Anne-Marie Garat

Deuxième tome d'une saga qui en contiendra trois. Celui-ci concerne la période de l'entre-deux guerres. Si l'on a aimé le premier, alors allez-y pour le second.

Passionnant! La vie au début du 20ème siècle (chez les riches!!) bien écrit et documenté! histoires d'amour au pluriel...

Le début d'une formidable saga familiale qui mêle roman historique et espionnage, dresse le portrait de la grande bourgeoisie industrielle du début du XXème mais aussi la vie sociale et culturelle de cette époque. Se lit lentement, parce que c'est très dense, mais on est transporté par ce formidable récit.

Que vous dire j'avais tellement hâte de le lire !

Mais voilà dès les premières pages je n'ai pas accroché au style d'écriture impossible de me concentrer et d'accrocher à l'histoire je me suis perdue dommage vraiment rien de rien je suis très peiné.

Au début je l'ai trouvée le temps qu'il commence une histoire de famille et après on parle plus des personnage principaux mais on reste quand même dans la famille. Une belle histoire touchante. Mais à la fin avec les personnage principaux je me soirée que sa aller finir comme sa dommage que loin nous donne pas la suite de la fin comment ils finissent

Le résumé me donnait vraiment envie de le lire.

On pourrait faire un développement tellement bien avec cette idée de base !!

Mais impossible d'accrocher, le style d'écriture ne me convenait, pourtant je fais de efforts d'habitude.

J'ai très, très vite fermé le livre. C'est rare que j'abandonne aussi vite.

C'est juste la narration qui pose problème. Dommage.

Plutôt pas mal.

Original, mais pas mal.

Difficile à se mettre un scénario propre, puisqu'il y a beaucoup de souvenirs.

En remarque, c'est une lecture qui se laisse désirer.

Je le conseil.

D’abord, il y a l’écriture : fluide et séduisante, élégante et nerveuse. Et puis cette héroïne, Gabrielle, dont on retiendra la silhouette droite, l’ovale parfait du visage et quelque chose de buté dans le regard nous assurant qu’elle ira jusqu’au bout. Au bout de neuf cents pages qu’on dévore comme on mangeait Dumas ou Hugo, Edith Wharton ou les sœur Brontë. Elle a du culot, Anne-Marie Garat ! A une époque où l’on vante le livre court, vite lu entre deux stations de métro, deux trajets de TGV, elle se jette dans le roman-fleuve, se roule dans le feuilleton à rebondissements. Elle remet au goût du jour un plaisir interdit : rallumer la lumière alors qu’il est si tard et dévorer encore dix pages pour savoir ce qu’il adviendra de Gabrielle Demachy, à l’aube de la guerre de 14. On vient de rencontrer la jeune personne un an auparavant, dans une rue de Paris, on la suit au Mesnil, prête à tout pour connaître la vérité sur la mort mystérieuse de son fiancé. On accepte sans rechigner sa transformation en institutrice austère, son talent de pianiste, ses frissons amoureux pour un homme impossible, son obsession de la vérité mais aussi des histoires d’espions, de cahier mystérieux, de dangereux virus et de secret-défense.

Loin des tueurs en série et des page turner à la Dan Brown, Anne-Marie Garat nous fait un cadeau pour fillette rêveuse et pour adulte nostalgique de bonheurs oubliés. Si l’on s’écoutait, on lui demanderait de continuer encore un peu : juste neuf cents pages de plus.

Entre roman d'aventures et quête d'identité et des origines, un livre qui nous emmène dans un univers à la Jack London, mais à un tournant de l'histoire du grand-nord américain, lorsqu'il a commencé à être exploité par l'homme blanc. Une galerie de personnages très intéressante : Lorna et Jessie, mère et fille ou l'inverse, Kaska la chamane... Une histoire dépaysante et pleine de rebondissements.

http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.com/2018/09/jaurais-voulu-la-bercer-dans-mes-bras.html

Septembre 1933. A l'ombre d'une porte cochère, Elise attend sous la pluie l'apparition de Virginia Woolf, dont elle vénère les œuvres. Sans oser l'aborder. Dans quelques heures, elle retrouvera Paris et sa petite librairie du Quartier latin. Au même moment, la jeune Camille Galay foule le sol français après des années d'exil et de larmes aux Etats-Unis. Dans la soirée, une petite main de chez Chanel danse à la Coupole en rêvant d'ouvrir sa propre boutique. Apparemment, ces personnages n'ont rien en commun mais bientôt tous se retrouveront emportés par le vent de l'Histoire, du côté de l'Allemagne et des premiers camps de concentration.

Avec L'Enfant des ténèbres, Anne-Marie Garat réinvente le mélodrame, dépoussière le roman historique, réactive le feuilleton. C'est en 2006 qu'elle a entamé son marathon romanesque, avec Dans la main du diable, qui se concentrait sur les prémices de la guerre de 1914. L'Enfant des ténèbres se situe vingt ans plus tard, dans une Europe qui subit encore la « grande dépression » et sent pointer la menace nazie.