune amie décédée à vingt ans, de s'entendre dire qu'il y a erreur sur la personne. Sally n'admet pas qu'on lui ait volé sa morte. Mystère que Sam est capable d'élucider. Mais Sally regrettera bien vite de le lui avoir demandé. II est aventureux et très dangereux de se heu ter à Vincenzo Santelli. Encore plus quand il faut aussi affronter la belle Alicia, plus amoureusement chatte qu'une ... chatte. Et avec der griffes !

Un macchabée de plus pour SALLY. Et quel cadavre encombrant que celui de Cyrus qui, de son vivant, vendait des grenades atomiques volées dans un dépôt de l'U.S. ARMY. Ceci va projeter SAM Et SALLY au pays des... "ASSASSINS", la recherche de deux Land-Rover disparues et d'un demi-million de dollars, récompense de qui trouvera pourquoi la fille sculptée sourit?

Ça commence par deux meurtres. Et, en Pays de Galles, le superintendant Corfdir n'est guère plus compréhensif que le capitaine O'Neil. Une chose dont Sam et Sally vont bien vite s'apercevoir. Mais aussi, il faut toujours se méfier d'une cinglée. A plus forte raison quand elle est jeune, belle, bien roulée et un peu folle de son corps. L'addition de la folie et de la duplicité donne un troisième, un quatrième meurtre et, pour Sam et Sally, beaucoup d'enquiquinements.

Tuer, oui. Voler un cadavre; passe encore. Mais pour-quoi avoir déshabillé le corps avant de l'emporter? Un problème qui, passionnera d'autant plus Sam que l'on est venu asticoter Sally au sujet d'un meurtre dont elle ignore tout, si, une fois de plus, elle a eu la mal-chance de le découvrir. Une poursuite mouvementée à la recherche de la vérité toute... nue, une vérité qui se prénomme, peut-être, Gilda.

Sam n'est pas un homme à abandonner le copain qui l'appelle à son secours. Et, pour ne pas quitter Sam, Sally se sent très capable d'affronter le désert, un shérif hargneux, une prêtresse vaudou et même des zombis aux yeux rouges. Ce que Sam ne supporte pas, c'est de voir Sally, par dévouement, se faire jeter en prison à sa place. Pour la tirer de là, il va cogner et lorqu'il cogne, peu lui importe que l'adversaire soit un personnage important, en Arizona.

Sally amoureuse d'un moderne et bel Arsène Lupin ? On chante: souvent femme varie. Mais pas Sally, pas Sally qui tient trop à son Sam. Même si à la clef, il y a un fabuleux casse de plusieurs millions de dollars.

Bessie Baxter est très belle et l'amour peut rendre idiot même un aussi brillant avocat que Me Michelson. Sam ne va pas laisser tomber son ami. Dans la lutte qu'il entreprend, pour prouver l'innocence de Franck Baxter, il va se heurter à Floyd, grand patron chez les mafiosi. Un combat difficile et dur au cours duquel Sam et Sally vont devoir jouer à cache-cache avec des tueurs. Mais le gain final en vaut largement la peine.

Se boucherait-il les oreilles, tel Ulysse, celui qui en-tendra le chant des sirènes ira vers sa mort. Un mystère qui met sur les dents toutes les polices des Etats-Unis, services spéciaux de la Maison-Blanche compris. Heureusement, quand ils nagent en plein mystère, Sam et Sally sont comme des poissons dans l'eau.

Un tueur obstiné qui veut la mort de Ping Kessy, après Douglas Schepeard, le meilleur ami de Sam. Dix fois sur le métier remettez votre ouvrage. Dix fois te tueur frappe, englobant dans la même volonté de tuer, non seulement Ping Kessy, mais Sam et Salty. Patronne des pécheresses, sainte Marie-Madeleine veille heureusement sur Sally. Et si vitrioler, violer, commencent par la lettre V, victoire aussi !

Le trésor d'lnis, sacrée par Pharaon gardienne du métal-soleil. Avec un pareil enjeu, quelle idée a eue John Split, en faisant la donne, de distribuer des cartes à Sally? Sally c'est... Sam. Un trésor excite Sam autant que le mystère qui l'enferme. Seulement. Il n'est pas seul en course et pour arriver premier au poteau, il va falloir cravacher dur!

L'amitié est sacrée. Mais que vaut l'amitié de la Mafia? Et qui a tué Guthmann junior? Pour sauver un copain de la chambre à gaz, Sam et Sally se lancent dans une grande aventure qui, si elle commence par le sourire de Jessica-la-Jolie, va leur réserver bien des surprises.

Julia Rossini, petite fille au corps de femme. Il faut, à Sam et Sally, se battre à mort contre Enzo, un tueur, s'il en est, pour mettre enfin un sourire sur les lèvres roses de Julia.

Photographier, filmer l'épave du TITANIC par 2500 mètres de fond, un exploit! Mais comment ne pas penser aux 124 millions de livres sterling de diamants De Beers que contient toujours la chambre forte? Une fabuleuse fortune qui fait rêver. Seulement Sam et Sally ne sont, pas les seuls à rêver. D'autres aussi qui pensent qu'un pareil pactole vaut bien quelques petits meurtres...

