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Le meilleur pour la fin. Alma Lancaster. Un visage de poupée, un corps à se damner, un regard qui a transpercé mon âme. Mon âme, je la donnerais au diable, pour elle. Si c’était vraiment nécessaire. Parce que j’ai d’autres projets pour nous. Avec elle, j’ai le sentiment que tout est possible. Que mes cicatrices peuvent s’effacer, au gré du temps. Que mon parcours chaotique s’arrête enfin là, que le pire est derrière moi.
Je n’ai jamais pu la chasser des mes pensées, même pendant ces douze ans d’absence. Parce qu’elle seule a réussi à révéler ce que j’ignorais moi-même. Qu’on peut être bousillé par la vie et se relever. Qu’on peut réparer les injustices qui ont été commises. Qu’on peut grandir sans famille, sans amour et rectifier le tir.
C’est elle, ma famille. Ma rédemption. Depuis le premier jour où j’ai posé mes yeux sur elle, je n’ai plus été le même. La première fois où, sans savoir pourquoi, j’ai ressenti qu’elle devait être à moi. Avec moi. À travers ses yeux, j’ai vu la vie autrement. Je me suis mis à espérer tout ce que je m’interdisais jusque-là. Je n’étais plus le gamin Arcadi, sans attaches ni avenir. Je ne suis plus le grand King, playboy solitaire et désabusé.
Je ne fais plus du sur place, je ne me contente plus de superficialité. Avec elle, je veux avancer, je veux construire, créer. Je veux me réveiller à ses côtés chaque matin, la regarder vivre, rire, pleurer, s’épanouir. Découvrir tous les secrets de son corps, connaître tous les recoins de son âme. Et nous mélanger dans un enfant qui nous ressemble. Notre miracle, né d’une histoire qui n’aurait jamais dû arriver. Un enfant qui ne sera jamais mis de côté, comme je l’ai été.
Afficher en entierJe ne fais plus du sur place, je ne me contente plus de superficialité. Avec elle, je veux avancer, je veux construire, créer. Je veux me réveiller à ses côtés chaque matin, la regarder vivre, rire, pleurer, s’épanouir. Découvrir tous les secrets de son corps, connaître tous les recoins de son âme. Et nous mélanger dans un enfant qui nous ressemble. Notre miracle, né d’une histoire qui n’aurait jamais dû arriver. Un enfant qui ne sera jamais mis de côté, comme je l’ai été.
C’est devant moi, devant nous. Tout près, à notre portée. À moins qu’une force invisible nous sépare. Ou que mes erreurs passées me rattrapent et me renvoient là où je ne veux plus jamais retourner.
Afficher en entierAlma Lancaster. Un visage de poupée, un corps à se damner, un regard qui a transpercé mon âme. Mon âme, je la donnerais au diable, pour elle. Si c’était vraiment nécessaire. Parce que j’ai d’autres projets pour nous. Avec elle, j’ai le sentiment que tout est possible. Que mes cicatrices peuvent s’effacer, au gré du temps. Que mon parcours chaotique s’arrête enfin là, que le pire est derrière moi.
Je n’ai jamais pu la chasser des mes pensées, même pendant ces douze ans d’absence. Parce qu’elle seule a réussi à révéler ce que j’ignorais moi-même. Qu’on peut être bousillé par la vie et se relever. Qu’on peut réparer les injustices qui ont été commises. Qu’on peut grandir sans famille, sans amour et rectifier le tir.
C’est elle, ma famille. Ma rédemption. Depuis le premier jour où j’ai posé mes yeux sur elle, je n’ai plus été le même. La première fois où, sans savoir pourquoi, j’ai ressenti qu’elle devait être à moi. Avec moi. À travers ses yeux, j’ai vu la vie autrement. Je me suis mis à espérer tout ce que je m’interdisais jusque-là. Je n’étais plus le gamin Arcadi, sans attaches ni avenir. Je ne suis plus le grand King, playboy solitaire et désabusé.
Afficher en entier– Ah… Un revenant ! fit-elle en me voyant.
– Le pilou te va toujours aussi bien, Lily… me moquai-je gentiment.
– Perso, je te préférais en Perfecto. Les costards, c’est tellement has been , sourit-elle en grimaçant.
– Tu comptes me relooker ?
– Ouais. Tu es le bienvenu ici, mais à une condition : mes conseils fashion sont des ordres !
– Et si je refuse d’obtempérer ?
– On aura un problème. Je suis déjà gentille de t’accueillir sous mon toit…
– C’est chez Alma ici, non ? ricanai-je.
– Vadim, n’aggrave pas ton cas !
– Bon alors, on fait comment ?
– Faisons un deal : tu prends soin de ma sœur, tu la traites comme une reine et en échange, je tolérerai tes costumes de néo-dandy.
– Ok. Je signe où ?
Afficher en entierAimer : ce mot-là, je ne l’ai découvert que très tard. Je n’étais déjà plus un gosse, la vie m’avait déjà bien cabossé. Mais on dit que ce n’est jamais trop tard. Qu’aimer, partager, donner, recevoir, ça s’apprend à n’importe quel âge. Qu’une famille de sang peut être remplacée par une autre, de cœur, cette fois. Une famille qu’on se choisit. Qu’on bâtit au hasard des rencontres et des affinités. Felix Alonso n’y était pas destiné, mais il est devenu mon frère. Ou ce qui s’en rapproche le plus. Et puis il y a eu Alma.
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