Antonin Varenne
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Note moyenne : 6.55/10Nombre d'évaluations : 53
0 Citations 40 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Quelle claque!
Un livre que j'ai lu d'un trait!
L'auteur, que je ne connaissais pas, sait de quoi il parle. Le début est déroutant et tout le reste est dérangeant mais le voyage demeure extraordinaire, unique.
Les personnages sont tous des écorchés vifs. Est-on vraiment dans la vraie vie? A vous de voir.
" Là où il y a une volonté, il y a un chemin".
Lisez ce livre et vous comprendrez.
Afficher en entierhttps://saginlibrio.over-blog.com/2021/04/dernier-tour-lance-de-antonin-varenne.html
J'ai découvert l'auteur avec le magnifique polar "L'artiste". Mais ce dernier roman n'a pas été pour moi.
Autant la plume de l'auteur est toujours aussi plaisante, autant c'est l'histoire et les personnages qui ont fait que je me suis sentie détachée du contexte.
Je n'ai pas réussi à m'affilier Julien, il m'a agacé, jouant sur les sentiments de son père, un peu enfant gâté, un peu roi en sa demeure. Sa passion dévorante pour la course le rend égoïste, refusant de voir que ses proches existent et pourraient lui rendre une partie de bonté qu'il n'a plus en lui.
Son père par contre est une merveille, simple et tout en douceur, il a une empathie et une résilience en lui qui fait que j'ai eu envie de le protéger des actions de son fils, pour que lui aussi puisse trouver un semblant de bonheur au fil du livre.
Les autres personnages sont forts et sensibles: cette psychologue, son ami, la petite fille et son père. Ce roman se place sur la psychologie des personnages, les heurte pour les éprouver.
Je suis passée à côté mais j'ai vu de beaux retours sur "Dernier Tour Lancé", il lui faut trouver son lectorat, cela sera peut-être vous, n'hésitez pas à vous faire votre propre opinion.
Enjoy!
Afficher en entierC'est un peu nouveau pour moi, lire un livre sur les motos. Mais pas que, il y a cette relation tendu entre un père et son fils. Le dépassement de soi pour ce champion de moto qui revient de loin.
Un bon livre.
Afficher en entierTrès bon bouquin
Les personnages sont attachants ou détestables
L'histoire est simple mais tellement intéressante
Merci à toi Christian de m'avoir conseillé ce livre et par la même avoir rendu les jours de pluie de mes vacances un peu moins moroses
Afficher en entierRoman intéressant, bien mené.
Afficher en entierAntonin Varenne est un auteur à découvrir absolument.
Mon second roman (est-ce bien un roman?) et ma seconde claque!
Pas facile au d'adhérer; ce n'est pas immédiat.
Mais sitôt que le décor est planté, l'atmosphère s'installe, lourde, moite; étouffante.
Le sujet, ô combien douloureux, de la guerre d'Algérie qui ne disait pas son nom est ici bien restitué et l'intrigue est très bien amenée.
Des personnages écorchés vifs et désabusés; deux époques distantes d'un demi-siècle et les protagonistes sont toujours là. Le style de l'auteur fait le reste.
Attention cependant, il s'agit bien d'une fiction.
Afficher en entierC'est un abandon.
Afficher en entierUne belle écriture soignée, incisive quand il le faut, très maîtrisée, ça tourne autour de divers milieux artistiques mais qui restent en toile de fond et l'auteur ne s'y intéresse pas réellement. Le personnages sont très fort crédibles, psychologiquement fouillés et sombres. Le personnage principal a tout du flic désabusé à l'américaine et sur la route de sa recherche du tueur (très pervers ,méchant et imaginatif), il va croiser d'autres personnages auxquels il va finalement s'attacher dans une sorte d'amitié qui le poussera peut-être vers la lumière…
L'intrigue est tout à fait intéressante , le rythme lui oscille entre une certaine lenteur puis des accélérations fulgurantes.
