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-Les gens sont complètement barjes, dit Morelli.

-Alors, pourquoi ma visite à l'improviste ne te fait-elle pas plaisir ?

-Oh, laisse tomber.

-C'est à cause de mes cheveux, hein ?

-Mais non.

-Tu t'es marié en secret.

-Mais non.

-Alors c'est quoi ? C'EST QUOI ?

-C'est toi. Tu es une catastrophe ambulante. Il faudrait être maso pour s'intéresser à toi.

-Bon, très bien ! Sers-moi un verre de ...schnap.

Il en servit deux qu'on vida d'un trait. Plus facile, cette fois. Toujours aussi brûlant, mais dans le bon sens du terme.

-Je ne suis PAS une catastrophe ambulante, dis-je.

Je ne vois absolument PAS ce qui te fais dire ça.

-Chaque fois qu'on se retrouve dans l'intimité, je finis tout seul, tout nu, au milieu de la rue.

Je levai les yeux au ciel.

-Oh, fis-je. Ce n'est arrivé qu'UNE fois...IL ne faut pas généraliser ! Et je te rappelle que tu n'étais pas nu, mais en chemise et chaussettes.

-Et sans parler de la fois où tu m'as enfermé dans un camion frigorifique en compagnie de trois cadavres.

Et le jour où tu as voulu m'écraser avec la buik ?

Je levai les bras aux ciel.

-Ah, je l'attendais celle-là ! Ves-y, redéterre cette vieille histoire de buick !

Il hocha la tête, l'air dégoûté.

-Tu es excessive. Tu ne mérites pas qu'on fasse des efforts pour toi. Tu es trop...

Je le pris par le col de sa chemise et le tirai vers moi.

-Même dans tes rêves les plus fous, même dans tes cauchemars les plus noirs, tu ne peux PAS imaginer à quel point je peux être..."ex-sexy-ve".

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-Alors, qu'est-ce qu'il y a entre vous et ma petite-fille? lui demanda ma grand-mère. Comme vous êtes venu dîner, je suppose que c'est du sérieux.

-C'est très sérieux, répondit Morelli.

-Nous avons des rapports strictement professionnels, dis-je.

Morelli se carra dans sa chaise.

-Tu ne devrais pas raconter des salades à ta grand-mère. Tu sais bien que tu es folle de moi.

-Oh, écoutez ça, fit ma grand-mère apparemment sous le charme. C'est-y pas mignon !

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Ricardo Carlos Mafioso, alias Ranger : cheveux noirs lissés en arrière et coiffés en catogan ; toujours habillé en noir et kaki ; abdos en tablette de chocolat ; biceps en béton ; les réflexes d’un serpent à sonnette. Il ne put réprimer un sourire en voyant Lula déguisée en Calamity Jane. Son regard se posa sur moi et il me salua d’un signe de tête imperceptible, l’équivalent pour lui de quatre baisers sur la joue. — Mes félicitations, lui dis-je. J’ai appris que tu avais capturé Jesus Rodrigues

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Quand j'ouvris les yeux, il faisait nuit noire dans ma chambre, et j'eus la désagréable sensation que je n'étais pas seule.

Une intuition.

Je ne savais pas ce qui m'avait réveillée. Peut-être un bruissement d'étoffe ? Un mouvement ? Mon coeur battait la chamade. J'attendis, immobile, à l'affût d'un bruit, d'une odeur, d'un signe qui confirmerait ma peur.

(...)

-Si tu veux qu'on bosse ensemble, il faut que tu sois en forme, dit l'intrus.

-Ranger ?

-Je t'ai fait de thé. Il est sur ta table de nuit.

J'allumai ma lampe. Eh oui, il y avait bien une tasse de thé fumant sur ma table de chevet.

"Il va falloir que je revoie à la baisse ma théorie Stéphanie Plum, chasseuse de primes aux sens aiguisés."

-J'ai horreur de thé, dis-je en humant le breuvage nauséabond. Berk ! Il est à quoi ?

-Au ginseng.

-C'est dégueu.

