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Voici comment ça s'est passé : j'étais si déprimé que je voulais mourir. je n'arrivais pas à me secouer, à changer. Alors j'ai pensé à me faire descendre par la police, parce que si je m'en chargeais, ce serait un vrai carnage.

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Loretta n'écoutant qu'à moitié , avait l'impression que toutes les filles, toutes les femmes qu'elle connaissait avaient des fleuves de mots à répandre en elle, et elle aussi se sentait soulevée par une grande pression de mots, de paroles, de bavardages, de gestes d'excitation, comme un gigantesque battement de cœur qui les rapprochait toutes en quelque sorte - toutes les femmes ; les hommes étaient éternellement silencieux.

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"Depuis la raclée de Maureen en avril, l'arrestation de Furlong et les différentes étapes du divorce, Loretta avait changé : elle avait en permanence un air égaré. Parfois, pensait Jules, elle paraissait presque intelligente, comme si cette souffrance lui avait appris quelque chose. Il se pencha contre la table et posa son menton dans ses mains. Energique partout ailleurs, il se sentait las et vieux en présence de sa mère. Il avait l'impression de vieillir peu à peu tandis qu'elle conservait le même âge ;"

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Je ne devrais pas vous le dire, car vous pourriez me croire folle. Mais j’ai parfois le sentiment… le sentiment que je pourrais mourir, tant je vois de solitude. Mais je ne veux personne autour de moi. Je crois que rien ne changera jamais, que ma vie va continuer ainsi. Je pense qu’un jour, quelqu’un pourrait m’attendre dans l’entrée, quand je rentrerai. C’est de la folie. Je le sais bien. Mais il me semble que je ne peux continuer ainsi, s’il n’y a pas de promesse de quelque chose de mieux. D’une nouvelle vie. Il faut bien qu’il y ait davantage pour moi que cela, mais il faut bien que je l’accomplisse moi-même. Il faut que je le provoque moi-même.

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Une femme ressemble à un rêve. Sa vie est un rêve consacré à l’attente. Je veux dire qu’elle vit dans un rêve, attendant un homme. Il n’existe aucune façon d’en sortir ; si insultant que ce soit, aucune femme ne peut y échapper. Sa vie, c’est d’attendre un homme. C’est tout. Il y a une porte dans ce rêve, et il lui faut la passer. Elle n’a pas le choix. Tôt ou tard, il lui faut ouvrir cette porte, la passer pour arriver à un homme en particulier, un homme, un seul. Elle n’a aucun choix dans l’affaire. Elle peut prendre n’importe qui, mais elle n’a aucun choix là-dessus. Voilà ce que je pense.

- Tu le penses vraiment ?

- Oui

- N’est-ce pas exagéré ?

- Cet homme ce n’est pas toi, exactement. J’ai besoin de toi, pour me sentir encore en vie. J’ai besoin de toi, pour moi-même, pour ma vie. J’ai besoin de t’aimer.

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