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“–– Je ne voulais pas ça. Je gère des fonds d’investissement pour vivre. J’aurais été plus heureux en vivant près de New York ou de San Francisco. Les meutes citadines sont plus petites, plus faciles à gérer et elles n’ont jamais assez d’Alpha parce que la plupart des individus de notre espèce n’aiment pas les zones très peuplées sans grands espaces pour courir. J’aurais pu déménager là-bas, trouver une meute et toujours avoir le temps de travailler.

–– Mitch, je…

–– Mais tu voulais être ici. Ta compagne voulait être ici. Donc j’ai déraciné ma vie et mon travail pour t’aider, toi et cette meute. J’ai abandonné beaucoup pour être ici, et ce que j’en retire ne s’approche en rien comparé à ce que Simon me donne.

–– Mitch…

–– Simon est chez moi depuis trois semaines. Tu as raison, je lui mis un toit au-dessus de sa tête et de quoi manger. Mais il cuisine chaque repas. Il nettoie. Il organise. Il m’écoute parler de mon travail et de ma journée. Il me pose des questions sur les livres que je lis. Il rit avec moi devant des émissions de télévision. Nous avons une longue route à parcourir, je sais ça mais vas-tu vraiment me regarder en face et me dire qu’il profite de moi ?

–– Mitch…

–– J’aurais souhaité que mon compagnon ait vécu des moments plus faciles. J’aurais souhaité qu’il n’ait pas une rangée de fantômes alignés épaule contre épaule sur des kilomètres de long et le forçant à se battre pour faire confiance à tout et à tout le monde, y compris moi. Je souhaite pouvoir trouver chaque enfoiré qui l’a blessé et les mettre en pièces. Ou mieux encore, j’aurais aimé avoir trouvé Simon plus tôt pour le sauver des cartes de merde que la vie lui a données. Et, oui, j’aimerais pouvoir dormir dans mon lit avec lui plutôt que seul sur mon canapé ou même qu’il ne fasse que m’embrasser pour me souhaiter bonne nuit.

–– Mitch…

–– Mais ce sont mes désirs à moi, Freddy. Les miens. Ce ne sont pas tes affaires. Ce ne sont pas les affaires de la meute. Continue de croire que je suis un imbécile. Je m’en fous. Mais, ne…

Sa voix trembla, et il ravala sa colère et son émotion.

–– N’insulte pas Simon. N’exige rien de lui. Pas maintenant. Jamais. Il est à moi. Tu vas respecter ça.”

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–– Je t’aime, dit-il encore, sa respiration s’apaisant à chaque déclaration. Je t’aime.

Son regard noir comme du charbon transperçant Simon, Mitch écrasa sa bouche sur la sienne, l’embrassant furieusement.

–– Mmm, gémit Simon alors qu’il écartait ses lèvres pour s’ouvrir à la langue inquisitrice de Mitch et poussait ses hanches en avant, frottant son aine contre le ventre de son compagnon.

Immédiatement, Mitch se pressa contre lui. Il saisit les deux mains de Simon et les épingla au matelas, écrasa leurs hanches l’une contre l’autre, et lui tint la mâchoire immobile alors qu’il pillait sa bouche.

En réaction à cette domination à tous les niveaux, Simon ferma les yeux et se détendit. Rien d’autre n’importait que le goût de la langue de Mitch et le poids de son corps.

–– C’est ça, gronda Mitch. Tu es à moi.

S’il avait pu faire en sorte que son cou puisse bouger, Simon aurait hoché la tête, mais il flottait, son corps n’était plus le sien. Il appartenait à Mitch.

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–– Hé, dit Mitch avant que Simon mette un pied dans la pièce. Est-ce que tout va bien ?

Soudain, il se sentit inexplicablement nerveux.

–– Ouais. Je vais bien.

Mitch s’assit et la couverture tomba autour sa taille, laissant son torse épais et musclé exposé à la lumière de la lune.

–– Tu veux que je vienne au lit avec toi.

Bien que cela ne soit pas une question, Simon y répondit quand même.

–– Oui. Est-ce que c’est quelque chose que tu peux dire par l’odeur ?

–– En partie, et en partie par le langage du corps.

Mitch hocha la tête.

–– Mais surtout parce que je te connais.

Il attrapa quelque chose par terre.

Simon plissa les yeux et vit que c’était les sous-vêtements de Mitch.

–– Tu dors nu ?

–– Hum-hum...

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Après des semaines passées aux côtés de son compagnon sans être capable de le toucher, Mitch savourait la chance de faire courir ses mains sur chaque centimètre de sa peau douce. Il le lava et l’explora, apprenant les zones qui le faisaient trembler, celles qui le faisaient pouffer de rire et celles qui lui faisaient perdre son souffle. Il embrassa les cicatrices, suça ses mamelons, et lui lava ses cheveux. Le temps qu’ils soient tous les deux propres, rincés et séchés, ils étaient également douloureusement durs.

–– Appuie-toi sur le meuble et écarte les jambes, dit Mitch alors qu’il jetait leurs serviettes sur le séchoir.

