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Extrait ajouté par yunper 2019-04-26T21:24:01+02:00

- À trop regarder par le trou de la serrure, souviens-toi qu’on se prend la porte dans la tronche, gronda Tiago.

- Malgré ta belle gueule, ta vie sera aussi longue et utile que du papier cul ! riposta Adams, du tac au tac.

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Extrait ajouté par Antec 2017-05-31T18:30:40+02:00

Les deux policiers se fixèrent un instant, puis Malone lâcha tout à coup.

— C’est avec cet homme-là que tu vas devoir travailler.

Lukas ne put ni cacher son étonnement ni s’empêcher de questionner spontanément.

— Pourquoi me le révéler ? J’aurais pu tout aussi bien faire équipe avec lui sans savoir tout ça.

— Tu dois comprendre que n’importe qui ne peut pas faire partie de l’unité cynophile. Il faut répondre à certaines exigences et il ne les remplit pas.

— Ah !

— Rends-toi compte !

Il afficha une page internet et commença à lire.

1/ être âgé de moins de quarante ans.

2/ être marié et vivre dans une maison à soi ou avoir l’accord du propriétaire pour garder le chien dont on a la charge chez soi.

3/ avoir une permission écrite de son épouse.

— Sans rire, s’exclama Lukas qui lui se retenait d’éclater de rire.

— C’est sérieux, confirma Malone qui continua.

4/ avoir également la permission de ses voisins.

Lukas ricana. Qui avait pu pondre un tel règlement ?

— Si, si, je t’assure. Ça peut paraître dingue, mais c’est bel et bien exigé. Bon, où en étais-je ?

5/ ne posséder aucun autre animal.

6/ être extrêmement motivé pour suivre l’entraînement K9.

7/ avoir au moins trois ans de bons et loyaux services dans la police en étant bien noté par ses supérieurs. Et pour finir, passer devant une commission d’experts qui jugent des aptitudes physiques et psychiques. Je te fais grâce des obligations canines, conclut-il. N’importe quel chien ne peut pas non plus intégrer les rangs de cette brigade.

— Si je comprends bien, il ne répond pas à tous ces critères.

— Effectivement. Suite à son acte de bravoure, le département n’a pas hésité à faire une entorse au règlement. Ils ont décidé de passer outre le fait qu’il était célibataire et n’avait pas de voisin. C’est un solitaire. C’est même souligné en rouge dans son dossier, ce qui est à prendre de toute évidence en considération.

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Extrait ajouté par Marie-Ange-4 2017-09-19T20:14:48+02:00

« Cette fois-ci ce fut Lukas qui bougea. Il se positionna sur le côté, le coude plié et une main calée sous sa joue. Il n’avait pas besoin de voir distinctement le profil de Tiago pour savoir qu’à quelques centimètres de lui, les plus beaux yeux verts qu’il avait jamais vus regardaient fixement maintenant le ciel. Inutile de lui décrire non plus la bouche au pli dur ni la cicatrice barrant le front. Il connaissait ce visage par cœur, tant il l’avait incrusté dans sa mémoire. — Vous avez de jolis yeux, chuchota-t-il en français. Tiago tourna la tête vers lui d’un mouvement brusque. — Te moques-tu de moi ? questionna-t-il d’une voix si rauque que tous deux ne la reconnurent pas. C’était maintenant ou jamais. Lukas prit une profonde inspiration et l’embrassa. Leurs lèvres s’entrouvrirent. Sa langue toucha délicatement la sienne, comme dans la crainte d’être rejetée. Mais, au premier gémissement que Tiago lâcha, Lukas approfondit le baiser. Instinctivement, leurs corps se rapprochèrent et s’épousèrent. Leurs bras s’enfermèrent l’un l’autre, afin de se coller encore plus si c’était possible. »

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Extrait ajouté par MaevaCerise 2017-06-21T20:39:13+02:00

— Papa, il pleut, annonça Emi en courant vers eux. Je mets mes bottes ?

Les yeux des deux amants se fixèrent et un lent sourire étira les lèvres de Lukas.

— Oui, c’est plus prudent, puisque notre faiseur de pluie est de retour.

Ce mauvais temps contrariait Tiago. Se pouvait-il qu’une malédiction quelconque le poursuive dès qu’il posait un pied à Green River ?

Lorsqu’il était arrivé la vielle, il avait été désolé d’apprendre que c’était la première année que la kermesse de l’école était perturbée par le mauvais temps.

