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J’ai découvert la plume de Philippe Besson l’année dernière avec « ceci n’est pas un fait divers » et « Paris-Briançon » qui ont été tous les deux des coups de cœur. Je commence à y prendre goût et à partir vraiment confiante avec cette auteur !
Dans ce récit, Philippe Besson s’inspire d’une histoire vécue et retrace un drame de sa jeunesse, survenu dans l’île de Ré, un soir de juillet, dans les années 80.
J’ai bien aimé ce roman mais l’expression « jamais deux sans trois » ne sera pas valable pour cette fois. Ce n’est pas un coup de cœur, mais une bonne lecture sans plus.
Ce qui m’a légèrement dérangé dans ce roman, c’est que bien qu’il soit court, l’histoire est un peu longue à démarrer et le rythme est assez lent. J’ai ressenti une plume plus descriptive que les deux derniers que j’ai lu de cet auteur. Des détails, des souvenirs de vacances, mais pas d’attachement particulier pour les personnages.
J’ai lu ce livre d’une traite car malgré ces remarques, j’ai aimé cette lecture, mais je pense que j’avais placé la barre de mes attentes un peu trop haute.
L’écriture est belle, l’histoire touchante mais pour moi, ce ne sera pas le meilleur livre de l’auteur, le plus abouti, celui à retenir.
Il vous fera certes passer un bon moment de lecture, car c’est une lecture rapide et agréable, mais ce ne sera pas inoubliable.
Pour ma part, je vais poursuivre ma découverte de cette auteur car je suis certaine qu’il y a pleins de merveilles à découvrir parmi ses récits.
Afficher en entierL’auteur nous partage cette une part de son intimité. Un été, des amis, des fêtes, une disparition.
A l’aube de sa majorité, Philippe Besson. Oui raconte son été 1985 ou l’un de ses amis disparaît. Cette disparition le hante encore aujourd’hui parfois. Que s’est-il réellement passé ce soir-là ?
Dès questions qui resteront sans réponse d’autant plus que les moyens de l’époque ne sont pas ceux d’aujourd’hui.
Nous partageons cet été avec eux, leurs doutes, leurs incertitudes et leurs questionnements que nous nous posons à 18 ans. Mais aussi les moments de joie qui font de ces étés-là des souvenirs inoubliables. Malheureusement, il y a cette disparition qui vient noircir ce tableau de ce bel été. Ça n’arrive pas qu’aux autres.
Afficher en entierJe fais des livres pour corriger l'absence... Pour que l'on sache qu'il a existé" : phrase de Philippe Besson lors d'une interview pour son roman "Un soir d'été".
Ce dernier roman que je referme à un goût amer : une sensation désagréable de manque, comme quoi je me suis bien approprié l'atmosphère, et l'histoire !!
L'auteur révèle un drame dont il fut le témoin dans sa jeunesse.
Une jeunesse des années 1985 : où les portables n'existaient pas, où la camaraderie et la connivence étaient présentes dans l'instant vécu ensemble, dans les dialogues, dans les silences partagés, dans la joie des retrouvailles de vacances, où les rencontres se font instintives et faites de moments précieux, mais sans être intrusives.
L'insouciance d'une époque révolue qui se fracasse lorsque le drame surgit.
Le texte est alangui, comme ces six jeunes qui succombent à la joie de se retrouver, dans un univers de farniente estival.
Encore une fois le texte met en lumière des gens simples, attachant car ils nous ressemblent.
Personnellement, je continue mes lectures de cet auteur extrêmement enrichant : son regard est clair et lucide sur des sentiments que l'on à parfois du mal à analyser, il sait écrire les mots justes.
Afficher en entierPas le meilleur livre de cet auteur, mais j'ai tout de même aimé cet été d'une autre époque ou il nous emmenait
Afficher en entierEn refermant ce livre, je l’ai trouvé un peu vide… avec pas mal de remplissage…
Après réflexion, c’est justement ce qu’il exprime. Le vide de la disparition, du manque. Un ami disparu un soir de fête alors que tout était simple et insouciant. En vacances sur l’Île de Ré, avec une bande copain à jouir de l’amitié, des flirts, de la légèreté des 18 ans.
