Michèle Kahn

Trop long à mon gout même si l'histoire est intéressante

un livre qui décrit bien la situation politique a cette époque là un livre qui conviendra à des gens qui aime les états politiques

Un livre très émouvant, une très belle histoire et des personnages attachants. Une écriture fluide et une vision assez réaliste de la vie d'une jeune fille dans un camps de concentration.

Un livre à lire si vous aimez l'histoire et l'émotion.

A lire quand on a 8/10 ans...mais même adulte ce récit pour enfant est plaisant...par contre datant des années 90...il surprendrait aujourd'hui la jeune génération habituée de la technologie qui dès le plus jeune âge se retrouve équipé de téléphones portables, ordinateurs et tablettes...des années en arrière aller chez un oncle possesseur d'un ordi c'était tout une fête...maintenant si les grands parents n'ont que le fixe et pas de réseau internet nos chères têtes blondes tirent la gueule!^^' Bref tout ça pour dire que les riches ont bel et bien de nos jours des intelligences artificielles dans leurs maisons qui ouvrent ferment volets/portail activent la clim/chauffage/tondeuse et j'en passe...Tetaclac n'est peut-être pas totalement au point (il fait vraiment tout y compris la cuisine) mais son existence ne semblera pas aussi extraordinaire aux enfants 2000 ! Le grand choc sera surtout pour les jeunes d'imaginer entreprendre une correspondance papier avec ses amis au lieu d'échanger des mails...alala tout se perd ! L'oncle distrait Pierre inventeur de génie, Babbi le grand-père à l'accent alsacien et Frank le dégourdi petit-garçon ont en tout cas passés des mois de vacances plein de rebondissements.

Sait-on que le paisible village de Sanary-sur-Mer fut, en des temps dramatiques et difficiles, une capitale de l’émigration allemande, fuyant le nazisme et ses atrocités ? Que ce port de pêche reçut le surnom de « Montparnasse-sur-Mer », ou fut tout simplement assimilé à la capitale de la littérature allemande de l’exil.

Le roman a pour point de départ la description des débuts de la vie artistique de Max Hohenkamer, critique d’art à Cologne, où il y fréquente le Café Monopol en compagnie d’Anton Raederscheidt, peintre. Après bien des embûches de toutes natures, des problèmes inextricables de visas, de nationalité, de statut juridique non vraiment résolus de manière claire et définitive, ce monde de l’exil, composé des célébrités de la culture allemande du moment, arrive dans le petit port varois de Sanary-sur-Mer. On y trouve Kisling, peintre d’origine polonaise, Thomas Mann, qui y passe l’été 1933 avec sa famille. Cette année-là, Bertolt Brecht lui rend visite. Dans cette localité, le romancier Léon Feuchtwanger y a élu domicile. Il est l’auteur du Juif Süss, roman dont la signification a été détournée de manière éhontée par les Nazis à des fins propagandistes et antisémites. Max Ernst y séjourne également.

Tout ce monde croit être en sécurité en France, pays traditionnellement terre d'asile, accueillant aux persécutés. Pourtant, en cette année 1939, il n’en va pas de même : une décision du gouvernement, le 5 septembre 1939, indique que les réfugiés politiques doivent se faire connaître pour être rassemblés dans des lieux de détention ; Cette mesure concerne les ressortissants, réfugiés politiques d’Allemagne, d’Autriche, de Tchécoslovaquie. Pour eux, c’est le retournement, une trahison de la France qui les renvoie à leurs conditions d’ennemis, de Boches. Le roman décrit également les conditions effroyables de détention dans le camp des Milles, tristement célèbre dans ce domaine ; Dans ses correspondances, qui forment la trame d’un récit comportant beaucoup de retours en arrière explicatifs pour la compréhension de la trame historique, Max conclut, en y ajoutant une touche d’espérance qui doit, selon lui, être malgré tout victorieuse : « Tu vois, mon Gryllon, devant la beauté des paysages, la prodigalité de la nature, et l’ingéniosité de l’homme pour assurer sa subsistance, l’art abstrait ne me paraît plus être la seule voie. Il est né à une époque où s’imposait une nécessité de destruction mais, ce qui nous soude et nous soucie à présent, c’est la reconstruction. Voilà pourquoi il faut s’abreuver aux sources premières de la création. »

J'avais déjà lu ce livre il y a quelques années. J'en avais gardé un bon souvenir et comme je me rends à Shangaï la semaine prochaine, j'avais envie de me re-familiariser avec cette ville. C'est fait!

Un roman émouvant parfois cru qui nous fait ressentir toute la violence de l'antisémitisme nazi. Un livre pour ceux qui s'intéressent à cette période.

Je trouve que ce livre simplifie beaucoup la Bible et que donc il devrait être davantage lu par les adolescents (9 à 14 voir même 15). Et même si il y a énormément de passage qui sont coupés, les phrases essentielles sont respectés ( par exemple : Suis-je le gardien de mon frère ? ).

La reine de Saba ... une histoire éternelle ... et pourtant ce livre ne m'a pas transporté comme je l'aurai espéré.

L'écriture est bonne, même excellente et pourtant ... je me suis ennuyer en le lisant.

il est amusant