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Kage Baker

Auteur

17 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par anonyme 2010-11-24T19:01:16+01:00

Biographie

Kage Baker (née le 10 juin 1952[1] et morte le 31 janvier 2010[2]) est un auteur américain de science-fiction et de fantasy.

Dans le jardin d'Iden (In the Garden of Iden) (1997)

Coyote céleste (Sky Coyote) (1999)

Mendoza in Hollywood (2000)

The Graveyard Game (2001)

The Life of the World to Come (2004)

The Children of the Company (2005)

The Machine's Child (2006)

The Sons of Heaven (2007)

Not Less than Gods (2010)

Recueils de nouvelles du cycle La Compagnie [modifier]

Black Projects, White Knights (2002)

Gods and Pawns (2007)

Nouvelles indépendantes [modifier]

The Angel in the Darkness (2003)

Rude Mechanicals (2007)

The Empress of Mars (2009)

The Women of Nell Gwynne's (2009) - Prix Locus du meilleur roman court 2010

Autres travaux [modifier]

Anvil of the World (2003)

Mother Ægypt and Other Stories (2004)

Dark Mondays (2006)

The House of the Stag (2008)

Where the Golden Apples Grow (2006) — Nouvelle

Or Else My Lady Keeps the Key (2008)

The Hotel Under the Sand (2009) — Roman pour adolescent

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0 Citations 5 Commentaires sur ses livres

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de Kage Baker

Sortie France/Français : 2013-03-04

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Phael 2010-04-04T18:55:35+02:00
Dans le jardin d'Iden

Lu avril 2010

Au XXIVe siècle, la Compagnie Dr. Zeus, Inc. met au point une technologie qui rend possibles des voyages aller-retour vers le passé. Pas question d'aller dans l'avenir, ni de changer le cours de l'Histoire ou créer des paradoxes temporels. Mais, nuance, cette dernière remarque s'applique seulement à l'Histoire enregistrée. Ce qui laisse une marge de manœuvre pour des opérations juteuses, comme la préservation d'espèces disparues ou d'œuvres d'art et de littérature perdues, mises en sauvegarde pendant des siècles par les agents du Dr. Zeus jusqu'au jour où cette Compagnie pourra les sortir de leurs cachettes. Reste un problème : les voyages temporels coûtent cher et les habitants du XXIVe siècle rechignent à l'idée de risquer leur peau dans les époques barbares. Mieux vaut recruter des gens sur place, les former à leurs tâches, et les doter des technologies de pointe. Y compris l'autre grande trouvaille du Dr. Zeus : un traitement d'immortalité. Malgré ses effets secondaires indésirables et le fait qu'il ne réussit que sur des jeunes enfants, ce traitement permettra la création d'une armée d'Immortels qui traversera l'Histoire, travaillant en secret pour les intérêts de la Compagnie. Mais qui contrôle la Compagnie ?

Au cours de ce premier roman, on verra la mise en œuvre de tout cela dans le détail. Mendoza, une fillette arrachée au milieu du XVIe siècle des mains de l'Inquisition espagnole (qui la soupçonne d'être juive) par un agent recruteur de la Compagnie, va subir son traitement et suivre une formation dans une base cachée en Australie, avant d'être envoyée en Angleterre pour sa première mission quelques années plus tard. Elle doit sauver de l'extinction une variété de houx, l'Ilex tormentosum, dont quelques échantillons survivent encore dans le jardin botanique d'un gentilhomme anglais, sir Walter Iden. Mendoza prend l'identité de la fille d'un médecin espagnol afin de s'introduire dans la maison d'Iden. Cependant, le contexte historique va tout compliquer. Mary Tudor est Reine d'Angleterre et favorise la Contre-réforme en s'alliant avec l'Espagne catholique. Mais les Espagnols sont haïs par la majorité des Anglais, et Mendoza va enfreindre toutes les règles en tombant amoureuse de Nicolas, le jeune assistant d'Iden et un protestant notoire.