… un peu vide quand même https://www.noid.ch/un-soir-dete/
Afficher en entierPas le meilleur Besson. On y retrouve les thèmes usuels, le ton intimiste mais il manque un petit quelque chose. Un Besson mineur, quoi !
Afficher en entierPhilippe Besson trouve les mots justes pour nous raconter un drame d’enfance. L’histoire est vraiment poétique et est très bien racontée, on a vraiment l’impression d’être avec le groupe en vacances. La fin m’a déchiré le cœur et a été une vraie claque… L’histoire est vraiment bouleversante, je vous recommande vivement cette lecture !
Afficher en entierUn livre court et estival. Il nous plonge avec un petit mystère, comment se laisser aller et lâcher prise sur les mystères.
Par contre, l’homophobie des années 80 mdr
Afficher en entierJe rongeais mon frein depuis janvier (et la sortie du dernier roman de Philippe Besson) pour attendre la saison estivale qui, je le savais, me plongerait dans l’ambiance optimale pour enfin découvrir *Un soir d’été*. Et ma patience fut récompensée le mois dernier, lorsque je me suis retrouvée sur l’île de Ré des années 80 entourée d’une bande d’adolescents qui pour certains se connaissent depuis toujours, d’autres depuis quelques jours, et qui vont se retrouver liés à jamais par le mystère qui va venir les percuter lors d’un soir d’été.
—Un soir d’été : entre nostalgie et lenteur—
Le récit a commencé sous de très bons auspices, me retrouvant dans chacun des mots de Philippe Besson qui décrit si bien la magie de l’été et de la jeunesse combinés. Mes grands-parents ayant acheté une maison sur l’île d’Oléron l’année de ma naissance, qui est vite devenu le QG de tous nos étés et là où j’ai mes meilleurs souvenirs d’enfance, *Un soir d’été* n’a pu que résonner en moi et toucher une corde sensible. Et rien que pour ça, je ne regrette absolument pas d’avoir fait cette lecture.
Maintenant, je dois avouer qu’une fois le premier émerveillement passé, la langueur poisseuse et ensoleillée de l’intrigue m’a donné une grande impression de lenteur. Le rythme devient vite ennuyeux et en vient parfois à tourner en rond, alors que j’attendais désespérément que la fameuse disparition promise dans le résumé survienne - ce qui n’arrive finalement qu’à la moitié du roman, le temps de faire la rencontre de tous les protagonistes, de partager leur quotidien et leur contexte.
À partir de là, les évènements ont contribué à (un peu) réveiller mon intérêt. Mais même alors, tout le déroulé de l’histoire m’a paru très attendu. Après réflexion, je pense que l’auteur aurait gagné en dynamique s’il n’avait pas construit son récit sur une chronologie linéaire, mais plutôt sur des allers-retours entre l’avant et l’après de la disparition, pour faire écho entre les évènements et les lier différemment. Mais ce n’est bien sûr que mon humble avis.
D’autant plus que plus on se rapproche de la fin, plus il devient évident qu’*Un soir d’été* ne contiendra aucune surprise (ou presque) et encore moins de réponse à nos questions. Et si j’ai trouvé la conclusion touchante, elle n’aura pas permis de me faire revoir mon ressenti de début de lecture.
—En bref—
En bref, *Un soir d’été* de Philippe Besson m’a plu pour son ambiance et l’environnement qu’il développe, mais le fameux mystère du résumé n’est pas parvenu à me séduire - à cause de son rythme trop lent et de son caractère trop convenu. Je suis donc finalement restée sur ma faim.
https://desrevesdanslamarge.com/un-soir-dete-philippe-besson/
Afficher en entierLes mots de Philippe Besson sont toujours aussi vrais et sincères, et parviennent systématiquement à me toucher. L'auteur signe encore une fois un roman court mais poignant, qui traite avec justesse de sujets compliqué et nous offre l'opportunité d'y réfléchir. Chaque mot est pensé et réfléchis, chaque phrase fait sens, et je me suis laissée emportée du début à la fin.
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