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Liste des extraits

Extrait ajouté par adele 2013-02-15T08:48:38+01:00

Du pouce, il caresse doucement le renflement de ma poitrine et la bretelle de mon son soutien gorge de satin blanc. Je retiens ma respiration. J'aimerais lui dire d'arrêter, mais aucun mot ne franchit mes lèvres. Il a trouvé l'agrafe de mon soutien gorge entre mes seins et la défait aussi prestement qu'il a déboutonné mon chemisier. Il pousse un grognement incroyablement excitant. Je crève d'envie de fermer les yeux et de céder enfin, mais je ne peux pas, je ne peux pas ...

- Damien, s'il vous plaît ...

La respiration heurtée, il plonge son regard dans le mien. Son désir est dévorant, je le comprends à la dureté de ses traits.

- Votre consentement Nikki. Si vous me dites d'arrêter, je le ferai. Mais décidez-vous vite, parce que je vais embrasser cette bouche sublime, et putain, je vais vous faire taire ...

Je n'ai pas le temps de réagir. Exigeant, impérieuse, sa bouche est déjà plaquée sur la mienne. Il s'empare de moi et j'oublie tout ce qui m'entoure ...

source site "dans notre petite bulle"

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Extrait ajouté par adele 2013-02-15T08:47:57+01:00

- Je trouve simplement intéressant de constater qu'au lieu de diriger une équipe de développement produits, vous vous retrouviez à exécuter les basses oeuvres du patron dans le rôle de son assistante.

- Mais ...

- Vous partagez son lit, mademoiselle Fairchild ?

- Comment ?

- Pardonnez-moi, ma question n'était sans doute pas assez claire. Je vous demande si vous baisez avec Carl Rosenfeld.

- Je ... Non !

La réponse a franchi mes lèvres bien trop vite ; l'idée m'est insupportable et j'ai voulu l'écarter sur-le-champ. Je regrette aussitôt ma réaction. En fait, j'aurais dû gifler ce type.

site" dans notre petite bulle"

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Extrait ajouté par Lilamai 2013-05-30T16:55:37+02:00

Chapitre 10

J'ai les bras tendus au-dessus de la tête et les poignets liés par une matière douce, mais résistante. Je suis allongée nue sur un drap de soie froide, les yeux fermés. Je ne peux pas bouger les jambes.

Je sais ce qui m'immobilise : un ruban rouge. Noué à mes poignets et bien serré aux chevilles. Je me débats en vain. Bah ! peu importe, je n'ai pas vraiment envie de m'échapper...

Une chose glacée frôle mon téton turgescent. Je me cambre de surprise et de plaisirs.

- Tout doux... chuchote-t-il d'une voix qui m'effleure comme une caresse.

- Pitié...

Il ne répond pas. De nouveau, un froid intense m'assaille délicieusement, mais cette fois, mon tortionnaire insiste. C'est un glaçon. Il fait glisser ce glaçon sur l'un de mes tétons, puis sur le renflement de mes seins lourds. Un peu d'eau coule entre eux. Il trace des motifs sur ma peau avec ce petit bout de glace qui fond, sans jamais me toucher lui-même. Un bout de glace bien dure qui fond contre ma peau...

A nouveau, je murmure :

- Pitié...

Je me cambre, j'en veux davantage. Mes lien m'empêchent de bouger.

- Tu es à moi, me dit-il.

J'ouvre les yeux. Je veux voir son visage, mais tout est gris et flou autour de moi. Je suis égarée dans un monde imaginaire.

Je suis la fille dans la peinture. Excitée, offerte aux yeux de tous.

- Tu es à moi... répète-t-il

.....

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Extrait ajouté par fly_of_dreams 2013-03-05T20:04:26+01:00

"...Quand je retrouve l'usage de mon corps, je me redresse sur un coude et lui caresse la joue. Il a l'air tout froissé et sexy, et fort content de cette baise, ma foi. Du coup, je ressens au creux du ventre un agréable petit frisson de satisfaction féminine.

Il me regarde, un sourire aux lèvres.

Celui que je lui retourne est tout sauf innocent:

- C'était chouette! On recommence ?....."

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Extrait ajouté par Milka2B 2013-06-16T17:16:15+02:00

– Vous auriez du feu, par hasard ?

Je lui montre mon sac à main minuscule :

– Juste de quoi contenir un tube de rouge à lèvres, une carte de crédit, mon permis de conduire et mon téléphone.

– Pas de préservatif ?

– Ah bon ? C’est ce genre de soirée ? demandé-je sèchement.

– Décidément, je savais que vous alliez me plaire !

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2013-06-09T00:04:18+02:00

– Mademoiselle Fairchild...

Il me regarde droit dans les yeux, et ce regard me coupe le souffle. Je me racle la gorge et lui décoche un sourire poli. Du genre 'Va te faire foutre'.

– Je vous dois des excuses, Mademoiselle.

Tiens donc ! À ma grande surprise, je réplique :

– Oui, en effet.

J’attends la suite, mais rien ne vient. Il reporte son attention sur la peinture :

– Une toile intéressante, mais vous auriez fait un bien meilleur modèle.

Hein ?

– Elles sont nulles, vos excuses.

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Extrait ajouté par Spell 2013-04-21T00:13:10+02:00

Je lève le Leica et colle mon œil au viseur ; je le dirige d'abord vers la mer, puis le braque sur Damien. Qui lève aussitôt les mains comme pour me dissuader. J'éclate de rire en prenant une rafale de photos.

- Oh la méchante ! me lance-t-il, et je m'esclaffe de plus belle.

- C'est vous qui m'avez offert cet appareil ! C'est votre faute !

- Certainement pas ! réplique-t-il, lui aussi mort de rire.

Le voyant plonger vers moi, je recule en sautillant, heureuse de le sentir si joyeux à nouveau. Oubliés, le passé, les souvenirs mélancoliques ! Je prends encore quelques clichés.

- Mais elle exagère ! Je vais devoir corser la punition que j'ai prévue pour elle...

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2013-06-08T23:05:25+02:00

– Je suis désolée. Je dois avoir l’air d’une touriste surexcitée, je le sais, mais nous n’avons pas ce genre de coucher de soleil à Dallas.

– Ne vous excusez pas. J’ai choisi cet appartement pour la vue, et chaque fois que je paye le loyer, je me dis : Encore heureux que le panorama soit spectaculaire !

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Extrait ajouté par christel123 2013-06-19T16:18:28+02:00

Je ne veux pas me dérober, bon sang ! Je veux essayer ! Je veux rester, ressentir des choses, et lâcher prise sous les doigts de Damien ! Je suis si grisée que j’arrive presque à croire ce que m’a dit Jamie : il me veut, moi, et rien que moi…

Et puis soudain, il prononce le mot qui détruit tout. Le mot qui réduit le fantasme en fumée :

- Bon Dieu! Nikki, vous êtes parfaite.

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Extrait ajouté par LiliMatoline 2013-05-07T10:39:09+02:00

"Il grimpe une marche. Le voilà soudain beaucoup trop près de moi.

- Il y a des tas de choses qui me fascinent chez vous.

Oh ! bon Dieu ! Je monte prudemment sur la marche suivante.

- Mais je ne suis pas très intéressante, monsieur Stark.

Encore une marche.

- Nous savons très bien que c'est faux, mademoiselle Fairchild. Un jour ...

Il laisse sa phrase en suspens, et moi, au lieu de me taire, je me sens obligée de lui demander :

- Un jour ...?

- Un jour, vous vous ouvrirez à moi, mademoiselle Fairchild. Et de bien des façons."

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