Un bon polar que je conseille sans problème
Afficher en entierLe mur le kabyle et le marin
Au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, où les États-Unis sont toujours intervenus au cours des dernières décennies, l'une des présences étrangères les plus fortes était autrefois celle de la France. Avec des critères politiques tout aussi controversés et certainement pas de meilleurs résultats. Antonin Varenne nous le rappelle dans ce « le mur, le Kabyle et le marin », noir et en équilibre entre la reconstitution historique de la guerre d'Algérie de 1957 et le feuilleton contemporain, assaisonné de policiers voyous, de boxe truquée et de nationalisme d'extrême droite. Ici les personnages sont ordinaires mais une mécanique narrative particulière : l'histoire rebondit entre les événements contemporains de George « Le Mur » Crozat, policier parisien et boxeur amateur (grand encaisseur), d'où son surnom) de bas étage et bon pour les matchs plus ou moins truqués, et ceux de Pascale Verini, socialiste, idéaliste et rebelle juste assez pour être envoyée en châtiment sur le front algérien en 1957. Les deux tiers du roman se font par chapitres alternés et raconte ces deux personnages, deux perdants à la recherche de quelque chose dont ils ne savent même pas ce que c'est. Le Mur, désormais sur le point de se retirer du ring, sombre lentement dans la dépression et accepte de travailler pour le compte d’un inspecteur véreux de la brigade "grands crimes", tandis que Verini, tout juste débarqué en Algérie, est transféré dans une ferme par cauchemar au milieu du Sahara, où les prisonniers de guerre nord-africains sont impitoyablement torturés et tués à l'abri des regards et des oreilles indiscrets (écho des séquences d'ouverture du film "Zero Dark Thirty"). On sait que le noir français est parfois loin des « règles » du polar anglo-saxon ou scandinave. Le talent de Varenne est de savoir entretenir l'intérêt du lecteur sans crime, sans enquête et avec une intrigue apparemment fugace. Comment l'auteur va-t-il nouer ces deux fils narratifs si éloignés l'un de l'autre par le temps, l'espace et l'atmosphère ? Il aura fallu un peu de patience mais au final Le Mur butera, au cours d'une de ses basses œuvres peu policières et très hors-la-loi, sur la mosaïque qui relie son Paris délabré et souterrain à Verini et aux atrocités insensées de la guerre d'Algérie. Varenne propose même une fin serrée, pyrotechnique et amère au bon moment. Varenne écrit avec une élégance nue, avec une prose et sèche pour la partie parisienne plus rêveuse pour l’algérienne. Ses personnages ne sont pas très "cool". Pas de VIP, pas de détective à succès ou de génie criminel, encore moins de soldats héroïques ou de grands exploits militaires. Au lieu de cela, une profusion de petits criminels et de petits hommes de loi tout aussi petits, de putains et de militaires alcooliques, sadiques ou inadaptés, d'égorgeurs algériens qui défendent leur terre comme ils peuvent et d'hommes abusés par la vie qui ont vieilli portant des blessures qu'ils n'ont pas voulu, ou pu guérir. Un sujet qui n'est pas facile à gérer, mais dont Varenne, bien qu'avec une légère hésitation dans le rythme, a su faire un roman prenant, riche en humanité et plein de surprises.
Afficher en entierJ'ai aussi abandonné ce livre. Obligée de relire 2 fois pour essayer de comprendre j'ai tenu jusqu'à la page 20
Afficher en entierOn parle de Antonin Varenne ici :
2011-11-17T23:57:07+01:00
2010-01-26T18:41:34+01:00
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Dédicaces de Antonin Varenne
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Editeurs
Points : 4 livres
La Manufacture de livres : 3 livres
Albin Michel : 3 livres
Viviane Hamy : 2 livres
LGF - Le Livre de Poche : 2 livres
Emmanuel Proust : 1 livre
Toute Latitude : 1 livre
J'ai lu : 1 livre
Biographie
Antonin Varenne, a travaillé en Islande, en Guyane et aux États-Unis. Il a publié Fakirs, grand prix Sang d’encre et prix Michel-Lebrun. Le Mur, le Kabyle et le Marin a reçu le prix des lecteurs Quais du polar/20 Minutes, le prix du polar francophone et le prix Amila-Meckert. Il vient de publier Battues à la Manufacture de livres-Ecorce et Trois mille chevaux vapeur chez Albin Michel (Le Livre de Poche).
source : criminocorpus
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