Cela l’avait d’autant plus embêté que Lukas n’avait pu s’empêcher d’afficher un air moqueur toutes les fois où leurs yeux s’étaient croisés. Est-ce que les karmas prenaient des vacances de temps à autre  ?

— Tiago est un faiseur de pluie ! répéta Emi en tournant en rond autour de lui, telle une indienne invoquant le Dieu des orages et des tempêtes.

— Quelles étaient les prévisions avant que je vienne ?

— Grand beau temps, répondit Lukas.

— Il faudrait que je me fasse désenvoûter. Je ne vois pas d’autre solution, grommela-t-il les mâchoires crispées.

S’il n’avait pas pensé à consulter le bulletin météo avant de sauter dans l’avion, Tiago avait cependant demandé si les journalistes avaient enfin quitté la ville.

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Extrait ajouté par Antec 2017-05-27T15:57:39+02:00

— Tiago Cartright, dix-sept ans, parents emprisonnés pour vols à main armée. Il est chez nous pour avoir commis de nombreux faux en écriture et surtout pour ses indéniables talents de fugueur. Toutes les fois où il a été placé dans des familles ou des foyers, il s’en est enfui généralement dans les six mois. De guerre lasse, l’organisme de placements nous l’a confié jusqu’à sa majorité qui doit survenir dans deux jours à peine. Quel idiot ! Disparaître ainsi ne peut que lui créer des soucis. Ils oublient tous de réfléchir. La plupart ont le démon en eux et ne sont que de la mauvaise graine. Ce n’est pas pour rien qu’on me donne toujours les cas difficiles. Je sais les mater.

— De toute évidence, vous n’avez pas réussi à faire mieux que les autres, s’il n’est plus là au bout d’une semaine.

Matt haussa les épaules. Personne ne lui en ferait le reproche. Enfin, sauf si le fugueur tuait ou créait un énorme problème à la communauté de Green River, bien évidemment. Quand il s’était aperçu de sa disparition, la veille au soir, il avait ricané. Le temps exécrable et sa méconnaissance de la région suffiraient à lui faire regretter ce qu’il venait de quitter sur un coup de tête. S’il avait réussi à lui voler un baiser, il espérait que le prochain serait accordé avec plus de facilité.

— C’est une simple nuit à la belle étoile. Tiago est un jeune pensionnaire difficile, mais je suis certain qu’il va rentrer. Je l’avais averti que nous organisions toujours une petite fête pour les anniversaires et je devais également discuter avec lui de ses projets d’avenir. Comprenez que nous n’aimons pas lâcher dans la nature nos jeunes sans savoir ce qu’ils vont devenir, alors je ne sais pas ce qui lui a pris de filer.

Quelque chose dans son regard fuyant alerta Lukas. Ce type n’était pas net. Il lui mentait. Il avait le nez pour ça. Après la petite scène à laquelle il avait assisté, il se promit de très bientôt le convoquer au poste où il se chargerait de lui faire perdre sa suffisance. Oui, dès qu’il aurait réglé le dossier Tiago Cartright, il mettrait son nez dans la gérance de cet établissement. Son arrivée impromptue l’avait alerté sur ce qui se déroulait entre ces quatre murs et il ne comptait pas en rester là.

— Maintenant que je vous ai dit dans les grandes lignes qui il était, j’espère que vous lui mettrez rapidement la main dessus. En fuguant, il n’a pas montré le bon exemple à ses petits camarades, et ça me permettrait de leur prouver qu’il ne sert à rien de fuir la sécurité du foyer, sauf si on cherche les ennuis. Je ne cesse de leur répéter que la police veille sur la tranquillité des habitants de Green River et que tout manquement aux règles sera sévèrement puni. Croyez-vous qu’ils m’écoutent ? Non. Il y en a toujours un qui joue au plus malin. Et Tiago est encore plus idiot que les autres. Il est parti sans papiers et sans argent. Je ne sais pas de quoi il espère vivre, enfin… si… j’ai ma petite idée. Il a des yeux verts fascinants. Grâce à eux, il tirera toujours son épingle du jeu.

Lukas repensa à Tiago qui se trouvait en sécurité chez lui… enfin s’il y était encore. Son flair de flic ne parvenait pas à trancher sur le choix qu’avait fait le jeune homme. Soit, quand il était parti, il avait filé en espérant mettre le plus de distance possible entre eux avant son retour, soit il était resté bien sagement à l’attendre. Il écouta un instant le déluge qui s’abattait à l’extérieur et pria pour qu’il ait eu un peu de jugeote en choisissant de ne pas fuir sous la pluie battante.

