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Chaque fois, suivant à la trace l’arôme puissant du café, Magnus enfilait une robe de chambre choisie dans sa vaste collection et déboulait dans la cuisine, où se trouvait Alec. Magnus avait fini par acheter une cafetière, ce qui évitait dorénavant à Alec de s’affoler sitôt que le sorcier faisait apparaître du thé ou du café « emprunté » au vendeur itinérant en bas de la rue. L’appareil était contraignant, mais le sorcier s’en accommodait. Alec, réconcilié avec ses principes moraux grâce à cet achat, était aux anges. Il ne pensait plus qu’à préparer du café, sans même demander la permission, allant jusqu’à servir Magnus durant ses sessions de travail. Mais partout ailleurs, dans le loft du sorcier, Alec demeurait prudent et effleurait à peine les objets, pensant peut-être qu’il n’avait aucun droit sur eux ou qu’il n’était qu’un simple invité.

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Extrait ajouté par wicca64 2016-08-27T19:49:47+02:00

"If Jane Austen could see this," Magnus said, "I assume she would be screaming, 'There are tiny demons in this little box! Fetch a clergyman!' and hitting the television with her parasol."

-The Last Stand of the New York Insitute

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t— Que faites-vous dans la vie ? demanda la femme.

— Un peu de ci, un peu de ça, répondit Magnus.

— Vous avez une tête à travailler dans la mode.

— Non, je ne travaille pas dans la mode, je fais la mode.

Cette réponse niaise eut l’air de satisfaire la compagne de vol de Magnus. Il avait dit cela pour la tester un peu. Tout semblait fasciner cette femme – du siège devant elle à ses ongles, en passant par son verre, sa chevelure, celle des autres passagers et même son sac à vomi…

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Extrait ajouté par AnneSoH 2016-02-02T23:53:21+01:00

It was only that Magnus had an irrational desire for Alec to feel at home in his loft, as if that would mean something, as if that would give Magnus a claim on Alec or indicate that Alec wanted a claim on him. Magnus supposed that was it. He badly wanted Alec to wanted to be here, and to be happy when he was here.

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Magnus s’enfonça dans sa banquette et se résigna à transpirer, satisfait de vivre en accord avec lui-même, selon des principes largement adoptés par les Parisiens. Car les habitants de la capitale étaient toujours à l’affût de la dernière mode : perruques vertigineuses ornées de bateaux miniatures, soies outrageuses, poudre de riz blanche, fard à joues rouge porté par les deux sexes, mouches, costumes, couleurs… À Paris, on pouvait tout à fait posséder des yeux de chat (à l’image de Magnus) et prétexter un simple artifice de mode.

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Then Alec was there, standing in the open doorway.

« I wanted to see you », said Alec with devastating simplicity. « Is it okay ? I can go away if you’re busy or anything. »

It must have been raining a little outside. There were sparkling drops of water in Alec’s messy black hair. He was wearing a hoodie that Magnus thought he might have found in a Dumpster, a sloppy jeans, and his whole face was lit up just because he was looking at Magnus.

« I think, » said Magnus, pulling Alec in by the strings on his awful gray hoodie, « that I could be persuaded to clear my schedule. »

Then Alec was kissing him, and Alec’s kisses were uninhibited and utterly sincere, all of his lanky warrior’s body focused on what it wanted, all of his open heart in it as well. For a long wild euphoric moment Magnus believed that Alec did not want anything more than to be with him, that they would not be parted. Not for a long, long time.

« Happy birthday, Alexander, » Magnus murmured.

« Thanks for remembering, » Alec whispered back.

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Magnus then dragged Alec outside, pushed him up against the brick wall of Taki’s under the sparking upside-down sign, and kissed him. Alec’s blue eyes that had blazed with angelic fury were tender suddenly, and darker with passion. Magnus felt Alec’s strong lithe body strain against Magnus’s, felt his gentle hands slide ip Magnus’s back. Alec kissed him backwash shattering enthusiasm, and Magnus thought, Yes, this one, this one fits, after all the stumbling and searching, and here it is.

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— Je m’appelle Guadalupe Santiago, dit-elle. Et vous êtes un… (Elle fit un geste de la main.) Je ne sais pas quel est le mot exact. Un magicien ? Un prestidigitateur ?

— Vous pouvez dire « magicien », répondit Magnus. Peu importe. Vous cherchez quelqu’un qui ait le pouvoir de vous aider.

— C’est cela, j’ai besoin de votre aide, répondit Guadalupe. Pour sauver mon fils.

Croyant avoir saisi la situation, Magnus la fit entrer. Des clients le sollicitaient parfois pour des problèmes de santé, même si le sorcier n’était pas aussi populaire en la matière que Catarina Loss. À choisir, il préférait encore soigner un jeune humain, plutôt que ces Chasseurs d’Ombres prétentieux qui venaient si souvent le consulter. Même si cela signifiait moins d’argent à la clé…

— Parlez-moi de votre fils.

— Il s’appelle Raphaël, précisa Guadalupe.

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Une terrible vague de chaleur déferla sur New York à la fin de l’été 1953. Un soleil féroce cognait le trottoir, plus écrasant encore qu’à l’accoutumée. Dans la rue Bowery, des gamins avaient ouvert une bouche à incendie au beau milieu de la voie afin de profiter, l’espace d’un instant, de ses bienfaits rafraîchissants.

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"The boy was standing alone as though the broken glass all around him were a shinning sea and he were an island."

The Midnight Heir

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