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Un taxi s'engagea sur le parking. Lula en descendit. Elle était engoncée dans un survêtement rose en laine polaire, et portait un serre-tête rose. On aurait dit un Bug's Bunny black sous anabolisants.

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Lula et Jackie me suivirent jusque chez mes parents et attendirent que j’aie garé la Buick dans l’allée. Puis elles me déposèrent au garage Nissan.

— Les laisse pas t’embobiner avec le pick-up, hein, me fit Lula. Tu fais un essai de conduite, et tu leur dis que tu vas leur enfoncer la jauge à huile dans l’cul s’il est pas réparé.

— Ne t’en fais pas, je ne compte pas me faire avoir.

Je leur fis au revoir de la main et partis en quête du patron du garage.

— Alors ? lui demandai-je. Vous avez pu réparer le pick-up ?

— Il est de nouveau flambant neuf.

— Super, dis-je, soulagée de ne pas avoir à faire de « jauge-fucking ».

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Les places de parking les plus proches de l’entrée sont toujours occupées par les « seniors ». J’avais garé ma Buick à l’autre bout du parking, à côté de la benne à ordures.

Les échos du trafic me parvenaient de St. James Street où les lampadaires venaient de s’allumer. Au moment où j’arrivais à la hauteur de ma Buick, une Jeep Cherokee noire surgit sur le parking à toute allure et pila à ma hauteur.

La vitre teintée côté chauffeur descendit et un homme, le visage dissimulé sous une cagoule, me regarda, pointa un .45 et tira deux balles qui ricochèrent sur le bitume à dix centimètres de mon pied. Je restai figée sur place, paralysée par la peur et la surprise.

— En guise d’avertissement, dit l’homme d’une voix étouffée. Arrête de faire chier Mo. La prochaine fois, c’est ta cervelle que je fais sauter.

Il tira trois autres coups dans le flanc de la benne à ordures. Je me baissai instinctivement. Une quatrième balle siffla au-dessus de ma tête.

La vitre remonta et la voiture repartit pleins gaz.

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— HÉÉÉ ! beugla-t-elle.

On attendit un moment en silence puis, tout près, de l’autre côté de la porte, résonna un petit déclic : celui du levier d’ouverture du magasin d’un fusil à pompe.

Mon regard croisa celui de Lula pendant une fraction de seconde. On pensait bien à la même chose. MEEEERDE ! On tourna les talons, on se précipita dans l’escalier qu’on descendit quatre à quatre et on dérapa en arrivant sur le palier.

BOUM ! Une cartouche passa à travers la porte de chez Shirlene et alla se ficher dans le mur d’en face, faisant voler le plâtre en éclats.

— Grouille ! cria Lula. Pourvu que je ne glisse pas !

On s’élança vers le rez-de-chaussée. J’avais une petite longueur d’avance, mais Lula rata la première marche, fit du tape-cul et me renversa comme une quille. On roula l’une sur l’autre en criant jusqu’à ce qu’on s’arrête dans le hall.

On se releva dare-dare et on tira la porte si fort que je crus qu’on allait l’arracher de ses gonds. On fonça dehors et on piqua un sprint jusqu’à la Firebird de Lula, garée à deux rues de là. On démarra sur les chapeaux de roues et on retourna à l’agence.

— C’est pas que j’avais peur, dit Lula. Mais j’avais pas envie qu’il y ait du sang sur mon nouveau jogging.

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Connie se leva d’un bond quand je franchis la porte.

— Ça va ? me demanda-t-elle. Lula m’a raconté que quelqu’un t’avait assommée, hier soir.

— Oui, ça va. Oui, quelqu’un m’a assommée. Et non, ce n’est pas moi qui ai tué Ronald Anders.

Vinnie surgit de son bureau.

— Tiens donc, s’exclama-t-il, regardez qui nous arrive ! Je suppose que tu veux ta comm’ pour avoir buté Anders.

— Je ne l’ai pas buté ! hurlai-je.

— Ouais, c’est ça, fit Vinnie. Bref. Enfin, la prochaine fois, essaie quand même de ne pas tuer ton DDC en lui tirant dans le dos. Ça la fiche mal.

Pour toute réponse, je brandis mon majeur, mais Vinnie avait déjà battu en retraite dans son bureau.

Je racontai à Connie le peu qu’il y avait à raconter. Mon récit terminé, Lula poussa un soupir dégoûté.

— Ça tient pas debout, ton histoire, fit-elle. Les flics vont être après toi comme des mouches sur de la merde.

— Si j’ai bien compris, dit Connie, tu n’as pas vu l’assassin. Tu n’as pas senti son parfum ? entendu sa voix ? Tu n’as pas le plus petit indice sur son identité ?

— Tout ce que je sais, c’est qu’il est venu de l’extérieur, dis-je. Et je pense que Ronald Anders le connaissait, que c’est lui qui l’a fait entrer dans la boutique.

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—Qu’est-ce qu’il faut pas entendre ! fit Lula.

Nous ? Harceler un mec qui se déguise en poulet pour un salaire de misère ?

— Bon, dis-je en poussant Lula du coude et en adressant mon sourire le plus pro à la jeune fille aux chapeaux. Mr Baggett n’a pas respecté les termes de sa mise en liberté sous caution, il doit se présenter au tribunal.

La jeune femme tourna la tête vers le comptoir.

— Harry ! cria-t-elle. Appelle la police ! Y a un problème.

— Oh, fait chier, pesta Lula. J’aime pas qu’on appelle les flics.

— Vous gâchez tout, me dit Stuart. Vous ne pouvez donc pas me laisser tranquille ? Qui va être Cocorico

Chaud si vous m’arrêtez ?

— Ne rendez pas les choses plus difficiles qu’elles ne le sont, lui dis-je en sortant les menottes de ma poche.

— Vous ne pouvez pas passer les menottes à

Cocorico Chaud, se récria Stuart. Que vont penser les enfants ?

— A mon avis, ils en ont rien à branler, dit Lula.

C’est pas comme si tu étais le père Noël. Tu es juste un petit pleurnichard mal déguisé.

— Ce n’est pas grand-chose, lui dis-je en m’efforçant de garder mon calme. Je vous passe les menottes discrètement, on sort d’ici gentiment et personne ne se rendra compte de rien.

Je tendis le bras pour lui passer les menottes, mais il fit un bond en arrière en battant des ailes.

— Non ! cria-t-il.

Il cogna ma main. Les menottes tombèrent par terre et glissèrent jusqu’au milieu de la salle.

— Je ne veux pas aller en prison !

Il prit une poire de moutarde et une de ketchup, et les brandit dans notre direction.

— N’avancez pas ! cria-t-il.

Il me semblait exagéré de sortir ma bombe lacrymo et mon boîtier paralysant contre un poulet armé de ketchup.

— J’ai pas que ça à foutre, dit Lula. J’ai du boulot qui m’attend. Alors, pose ça.

— Ne sous-estimez pas ces armes, dit Stuart.

— Oh, c’est pas vrai ! fit Lula. Il a sniffé de l’insecticide, c’est pas possible !

Elle fit un pas vers lui, et PFFFFT, Stuart lui balança un jet de moutarde sur la poitrine.

Lula s’arrêta net.

SPLASH ! Et une dose de ketchup par-dessus la moutarde.

— Vous avez vu ? piailla Lula. Il va falloir que je donne mon blouson au pressing maintenant !

— C’est ta faute, la grosse, rétorqua Stuart. T’avais qu’à pas commencer.

— O.K., fit Lula. Poussez-vous. Je vais le massacrer.

Elle s’élança, bras tendus vers le cou de poulet de

Stuart, glissa sur de la moutarde et tomba sur les fesses.

Stuart se mit à courir entre les tables, moi à ses trousses. Je finis par l’attraper par une aile et lui fis un croche-pattes. Il s’étala par terre, je tombai sur lui et on fit des roulés-boulés jusqu’à ce que je finisse par saisir autre chose qu’un bout de faux poulet.

J’étais à califourchon sur Cocorico Chaud et je lui tordais le bec de toutes mes forces. Tout à coup, je me sentis fermement tirée en arrière par quatre mains.

Deux appartenaient à Carl Costanza, et les deux autres à un flic que je connaissais de vue.

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