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Tyranus était un vieil homme au visage long et anguleux, avec le regard acéré d’un faucon. Boba ne l’avait jamais vu en chair et en os. Juste en hologramme, lorsqu’il apparaissait afin de donner ses instructions. Il se renseignait aussi régulièrement sur les progrès des soldats clonés.
Jango l’appelait « Comte » ; il s’adressait à lui avec déférence. Ce qui ne signifiait pas pour autant qu’il l’appréciait…
Afficher en entierLe Code de Jango Fett. Encore.
Pourtant, Jango, lui, avait une amie : Zam Wesell. Un mercenaire, comme lui. Mais au féminin…
Si Zam était très belle, elle était aussi très cruelle. Elle aimait se montrer dure. Ses récits favoris décrivaient des batailles sanglantes, évoquaient le destin de fameux hors-la-loi.
Afficher en entierMais ne pas fréquenter l’école ne signifiait pas qu’il était stupide, ou inculte.
Parce qu’il y avait les livres. Les livres qu’il emportait en voyage ; les livres qu’il lisait chez lui, sur Kamino. Il lui suffisait de se rendre à la petite bibliothèque, au bout de sa rue, à Tipoca City. Ce n’était qu’une fente dans une porte. Boba sonnait, et le bibliothécaire lui faisait glisser ses nouveaux livres – pas plus de deux à la fois ! – par le trou. Il récupérait de la même manière ceux que Boba lui rapportait après les avoir terminés… ou abandonnés.
Afficher en entierAuprès de qui d’autre aurait-il pu s’en vanter ? On ne peut pas se faire d’amis quand on vit dans le secret et qu’on voyage incognito, qu’on se cache des services de sécurité… et surtout de ces redoutables fouineurs de Chevaliers Jedi !
Un chasseur de primes doit être prêt à aller partout, au mépris de tous les dangers.
Telle était la Loi, l’une des règles du Code de Jango Fett. Boba en avait édicté une autre :
Le fils du chasseur de primes doit être prêt à suivre son père. Toujours.
Afficher en entierLa pluie. On aime ou on déteste. Certains, comme Boba Fett, n’ont guère connu de jours sans.
Car, si la pluie est chose rare dans la galaxie, sur sa planète à lui, elle tombe à verse. Jour et nuit. Kamino est d’ailleurs entièrement recouverte d’eau ; des mers à perte de vue, exception faite de quelques villes construites sur pilotis.
Parmi elles, Tipoca City. Boba y vivait heureux, avec son père. Jusqu’au jour où…
Voici pourquoi, voici comment ils sont partis, et ce qu’il advint par la suite…
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