Cette histoire d'amour est bien entendu impossible, mais la raison ne saurait l'emporter. Mendoza découvre ainsi toutes les difficultés pour cumuler vie d'agent et vie personnelle.

Nicolas finira sur un bûcher de l'inquisition, Mendoza tentant en vain de le sauver, ce qui lui est interdit...

On découvre ainsi à la fin de ce premier roman que la Compagnie aide ses agents, de façon bien artificielle (traitements et autres) à sortir indemne d'une mission aussi difficile, et d'enchaîner avec la suivante.

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Commentaire ajouté par petitspock 2011-10-20T21:35:50+02:00
N.S.O. Le Nouveau Space Opera

Incontestablement ce pavé impressionne : 650 pages regroupant les plus grosses pointures de la SF anglo saxonne. A peine s’étonne-t-on dans ces « 18 nouveaux récits d’aventures dans l’espace » consacrés au Nouveau Space Opéra, de la présence de Silverberg, hommage rendu à celui qui paradoxalement contribua à détourner le lectorat de ce sous genre vers des formes de narrations plus audacieuses et spéculatives. On regrettera l’absence du plus brillant représentant actuel du space opéra, Iain Banks.

La préface ne nous éclaire guère sur les éléments constitutifs du N.S.O [1]. Tout au plus peut-on souligner l’influence du cyberpunk sur certains textes : « Il ne s’agissait pas d’un simple désert, mais d’un désert sauvage : jamais terraformé, mais conçu comme un champ de bataille, son code source irrémédiablement entortillé, belligérant et indompté ». [2] Outre l’incorporation des nouvelles technologies, les préfaciers soulignent aussi avec raison un virage idéologique. Le thème de la survie fait jeu égal avec la conquête de l’univers.

Cependant il faut créditer Gardner Dozois et Jonathan Strahan de l’honnêteté de leur démarche. Nous ne sommes pas en présence d’un recueil thématique, mais d’une sélection de textes guidée par le plaisir. Bref on a affaire à du space opera point barre. Beaucoup de nouvelles appartiennent à un cycle romanesque. Cela indisposera l’amateur du genre, mais n’influe en rien sur la qualité des textes.

Les 18 récits de N.S.O s’inscrivent dans quatre thématiques habituelles du space opera :

• Aventures dans l’espace

Explorations, conflits... vaste courant auquel se rattachent les nouvelles de Jones, McAuley, Hamilton, Mac Leod, Daniel, Kelly, Reynolds, Rosenblum, Baxter, Williams, et Kress.

• Le théâtre de l’espace

Cette thématique regroupe les ouvrages dans lesquels la narration s’organise autour d’une mise en scène (2001, Dune, Trames, l’oeuvre de Varley, les Big Dumb Objects...). Les récits de Reed, Baker et Simmons y font explicitement référence.

• Hard science

Egan et Benford, avec des fortunes diverses, explorent ce courant Asimovien.

• Contes et légendes de l’espace

Recyclages en tout genre, poésie, le space opera devient sa propre mythologie comme dans les textes de Mc Donald et Silverberg.

Du très bon au peu ragoûtant.

Une nouvelle se détache du lot, Les fleurs de Minla d’Alastair Reynolds. Un voyageur se détourne de sa mission pour venir en aide à un peuple menacé d’extinction. Avec des moyens narratifs assez simples Reynolds raconte l’affrontement de deux personnages. Un très beau texte de facture classique.

Eclosion de Robert Reed évoque la survie d’humains sur la coque d’un vaisseau-monde gigantesque ou une créature extra terrestre non moins imposante s’est échouée. Plus que le récit, on retiendra ce tableau d’immensités incompréhensibles et fascinantes emboîtées les unes dans les autres.

Un conflit sans pitié à l’échelle de l’univers : voici ce que nous raconte Ian Mc Donald dans L’anneau de Verthandi. A la limite de la caricature, ce texte court bénéficie d’une écriture hors norme.

