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Extrait ajouté par abstractblues 2014-05-05T14:14:37+02:00

" L'intellect est plus fiable que l'émotion. L'intellect s'appuie sur des faits concrets. Les émotions sont irrationnelles."

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Extrait ajouté par AnG_L 2023-06-15T11:58:24+02:00

Abigail était énervée : l'une de ses activités préférées avait été gâchée par un chef de police indiscret qui n'avait rien de mieux à faire que de la suivre pas à pas dans les rayons de l'épicerie. Elle avait élu domicile dans ce joli coin des Ozarks précisément parce qu'elle ne voulait pas de voisins, pas de contacts, rien qui vienne troubler la routine qu'elle s'était choisie.

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Extrait ajouté par Ceinia 2021-06-19T03:10:46+02:00

-Abigail, ne me manque pas de respect, s'il te plaît. Je ne suis pas du genre a retourner ma veste dès que le vent change. Je t'aimais il y a une heure, il n'y a pas de raison pour que je ne t'aime plus. Arrête de croire que je vais te laisser tomber. C'est insultant, et ça m'énerve.

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Extrait ajouté par magaliB 2019-03-06T22:17:23+01:00

Juin 2000

La brève rébellion adolescente d'Elizabeth Fitch commença avec une coloration Pure Black, une paire de ciseaux et des papiers d'identité falsifiés. Elle s'acheva dans le sang.

Pendant seize ans, huit mois et vingt et un jours, elle avait docilement suivi les directives de sa mère. Le Dr Susan L. Fitch donnait des "directives", non des ordres. Elizabeth s'était pliée aux emplois du temps établis par sa mère, aux régimes élaborés par la nutritionniste de sa mère, porté seulement les vêtements sélectionnée par l'acheteuse personnelle de sa mère.

Le Dr Susan L. Fitch avait un style vestimentaire très strict, comme il convenait, selon elle, à son poste de chef du service de neurochirurgie au Silva Memorial Hospital de Chicago. Elle entendait que sa fille s'habille tout aussi sobrement.

Elizabeth avait été une élève studieuse et brillante, dans les filières choisies par sa mère. A l'automne, elle retournerait à Harvard poursuivre ses études supérieures, en vue de devenir médecin, comme sa mère - chirurgien, comme sa mère.

Elizabeth - jamais Liz, ni Lizzie, ni Beth - parlait couramment espagnol, français, italien ; elle se débrouillait en russe et possédait des notions de Japonais. Elle avais appris le piano et le violon. Elle avait voyagé en Europe et en Afrique. Elle pouvait citer tous les os, muscles et nerfs du corps humain, et jouer les concertos pour piano de Chopin le n°1 et le n°2, de tête.

Elle n'avait jamais embrassé un garçon, jamais flâné au centre commercial avec des copines, jamais assisté à une boum, jamais mangé de pizzas ni de sundaes au caramel.

A seize ans, huit mois et vingt et un jours, elle était le pur produit du rigoureux programme de sa mère.

Mais cela allait changer.

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