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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-16T13:26:55+01:00

— Eh bien, si c’est vrai, dis-le. La modestie n’est qu’une forme de mensonge : utile auprès des femmes, mais dangereuse entre frères d’armes. Si tu dis à quelqu’un que tu tires « plutôt bien», il va commencer à prendre des risques pour te couvrir. S’il se fait tuer, et qu’il s’avère que tu tires vraiment bien, tu as sa mort sur la conscience. Pour ce qui est du tir, tu te débrouilles comment

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-16T13:26:02+01:00

— Oui, ces gens viennent des bords du Danube ; la Valaquie, la Moldavie – un de ces coins-là. Ils s’y sont battus par patriotisme, pour défendre la terre de leurs ancêtres. Combattre les Turcs, c’est un peu une tradition là-bas

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Extrait ajouté par Heronoloen 2015-07-27T15:13:46+02:00

C’était une chose que d’insulter une impératrice française, mais c’en était une autre que d’insulter une prostituée russe.

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Extrait ajouté par Heronoloen 2015-07-27T15:13:28+02:00

J’avais l’impression de l’avoir déjà vue auparavant. Soudain, la réponse me vint à l’esprit.

— Elle ressemble à Marie-Louise.

— Qui ? grogna Dimitri.

— La nouvelle impératrice de France, expliqua Max.

— La nouvelle Mme Bonaparte, fut ma description.

— Ah ! La vieille prostituée autrichienne, fut celle de Dimitri.

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Extrait ajouté par Rosara 2014-04-26T20:34:09+02:00

Vatfolomei s'agenouilla à coté de sa proie, parcourant du regard le corps du jeune homme et se frottant le visage et le cou, semblant gagné par un pressant désir. Une fois encore il appela Matfei, assez généreux pour partager son trophée avec son ami.

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Extrait ajouté par Rosara 2014-04-26T20:30:09+02:00

Je me saisis du couvercle. Il n'était ni verrouillé ni attaché d'une quelconque manière et il se souleva donc facilement pour révéler le corps allongé de Matfei. Pour quiconque ne connaissait pas la nature de cette créature, il aurait semblé mort. Même un médecin, qui pouvait vérifier les battements de son cœur ou sa respiration, n'aurait trouvé aucun signe de vie conventionnel. Tous les doutes que j'avais pu avoir s'étaient désormais envolés. Ce n'était pas un homme, aussi dépravé soi-il. C'était un voordalak. Il était la terreur de mon enfance faite chair.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-16T13:27:25+01:00

La fille qui avait auparavant attiré notre attention revint bientôt, serrant fermement contre son corps le panier de fruits et autres aliments qu’elle était sortie pour acheter. Elle était étonnante. Le coin extérieur de ses grands yeux remontait légèrement, et elle pressait résolument ses lèvres pleines, à cause de la neige que le vent fouettait et contre laquelle elle luttait

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-16T13:27:18+01:00

Pendant cet hiver de 1811, j’étais venu ici avec Dimitri et Max. Vadim était rentré à Pétersbourg pour le mariage de sa fille. J’avais assisté moi aussi à ce mariage, mais j’étais revenu à Moscou presque aussitôt après, combattant ma culpabilité face à l’expression du visage de Marfa par l’anticipation étrange que quelque chose allait se produire, devait se produire, dès que je reviendrais dans une ville aussi vibrante que l’ancienne capitale

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-16T13:27:09+01:00

Une ville construite aussi rapidement que Pétersbourg, de surcroît bâtie sur les plans d’un personnage aussi autoritaire que le Tsar Pierre, m’apparaissait précisément pour ce qu’elle était : artificielle. Moscou avait été créé au fil des siècles par la population, qui construisait ce dont elle avait besoin pour vivre. Pétersbourg avait été bâtie pour imiter les grandes villes d’Europe, de sorte qu’elle semblerait toujours n’être qu’une imitation, juste un peu plus réaliste que les façades de carton des villages érigés par Potemkine pour donner à la Tsarine Catherine une vue plus pittoresque lorsqu’elle visitait les recoins miséreux de son empire. Mais Pétersbourg était la capitale, et la haute société l’adorait donc. Celle-ci avait migré vers Pétersbourg, mais c’est à Moscou que l’animation était demeurée

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-16T13:27:02+01:00

C’est ainsi que Vadim fut présenté à Max le lendemain. Ce dernier requit moins de persuasion encore que moi, mais il aurait été difficile de trouver un rôle lui convenant davantage. Nous nous étions tous rencontrés pour la première fois quelques mois auparavant seulement, mais notre groupe était déjà au complet. Néanmoins, aujourd’hui, sept ans plus tard, Dimitri avait invité de nouveaux membres à se joindre à nous – des hommes que lui seul connaissait et dont il était le seul à pouvoir se porter garant. Les cas désespérés nécessitent des remèdes extrêmes mais, tandis que je m’assoupissais, je ne pouvais m’empêcher de ressentir un certain malaise au sujet de ces Opritchniki que Dimitri allait introduire dans notre groupe

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