— Je ne serais pas surpris que vous l’arrêtiez en galante compagnie.

Comme le marshal ne semblait pas comprendre, il révéla sur le ton de la confidence.

— Tiago est gay. Il aura sans doute cédé aux avances de quelqu’un en contrepartie d’un repas et d’une nuit loin du dortoir. Vous savez ce que c’est, à cet âge les jeunes ont le sang chaud.

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Extrait ajouté par taibhs_ghost 2020-04-30T20:19:24+02:00

— Je te rappelle que ce soir nous faisons une partie de billard avec Julian et l’un de ses amis.

— Fais chier, pourquoi as-tu accepté ? — Manipuler une queue et des boules pourrait te donner des idées, ricana-t-il. — Je ne baise pas non plus ceux qu’on me met dans les pattes. Je suis assez grand pour choisir mes amants.

— On verra. Il se pourrait que la soirée ne soit pas si ennuyeuse que ça. Si Julian ne te plaît pas, son copain saura peut-être te séduire.

Tiago leva les yeux au ciel et souffla d’exaspération.

— Je te répète que tu seras remarié avant que je ne jure fidélité à quelqu’un. — Si on pariait ?

— OK ! Celui qui perd participera au rodéo annuel de Green River et essaiera de capturer une vache sauvage.

— Je n’ai jamais fait ça, s’écria Marvin soudainement affolé par l’enjeu.

— Moi non plus.

— Tu es dingue.

— C’est justement le genre d’expérience qui doit être amusant, reconnut Tiago avec un petit rire.

— Si on déclarait plutôt vainqueur celui qui attrape un veau au lasso et lui ligote les pattes, tenta de négocier Marvin avec une belle énergie.

— Tss tsss.

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Extrait ajouté par taibhs_ghost 2020-04-30T01:10:35+02:00

— Salut ! C’est nous, lança gaiement Kevin.

— On n’avait pas dit huit heures ? grommela-t-il en leur cédant le passage. — Quelques minutes de plus ou de moins ne font pas la différence, c’est ce qu’a prétendu Charly quand il est venu chez moi tout à l’heure.

OK. Selon toute vraisemblance, Kevin se vengeait à son tour d’avoir été tiré du lit bien plus tôt qu’il ne l’avait prévu. Lukas jeta un regard noir aux deux frères, puis se dirigea vers la cafetière. Il leva machinalement les yeux vers la mezzanine et encouragea Tiago à les rejoindre.

— On n’avait pas dit huit heures ? entendirent-ils d’une voix à moitié étouffée sans doute par le matelas. — Les Matthew prétendent que vingt minutes n’ont aucune espèce d’importance, cria Lukas.

En réponse, un oreiller vola dans les airs pour atterrir à leurs pieds.

— Raté. Kevin et Charly sont toujours debout, affirma Lukas.

Une paire de baskets suivit le même chemin.

— Aïe ! Mais, t’es pas bien d’accueillir les gens comme ça, gueula Kevin. J’en ai pris une en plein sur le crâne.

Alors que les deux frères scrutaient avec attention la rambarde de la mezzanine pour voir si autre chose allait voler dans leur direction, Lukas sortit les tasses et le sucre et… zut. En fouillant dans le frigo, il déplora l’absence de lait. Décidément, il était perturbé, cela se confirmait, parce que cela ne lui était jamais arrivé d’en manquer. N’ayant pas le courage d’aller en chercher, il annonça à haute voix que ce matin ce serait café noir pour tout le monde.

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Extrait ajouté par taibhs_ghost 2020-04-29T22:26:36+02:00

femme, au brushing parfait et au tailleur chic, le pointa du doigt et s’avança vers lui.

— Vous ! l’apostropha-t-elle. Tout ça, c’est à cause de vous et de votre sale clébard qui est dressé à renifler des merdes. Je vous ferai muter dans un bled paumé et vous regretterez d’avoir mis les pieds à Green River.

Tiago ne bougea pas d’un pouce, mais Bud se redressa et grogna sourdement, lui imposant de s’arrêter si elle ne voulait pas avoir de problème.

— Vous venez d’insulter mon partenaire, madame, je vous inflige donc un outrage.

La femme resta un instant sans voix, puis éclata d’un rire incrédule.

— Et si je lui donne un coup de pied dans les pattes, croyez-vous qu’on lui accordera des indemnités et des jours d’incapacité ?