Place à l’inénarrable Greg Egan. Dans Gloire deux savants traversent la Galaxie à la recherche de vestiges d’une civilisation dont l’insigne mérite est d’avoir étudié les mathématiques pendant trois millions d’années. Mais comment s’y prendre pour franchir des parsecs quand on ne dispose ni de trous de vers, ni de porte des étoiles ? Ce pitch sur le Big Crunch se dévore d’une traite.

Il faut cependant attendre les textes novateurs de Tony Daniel La Vallée des jardins, Mary Rosenblum La reine des neiges, Peter Hamilton Béni par un ange et un peu en retrait de James Patrick Kelly - qui dans Scinder le continuum assimile homosexualité et posthumanité - pour tâter du NSO.

Plus classiquement Gwyneth Jones dans Les Réfugiés emprunte (un peu abruptement) la thématique identitaire défrichée jadis par J. Tiptree et c’est avec plaisir que l’on suit les pérégrinations martiennes et drolatiques d’une troupe théâtrale imaginée par Kage Baker (Maelström).

Nancy Kress, Paul McAuley, Walter Jon Williams, Stephen Baxter, MacLeod fournissent des récits classiques de bonne facture mais pas inoubliables.

Trois textes déçoivent : difficile de ne pas bailler au récit de la capture d’un trou de vers concocté par Gregory Benford (Un revers de fortune). Quant à la nouvelle de Robert Silverberg L’empereur et la Maula, c’est un recyclage des Contes des Mille et une Nuits plutôt poussif.

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Commentaire ajouté par VALENTINY 2012-12-16T11:24:50+01:00
N.S.O. Le Nouveau Space Opera

"La Muse de Feu" de Dan Simmons est à remarquer dans ce gros recueil: Space-Opera mystique où l'auteur nous livre tout son goût (et sa connaissance profonde) de W. Shakespeare. La Terre n'est plus qu'un gigantesque cimetière et l'humanité est complètement sous le joug des Archontes, espèce d'insectes de 3,0 m de haut. Une troupe de comédiens, itinérant à bord de la "Muse" est invitée à une représentation de Mac Beth devant un public d'Archontes. Après ce qui semble avoir été un succès, où les comédiens ont donné le meilleur d'eux-mêmes, la troupe est alors conviée à donner un nouveau spectacle devant les Poimens cette fois, êtres amphibiens d'un niveau supérieur, et ainsi de suite dans les degrés de la hiérarchie (Démiurges, Abraxi)... Cet itinéraire constitue une épreuve, où se joue le sort de l'humanité qui sera jugée digne d'être sauvée ou non. L'auteur aime faire dire, dans la bouche de notre créateur, que les mots écrits par Shakespeare méritent à eux-seuls le respect de l'espèce humaine. Dan Simmons, qui est un brillant conteur, nous livre avec un souffle épique une nouvelle foisonnante, riche en inventions exotiques (mondes concentriques, la Muse qui habite le vaisseau ...) absolument passionnante.

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Commentaire ajouté par pujols 2018-05-18T09:16:20+02:00
Dans le jardin d'Iden

Quand une Américaine férue d'histoire s'empare du bon vieux thème du voyage dans le temps, on peut s'attendre à goûter un savoureux mélange des genres. Connie Willis l'avait déjà démontré avec Le Grand Livre et Sans parler du chien (éd.J'ai lu), où elle conjuguait érudition, humour et science-fiction. Kage Baker reprend une recette similaire. Au XXIVe siècle, la firme Dr Zeus Incorporated envoie ses agents dans le passé. Ils y subtilisent des enfants condamnés à une mort précoce et les rendent immortels. Ces miraculés collectent les objets d'art, plantes et animaux promis à la destruction, afin que les générations futures puissent en profiter. Mendoza, une fillette espagnole arrachée à l'Inquisition, est ainsi transformée en botaniste, et expédiée en 1553 dans un manoir anglais pour récupérer une précieuse variété de houx. La froide Angleterre de Marie Tudor, archaïque et ensanglantée par le fanatisme religieux, n'est pas un lieu de tout repos pour une jeune immortelle en première mission, et le roman, raconté par l'ironique Mendoza, balance sans cesse entre la farce et la tragédie.

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