Extraits

Ce garçon avait des yeux d’ambre pâle, comme un verre de cristal rempli à ras bord avec du vin blanc vif et levé pour capter la lumière du soleil. Magnus ne pouvait pas imaginer que de tels yeux soient tendres. Ce garçon était magnifique, mais c’était une beauté comme celle d’Hélène de Troie devait avoir eu, quand le désastre s’écrit ligne après ligne. L’éclat de sa beauté rappela à Magnus une vie en feu.

Le brouillard et les lampes à gaz ramenèrent des souvenirs dans sa mémoire. Mais son instant de divagation nostalgique était déjà fini. Ce n’était pas Will. Cet adolescent brisé, si beau devait être un homme à présent, et ce garçon-là était un étranger.

- Je, annonça le jeune homme, suis James Herondale.

Matthew tendit ses mains.

-Pax, dit-il enjôleur. Que règne la paix entre nous. Tu peux verser le reste du pot sur ​​ma tête.

La bouche de James se courba dans un sourire. Il était impossible de rester en colère envers Matthew, il était presque impossible de se mettre en colère contre Matthew.

James pouvait voir sa mère se déplacer comme une pâle étoile anxieuse parmi les invités dans sa robe lilas, saluant chaleureusement chacun d'entre eux, et leur souhaitant la bienvenue chez elle. Elle n'avait pas utilisé sa magie afin de paraître l'âge de son mari pour la soirée, et elle semblait extrêmement jeune, mais ses cheveux était gracieusement arrangés comme ceux d'une femme plus âgée, pas ceux d'une jeune fille. Lorsque Will se matérialisa dans la foule et vint mettre son bras autour de Tessa, lui souriant, le gris à ces tempes flasha comme de l'argent. James détourna son regard; il aimait ses parents car il était extraordinaire, mais parfois il les haïssait aussi pour la même raison.

— Ton dévouement à ta famille est admirable, répliqua sèchement Alastair. Je suis sûr que tout cela n'a aucun rapport avec le fait que tu te sois enfuie à Paris avec le parabatai de ton époux.

— Je t'avais bien dit que ça marcherait ! cria Will à Magnus, qui transportait les bagages en haut de l'escalier grâce à sa magie : des étincelles bleues jaillissaient comme une nuée de lucioles de ses doigts gantés. On aurait dû faire la même chose à l'aller !

— Tu n'as jamais dis ça, protesta Magnus. Tu as dit, si je me souviens bien : "Par l'Ange, il va tous nous tuer."

You love as your father loves: wholly, without conditions or hesitancy.

“You will never need to keep secrets again! At least not from me,” Lucie added. “You can keep secrets from the rest of these heathens here, if you like.”

There was a chorus of cheerful boos. “Lucie, dear,” said Anna. “Don’t give Cordelia terrible advice. We all want to hear what she has to say, no matter how scandalous. In fact, especially if it’s scandalous.” She grinned lazily.

“I have a problem,” Lucie said.

Cordelia spoke with great care. “A . . . necromancy problem?”

“No! Honestly. I haven’t done any necromancy. It’s more of a—well, a kissing problem.”

“And you want to talk about it now?” Cordelia inquired.

“I do, because—well, I suppose it’s sort of a necromantic kissing problem.”

James hesitated, just for a moment. “On the staircase, you spoke to me of pride. It has its downfalls, as we both know. But Matthew will not want to be pitied. He will want us to be blunt and honest, not treat him as an ailing patient. He has enough of that already. I would do anything to spare Matthew pain. I would cut my own hands off if it would help.”

“It would be dramatic, but unhelpful,” said Cordelia.

“I told you it would work!” Will cried in Magnus’s direction. Magnus was busy magicking the unfastened baggage to the top of the steps, blue sparks darting like fireflies from his gloved fingertips. “We should have done that on the way out!”

“You did not say it would work,” Magnus said. “You said, as I recall, ‘By the Angel, he’s going to kill us all.’”

Dear Alastair, why are you so stupid

I brush my teeth don’t tell anyone

—Thomas