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He groaned, cracking his eyes open. “I figured,” he rasped, “I should lie low while you did that.”
Afficher en entierNous avons besoin de ce qui nous fait mal pour mieux apprécier tout ce qu'il y a de bon dans l'existence, répondit-elle. Ce sera peut-être plus difficile certains jours, mais je veux connaître et tout ressentir. Avec eux.
Afficher en entier- "Et ça aussi, ça en vaut la peine", ajouta Amren en riant.
Nesta regarda son amie, Amren sourit et son visage devint aussi merveilleux que celui de Cassian et que les étoiles qui décrivaient leurs courbes au-dessus et autour d'eux.
- "Sois la bienvenue à la Cour de la Nuit, Nesta Archeron. Nous sommes heureux de te retrouver parmi nous", déclara-t-elle.
Afficher en entier"C'était une minuscule offrande à des amies qui étaient devenues comme des sœurs pour elle.
Une famille qu'elle avait choisie, comme celle que Feyre avait choisi à la cour.
Elle serra les amulettes au creux de son poing et ferma les yeux.
-Je souhaite que nous ayons le courage de nous aventurer dans le monde quand nous serons prêtes, mais que nous soyons toujours capables de nous retrouver quoi qu'il arrive."
Afficher en entier- Je vois, gronda-t-il. Dès que je m'approche d'un peu trop près, tu me repousses à une distance plus confortable pour toi.
Tu préfères épouser une vipère comme Eris plutôt que de rester avec moi.
- Je ne suis pas avec toi, coupa-t-elle. Je couche avec toi, nuance.
- C'est tout ce qui convient à une brute et à un bâtard, pas vrai ?
- Ce n'est pas ce que j'ai dit.
- C'était inutile : tu me l'as déjà dit mille fois.
- Alors pourquoi est-ce que tu t'es interposé au bal?
- Parce que j'étais jaloux, par tous les dieux ! rugit-il tandis que ses ailes se déployaient. Tu ressemblais à une reine et il était clair qu'un petit prince comme Eris te conviendrait mieux qu'un moins-que-rien comme moi ! Parce que je ne supportais pas de te voir ainsi avec lui, parce que ça me rendait malade !
Mais si c'est ce que tu veux, Nesta, épouse-le, bon sang, et bonne chance!
- C'est Eris, la brute, riposta-t-elle. C'est une brute et une ordure ! Et si j'accepte de l'épouser, c'est parce que je ne vaux pas mieux que lui!
Afficher en entier- Je ne vois pas de quoi tu parles, répliqua Az en souriant à son assiette.
- Connard.
Az gloussa.
- N'abats pas tes cartes d'entrée de jeu, Cass, dit-il.
- Qu'est-ce que c'est censé vouloir dire ?
- Gardes-en un peu pour plus tard, répliqua Az en désignant la porte du menton.
- Mêle-toi de ce qui te regarde.
Az avala une bouchée de son dîner.
- Vu que tu la laisses te sucer au beau milieu de la salle à manger, à une table sur laquelle j'ai l'habitude de diner, je pense que j'ai le droit d'avoir un avis sur la question.
Cassian éclata de rire. Toute sa mélancolie s'était évanouie grâce à elle.
- Tu marques un point.
Afficher en entier- Vous dormirez dans votre ancienne chambre, dit enfin Cassian.
Comme si elle possédait une chambre à elle, ici ou ailleurs...
- La mienne est à l'étage supérieur, précisa-t-il.
- Pourquoi aurais-je besoin de le savoir ? demanda-t-elle d'un ton sec.
Il s'éloigna vers les portes en verre menant à l'intérieur de la montagne.
- Au cas où vous feriez un cauchemar et auriez besoin que quelqu'un vienne vous lire une histoire, répondit-il d'une voix traînante et avec un léger sourire. Peut-être l'un de ces ouvrages licencieux que vous appréciez tant.
Afficher en entierAzriel regarda Nesta.
— Que vous est-il arrivé ? lui demanda-t-il.
Elle savait à quoi il faisait allusion : à son œil au beurre noir qui pâlissait enfin. Ses entailles aux mains et au menton avaient guéri, de même que les bleus sur tout son corps, mais son œil au beurre noir avait pris une teinte verdâtre. Le lendemain matin, il aurait disparu.
— Rien de grave, répondit-elle sans regarder Cassian.
— Elle est tombée dans l’escalier, expliqua Cassian en détournant les yeux d’elle.
Le silence d’Azriel était éloquent.
— Est-ce que quelqu’un… vous a poussée ? demanda-t-il au bout d’un instant.
— Pauvre crétin, gronda Cassian.
Afficher en entierEnchaîné...
Des mots affûtés comme des poignards l'invitaient à se saisir d'eux pour les plonger dans son cœur. Pour qu'il ressente la douleur que ce mot lui infligeait. Pour le faire saigner.
Afficher en entier- On apprend à vivre avec, dit-il. À chasser de son esprit toutes ces horreurs pour ne plus penser qu'à l'instant présent. Mais elles rôdent toujours dans un recoin de votre cerveau, ajouta-t-il un peu plus bas.
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