Project Itoh

Malgré des scènes d’action parfois longues, le livre est divinement bien écrit. Je me suis plu à en relire certains passages.

Une chasse à l’homme responsable de nombreux génocides par un groupe d’élite futuriste, entremêlé de références littéraires de choix. Un bon livre où l’on plonge facilement.

A la base cette série est une adaptation de Project Itoh (qui a aussi écrit Harmony Project et The Empire of Corpses mais ce n'est pas adapté par le même mangaka).

Je trouve cette adaptation riche, les dessins sont fluides et agréables, et la série est courte (3 tomes) qui nous offre une réflexion sur le monde actuel. Je le conseille à tous, initié ou non en manga mais attention à certaines images violentes.

Ce tome conclue cette trilogie de Project Itoh. Elle est complète et aboutie, et ouvre sur une réflexion sur notre monde actuel. Je conseille vivement cette oeuvre !

Outre sa couverture magnifique, Genocidal Organ a été une claque pour moi lors de sa lecture.

Et exactement le genre d'histoire et d'univers que j'adore.

J'ai mis plus longtemps que d'habitude à le lire, beaucoup de longueurs, des termes techniques, très futuriste. Mais je peux dire sans mal que ce roman est l'un des meilleurs que j'ai lu.

Je me suis d'ailleurs beaucoup attaché à Clavis, le personnage principal et âme très tourmentée du roman.

Je recommande énormément ce roman qui traite de sujets malheureusement trop actuels comme le terrorisme ou la surveillance de masse et qui fait se poser beaucoup de questions sur notre société et son évolution.

Ce troisième tome fait bien avancer l'histoire, lors de la rencontre entre Tuan et son père. Cependant je trouve l'histoire un peu complexe et assez difficile à comprendre, j'ai du relire plusieurs fois certains passages, mais c'est également ce qui rend ce manga intéressant! j'ai hâte de connaître la suite.

Wahou ! Je viens de finir ce tome et cette histoire et je suis... sans voix. Le fond de cet projet pose tellement de questions philosophiques, psychologiques et sociales. Ca porte à réfléchir sur notre société et sur la vision utopique de la société et de l'humain. Je suis abasourdie par cette oeuvre ( et je pense réellement ce mot). Faut-il le voir comme une critique ou un outil de réflexion. En tut cas, ce manga ne laissera personne indifférent sur le sujet qu'il traite de manière assez compliqué, je vous l'accorde mais très profond.

J'ai vu le film avant, mais je trouve que le manga est également très bien malgré quelques passages qui passent un peu vite.

Les dessins sont agréables.

Une fin de tome assez explosive, beaucoup de combats et une fin ouverte concernant un personnage.

Je regrette malgré tout que cette série ne s'étale que sur trois tomes, cela aurait été intéressant de développer un peu plus les nécromates et leurs créateurs.

Un deuxième tome plutôt bon néanmoins comme dans le premier, j'ai l'impression que certaines actions ce déroulent un peu vites.

Je garde un meilleur souvenir du film.

J’ai fortement hésité sur la note : 3 ou 4 ? Je sens que j’ai lu quelque chose d’intelligent, d’engagé, de bien écrit, mais malheureusement beaucoup de choses m’ont échappé, et je n’ai pas pris de plaisir à cette lecture. Au final, j’ai décidé noter mon ressenti, dont celui d’échec, après lecture. En clair, je pense que c’est un bon livre, mais pas pour moi.

C’est en partie ma faute, car il me manquait beaucoup de billes pour tout appréhender correctement.

Contrairement à mes attentes, les nouvelles de ce recueil de textes japonais n’ont rien à voir avec le Japon, ne s’y déroulent pas, et auraient même pu être écrites par des auteurs d’autres nationalités. Je l’avoue, je m’attendais aux clichés de la vie urbaine de Tokyo et des cerisiers en fleurs… et j’en avais envie.

C’est une déception, et en même temps je suis positivement étonnée d’une telle ouverture de la part des auteurs Japonais : les nouvelles se déroulent notamment en Afrique et en Chine, et sont fortement inspirées des situations politiques et sociales du Rwanda, de l’Afrique du Sud, et du Xinjiang en Chine (où vie la communauté Ouighour).

Comme je le disais plus tôt, je manquais de connaissances sur ces sujets, que je ne connais que de manière superficielle. Je suis donc certaine que pas mal de choses m’ont échappé, mais au moins cette lecture m’aura poussée à faire des recherches pour essayer de mieux comprendre. J’ai parfois eu du mal à saisir de quel côté étaient les protagonistes.

La préface et la postface apportent des éléments de compréhension importants.

C’est globalement très sombre, et réaliste : la guerre est quasi omniprésente. Bullet, la plus courte nouvelle, sort un peu du lot par son humour.

Malgré la réputation des auteurs sélectionnés, je regrette l’absence d’autrices dans ce recueil (j’ose imaginer qu’il en existe, même si la situation des femmes au Japon n’est pas la même que la nôtre en Europe).

Cette lecture n’était manifestement pas pour moi, mais je ne doute pas qu’elle intéressera les connaisseurs de SF japonaise ou SF tout court d’ailleurs.