Une bagarre qui n'en finit pas, des macchabées à la pelle ! Une route hérissée d'obstacles et Sally captive d'une blonde tigresse, lesbienne sur les bords. Seulement sur les bords: Sam lui plaît. Pour Sam le chemin, au bout duquel devait s'ouvrir la porte de la prison de Sally, passait par le lit de Polina Mouratova. Que vouliez-vous qu'il fît ?

Dix-huit meurtres, dix-huit viols, dix-huit jolies filles. Il est presque normal qu'un tueur sadique ayant si bon goût choisisse Sally pour future victime. Mais, dans la lutte qui va l'opposer à Sam, c'est Sam qui ira en prison. Jusqu'à ce que Sally...

Des meurtres orgiaques: la folie d'un homme sain. Sally qui en perd presque son sourire et Sam qui ne comprend pas un hédonisme dément ni le libre esclavage qui enchaîne trois jolies filles au veau d'or.

Pas de description

Il y avait une toute petite femme qui savait se mettre toute nue, un grand méchant loup et... deux macchabées au fond d'un trou bleu des Bahamas. Il y avait Sam. Il y avait Sally et... une montagne de à rafler. Que croyez-vous qu'il advînt ?

Que deux bandes rivales s'entre-tuent pour la possession d'une matrice qui leur permet de fabriquer des pièces de cinquante pesetas, Sam s'en fiche bien.. Mais, quand on vole la rivière de diamants qu'a a offerte pour l'anniversaire de Sally, il est bien forcé de s'en mêler ! Sally n'a jamais su tenir un revolver et elle tire en fermant les yeux. Cela n'empêche pas que ça fasse BOUM ! quand elle presse la détente. Et... un mort parmi tant d'autres, ça ne compte pas !

A Ocala, toute la ville sent le crottin de cheval. Odeur que Sally finira par préférer aux lourds parfums d'un bordel de Tijuana, où Sam a dû la conduire, à cause d'un petit homme laid qui avait été un grand jockey, avant d'aimer Brenda, Garett.

Quand, au passage de la frontière américano-mexicaine, on découvre le corps, entièrement nu, d'une file morte, dans la malle arrière de la voiture que conduit Sally, cela en devient presque banal. Qu'un, artiste de talent ne puisse plus peindre que le visage torturé de plaisir des filles qu'il viole, ce n'est qu'un cinglé de plus. Seulement, quand il assure que Sally est la beauté qu'il recherche, cela devient gênant pour Sam; gênant et... profitable!

Que pour satisfaire au devoir de l'amitié Sam se heurte non seulement au service secret de son propre pays, mais aussi à ceux de tous les pays du monde, semble de la pure démence! Mais il y Sally avec lui et ne le surnomme-t-on pas Sam-laBaraka?

Elle vint du bout de la nuit, souriante, ne réalisant pas que, par sa connerie, vingt hommes allaient mourir. En pleine vacherie, Sam lui donna une fessée méritée. Seulement, il la lui donna cul nu, ce qui déplut à Sally. Pour tout vous dire, Amélia avait plutôt de très jolies fesses! Source : Fleuve Noir

De Moon à la Conscience de Krishna en passant par les Enfants do Dieu et autres. Adventistes, les sectes prolifèrent aux États-Unis. Mais le prosélytisme des Seigneurs et Dames d'Amour tourna carrément le dos à l'Évangile, en faisant du plaisir charnel la condi tion essentielle du bonheur. Mais que vient faire Sally dans cette galère? Si la question avait été posée à Sam, il aurait répondu: «C'est seulement parce qu'on accuse d'assassinat le copain d'un copain.»

"Ils" ne vont pas se mettre voleurs pour 1 200 pesos. Si le crime ne paie pas, l'honnêteté peut devenir source de bien des tracas, quand on rapporte à la police mexicaine le portefeuille, trouvé, d'un homme qui vient d'être assassiné et que l'on se nomme Sam et Sally Krasmer.

Le mot fait étinceler les yeux de Sally, pourtant, déjà, de pure lumière. Il peut au- onduire Sam en prison sous l'inculpation de meurtre . Et, comment pourrait-il lui en vouloir si, pour la sauver, elle doit, telle la vérité, sortir toute nue d'un puits, un riot gun à la main?

Nous savons Sally surdouée pour découvrir, très involontaire-ment, des macchabées, et Sam, pour trouver la solution des plus impossibles mystères. Mais, cette fois-ci, ils vont se heurter au nouveau et impitoyable district attorney Miles Brooks. Qui sera le gagnant ?

Sam ne laisse jamais tomber un ami, serait-il accusé du meurtre d'une jeune et jolie Réunionnaise. Mais, pour lui, mettre un pied sur le sol des D.O.M., c'est déjà voir commencer des ennuis. Heureusement, à Saint-Gilles, on n'a jamais vu de fille aux yeux violets, et ceux de Sally le sont, sauf quand, sous l'effet de la colère, ils prennent la couleur d'un ciel d'orage.