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Je suis perdu sans toi. Je n'ai plus d'âme, plus de foyer, je suis tel un oiseau solitaire qui vole sans savoir où il va. Je suis tout cela et rien du tout. Voilà à quoi se résume ma vie sans toi, mon amour. J'attends désespérément que tu me montres comment retrouver le goût de vivre.
Afficher en entierJe suis là pour t'aimer, pour te tenir dans mes bras, pour te protéger. Je suis là pour apprendre de toi et recevoir ton amour en retour. Je suis là parce que je ne pourrais être nulle part ailleurs.
Afficher en entier" - Comment fais-tu pour toujours trouver les mots qu'il faut ?
- Parce que j'en sais plus sur toi que tu ne peux l'imaginer.
- Quoi par exemple ?
Un sourire langoureux se dessina sur ses lèvres.
- Par exemple, je sais que tu as envie que je t'embrasse.
- Tu crois ?
- Absolument.
Et elle avait raison. "
p.214
Afficher en entier" Quelle que soit ta décision , souviens-toi qu'il faut savoir avancer dans la vie sans regarder en arrière. Si tu es certaine que Garrett peut te donner l'amour dont tu as besoin , à toi de faire en sorte de le garder. Le véritable amour est rare et c'est la seule chose qui donne un sens à la vie. "
p.218
Afficher en entier" - Je te trouve toujours parfaite.
- Même avec mes défauts ? demanda t-elle en fermant les yeux.
- Surtout avec tes défauts. Ils te donnent du piment.
- Tant mieux, parce que je te trouve vraiment parfait,toi aussi. "
p.216
Afficher en entier" - Tu as peur qu'il découvre que nous tenons l'un à l'autre ? Je crois qu'il s'en doute déjà.
- Oui, dit-il en haussant les épaules. Ecoute, si tu veux que je t'aide à le porter dans le camion, tu n'as qu'un mot à dire;
[...]
- Enfin une nuit, ce n'est pas si grave, reconnut-elle enfin.
- J'espérais cette réponse.
- Attention, tu m'as promis de bien te tenir.
- Compte sur moi.
- Tu as l'air bien sûr de toi.
- Hé..., une promesse est une promesse.
Elle ferma doucement la porte et passa ses bras autour du cou de Garrett. Elle l'embrassa tendrement en lui mordillant la lèvre.
- Tant mieux, parce que si cela ne tenait qu'à moi je ne crois pas que je saurai me retenir.
- Dis donc, tu ne me rends pas les choses faciles.
- Tu ne serais pas entrain de me traiter d'allumeuse, par hasard ?
- Non, je voulais simplement dire que tu étais parfaite. "
p.193
Afficher en entier" - Comment fais-tu pour toujours trouver le mot qui me fera plaisir ?
- Peut être que tu stimules ce que j'ai de meilleur en moi.
- Peut être. "
p.191
Afficher en entier" - Je regrette que nous habitions si loin l'un de l'autre, dit-elle. Tu es un peu comme une drogue
- Je considérais qu'il s'agit d'un compliment. "
p.185
Afficher en entier- Je crois que j'ai fini par me lasser des hommes en général.
- Je ne sais pas quoi dire...
- Garret, ne prenez surtout pas ça pour vous. Bien au contraire. C'est d’ailleurs ce qui m'effraie un peu. Car si je vous dis combien je tiens à vous... je m'expose à de nouvelles souffrances.
- Jamais je ne vous ferai de mal, dit-il d'une voix douce...
Elle s'arrêta et le força à la regarder.
- Je sais que vous êtes sincère, Garret. Mais vous avez eu à combattre vos propres démons depuis trois ans. Je ne sais pas si vous êtes prêt à refaire votre vie, et si jamais vous ne l'étiez pas c'est moi qui en souffrirais.
Les mots étais directs, et il lui fallut du temps avant de répondre.
- Theresa, commença-t-il en cherchant son regard. Depuis que nous nous sommes rencontrés... je ne sais pas...
Il s'arrêta, s'apercevant qu'il était incapable de traduire en paroles ce qu'il ressentait. Il leva alors la main et lui caressa la joue d'un doigt si léger qu'elle eut l'impression qu'une plume effleurait sa peau. Elle ferma les yeux et, malgré ses doutes, s'abandonna au frémissement qui lui parcourut le corps, enflammant son cou et sa poitrine. Elle oublia aussitôt tout le reste et soudain elle se sentit heureuse d'être ici.
Afficher en entierQuant il demanda à son père pourquoi il suivrait ses conseils puisque lui-même ne s'était jamais remarié, le vieil homme avait détourné les yeux. Puis il avait prononcé une phrase qui, depuis, les hantais tous les deux, une phrase qu'il avait aussitôt regrettée.
- Crois-tu que j'aurai pu trouver une femme capable de la remplacer ?
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