D’un geste rapide, Tiago démusela Bud. S’il pouvait se faire plaisir en se défendant, pourquoi le priver d’une telle joie. Aussitôt, il retroussa hargneusement ses babines, la faisant reculer d’un pas, avant de fixer en silence les crocs impressionnants. Tiago savait que face à Bud, on se tenait à carreau. Un homme, son mari probablement, la tira en arrière pour la sermonner. Stoïque, Tiago prit un carnet dans sa poche et réclama les papiers pour dresser un procès-verbal. Il nota les éléments dont il avait besoin, et les lui rendit. Énervée, elle réduisit en boule la contravention et la lui jeta à la figure. Les autres parents assistaient à la scène en grondant leur mécontentement. S’ils avaient pu encourager la femme à être encore plus agressive, ils l’auraient fait. — Madame, je vais vous réciter vos droits.

Ce qu’il fit impassiblement, avant de l’avertir que si elle résistait à la pose des menottes, il se verrait dans l’obligation d’user de la force.

— Et toi, tu ne dis rien, hurla-t-elle en se retournant vers son mari. On arrête ton fils et ta femme et tu restes là sans réagir. Va téléphoner à un supérieur. Fais en sorte qu’il s’en morde les doigts.

Elle se débattit tant et si bien, qu’il fallut que Kevin aide Tiago à l’immobiliser. Telle une furie, elle insultait toute l’assemblée et tentait de donner des coups de pieds à ceux qui passaient près d’elle. Tiago regretta un instant de ne pas pouvoir la coller dans une cellule avec Bud. Sans aucun autre spectateur que son partenaire, elle aurait vraisemblablement très rapidement mis un frein à sa crise de nerfs. Kevin la plaça à l’isolement, puis rejoignit Tiago pour remplir son rapport.

— S’il vous plaît, soyez indulgents, elle ne supporte pas qu’on touche à un cheveu de son fils. Elle n’est pas comme ça habituellement. Je ne la reconnais plus, plaida misérablement son époux. Comme pour ponctuer sa requête, ils l’entendirent hurler. Même si le son était étouffé, il parvenait quand même jusqu’à eux.

— Je veux un avocat, répétait-elle sans cesse. Sale flic, vous me le paierez.

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Extrait ajouté par Sleepwxlker 2020-04-07T23:40:42+02:00

— Ton accueil me fait chaud au cœur, dit-il sans pouvoir mieux exprimer le plaisir qu'il ressentait.

— J'ai bien hésité entre te serrer dans mes bras ou te donner un coup de pied au cul, mais à l'instant où j'ai vu que tu étais plus grand et baraqué que moi, j'ai préféré choisir la seconde option.

Il faut que je te dise que, quand mon chouchou d'amour m'a appris tout à l'heure que tu étais revenu, je lui ai envoyé une pantoufle à la figure, parce que je croyais qu'il se moquait de moi. On ne joue pas avec mon petit cœur, lui ai-je crié pendant que je m'apprêtais à lui jeter la deuxième. Heureusement, j'ai retenu mon bras, vu que je sais reconnaître quand il me raconte des craques.

— Pas tant que ça. La première m'avait quand même écrasé le nez, grogna Kevin qui venait d'arriver à son tour.

— Tu ne le lui as pas annoncé au téléphone ? Pourtant, tu nous avais dit que tu allais l'appeler.

— Allons ! Lukas, tu plaisantes, j'espère. Je voulais être là pour essuyer ses larmes de joie. Je le connais mon Chrissounet, je savais qu'il aurait besoin d'une épaule solide sur laquelle sangloter.

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Extrait ajouté par La-bibliophilie-dAlaine 2020-02-14T10:29:04+01:00

« Les yeux des deux amants se fixèrent et un lent sourire étira les lèvres de Lukas.

— Oui, c’est plus prudent, puisque notre faiseur de pluie est de retour.

Ce mauvais temps contrariait Tiago. Se pouvait-il qu’une malédiction quelconque le poursuive dès qu’il posait un pied à Green River ? Lorsqu’il était arrivé la vielle, il avait été désolé d’apprendre que c’était la première année que la kermesse de l’école était perturbée par le mauvais temps. Cela l’avait d’autant plus embêté que Lukas n’avait pu s’empêcher d’afficher un air moqueur toutes les fois où leurs yeux s’étaient croisés. Est-ce que les karmas prenaient des vacances de temps à autre ? »

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