Simon s’exécuta docilement, attrapant le bord du comptoir en stéatite et abaissant son torse au-dessus de lui.

–– Comme ça ?

–– Hum-hum...

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Provoquer ces émotions chez un homme si puissant était enivrant. C'était également excitant. Donc en plus de caresser l'ego de Simon, cela alimentait la flamme dans son ventre qui brûlait pour Mitch.

Mitch, qui était resté à ses côtés alors que Simon hurlait, le frappait, l'insultait.

Mitch, qui complimentait tout ce que Simon cuisinait comme s'il était un grand chef cuisinier.

Mitch, qui lui avait acheté des vêtements, des chaussures, et tout un nécessaire de toilette sans que Simon lui demande quoi que ce soit et sans rien attendre en retour.

Mitch, qui lui avait montré que l'entendre parler de son passé l'intéressait sans le forcer à partager plus que Simon souhaitait partager.

Mitch qui était tout excité de passer Thanksgiving à la maison au lieu de passer les vacances avec sa famille, uniquement parce que Simon était toujours terrifié à l'idée de rencontrer d'autres shifters, en particulier l'Alpha de la meute.

Et Mitch, qui calait son corps massif sur un canapé étroit nuit après nuit pour que Simon puisse dormir dans son lit sans crainte.

Si toutes ces actions montraient à Simon une chose, c'était que l'endroit le plus confortable et le plus sûr pour lui était aux côtés de Mitch. Mais plus que ça, il voulait être là.

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–– C’est tout ? demanda Mitch en descendant les marches.

–– Ouais. Il était fermé quand je suis arrivé.

Il tendit le sac à dos à Mitch.

–– Je n’ai touché à rien.

Il regarda Mitch, son regard couleur moka se verrouillant aux yeux complètement noirs de Mitch.

–– Et tu ne devrais pas non plus.

En grognant, Mitch saisit le sac et le tira des mains de son frère.

–– Mettre un peu de bon sens dans ta cervelle, c’est comme me frapper la tête contre un mur, dit Frederick.

–– Alors, arrête.

–– Je ne peux pas, déclara-t-il en haussant les épaules et en souriant. Je t’aime.

Son frère avait toujours été dramatique.

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–– Calme-toi ! Tu as l’air d’un fou. Mitch passa les mains sur son crâne et grogna.

–– Mes émotions sont hors de contrôle.

Probablement parce que ses hormones étaient hors de contrôle. Avoir une érection négligée pendant une demi-journée était frustrant et douloureux.

–– Hé, c’est super !

Mitch haussa les sourcils.

–– Tu as des émotions, expliqua Frederick. Qui l’aurait cru ?

Mitch plissa les yeux et lança un regard noir à son frère

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Il fronça le nez et pinça les lèvres, comme s’il goûtait à quelque chose d’amer.

– Il a essayé de jouer les durs, mais les odeurs ne mentent pas.

En deux enjambées, Frederick se retrouva face à Paul. Il saisit son poignet et regarda ses ongles.

– Est-ce son sang ?

– Il ne voulait pas partir, donc nous avons dû…

– Est-ce son sang ? aboya Frederick, clairement pas intéressé par une explication.

– Oui, répondit Paul avec hésitation. C’est un Omega mâle, Alpha. Ils sont inutiles pour une meute. Moins qu’inutiles.

– La ferme ! cria Mitch.

Il y avait quelque chose à propos de cette odeur, quelque chose qui l’appelait. Sachant que cela venait d’un Omega mâle, cela lui donnait l’espoir d’un avenir qu’il avait depuis longtemps pensé impossible. Mitch pressa ses mains si fort que toutes ses jointures craquèrent, puis il regarda son frère avec espoir.

- Freddy ?

Avec regard rivé de Mitch, Frederick porta la main de Paul à son nez et inspira profondément.

Le temps ralentit jusqu’à s’arrêter tandis que Mitch attendait la réaction de son frère.

– Dis à mon frère où trouver l’Omega, déclara calmement Frederick, regardant toujours Mitch.

Il baissa le menton en un signe à peine perceptible d’agrément.

- Mitch va prendre soin de lui.

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Mitch attendit la réponse habituelle de Simon, qu’il n’avait pas besoin de protection ou qu’il était assez fort pour prendre soin de lui-même. Mais pour la première fois, il accepta l’offre de Mitch sans discussion.

–– Donc, ce rendez-vous se passe bien ? demanda-t-il à la place. Après s’être ajusté au changement bienvenu de conversation, Mitch sourit.

–– Nous avons du pop-corn, de la bière, et un film d’action. C’est un rendez-vous parfait.

–– Même si nous n’avons pas… Simon ferma à nouveau les yeux et poussa un profond soupir.

–– Je réalise que ce n’est pas normal, tu sais. J’ai vingt-cinq ans. Je vis dans ta maison. J’ai remarqué la façon dont tu me regardes. Je sais que tu vois comment mon corps réagit à toi. Nous devrions être… Je suis sûr que tu t’attends à ce que nous…

–– Je n’attends rien à part une chance de gagner ma place dans ta vie, dit sincèrement Mitch.

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