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Dis-moi que tu veux rester à mes côtés.

Dis-moi que tu imagines toujours un futur avec moi.

Dis-moi que tu m'aimes.

Ces mots Nick me les avait déjà dits plusieurs fois, mais à travers ce baiser, ils résonnaient comme une promesse. Une promesse de toujours.

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Dis-moi que tu veux rester à mes côtés.

Dis-moi que tu imagines toujours un futur avec moi.

Dis-moi que tu m'aimes.

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- Qu'est-ce qui s'est passé avec Nick ? demanda Roxy avec douceur.

Je pris une inspiration tremblante.

- Je... Je lui ai brisé le cœur.

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- Oh, et quand il a sauté par-dessus le bar pour t'empêcher de partir ? (Roxy s'éventa le visage avec sa main.) Il faut que je demande à Reece de faire ça pour moi au moins une fois par semaine !

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"Je crois simplement que ce n'est pas la peine de perdre son temps avec quelqu'un si on n'imagine pas le future avec cette personne. La relation peut être sympa quand même, mais quel intérêt si on sait qu'elle ne mènera nulle part ?"

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- ...Ce que je veux dire c'est que tu aurais dû avoir les couilles de percer l'abcès tout de suite.

- Je n'ai pas de couilles, répondis-je, sur la défensive.

Le plus fou, dans l'histoire, c'était qu'en temps normal je n'aurais pas hésité une seconde à le faire. Je n'aurais pas laissé les choses s'envenimer.

Il eut un sourire en coin.

- Alors tu aurais dû avoir les ovules fertilisés de le faire.

Je reculai vivement et un éclat de rire m'échappa.

- Les ovules fertilisés ?

Son sourire s'élargit.

- C'est ce qui se rapproche le plus des couilles.

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Un sourire étira lentement ses lèvres.

— Tu devrais essayer. Tu gagnerais beaucoup d’argent. Même moi, je paierais pour te voir…

— Katie, soupira Roxy en posant son menton sur sa main. Arrête d’essayer de recruter des strip-teaseuses. Tu fais ça avec toutes les filles que tu rencontres. Et je te rappelle que personne n’a encore accepté.

Je souris en imaginant cette blonde un peu bizarre parcourir la ville à la recherche de femmes prêtes à s’effeuiller.

— Je ne crois pas que j’en serais capable. Une fois sur scène, je n’arriverais plus à retirer mes vêtements.

— Se déshabiller, c’est la partie la plus facile, répondit Katie d’un air très sérieux.

Roxy ne semblait pas convaincue.

— Ce pantalon en Lycra laisse peu de place à l’imagination. Si j’avais un corps comme le tien, je me baladerais toute la journée à poil.

— Je n’ai aucun problème pour me déshabiller dans… l’intimité, on va dire, mais en public, c’est une autre histoire, répondis-je.

— C’est bon à savoir, intervint la serveuse, stylo à la main. Vous savez ce que vous voulez manger ?

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Je voulais qu'il soit plus que ça pour moi.

Je voulais être plus que ça pour lui.

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One. Two. Three. Four. Five . . .

The box finally stopped moving and shaking when I reached six, and I let go of my breath. What was in the box was way too precious to drop. Something I probably should’ve thought of before I packed a billion things in it.

Too late now.

Sighing, I peered above the cardboard edge so I could see the sidewalk and the entrance to my apartment, then I started forward, determined to not drop the box or break my neck in the process. Thank God and all His—or Her—trumpet blaring angels that my place was ground level.

I really hoped I wouldn’t have to move again for a while. Even though I didn’t have that much stuff I had to pack up, this was still a huge pain in the butt. Thankfully the big stuff—the bed, couch, and other furniture—had been shipped and delivered. I just had no idea I could collect so much crap while living in a dorm.

I’d made it to the sidewalk, near the wide stairway that led up to the upper floors, when the burning in my arm muscles grew in its intensity. The box started to shake again, and I swore under my breath, a blistering curse that would’ve made my father and his father so very proud of me.

Only a few more steps, I kept telling myself, just a few more steps and I— The box slipped out of my grasp. My knees bent as I tried to regain my grip but it was too late. The box full of totally breakable stuff started to fall.

“Son of a bitch-ass, rat bastard, mother fu—”

The box halted suddenly, a foot from the cement, startling me so strongly that my string of curses was cut off. The weight of the heavy box was completely gone, and my obviously weak arm muscles wept with relief. At first I wondered if I’d developed some kind of superpower, but then I saw two very large hands that weren’t mine on either side of the box.

“I admire anyone who can successfully use the words ‘rat bastard’ in a sentence.”

My eyes widened at the sound of the incredibly rich voice. I rarely blushed. Ever. In fact, it was usually me making others blush. But I did then. My face heated like I’d pressed my cheek against the sun. For a moment I got hung up on staring at his hands. The fingers were long and elegant, the nails filed down to blunt ends, giving away to skin a few shades deeper than mine.

Then the box moved up, and as I straightened, I let my gaze wander above the box, over broad shoulders and then to the very source of that voice.

Holy hot guy . . .

Standing before me was the living embodiment of tall, dark, and handsome. I’d seen a lot of sexy, but this guy was simply off the charts. Maybe it had to do with his unique coloring. His dark brown hair, trimmed close to the sides and slightly longer on top, framed high cheekbones and a cut, angular jaw. His skin tone had a deep, olive tint, hinting toward some form of ethnicity. Possibly Hispanic? I wasn’t sure. My great-grandfather had been Cuban, and there were some lingering traits of his that had been passed on to me.

Striking eyes peered out from behind a fringe of thick lashes, and those eyes were truly something else. They were light green around the pupils and almost appeared blue along the rims. I knew that had to be some kind of optical illusion, but they were stunning.

This guy was impressive.

“Especially when those words are coming from a pretty girl,” he added, his lips curling up at one corner.

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