Gert Nygårdshaug

Ce Tome 3 a été très intéressant pour ma part, malgré que je n'aime pas forcément ce style de lecture.

C'est une très belle histoire, c'est vivant et complétement partial : terrorisme écologique. J'attends avec impatience le tome 2.

Un premier tome que j'ai eu du mal a abordé au départ mais qui, une fois commencer m'a entrainé dans la quête de Mino pour sauver la terre mère au travers de la jungle d'Amazonie et des forêts primaires de la planète .Les violences, crimes et morts décrient sans ambages et de manière crue, pourrait en choqué plus d'un et pourtant, il nous amène à un panel d'émotions nous guidant vers la compréhension . On ne peut qu'aimé Mino et ses amis autant qu'on ne peut que détester ces consortiums, multinationales et autre prédateurs de l'environnement .Un livre à lire (et a relire) .A voir la suite.

J'ai eu un peu de mal avec ma lecture au début mais j'ai fini par apprécier l'histoire. J"ai au final passé un bon moment. L'histoire est intéressante.

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fabrice.cerezales@orange.fr

Très bien, j'adore !

Encore !

Particulièrement apprécié le premier tome. Ce deuxième opus est sombre, sombre a souhait. L'Europe est vraiment vu façon minable et c'est bien pour cela que nous avons besoin d'une Europe forte : plus de guerre depuis presque 80 ans... Je souhaite que cela ne reste qu'une fiction !

Auteur qui mérite d'être plus connu et surtout lu !!! Quelle noirceur quand même mais sans doute avons nous besoin de cela pour éveiller nos consciences endormies.

Un livre à la fois grave et sensible. Une histoire qui ne peut laisser indifférent. Un combat humain pour l'écologie, via un parcours vengeur à travers les yeux et actes du personnage principal, Mino et de ses amis. Quelle belle découverte que cet auteur. Voilà un récit bien mené, documenté, précis, viable... J'ai adoré. Ce roman va d'ailleurs au delà : il peut ouvrir les esprits et faire en sorte de générer une prise de conscience. On va au delà du roman. Du génie.

Difficile d’accepter de dire que je n’ai pas apprécié ce livre, tant j’aime cet auteur, d’habitude.

Fan absolue de la trilogie du Zoo de Mengele que je nomme très souvent lorsque l’on me demande mon top trois de toutes mes lectures, je n’ai pas du tout adhéré à l’univers décrit dans ce roman.

Le thème de départ ne m’enchantait pas vraiment, non plus : un homme intelligent et cultivé ne trouve rien de mieux que de s’auto-consommer pour lutter contre l’ennui. Il construit un bunker, s’y enferme, et choisis les parties de son corps à sacrifier pour créer toutes sortes de marinades et autres plats gastronomiques… Et alors que son poids se réduit, son esprit, lui, s’élève plus haut que jamais.

Philosophique, le livre l’est, clairement. Mais ce côté intéressant n’arrive pas, selon moi, à contrebalancer le dégoût qui se dégage du sujet de base.