Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Une fois sur le palier, les policiers empruntèrent un couloirs aux murs couleur crème qui semblait dévasté par un ouragan. Des cadres brisés jonchainet le sol, une commode étroite gisait sur le flanc. De longues trainées de sang zébraient le plancher et le bas des parois. Deux portes ouvertes sur la droite laissaient entrevoir les chambres à coucher. Ils ralentirent devant la salle de bain, sur la gauche qui semblait repeinte en rouge du sol au plafond. Un photographe de l’identité judiciaire faisait de son mieux pour poser les pieds sur des surfaces propres. Il déclencha son numérique une dernière fois, enjamba le corps et sortit de la pièce sans un mot en secouant la tête. Harris recula pour le laisser passer et aperçut des larmes sur ses joues. Il s’adresse à Reeds :
- Premier ou second acte, on ne sait pas encore. Les types du labo vont essayer de reconstituer la chronologie des événements, grâce à la balistique des projections, les traces et les niveaux de coagulations. [...]
Il essayait de comprendre le tableau qu’il avait sous les yeux. Le cadavre de la jeune femme était recroquevillé entre la baignoire et la cuvette. Son peignoir de bain déchiqueté pendait le long de ses cuisses entrouvertes. Sa poitrine était plaquée contre le sol ; le bas de son corps, lui était tourné vers le haut, ce qui impliquait une torsion de la colonne vetrtébrale à cent quatre-vingt degrés. Une profonde entaille partait de son pubis et remontait vers sa poitrine. Sa tête défoncée formait un angle impossible, et sa main droite manquait à l’appel, tranchait à hauteur du poignet. En avançant d’un pas, Reeds remarqua la trainée de sang qui s’arrêtait dans la baignoire. C’est là que se trouvait la patie manquante, les doigts crispé sur une paire de ciseaux, arme dérisoire face à une bête sanguinaire.
Kennicott savait qu'une affaire de ce genre pouvait prendre des directions inattendues, mais, en considérant les deux hommes qui prenaient le thé dans la cuisine, il eut la certitude que Kevin Brace ne dirait pas un mot.
Lorsque M.Brace leva les mains dans la lumière, m. Singh vit mieux le liquide rouge et s'apercut qu'il était bien bien plus épais que du jus d'orange. Le coeur de M. Singh se mit à battre plus vite.
C'était du sang.
Il ouvrit la bouche, mais avant qu'il ait pu prononcer un mot, M. Brace se pencha vers lui et murmura :
_ Je l'ai tuée, monsieur Singh. Je l'ai tuée.
- Premier ou second acte, on ne sait pas encore. Les types du labo vont essayer de reconstituer la chronologie des événements, grâce à la balistique des projections, les traces et les niveaux de coagulations. [...]
Il essayait de comprendre le tableau qu’il avait sous les yeux. Le cadavre de la jeune femme était recroquevillé entre la baignoire et la cuvette. Son peignoir de bain déchiqueté pendait le long de ses cuisses entrouvertes. Sa poitrine était plaquée contre le sol ; le bas de son corps, lui était tourné vers le haut, ce qui impliquait une torsion de la colonne vetrtébrale à cent quatre-vingt degrés. Une profonde entaille partait de son pubis et remontait vers sa poitrine. Sa tête défoncée formait un angle impossible, et sa main droite manquait à l’appel, tranchait à hauteur du poignet. En avançant d’un pas, Reeds remarqua la trainée de sang qui s’arrêtait dans la baignoire. C’est là que se trouvait la patie manquante, les doigts crispé sur une paire de ciseaux, arme dérisoire face à une bête sanguinaire.