Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 937
Membres
1 014 354

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Sophie voit s'avancer les deux hommes maintenant a quelques pas. Elyse s'absorbe dans une discution sur la mode avec Madame de Soulanges. Narquoise, Sophie acceuille le comte en disant:

- Vous etes bien le dernier que je croyais rencontrer au Tuileries aujourd'hui.

- Je vous revoie le compliment, repond Francois. Permettez-moi de vous presenter mon compagnon, Olivier de Neval. Olivier, voici Mademoiselle de Mouchel.

- C'est un plaisir, Mademoiselle de faire votre connaissance. J'ai tant entendu parler de vous, salue le marquis en s'inclinant.

Sophie prend un air de consternation exagere:

-Mon Dieu ! Si vous tenez vos renseignements de Monsieur le Comte, vous devez avoir une mauvaise opinion de moi.

[...]

- Oh non ! Je n'ai entendu que des compliments a votre sujet.

-Vraiment ! Soit vous mentez bien, ou alors le comte s'est retenu.

[...] iPod et minijupe au 18e siècle , p. 134-135

Afficher en entier

À contrecœur, Sophie devra également troquer col roulé et minijupe pour revêtir robes, corsets, paniers, jupons et perruques, éléments incontournables de la toilette de la jeune bourgeoise du 18e siècle.

— Il vous faut cacher vos cheveux, confirme Élyse. Seules les femmes qui ont dû couper leurs cheveux pour les vendre, les portent aussi courts. Laissez-moi installer cette perruque sur votre tête.

— J’ai l’impression de me déguiser pour un bal costumé, commente Sophie…mieux encore, pour la pièce de Molière qu’on a montée au cégep. Voilà, je vais jouer un rôle au théâtre. Suis-je décente maintenant ? Est-ce que quiconque en me voyant pourrait penser que je ne suis pas de ce siècle ?

iPod et minijupe au 18e siècle , p. 51-52.

Afficher en entier

Lors d’une de ses rencontres avec François, Sophie prend encore une fois plaisir à taquiner ce dernier en lui prédisant l’importance qu’auront ces grands penseurs sur l’avenir de la France.

— Ah, mais les gens prennent l’habitude de penser, de rationaliser, de remettre les dogmes en question.

— Vous voulez parler de Voltaire et de ses comparses. Voici justement qui prouve mon argument. Depuis trente ans, les philosophes exposent les abus de l’Église, dans des fascicules qui se vendent à prix fort dès que le Parlement en brûle un exemplaire sur le grand escalier du Palais. En quoi toutes ces critiques ont-elles ébranlé l’Église ? En rien. [...]

— Vous sous-estimez l’emprise et l’infiltration des idées nouvelles dans toutes les couches de la société.

iPod et minijupe au 18e siècle , p. 97-98.

Afficher en entier

Tout au long de son séjour dans le passé, Sophie, étudiante en physique à l'Université, s’amuse à mettre au point plusieurs inventions avant même que celles-ci ne soient réellement inventées...

(Élyse et Sophie) transforment en laboratoire une des pièces inutilisées du grenier. La faible lueur d’une lampe électrique illumine bientôt leur antre interdit, et ce, bien avant la naissance de Thomas Edison. Pour réaliser ce miracle, elles ont empilé des plaques de zinc et de cuivre séparées par du carton imbibé d’eau salée. Alessandro Volta ne fera de même que dans plus d’une trentaine d’années.

iPod et minijupe au 18e siècle , p. 60.

Afficher en entier

Recueillie par une famille bourgeoise, Sophie devra apprendre à se plier aux conventions sociales afin d’éviter d’attirer l’attention. Elle apprendra vite, par exemple, que le simple fait d’adresser la parole à un domestique peut être mal vu :

— Une familiarité comme celle que vous avez employée envers Jacinthe est mal vue.

— Familiarité ? Je n’ai fait que lui dire bonjour! Et puis, tenez, je l’ai même vouvoyée !

— Justement, on ne vouvoie pas les domestiques. Il ne faut pas leur donner à penser que vous vous abaissez à leur niveau.

— Hum ! Je commence à comprendre pourquoi il y a eu une révolution dans ce pays.

— Une révolution ? C’est la deuxième fois que vous y faites allusion. Que voulez-vous dire par là ?

iPod et minijupe au 18e siècle , p. 56.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode