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– Je viens de penser à un truc idiot, dit-il en pouffant de rire… Vous savez, les fiches d’information qu’on doit remplir à l’école. A la rubrique « profession des parents », chaque année, je mettais une croix et tout le monde se fichait de moi. L’année prochaine, j’écrirai « pharaon et pharaonne » !
Afficher en entier-pourquoi il dit toujours polock ? dit suzanne
-en egyptien cela veut dire ferme la lui repondit il raphaelle parut suprise puis elle ajouta
- ce n'est pas grave je continuerai a l'appeller polock !!!
Afficher en entier- C’est plus compliqué que ça, dit-il. Le futur n’est pas tout à fait une page blanche sur laquelle n’importe quoi peut être écrit.
Afficher en entier– Eh, Raphaëlle, pourquoi tu tires cette tronche ? Tu n’as pas aimé mon dragon de feu ? la questionna Arthur.
Raphaëlle était comme hypnotisée. Ses yeux ne quittaient pas le torse d’Arthur.
– C’est quoi, ce signe tatoué sur ton cœur ? demanda-t-elle d’une voix blanche.
– Ça ? répondit-il en rapprochant le briquet de sa poitrine. Ce n’est pas un tatouage, c’est une marque de naissance.
Elle laissa échapper une exclamation étouffée.
– Un croissant de lune… dit-elle en croisant le regard de Tristan.
Lui aussi avait compris.
– Arthur, dit Tristan, tu te souviens de ce grand puzzle dont je t’avais parlé, à notre retour d’Egypte ? Et cette pièce manquante ?... Et bien, cette pièce manquante… c’est toi.
Arthur fit une grimace.
– Moi ?
Tristan hocha gravement la tête.
– Tu nous as bien dit que tu n’as cessé, depuis ta naissance, de prier pour connaître la vérité sur tes origines, n’est-ce pas – qui étaient tes parents, pourquoi ils t’ont abandonnés ?... tes vœux ont été exaucés, Arthur. Toutes les aventures que nous avons vécues ces derniers mois se sont déclenchées et enchaînées les unes aux autres dans un seul but : apporter un réponse à ces question qur tu te poses depuis ta naissance.
Arthur fronça les sourcils, perplexe.
– Tes parents ne t’ont pas abandonné, Arthur. Raphaëlle et moi savons qui est ta mère. Nous l’avons rencontrée. Récemment, en Egypte. Il y a quatre mille ans…
Il le fixa d’un regard flamboyant avant de préciser :
– Tu es le fils de Merenrê et de Nitokris, Merenrê II. Cette marque, nous l’avons vue sur toi quand tu n’étais qu’un bébé.
Afficher en entier-En tout cas, si elle est moche, elle vient de devenir page, elle.
-Pas possible ! s'exclama Arthur, ahuri.
- Et si elle est moche, poursuivit Raphaëlle, toi, tu es manchot. Manchot de la main invisible
Afficher en entier-Je rêve ! fit Tristan en se frappant le front. Tu sais que les poissons rouges ont un cerveau tellement minuscule que si on leur donne quelque chose à manger, ils l'ont déjà oublié au bout de cinq seconde ?
-Ce leurre fait un point commun, dit une voix.
Afficher en entier- Bien, conclut le chancelier suprême. Nous sommes donc d'accord. Vous allez vous rendre dans notre Commanderie de New-York. Et vous nous tiendrez régulièrement informés de vos avancées. Pour la suite, je souhaite assister à tous les collèges dans lesquels cette affaire sera évoquée. La possibilité de voyager dans le temps ouvre des perspectives... nouvelles. Et il est du devoir de notre organisation de parer à toutes les éventualités.
Il marqua un temps de silence avant d'ajouter :
- Oui, mes amis, il s'agit de ne pas manquer ce rendez-vous. Car c'est un nouveau chapitre de notre histoire qui est en train de s'écrire...
Afficher en entierIl y a certains secrets qu'il est préférable de taire, certaines portes qu'il vaut mieux laisser fermées. Ainsi, depuis des siècles, et grâce aux pouvoirs du Strom, la confrérie des Chevaliers de l'Insolite cache l'existence de portails ouvrant sur l'inconnu. Membres de la future génération de chevaliers, Raphaël et Raphaëlle découvrent l'un de ces passages: un portail d'outre-temps, qui permet de voyager dans le passé - au risque de ne jamais revenir...
Afficher en entierIl avait l’air aussi désolé qu’un boucher qui tranche sa viande à grands coups de hachoir.
Afficher en entierRaphaëlle avait baissé la fenêtre pour mieux contempler ce Paris qui lui avait tant manqué. L'air pollué, les embouteillages, les gens pressés sur les trottoirs, les bus surchargés, tout lui semblait merveilleusement beau. Raphaël, lui, ne se lassait pas de regarder sa sœur et son parrain. Le bonheur, dit-on, se reconnaît au bruit qu'il fait en s’en allant : en cet instant, il se disait que le bonheur se remarque surtout au bruit qu'il fait en revenant...
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