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Commentaire de StephLejournaldunefan

Treize à la douzaine


En lisant le résumé, j’ai découvert qu’il s’agissait de l’histoire familiale des auteurs, frère et sœur de leur état.

Je suis donc aller voir sur internet qui était leur père, Frank Bunker Gilbreth senior. C’était un homme expert en économie de mouvements. Son travail consistait à filmer les mouvements des travailleurs et ainsi trouver des techniques pour économiser leurs gestes et ainsi gagner du temps.

Partant de là, je me suis plongée avec impatience dans le cours récit qui nous racontent par bribes l’enfance des 12 enfants de cet homme et de son épouse, psychologue de renommée.

Et j’ai été totalement embarquée dans cette famille remplie d’amour et de respect. Il faut dire qu’en plus d’être un homme adorable, Mr Gilbreth était un peu féministe avant l’heure et surtout très progressiste. J’ai dû vérifier parfois les dates (il est décédé en 1924) parce que ce qu’il faisait me paraissait impensable à une telle époque. Sa femme, plus pondérée était pleine de patience mais le soutenait toujours. Et à la fin j’ai eu un énorme respect pour sa décision alors que leur vie était en train de changer totalement.

Cet homme était amoureux fou de sa femme et l’appelait volontiers « patronne ». Tous deux très complices, ils étaient soudés et solidaires dans l’éducation des enfants. Et qu’elle éducation merveilleuse! Déjà, il était fou de ses enfants qui le lui rendait bien. Et il éduquait ses filles et ses garçons de la même manière. Partant du principe qu’un être humain est capable de tout apprendre dès la naissance, il les a toujours traité comme des personnes intelligentes et méritant le respect. Tout était prétexte à apprendre. Achetait-il un bateau qu’il faisait de tous ses enfants des marins aguerris. Travaillait-il sur la technique des secrétaires à maîtriser un clavier Azerty, qu’il testait ses méthodes sur ses enfants les rendant tous capables de taper à la machine. Il leur appris le morse en l’écrivant partout sur les murs et plafonds de leur maison de vacances et pendant des années ils apprirent les langues en écoutant des disques d’apprentissage de français, allemand et italien pendant leurs toilettes! Ils savaient tous parler ces langues!

Il leur cédait à tout mais tous craignait ses colères redoutables. Et je dois dire que l’adolescence de ses filles ne s’est pas faite sans turbulences! Totalement dépassé, je l’ai trouvé particulièrement touchant et j’ai été vraiment surprise de voir qu’elles sortaient parfois le soir comme des ados normales (mais avec chaperon!)

Écrit avec beaucoup d’humour et de légèreté, dans chaque chapitre retraçant un apprentissage ou une anecdote, il y avait toujours matière à rire d’autant que Mr et Mme Gilbreth ne manquait pas d’humour!

Tout au long du livre, l’amour et le respect transparaissent dans les mots de Frank junior et Ernestine. De plus l’une des enfants Mary est décédée à l’âge de 6 ans (je l’ai vu aussi sur internet). Pourtant, a aucun moment vous ne verrez les parents dire qu’ils ont 11 enfants. Jamais ce chiffre n’apparaît. Ils sont 12 enfants et rien de ne peut changer cela.

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